Marie, ma nouvelle voisine - 39 - jeudi matin
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie, ma nouvelle voisine - 39 - jeudi matin
Le jeudi matin en se levant, comme à l'habitude Cello prépare le petit-déjeuner, ouvre les fenêtres et pense que dans quelques heures, il déposera Marie pour son stage de sans-abri. Souhaitant celle-ci soit en manque de sexe jusque-là, Marie qui est habituée à jouir plusieurs fois par jour, sera sevrée de sexe pour la journée.
Lorsque Marie apparaît nue dans la cuisine, elle embrasse son amant et maître, puis elle s'assied pour avaler un café. Elle a les cuisses ouvertes et se penche pour caresser son mentor sur le bermuda.
Cello : « Non Marie, pas maintenant ».
Marie est surprise, mais n'inste pas. Après la douche, il entraîne sa pute dans la pièce aménagée la veille, et en croisant Alban, qui prend son café, il lui dit :
« Quand tu auras fini ton petit-déjeuner, tu viendras nous rejoindre dans le bureau de Marie, s'il te plait ».
Marie suit Cello en pensant qu'il va lui montrer d'autres choses, qui sont dans la pièce. Aussi, c'est en confiance que la pute suit son amant. En arrivant dans la pièce, il ordonne à Marie de s'allonger sur le canapé-lit et d'écarter les bras et les jambes. Marie pense à un nouveau jeu prévu par Cello. C'est à ce moment, qu'Alban les rejoint et son patron lui demande d'attacher les chevilles de la belle aux pieds du lit afin qu'elle soit bien écartée. Pendant ce temps, il attache les poignets de Marie aux autres pieds du lit. Totalement offerte, et sans possibilité de bouger, il prend un drap et recouvre le corps de la belle jusqu'au cou, puis lui dit :
« Voila ma belle, dans cette position, tu ne peux pas t'exhiber, ni te caresser. Tu passeras ainsi la journée, privé de sexe, car je souhaite que tu soit en manque, pour ton stage auprès de Georges. Je passerais de temps en temps, voir si tout va bien, mais le mieux que tu as à faire, c'est de te reposer et même de dormir ».
Les deux hommes quittent la pièce et Cello éteint la lumière, laissant Marie dans l'obscurité totale.
Cello interpelle alors Sarah, qui boit une tasse :
« Sarah, ce matin c'est toi qui va me sucer, car Marie est privé de sexe pour la journée ».
Sarah s'accroupie entre les jambes de son patron, sort son sexe du bermuda et commence à donner des petits coups de langue sur la bite de son patron, puis elle passe sa langue sur la longueur du sexe avant de le prendre en bouche. Il profite de la posiiton de Sarah pour lui peloter les mamelles, étirant et pinçant les tétons de la jeune employée.
Lorsque Cello sent qu'il va jouir, il repousse la tête de la jeunette, et prend la tasse de café de Sarah pour jouir dans son café. Il fait s'asseoir la belle et lui dit :
« Bois ton café-crème Sarah ! »
La blondinette prend la tasse, mélange la boisson et avale le contenu de celle-ci, et remercie son maître, car elle a vraiment aimé le goût.
En milieu de matinée, Alban prépare Sarah pour la promener et Cello se rend dans le bureau, pour voir Marie. Elle a fini par s'assoupir et lorsque son maître allume la lumière, cela la réveille,
Cello : « Je te reveille ? Tout va bien? »Marie : « Oui je m'étais endormie. Non ! Ça ne pas pas, monsieur Cello, et comment je fais si j'ai envie de pisser ? »
Cello ; « Oh ! Ne t'inquiète pas, avec Alban, nous avons mis une bâche sur le matelas et une alèse par dessus, alors tu peux pisser si tu veux passer dans ton jus toute la journée. Mais rassure-toi la prochaine fois que tu seras dans la même position, ce sera pour être offerte pour jouir ou pour être cravacher, voir les deux en même temps ».
