Marie ma nouvelle voisine - 10 - vendredi - début de journée et de soirée
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 10 - vendredi - début de journée et de soirée
Après un petit déjeuner café croissant et café "crème" pour toi, nous passons sous la douche. Je te lave et te doigte intimement, mais sans te faire jouir. Puis tu vas t'habiller pour notre footing matinal, c'est à dire un shorty blanc et un débardeur décolleté et très échancré, ne cachant que le quart de tes grosses mamelles.
Alors que je suis sous la douche, et que tu reprends un café, encore excitée par la douche, l'on sonne à la porte. N'étant pas chez toi, tu n'oses allez ouvrir et viens m'avertir du coup de sonnette.
« Va vite ouvrir, ce doit être l'entrepreneur qui vient pour la piscine »
Tu te précipités sans penser une seconde à ta tenue et ouvres à notre visiteur.
Je vais ouvrir un peu dans l'urgence et je n'ai pas fait attention à ma tenue, avant d'ouvrir, ayant encore à l'esprit vos doigts sur mon corps pendant la douche. Je me rends compte de ma tenue, quand je vois son regard sur mes seins lourds oblong, dont les pointes sont nettement visibles et je deviens toute rouge,
« Bonjour monsieur, c'est pourquoi ?
- Heu...Monsieur Morin, je... viens voir monsieur Cello.
- Heu ! Ent...entrez, je...je vais l'avertir de votre visite
Lorsque tu viens me prévenir de la visite de l'entrepreneur, je te demande de lui servir un café pour le faire patienter.
Tu reviens dans le séjour et lui propose de s'asseoir dans un des fauteuils du salon et de lui servir un café en m'attendant. Puis tu vas à la cuisine prendre une tasse et la cafetière. Tu te penches pour poser la tasse et servir notre visiteur. En te redressant tu vois le regard de l'homme plongé dans ton décolleté et prends une nouvelle fois conscience de ta tenue légère. Très mal à l'aise, tu t'assois face à l'homme, gardant tes genoux bien serrés et évitant de te pencher. Tout en essayant de lui faire la conversation en attendant mon arrivée, tu remarques sous sa salopette de travail ouverte sur son torse velu, et devine un ventre proéminant, qu'il est mal rasé et ses cheveux gras.
J'arrive et m'asseyant dans le canapé, je te demande de me servir un café, et une nouvelle fois, tu es obligée de te baisser pour me servir, offrant la vue de tes mamelles à l'entrepreneur.
Tu profites de mon arrivée pour finir ta tasse et t'éclipser, pour faire un peu de ménage dans la chambre et la salle bain. Une demi heure plus tard, je viens te chercher pour faire notre jogging. Ne voyant plus le gros homme, tu penses qu'il est parti et tu montes dans la voiture pour partir en campagne ou en forêt.
Le jogging se passe comme d'habitude, à savoir, mise a nue dans la forêt, et baise dans la cabane des chasseurs.
De retour à la maison, nous prenons une douche, puis allons nous prélasser sur les transats au soleil. Toi nue bien évidemment et moi en short. Je suis en train de te peloter les mamelles lorsque surgit l'entrepreneur, nous l'avions oublié celui-là, qui revient de la cave. Surpris de te voir, nue, il reste un instant figé, avant de me dire qu'il a fini de purger l'évacuation de la piscine et changer le filtre.
Pendant qu'il m'explique cela avec beaucoup de détails, probablement pour pouvoir te mater plus longuement, je continue à te pétrir les pis, sans que tu ne fasses un geste de pudeur pour te cacher, te laissant aller sous mes caresses, tes cuisses s'ouvrant de plus en plus, certainement excitée aussi d'être une nouvelle fois la proie d'un voyeur.
Puis, il nous salue et nous quitte, probablement déçu de ne pas avoir été invité, au moins à te caresser.
Le reste du vendredi, se passe tout naturellement entre le jogging, la sieste, le bronzage, les massages et aussi à baiser et cela jusqu'à 17 heures environ.
Il est près de 17 heures, quand je décide que nous devons retourner chez toi, pour te préparer avant l'arrivée de ton mari. Nous décidons d'une tenue sage pour l'accueil d'Hervé, aussi en cherchant dans ton armoire et ta commode, j'opte pour un soutien gorge blanc à balconnet, un slip tanga blanc pour tes dessous, une jupe au dessus du genoux et un corsage opaque.
En cherchant ces vêtements, je découvre une robe rouge, courte, échancrée sous les bras et décolletée très moulante. Tu m'informes que c'est Hervé qui t'a offert cette robe, il y a quelques semaines, mais que tu n'as jamais osé la porter, car tu la trouvais, trop sexy et qu'on voyait tes dessous avec ta robe.
