Marie ma nouvelle voisine - 30 - Dimanche
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 30 - Dimanche
Ce dimanche, est un jour particulier pour Marie, car elle va profiter de l'anniversaire d'Hervé, pour assumer son état de femelle-soumise et montrer à sa belle-famille sont goût pour l'exhibition, la soumission et le sexe. Elle, qui si prude et coincée, il y a encore une quinzaine de jours, sait qu'elle va heurter les femmes de la famille de son mari, mais aussi qu'elle va ravir les hommes, eux qui fantasmes sur ses formes depuis si longtemps.
Après le petit-déjeuner et la douche, les deux amants retourne à la chambre pour se vêtir. Cello enfile un pantalon blanc et une chemise blanche, alors que Marie met la robe qu'il lui a achetée la veille dans le sex-shop.
C'est ainsi, tout de blanc vêtu, qu'ils quittent la maison pour se rendre chez Hervé. La porte de la maison étant ouverte, Cello entre le premier suivi par Marie qui lui tient la main et en entrant Cello sent qu'elle lui sert plus fort la main, appréhendant probablement la réaction de son cocu de mari, lorsqu'il verra la tunique romaine qu'elle porte.
En voyant Cello, Hervé arbore un sourire qui se transforme vite, lorsqu'il voit son épouse.
Hervé : « Tu ne comptes tout de même pas rester vêtue ainsi pour le repas, enfin vêtue n'est pas le mot qui convient, je devrais plutôt dire dévêtue ? »
Marie : « Mais si mon chéri, Cello l'a acheté hier pour que je la porte aujourd'hui, alors je ne vais pas aller me changer, et que reproches-tu à cette tunique romaine? »
Hervé : « Cello, mon ami, je t'en pris, résonne Marie, toi seul a de l'influence sur elle ».
Cello : « Mon cher Hervé, j'ai acheté cette jolie robe blanche, car Marie veut assumer son état de soumise et veut aujourd'hui que tout le monde sache que la femme prude et coincée qu'elle était il y a encore quelques jours à changée et qu'elle est devenue une femme soumise qui aime être exhibée, humiliée, soumise et accroc au sexe et au sperme, alors laisse-la s'il te plait montrer à tous, ce qu'elle est devenue ».
Hervé vaincu par les arguments de Cello, se retire dans son bureau, laissant Marie et Cello dans le séjour, pour attendre le traiteur.
Lorsque la camionnette du traiteur se gare devant la maion, Marie va s'asseoir dans un coin du séjour, car elle veut dans un premier temps, voir la réaction du traiteur lorsqu'il va voir sa photo grandeur nature, nue et offerte.
En entrant, il s'arrête net en apercevant la photo, puis il se dirige vers Cello, et lui montrant la photo, il dit :
« Quelle belle femme, mais faut être une sacré salope pour oser s'afficher ainsi dans un séjour ».
Cello se tourne alors vers Marie en souriant et avant qu'il ne dise quelque chose, Marie se lève de son siège et dit :
« Merci monsieur, je prends votre commentaire pour un compliment, car effectivement je suis une salope, d'ailleurs ma tenue d'aujourd'hui vous le prouve, n'est ce pas? »
Le traiteur rouge de confusion, reste muet, ne sachant s'il doit s'excuser ou non. Cello viens à son secours en lui demandant :
« Est-ce que la disposititon des tables vous convient ou voulez-vous la modifier? »
Le traiteur trouvant les tables parfaitement disposées, il invite Cello à l'aider à décharger sa fourgonnette. Pendant ce temps, Marie fait ce qu'elle sait faire de mieux depuis quelques jours, à savoir s'exhiber. Aussi elle déambule dans le séjour, montrant ainsi ses cuisses et ses fesses et s'approche parfois très près du traiteur frôlant parfois celui-ci avec sa poitrine.
Lorsque la camionnette est déchargée, le traiteur dresse la table en mettant les assiettes, les verres, les couverts puis il prépare sur une autre table le buffet, où chacun pourra aller se servir comme bon lui semble.
Marie sur le conseil de Cello, va s'asseoir dans un coin de la pièce, regardant le traiteur et son maître s'affairer devant le buffet. Elle regarde le traiteur et pense :
« Il est vraiment très laid, un ventre énorme, court sur pattes, heureusement il a l'air propre, quel dommage, sale il serait parfait pour m'humilier davantage, mais peut être que seule sa tenue est clean et que dessous c'est beaucoup moins appétissant ».
Cette idée la met dans un tel état qu'elle ne peux résister au fait de glisser ma main droite dans l'échancrure de sa robe au niveau de ses cuisses et se poser sur son sexe déjà humide. Peut de temps après, sa main gauche vient se poser sur mon sein droit, celui qui est totalement découvert et elle commence à titiller son téton et caresser son nichon comme dit Cello.