Je te réponds alors :
« Puisque tu as l'intention d'annoncer à ton cocu de mari, que tu es décidé, comme tu te sens très bien dans ta peau depuis le déménagement et pour lui faire plaisir de ne plus mettre de soutien gorge le week-end, chose qu'il te demande depuis fort longtemps et bien tu pourrais porter cette robe moulante.
- Oui mais vas-t-il être encore d'accord ?
- Non seulement il sera toujours d'accord, mais je pari, qu'il va te demander d'aller te changer immédiatement.
- Vous croyez ? Et s'il ne le fait pas ?
- Alors propose lui de te changer, avant d'avoir un moment d'hésitation à cause de ma présence pour le repas.
- Hé...
- T'inquiète pas, tout ce passera bien et il t'enverra te changer. Bien sûr, tu en profiteras pour ne rien mettre sous ta robe.
- Bien monsieur, comme il vous plaira »
Et tu te rends aussitôt dans la salle de bain, prendre une douche, te maquiller, te parfumer et te coiffer. Pendant ce temps, je t'attends patiemment dans un fauteuil, feuilletant une revue qui traîne sur la table de salon. Lorsque tu apparais toute pimpante, je te complimente et te propose de me sucer avant l'arrivée imminente de ton mari, et ouvre mon pantalon.
Tu ne te fais pas prier, et immédiatement tu enfournes ma queue dans ta bouche et me suce avidement. Je te préviens de tout avaler lors de l'éjaculation, afin de ne pas avoir à te remaquiller, car tu n'en auras probablement pas le temps et qu'Hervé n'apprécierait pas de te trouver maculer de sperme.
J'ai à peine le temps de te remplir la gorge et de te dire de remettre un peu de rouge à lèvres, sans te laver les dents, pour que tu conserves l'odeur et le goût de mon sperme dans ta bouche que nous entendons la voiture d'Hervé se garer devant la porte du garage.
Dès que nous l'entendons, je me redresse après avoir dégluti et vous quitter la maison en passant par le jardin... Trente secondes après Hervé passe la porte et je vais le prendre dans mes bras, honteuse de mon comportement depuis une semaine mais heureuse de le retrouver. Il me complimente en me disant que je suis resplendissante et nous nous embrassons longuement ... Lorsque ce baiser se termine, je suis surprise d'entendre mon mari me dire que je sens bon ... je songe immédiatement que je dois avoir un goût de sperme dans la bouche, mais sûrement me dit il cela à cause de mon parfum ...
Nous passons ensuite au salon et je lui sers un verre de vin, je lui dis que je suis si heureuse qu'il soit rentré, qu'il m'a manqué et entre deux verres, je lui dit :
« Au fait, j'ai oublié de te dire que pour remercier notre voisin, qui m’a aidé à peindre les chambres, comme il l'avait promis le week-end dernier, je l'ai invité à manger ce soir. Comme on en avait parlé quand on a emménagé, tu sais tu m'avais dit qu'on devrais inviter nos voisins, alors j'en ai profité, ça ne te gêne pas j'espère, sinon je reporte si tu es trop fatigué ?
- Non au contraire, ça me changera les idées quoiqu’on aurait pu se les changer autrement, mais on a tout le week-end et puis il faut bien récompenser notre voisin en lui offrant un bon repas.
- Il faut aussi que je te fasse un cadeau moi aussi, comme je me sens vraiment bien dans notre nouvelle maison, que j'ai décorée moi même et que j'y suis très à l'aise, je vais te dire quelque chose qui va te faire plaisir ...
- Ha bon ! Quoi dis moi, tu attises ma curiosité.
- Tu m'as souvent dit que tu aimerais que je ne porte pas de soutien gorge à la maison et bien je suis d'accord, je voulais t'accueillir comme ça, mais je n'ai pas osé, je voulais être sûre que tu en avais encore envie et que ça te faisait plaisir.
- Hum ! Bien sur que ça me fait plaisir et tu peux aller le retirer tout de suite si tu veux.
- D'accord j'y vais tout de suite et après je te fais visiter les chambres pour découvrir les travaux que j'ai fait ... mais je heu... pour le soutien gorge, tu préfères peut être que je commence demain, tu sais comme on a un invité ce soir ...
- Non, va te changer, tu m'as donné envie de te voir dans ton corsage avec tes beaux seins libres et puis tu ne vas pas non plus montrer tes seins.
- J'y vais mon chéri et je t'appelle dès que je suis changée, au fait ça pourrait être l'occasion de mettre la belle robe rouge que tu m'as offerte et que je n'ai jamais mise, car on voyait trop mon soutien gorge dessous, ça te ferait plaisir ?
- Bien sûr, vas vite te changer, j'ai hâte de te voir dans cette robe rouge sexy que choisie pour toi ».
Je file me changer et une fois dans notre chambre, je me déshabille j'enfile ma robe, je me regarde ... on voit ma culotte, je décide de l'enlever, je me regarde à nouveau ... Une appréhension me prend, en me voyant : je me dis que ma tenue est vraiment osée, elle n'est pas particulièrement décolletée, mais sans soutien gorge, on devine parfaitement la forme de mes seins, qui sont lourds et lorsque je bouge un peu les épaules, je vois bien qu'ils bougent très librement ... après une doute d'une petite minute, je prends mon courage à deux mains et j'appelle mon mari :
« Chéri, tu peux venir !
- Hoo ma chérie ... tu es superbe, je heu… ça te va vraiment très bien.
- C'est vrai tu me trouves belle comme ça ? Je heu... c'est pas trop moulant ? Je heu... Je veux dire pour ma poitrine, elle n'est pas très maintenue ?
- Non, tu es superbe comme ça et puis tu sais que je les aime tes seins et puis coquine tu n'as pas mis de culotte non plus, on la verrait sinon ?!
- Oui, elle se voyait de trop. Je suis heureuse de te plaire, je t'aime ».
Nous nous embrassons longuement, Hervé en profite pour me caresser les fesses, la taille, et termine en me palpant un sein tandis que je le sens bander contre ma cuisse. De mon coté, bien qu'enivrée par cette situation, je ressens une forte culpabilité de l'avoir trompé avec entrain et de m'être laissée dominée volontairement toute la semaine par mon voisin et par ceux à qui il m'a prêtée... je me demande s'il n'est pas trop tard pour faire marche arrière
« Viens chéri, allons boire un verre avant que notre invité arrive, j'ai peur d'être gênée devant lui, si je bois un peu, je me sentirai plus à l'aise, tu veux bien ?
- Oui, je vais ouvrir une bouteille de champagne ».
Nous allons au salon et Hervé remarque à nouveau que mes gros seins bougent très librement à chaque pas ! Il continue à bander et s'excite de savoir que le voisin va découvrir sa Marie dans cette tenue si sexy. Hervé et moi buvons notre champagne en nous caressant, nous embrassant et après trente minutes, la bouteille est vide, nous sommes tous les deux un peu saouls, quand la sonnette retentie.
Hervé vient m'accueillir chaleureusement, et je remarque au premier coup d'oeil, qu'il a déjà un peu bu. Puis en arrivant dans le séjour, tu te lèves du canapé pour venir me faire la bise et je remarque immédiatement que tu n'as aucun sous vêtement, comme je l'avais désiré.
« Bonjour Marie, vous êtes très en beauté ce soir, je veux dire que vous êtes encore plus belle que d'habitude. Cette robe est ravissante et vous va sublimement ».
Je vous remercie et file à la cuisine chercher une autre coupe. Alors que je suis dans la cuisine vous faites des commentaires sur ma belle robe, l'élasticité du tissus, complimentez Hervé me concernant en osant lui demander :
« Ca doit t’exciter un peu de l'exhiber ainsi ? »
Et mon mari avoue que oui ça l'excite que je sois habillée comme ça et que je sois si belle et vous continuez en disant :
« Oui avec sa robe, on voit ses gros seins bouger librement sans soutien gorge, c'est très beau d'ailleurs, j'adorerais la voir danser et faire ballotter ses mamelles, ça t’ exciterait qu'elle le fasse devant moi ?
- Oui !
- Super et si l'ambiance est propice après le repas peut être que ça pourrait aller plus loin … Je pourrais la prendre dans mes bras et puis on verra ce qui se passera hein ?! Mais chutt...la voila qui revient »
Hervé est à la fois jaloux et excité de cette situation, où je suis l'objet de l'intérêt visuel de notre voisin ... et lorsque vous suggérez de me faire danser, de danser avec moi en me prenant dans vos bras, Hervé est encore plus excité de vous imaginer me prendre dans vos bras et peut être sentir mes gros seins contre votre torse ... et lorsque vous ajouter avant que je ne revienne que :
« Ca pourrait aller plus loin ».
Hervé se demande à quoi vous pensez ... mais trop tard je reviens ... J'arrive avec un plateau de petits fours et des coupes de champagnes, je sens vos regards à tous les deux sur ma robe moulante en faisant de mon mieux pour faire comme si de rien était et lorsque je me penche en avant pour poser le plateau sur la table basse, je vous offre "sans le vouloir" une vue plongeante sur mes deux seins lourds qui tendent le tissus et dont le décolleté laisse voir mes outres bien pendantes ... Je me mets à genou de l'autre coté de la table par rapport à vous.
« Alors mon chéri, tu as fait plus ample connaissance avec notre voisin ? Monsieur Cello a été très obligeant vis à vis de moi et m'a aidée à repeindre notre chambre ...