Elle ne tarde pas à gémir, en silence dans un premier temps, puis en étouffant ses gémissements, mais au bout de quelques minutes, elle ne peux se retenir de gémir réellement et le traiteur en l'entendant se tourne vers elle et la regarde. En le voyant se tourner, cela excite davantage encore Marie et ses mains deviennent de plus acive sur son sein et entre ses cuisses.
Cello se tourne alors vers le traiteur et dis :
« Quand je vous disais que c'était une vrai salope, elle ne pense plus qu'au sexe et à jouir ».
Lorsque Marie entends son maître parler ainsi au traiteur, elle jouie immédiatement et crie sa jouissance
« Oui ! Oh oui ! C'est bon ! Oui je suis une salope ! J'ai envie d'une bonne bite dans ma chatte, dans mon cul et du sperme plein la bouche ! Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! »
Cello s'approche de Marie et la faisant se lever, il lui propose d'aller prendre l'air, alors qu'Hervé alerté par les cris de sa femme sort de son bureau, pour voir ce qui se passe.
Lorsque Marie sort de la pièce pour prendre l'air et reprendre ses esprits, Cello constate qu'une tache macule l'arrière de sa robe, propablement une tache de cyprine due à la jouissance de sa femelle. Il espère juste que la robe sèchera rapidement et que cela ne se verra pas lorsque les invités arriveront.
Marie explique alors à son amant que c'est en fantasmant sur le traiteur en l'imaginant sale, qu'elle a commencé à se caresser, se disant qu'il serait parfait pour une nouvelle humiliation ».
Cello rassure sa petite chienne, et lui promet qu'il saura l'humilier comme elle le mérite et mieux encore que l'artisant. Puis il laisse Marie seule dehors et retourne dans la maison.
Immédatement Hervé lui demande :« Qu'est ce qui s'est passé ? »
Cello : « Rien de grave, c'est Marie, qui s'est faite jouir. Elle a besoin de cela plusieurs fois par jour, pour se prouver qu'elle existe et que son corps est bien vivant ».
Hervé : « Mais tu te rends compte que ma famille va arriver dans quelques minutes et que cette chienne en chaleur, ne pense qu'à son cul ».
Cello : « Oui Hervé ! Elle pense plus qu'au sexe et à jouir, alors laisse la vivre sa vie comme elle l'entend, maintenant ce n'est plus ton problème, comme Marie n'est pratiqement plus ta femme, mais ma petite chienne ».
Le traiteur avant de prendre congé dit à Cello :
« Je repassserais ce soir, récuperer la vaisselle et les plats vides »
Cello : « Et moi demain dans la matinée, pour vous régler votre prestation ».
Il monte dans son fourgeon et quitte le lotissement. Cello rejoint Marie, elle a repris ses esprits et il constate que la tache sur sa robe ne se voit plus. Il l'invite à rentrer, sachant que les invités d'Hervé ne vont pas tarder.
Après le petit-déjeuner et la douche, les deux amants retourne à la chambre pour se vêtir. Cello enfile un pantalon blanc et une chemise blanche, alors que Marie met la robe qu'il lui a achetée la veille dans le sex-shop.
C'est ainsi, tout de blanc vêtu, qu'ils quittent la maison pour se rendre chez Hervé. La porte de la maison étant ouverte, Cello entre le premier suivi par Marie qui lui tient la main et en entrant Cello sent qu'elle lui sert plus fort la main, appréhendant probablement la réaction de son cocu de mari, lorsqu'il verra la tunique romaine qu'elle porte.
En voyant Cello, Hervé arbore un sourire qui se transforme vite, lorsqu'il voit son épouse.
Hervé : « Tu ne comptes tout de même pas rester vêtue ainsi pour le repas, enfin vêtue n'est pas le mot qui convient, je devrais plutôt dire dévêtue ? »
Marie : « Mais si mon chéri, Cello l'a acheté hier pour que je la porte aujourd'hui, alors je ne vais pas aller me changer, et que reproches-tu à cette tunique romaine? »
Hervé : « Cello, mon ami, je t'en pris, résonne Marie, toi seul a de l'influence sur elle ».
Cello : « Mon cher Hervé, j'ai acheté cette jolie robe blanche, car Marie veut assumer son état de soumise et veut aujourd'hui que tout le monde sache que la femme prude et coincée qu'elle était il y a encore quelques jours à changée et qu'elle est devenue une femme soumise qui aime être exhibée, humiliée, soumise et accroc au sexe et au sperme, alors laisse-la s'il te plait montrer à tous, ce qu'elle est devenue ».
Hervé vaincu par les arguments de Cello, se retire dans son bureau, laissant Marie et Cello dans le séjour, pour attendre le traiteur.
Lorsque la camionnette du traiteur se gare devant la maion, Marie va s'asseoir dans un coin du séjour, car elle veut dans un premier temps, voir la réaction du traiteur lorsqu'il va voir sa photo grandeur nature, nue et offerte.
En entrant, il s'arrête net en apercevant la photo, puis il se dirige vers Cello, et lui montrant la photo, il dit :
« Quelle belle femme, mais faut être une sacré salope pour oser s'afficher ainsi dans un séjour ».