- Ho ! Ca a été un plaisir de vous rendre service, entre nouveaux voisins il faut s’entraider et apprendre à créer une certaine relation, n'est ce pas Hervé, allez pour fêter ça je vais ouvrir le champagne, d'ailleurs Marie, tu peux dire à ton mari comment je me suis fait offrir ces deux bouteilles destinées à cette soirée ? ...
- Je heu… et bien c'est que c'est votre ami médecin heu… qui les a apportées pour Hervé ...
Voyant que je bredouille et ne souhaitant pas risquer de compromettre le déroulement de la soirée en allant trop vite pour enchaîner, après que nous ayons trinqué et bu une première coupe.
« Oui Marie s'était faite mal en décollant le papier peint et j'ai téléphoné à un ami médecin, qui l'a auscultée, a redressé un peu la colonne et comme Marie a voulu le remercier et qu'elle m'avait vantée ses qualité de cuisinière, je lui ai dit qu'il adorait les "gâteries". Elle lui a préparé certaines de ses spécialités et j'ai moi même suggéré à mon ami de vous offrir ce champagne à vous son mari, car j'imagine que Marie vous réservait ses "talents de femme au foyer" jusqu'à présent ... »
Hervé, qui est déjà sous l'effet d'une première demi bouteille avec moi et de la coupe partagée tous ensemble ne capte pas les allusions sexuelles relatives à mes "gâteries", "talents de femme au foyer réservées à mon mari" ... et il boit une nouvelle coupe tandis que je souffle que rien n'ai été dévoilé.
De votre coté, vous bandez de sentir que la soirée se déroule comme vous l'avez anticipée. Mon mari se laisse manipuler et va progressivement vous laisser lui imposer votre ascendant sur moi, sur nous ...
Au fil des coupes, nous discutons de papier peint, de la région qui offre de beaux endroits pour faire du jogging, et à un moment vous me dites :
« Marie, et si vous débarrassiez pour que nous puissions passer à la suite ? ».
Je me lève.
« Hou lala j'ai la tête qui tourne »
Et je me penche à nouveau pour prendre le plateau offrant encore à votre vue à tous les deux, une vue imprenable sur mes seins qui pendent en tendant le tissu et vous vous retrouvez seul avec Hervé qui s'étonne de votre autorité à mon égard ...
« Dis moi Hervé, je dois te féliciter à nouveau, Marie est superbe dans cette robe, je la pensais plus prude et n'aurais pas imaginé qu'elle ose exhiber ses gros seins si lourds ainsi, sans rien dessous. Est ce que ça te fait autant d'effet qu'à moi, qu'elle me les montre en se penchant ?... »
Hervé est à ce moment bien saoul et se laisse emporter par vos flatteries.
« Ho oui j'adore ! Je lui avais offert cette robe, il y a un moment, mais elle n'osait pas la mettre, je suis bien content que tu apprécies la vue qu'elle nous a offert ».
Et vous concluez :
« Tu dois pas t’ennuyer avec une grosse paire comme ça, j'ai hâte que tout à l'heure après le repas, tu m'autorises à danser avec elle, ce doit être quelque chose de se retrouver tout contre elle... »
A ce moment mon mari ressent malgré l'alcool, une pointe de jalousie, mais ne se doute pas de ce qui va arriver et accepte.
« Oui bien sur, si elle accepte, tu pourras faire ce que tu veux ... ».
Les mots sont sortis trop vite de sa bouche et il se met immédiatement à les regretter, mais il ressent une excitation nouvelle, celle de m'imaginer danser avec un autre dans cette robe, et que peut être je me laisse faire, que vous me caressez le dos, les reins ... Sentant mon mari prêt à accepter votre ascendant sur moi, sur lui, vous enfoncez le clou.
« Ne me tente pas trop Hervé, je n'ose pas t’avouer tout ce que j'aimerais lui faire ».
Et vous vous levez sans lui laisser le temps de répondre en allant à la cuisine.
« Marie, vous avez besoin d'aide ? »
Vous entrez dans la cuisine en vérifiant que mon mari ne vous suit pas et directement vous vous collez à mon dos en empoignant mes seins et me disant à voix basse :
« Ce soir, tu vas jouer ton rôle d'épouse timide et docile et surtout ne rien me refuser OK ? Si tu as un doute sur ce que ton mari peut accepter, tu le regarderas avec ton regard amoureux en lui demandant : "Chéri, tu crois que je peux ?". Allez embrasse moi et viens nous rejoindre... »
Vous retournez au salon pour continuer à sympathiser avec mon mari
« Alors Hervé ça va ? Qu'est ce que tu vas nous servir pour accompagner ce repas ?
- Je vais aller nous chercher un petit Bourgogne, ça te convient Cello ?
- Oui bien sur j'adore le vin et par expérience, ce breuvage est très favorable à nouer des amitiés sincères et durables, je suis certain que cette soirée en appellera d'autres ... j'espère bien que la prochaine fois vous viendrez chez moi, je vous présenterai à d'autres amis.
Alors que je suis sous la douche, et que tu reprends un café, encore excitée par la douche, l'on sonne à la porte. N'étant pas chez toi, tu n'oses allez ouvrir et viens m'avertir du coup de sonnette.
« Va vite ouvrir, ce doit être l'entrepreneur qui vient pour la piscine »
Tu te précipités sans penser une seconde à ta tenue et ouvres à notre visiteur.
Je vais ouvrir un peu dans l'urgence et je n'ai pas fait attention à ma tenue, avant d'ouvrir, ayant encore à l'esprit vos doigts sur mon corps pendant la douche. Je me rends compte de ma tenue, quand je vois son regard sur mes seins lourds oblong, dont les pointes sont nettement visibles et je deviens toute rouge,
« Bonjour monsieur, c'est pourquoi ?
- Heu...Monsieur Morin, je... viens voir monsieur Cello.
- Heu ! Ent...entrez, je...je vais l'avertir de votre visite
Lorsque tu viens me prévenir de la visite de l'entrepreneur, je te demande de lui servir un café pour le faire patienter.
Tu reviens dans le séjour et lui propose de s'asseoir dans un des fauteuils du salon et de lui servir un café en m'attendant. Puis tu vas à la cuisine prendre une tasse et la cafetière. Tu te penches pour poser la tasse et servir notre visiteur. En te redressant tu vois le regard de l'homme plongé dans ton décolleté et prends une nouvelle fois conscience de ta tenue légère. Très mal à l'aise, tu t'assois face à l'homme, gardant tes genoux bien serrés et évitant de te pencher. Tout en essayant de lui faire la conversation en attendant mon arrivée, tu remarques sous sa salopette de travail ouverte sur son torse velu, et devine un ventre proéminant, qu'il est mal rasé et ses cheveux gras.
J'arrive et m'asseyant dans le canapé, je te demande de me servir un café, et une nouvelle fois, tu es obligée de te baisser pour me servir, offrant la vue de tes mamelles à l'entrepreneur.
Tu profites de mon arrivée pour finir ta tasse et t'éclipser, pour faire un peu de ménage dans la chambre et la salle bain. Une demi heure plus tard, je viens te chercher pour faire notre jogging. Ne voyant plus le gros homme, tu penses qu'il est parti et tu montes dans la voiture pour partir en campagne ou en forêt.
Le jogging se passe comme d'habitude, à savoir, mise a nue dans la forêt, et baise dans la cabane des chasseurs.
De retour à la maison, nous prenons une douche, puis allons nous prélasser sur les transats au soleil. Toi nue bien évidemment et moi en short. Je suis en train de te peloter les mamelles lorsque surgit l'entrepreneur, nous l'avions oublié celui-là, qui revient de la cave. Surpris de te voir, nue, il reste un instant figé, avant de me dire qu'il a fini de purger l'évacuation de la piscine et changer le filtre.
Pendant qu'il m'explique cela avec beaucoup de détails, probablement pour pouvoir te mater plus longuement, je continue à te pétrir les pis, sans que tu ne fasses un geste de pudeur pour te cacher, te laissant aller sous mes caresses, tes cuisses s'ouvrant de plus en plus, certainement excitée aussi d'être une nouvelle fois la proie d'un voyeur.
Puis, il nous salue et nous quitte, probablement déçu de ne pas avoir été invité, au moins à te caresser.
Le reste du vendredi, se passe tout naturellement entre le jogging, la sieste, le bronzage, les massages et aussi à baiser et cela jusqu'à 17 heures environ.
Il est près de 17 heures, quand je décide que nous devons retourner chez toi, pour te préparer avant l'arrivée de ton mari. Nous décidons d'une tenue sage pour l'accueil d'Hervé, aussi en cherchant dans ton armoire et ta commode, j'opte pour un soutien gorge blanc à balconnet, un slip tanga blanc pour tes dessous, une jupe au dessus du genoux et un corsage opaque.
En cherchant ces vêtements, je découvre une robe rouge, courte, échancrée sous les bras et décolletée très moulante. Tu m'informes que c'est Hervé qui t'a offert cette robe, il y a quelques semaines, mais que tu n'as jamais osé la porter, car tu la trouvais, trop sexy et qu'on voyait tes dessous avec ta robe.
Je te réponds alors :
« Puisque tu as l'intention d'annoncer à ton cocu de mari, que tu es décidé, comme tu te sens très bien dans ta peau depuis le déménagement et pour lui faire plaisir de ne plus mettre de soutien gorge le week-end, chose qu'il te demande depuis fort longtemps et bien tu pourrais porter cette robe moulante.