Cello se tourne alors vers Marie en souriant et avant qu'il ne dise quelque chose, Marie se lève de son siège et dit :
« Merci monsieur, je prends votre commentaire pour un compliment, car effectivement je suis une salope, d'ailleurs ma tenue d'aujourd'hui vous le prouve, n'est ce pas? »
Le traiteur rouge de confusion, reste muet, ne sachant s'il doit s'excuser ou non. Cello viens à son secours en lui demandant :
« Est-ce que la disposititon des tables vous convient ou voulez-vous la modifier? »
Le traiteur trouvant les tables parfaitement disposées, il invite Cello à l'aider à décharger sa fourgonnette. Pendant ce temps, Marie fait ce qu'elle sait faire de mieux depuis quelques jours, à savoir s'exhiber. Aussi elle déambule dans le séjour, montrant ainsi ses cuisses et ses fesses et s'approche parfois très près du traiteur frôlant parfois celui-ci avec sa poitrine.
Lorsque la camionnette est déchargée, le traiteur dresse la table en mettant les assiettes, les verres, les couverts puis il prépare sur une autre table le buffet, où chacun pourra aller se servir comme bon lui semble.
Marie sur le conseil de Cello, va s'asseoir dans un coin de la pièce, regardant le traiteur et son maître s'affairer devant le buffet. Elle regarde le traiteur et pense :
« Il est vraiment très laid, un ventre énorme, court sur pattes, heureusement il a l'air propre, quel dommage, sale il serait parfait pour m'humilier davantage, mais peut être que seule sa tenue est clean et que dessous c'est beaucoup moins appétissant ».
Cette idée la met dans un tel état qu'elle ne peux résister au fait de glisser ma main droite dans l'échancrure de sa robe au niveau de ses cuisses et se poser sur son sexe déjà humide. Peut de temps après, sa main gauche vient se poser sur mon sein droit, celui qui est totalement découvert et elle commence à titiller son téton et caresser son nichon comme dit Cello.
Elle ne tarde pas à gémir, en silence dans un premier temps, puis en étouffant ses gémissements, mais au bout de quelques minutes, elle ne peux se retenir de gémir réellement et le traiteur en l'entendant se tourne vers elle et la regarde. En le voyant se tourner, cela excite davantage encore Marie et ses mains deviennent de plus acive sur son sein et entre ses cuisses.
Cello se tourne alors vers le traiteur et dis :
« Quand je vous disais que c'était une vrai salope, elle ne pense plus qu'au sexe et à jouir ».
Lorsque Marie entends son maître parler ainsi au traiteur, elle jouie immédiatement et crie sa jouissance
« Oui ! Oh oui ! C'est bon ! Oui je suis une salope ! J'ai envie d'une bonne bite dans ma chatte, dans mon cul et du sperme plein la bouche ! Oh oui ! Oui ! Oui ! Oui ! »
Cello s'approche de Marie et la faisant se lever, il lui propose d'aller prendre l'air, alors qu'Hervé alerté par les cris de sa femme sort de son bureau, pour voir ce qui se passe.
Lorsque Marie sort de la pièce pour prendre l'air et reprendre ses esprits, Cello constate qu'une tache macule l'arrière de sa robe, propablement une tache de cyprine due à la jouissance de sa femelle. Il espère juste que la robe sèchera rapidement et que cela ne se verra pas lorsque les invités arriveront.
Marie explique alors à son amant que c'est en fantasmant sur le traiteur en l'imaginant sale, qu'elle a commencé à se caresser, se disant qu'il serait parfait pour une nouvelle humiliation ».
Cello rassure sa petite chienne, et lui promet qu'il saura l'humilier comme elle le mérite et mieux encore que l'artisant. Puis il laisse Marie seule dehors et retourne dans la maison.
Immédatement Hervé lui demande :« Qu'est ce qui s'est passé ? »
Cello : « Rien de grave, c'est Marie, qui s'est faite jouir. Elle a besoin de cela plusieurs fois par jour, pour se prouver qu'elle existe et que son corps est bien vivant ».
Hervé : « Mais tu te rends compte que ma famille va arriver dans quelques minutes et que cette chienne en chaleur, ne pense qu'à son cul ».
Cello : « Oui Hervé ! Elle pense plus qu'au sexe et à jouir, alors laisse la vivre sa vie comme elle l'entend, maintenant ce n'est plus ton problème, comme Marie n'est pratiqement plus ta femme, mais ma petite chienne ».
Le traiteur avant de prendre congé dit à Cello :
« Je repassserais ce soir, récuperer la vaisselle et les plats vides »
Cello : « Et moi demain dans la matinée, pour vous régler votre prestation ».
Il monte dans son fourgeon et quitte le lotissement. Cello rejoint Marie, elle a repris ses esprits et il constate que la tache sur sa robe ne se voit plus. Il l'invite à rentrer, sachant que les invités d'Hervé ne vont pas tarder.
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