- Oui mais vas-t-il être encore d'accord ?
- Non seulement il sera toujours d'accord, mais je pari, qu'il va te demander d'aller te changer immédiatement.
- Vous croyez ? Et s'il ne le fait pas ?
- Alors propose lui de te changer, avant d'avoir un moment d'hésitation à cause de ma présence pour le repas.
- Hé...
- T'inquiète pas, tout ce passera bien et il t'enverra te changer. Bien sûr, tu en profiteras pour ne rien mettre sous ta robe.
- Bien monsieur, comme il vous plaira »
Et tu te rends aussitôt dans la salle de bain, prendre une douche, te maquiller, te parfumer et te coiffer. Pendant ce temps, je t'attends patiemment dans un fauteuil, feuilletant une revue qui traîne sur la table de salon. Lorsque tu apparais toute pimpante, je te complimente et te propose de me sucer avant l'arrivée imminente de ton mari, et ouvre mon pantalon.
Tu ne te fais pas prier, et immédiatement tu enfournes ma queue dans ta bouche et me suce avidement. Je te préviens de tout avaler lors de l'éjaculation, afin de ne pas avoir à te remaquiller, car tu n'en auras probablement pas le temps et qu'Hervé n'apprécierait pas de te trouver maculer de sperme.
J'ai à peine le temps de te remplir la gorge et de te dire de remettre un peu de rouge à lèvres, sans te laver les dents, pour que tu conserves l'odeur et le goût de mon sperme dans ta bouche que nous entendons la voiture d'Hervé se garer devant la porte du garage.
Dès que nous l'entendons, je me redresse après avoir dégluti et vous quitter la maison en passant par le jardin... Trente secondes après Hervé passe la porte et je vais le prendre dans mes bras, honteuse de mon comportement depuis une semaine mais heureuse de le retrouver. Il me complimente en me disant que je suis resplendissante et nous nous embrassons longuement ... Lorsque ce baiser se termine, je suis surprise d'entendre mon mari me dire que je sens bon ... je songe immédiatement que je dois avoir un goût de sperme dans la bouche, mais sûrement me dit il cela à cause de mon parfum ...
Nous passons ensuite au salon et je lui sers un verre de vin, je lui dis que je suis si heureuse qu'il soit rentré, qu'il m'a manqué et entre deux verres, je lui dit :
« Au fait, j'ai oublié de te dire que pour remercier notre voisin, qui m’a aidé à peindre les chambres, comme il l'avait promis le week-end dernier, je l'ai invité à manger ce soir. Comme on en avait parlé quand on a emménagé, tu sais tu m'avais dit qu'on devrais inviter nos voisins, alors j'en ai profité, ça ne te gêne pas j'espère, sinon je reporte si tu es trop fatigué ?
- Non au contraire, ça me changera les idées quoiqu’on aurait pu se les changer autrement, mais on a tout le week-end et puis il faut bien récompenser notre voisin en lui offrant un bon repas.
- Il faut aussi que je te fasse un cadeau moi aussi, comme je me sens vraiment bien dans notre nouvelle maison, que j'ai décorée moi même et que j'y suis très à l'aise, je vais te dire quelque chose qui va te faire plaisir ...
- Ha bon ! Quoi dis moi, tu attises ma curiosité.
- Tu m'as souvent dit que tu aimerais que je ne porte pas de soutien gorge à la maison et bien je suis d'accord, je voulais t'accueillir comme ça, mais je n'ai pas osé, je voulais être sûre que tu en avais encore envie et que ça te faisait plaisir.
- Hum ! Bien sur que ça me fait plaisir et tu peux aller le retirer tout de suite si tu veux.
- D'accord j'y vais tout de suite et après je te fais visiter les chambres pour découvrir les travaux que j'ai fait ... mais je heu... pour le soutien gorge, tu préfères peut être que je commence demain, tu sais comme on a un invité ce soir ...
- Non, va te changer, tu m'as donné envie de te voir dans ton corsage avec tes beaux seins libres et puis tu ne vas pas non plus montrer tes seins.
- J'y vais mon chéri et je t'appelle dès que je suis changée, au fait ça pourrait être l'occasion de mettre la belle robe rouge que tu m'as offerte et que je n'ai jamais mise, car on voyait trop mon soutien gorge dessous, ça te ferait plaisir ?
- Bien sûr, vas vite te changer, j'ai hâte de te voir dans cette robe rouge sexy que choisie pour toi ».
Je file me changer et une fois dans notre chambre, je me déshabille j'enfile ma robe, je me regarde ... on voit ma culotte, je décide de l'enlever, je me regarde à nouveau ... Une appréhension me prend, en me voyant : je me dis que ma tenue est vraiment osée, elle n'est pas particulièrement décolletée, mais sans soutien gorge, on devine parfaitement la forme de mes seins, qui sont lourds et lorsque je bouge un peu les épaules, je vois bien qu'ils bougent très librement ... après une doute d'une petite minute, je prends mon courage à deux mains et j'appelle mon mari :
« Chéri, tu peux venir !
- Hoo ma chérie ... tu es superbe, je heu… ça te va vraiment très bien.
- C'est vrai tu me trouves belle comme ça ? Je heu... c'est pas trop moulant ? Je heu... Je veux dire pour ma poitrine, elle n'est pas très maintenue ?
- Non, tu es superbe comme ça et puis tu sais que je les aime tes seins et puis coquine tu n'as pas mis de culotte non plus, on la verrait sinon ?!
- Oui, elle se voyait de trop. Je suis heureuse de te plaire, je t'aime ».
Nous nous embrassons longuement, Hervé en profite pour me caresser les fesses, la taille, et termine en me palpant un sein tandis que je le sens bander contre ma cuisse. De mon coté, bien qu'enivrée par cette situation, je ressens une forte culpabilité de l'avoir trompé avec entrain et de m'être laissée dominée volontairement toute la semaine par mon voisin et par ceux à qui il m'a prêtée... je me demande s'il n'est pas trop tard pour faire marche arrière
« Viens chéri, allons boire un verre avant que notre invité arrive, j'ai peur d'être gênée devant lui, si je bois un peu, je me sentirai plus à l'aise, tu veux bien ?
- Oui, je vais ouvrir une bouteille de champagne ».
Nous allons au salon et Hervé remarque à nouveau que mes gros seins bougent très librement à chaque pas ! Il continue à bander et s'excite de savoir que le voisin va découvrir sa Marie dans cette tenue si sexy. Hervé et moi buvons notre champagne en nous caressant, nous embrassant et après trente minutes, la bouteille est vide, nous sommes tous les deux un peu saouls, quand la sonnette retentie.
Hervé vient m'accueillir chaleureusement, et je remarque au premier coup d'oeil, qu'il a déjà un peu bu. Puis en arrivant dans le séjour, tu te lèves du canapé pour venir me faire la bise et je remarque immédiatement que tu n'as aucun sous vêtement, comme je l'avais désiré.
« Bonjour Marie, vous êtes très en beauté ce soir, je veux dire que vous êtes encore plus belle que d'habitude. Cette robe est ravissante et vous va sublimement ».
Je vous remercie et file à la cuisine chercher une autre coupe. Alors que je suis dans la cuisine vous faites des commentaires sur ma belle robe, l'élasticité du tissus, complimentez Hervé me concernant en osant lui demander :
« Ca doit t’exciter un peu de l'exhiber ainsi ? »
Et mon mari avoue que oui ça l'excite que je sois habillée comme ça et que je sois si belle et vous continuez en disant :
« Oui avec sa robe, on voit ses gros seins bouger librement sans soutien gorge, c'est très beau d'ailleurs, j'adorerais la voir danser et faire ballotter ses mamelles, ça t’ exciterait qu'elle le fasse devant moi ?
- Oui !
- Super et si l'ambiance est propice après le repas peut être que ça pourrait aller plus loin … Je pourrais la prendre dans mes bras et puis on verra ce qui se passera hein ?! Mais chutt...la voila qui revient »
Hervé est à la fois jaloux et excité de cette situation, où je suis l'objet de l'intérêt visuel de notre voisin ... et lorsque vous suggérez de me faire danser, de danser avec moi en me prenant dans vos bras, Hervé est encore plus excité de vous imaginer me prendre dans vos bras et peut être sentir mes gros seins contre votre torse ... et lorsque vous ajouter avant que je ne revienne que :
« Ca pourrait aller plus loin ».
Hervé se demande à quoi vous pensez ... mais trop tard je reviens ... J'arrive avec un plateau de petits fours et des coupes de champagnes, je sens vos regards à tous les deux sur ma robe moulante en faisant de mon mieux pour faire comme si de rien était et lorsque je me penche en avant pour poser le plateau sur la table basse, je vous offre "sans le vouloir" une vue plongeante sur mes deux seins lourds qui tendent le tissus et dont le décolleté laisse voir mes outres bien pendantes ... Je me mets à genou de l'autre coté de la table par rapport à vous.
« Alors mon chéri, tu as fait plus ample connaissance avec notre voisin ? Monsieur Cello a été très obligeant vis à vis de moi et m'a aidée à repeindre notre chambre ...
- Ho ! Ca a été un plaisir de vous rendre service, entre nouveaux voisins il faut s’entraider et apprendre à créer une certaine relation, n'est ce pas Hervé, allez pour fêter ça je vais ouvrir le champagne, d'ailleurs Marie, tu peux dire à ton mari comment je me suis fait offrir ces deux bouteilles destinées à cette soirée ? ...
- Je heu… et bien c'est que c'est votre ami médecin heu… qui les a apportées pour Hervé ...
Voyant que je bredouille et ne souhaitant pas risquer de compromettre le déroulement de la soirée en allant trop vite pour enchaîner, après que nous ayons trinqué et bu une première coupe.
« Oui Marie s'était faite mal en décollant le papier peint et j'ai téléphoné à un ami médecin, qui l'a auscultée, a redressé un peu la colonne et comme Marie a voulu le remercier et qu'elle m'avait vantée ses qualité de cuisinière, je lui ai dit qu'il adorait les "gâteries". Elle lui a préparé certaines de ses spécialités et j'ai moi même suggéré à mon ami de vous offrir ce champagne à vous son mari, car j'imagine que Marie vous réservait ses "talents de femme au foyer" jusqu'à présent ... »
Hervé, qui est déjà sous l'effet d'une première demi bouteille avec moi et de la coupe partagée tous ensemble ne capte pas les allusions sexuelles relatives à mes "gâteries", "talents de femme au foyer réservées à mon mari" ... et il boit une nouvelle coupe tandis que je souffle que rien n'ai été dévoilé.
De votre coté, vous bandez de sentir que la soirée se déroule comme vous l'avez anticipée. Mon mari se laisse manipuler et va progressivement vous laisser lui imposer votre ascendant sur moi, sur nous ...
Au fil des coupes, nous discutons de papier peint, de la région qui offre de beaux endroits pour faire du jogging, et à un moment vous me dites :
« Marie, et si vous débarrassiez pour que nous puissions passer à la suite ? ».
Je me lève.
« Hou lala j'ai la tête qui tourne »
Et je me penche à nouveau pour prendre le plateau offrant encore à votre vue à tous les deux, une vue imprenable sur mes seins qui pendent en tendant le tissu et vous vous retrouvez seul avec Hervé qui s'étonne de votre autorité à mon égard ...
« Dis moi Hervé, je dois te féliciter à nouveau, Marie est superbe dans cette robe, je la pensais plus prude et n'aurais pas imaginé qu'elle ose exhiber ses gros seins si lourds ainsi, sans rien dessous. Est ce que ça te fait autant d'effet qu'à moi, qu'elle me les montre en se penchant ?... »
Hervé est à ce moment bien saoul et se laisse emporter par vos flatteries.
« Ho oui j'adore ! Je lui avais offert cette robe, il y a un moment, mais elle n'osait pas la mettre, je suis bien content que tu apprécies la vue qu'elle nous a offert ».
Et vous concluez :
« Tu dois pas t’ennuyer avec une grosse paire comme ça, j'ai hâte que tout à l'heure après le repas, tu m'autorises à danser avec elle, ce doit être quelque chose de se retrouver tout contre elle... »
A ce moment mon mari ressent malgré l'alcool, une pointe de jalousie, mais ne se doute pas de ce qui va arriver et accepte.
« Oui bien sur, si elle accepte, tu pourras faire ce que tu veux ... ».
Les mots sont sortis trop vite de sa bouche et il se met immédiatement à les regretter, mais il ressent une excitation nouvelle, celle de m'imaginer danser avec un autre dans cette robe, et que peut être je me laisse faire, que vous me caressez le dos, les reins ... Sentant mon mari prêt à accepter votre ascendant sur moi, sur lui, vous enfoncez le clou.
« Ne me tente pas trop Hervé, je n'ose pas t’avouer tout ce que j'aimerais lui faire ».
Et vous vous levez sans lui laisser le temps de répondre en allant à la cuisine.
« Marie, vous avez besoin d'aide ? »
Vous entrez dans la cuisine en vérifiant que mon mari ne vous suit pas et directement vous vous collez à mon dos en empoignant mes seins et me disant à voix basse :
« Ce soir, tu vas jouer ton rôle d'épouse timide et docile et surtout ne rien me refuser OK ? Si tu as un doute sur ce que ton mari peut accepter, tu le regarderas avec ton regard amoureux en lui demandant : "Chéri, tu crois que je peux ?". Allez embrasse moi et viens nous rejoindre... »
Vous retournez au salon pour continuer à sympathiser avec mon mari
« Alors Hervé ça va ? Qu'est ce que tu vas nous servir pour accompagner ce repas ?
- Je vais aller nous chercher un petit Bourgogne, ça te convient Cello ?
- Oui bien sur j'adore le vin et par expérience, ce breuvage est très favorable à nouer des amitiés sincères et durables, je suis certain que cette soirée en appellera d'autres ... j'espère bien que la prochaine fois vous viendrez chez moi, je vous présenterai à d'autres amis.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi excitant.
Bravo.
Rudy
Bravo.
Rudy