Cello éteint de nouveau la lumière et abandonne la pute, pour retourner à ses occupations.
Sarah prépare des pilons de poulet qu'elle met à mariner pour les cuire ce midi. Pendant ce temps Alban et Cello discute sur la terrasse en prenant un jus de fruit.
Vers midi, Sarah met la table en demandant si Marie va se joindre à eux. Son patron répond par la négative et alors qu'elle apporte 3 couverts sur la terrasse, Cello lui diit de ne mettre que 2 couverts et une gamelle par terre, car elle mangera comme une petite chienne. Sarah obéit et lorsque Alban apporte les pilons de poulet, les deux hommes s'asseois à table et Cello met un morceaux de poulet dans la gamelle prévue pour Sarah et lui ordonne de se mettre à 4 pattes et de manger comme une chienne, sans s'aider des pattes.
Sarah se sent humiliée de manger ainsi, sous les commentaires des deux hommes. A la fin du repas, c'est le visage souillée de graisse et de marinade que Sarah est autorisée à se lever pour débarrasser la table. Puis seulement après avoir fait son travail, qu'elle peut aller se laver.
En milieu d'après midi, Cello va retrouver Marie toujours attachée sur son lit. Celle-ci est réveillée et en voyant Cello, elle est très en colère contre son maître.
« Pourquoi me traitez-vous ainsi, alors que j'ai toujours fait ce que vous désiriez ? Je ne mérite pas d'être punie aujourd'hui sans motif. Je vous déteste ! ».
Cello : « Tu as fini ? Pour t'être mise en colère contre moi, tu sera sévèrement punie, mais nous en reparlerons plus tard, pour l'instant je vais te détacher, mais tu as interdiction de te caresser jusqu'à ce soir. Tu as bien compris ? »
Les larmes aux yeux Marie « Oui monsieur Cello. Je vous demande pardon ! »
Cello : « Mon pardon, tu l'auras plus tard, mais pour l'instant, je vais te libérer ».
En enlevant le drap qui la recouvre, il constate que Marie à pisser et qu'elle baigne dans son urine. Une fois détachée, Marie se lève et Cello lui dit :
« Tu as besoin d'une bonne douche, tu ne peux aller voir mon ami Georges dans cet état ».
Il l'accompagne jusqu'à la salle de bain, et lui annonce :
« Tu vas prendre ta douche sous le contrôle d'Alban, car je ne veux pas que tu en profites pour te branler et te faire jouir ».
Alban arrive vêtue simplement de son bermuda et il rentre dans la douche avec Marie. En voyant l'étonnement de sa pute, Cello lui dit :
« Tu te laves seule sous le regard d'Alban, mais c'est lui qui te lave la poitrine et les orifices, afin que tu n'y prennent pas de plaisir. Ensuite il restera à te surveiller pendant que tu te maquilles, te coiffes et te parfumes. Quand tu seras prète, il te ramenera jusqu'à la terrasse où je t'attendrai.
Alban laisse Marie faire son shampooing seule, puis elle se lave les pieds, les jambes, le dos et les épaules, puis le jeune homme intervient mettant du savon liquide dans ses mains, ils savonnent énergiquement la poitrine de Marie, puis il savonne ses doigts et pénétre le sexe de la belle avec 3 doigts et ensuite deux doigts dans son anus, mais il ne s'y attarde pas, pour ne pas lui donner de plaisir. Ils rincent la poitrine et les orifices en appliquant le jet sur les trous de la pute. Lorsque Marie est sèche et prête, il la conduit sur la terrasse et la laisse en compagnie de son patron.
Sarah arrive sur la terrasse avec l'imper de Marie et un sac en plastique rempli de vituailles. Elle précise qu'elle a mis un thermo de café, des sandwichs, des pilons de poulet et deux bouteilles de vins. Marie enfile son imper, prend le sac plastique et se dirige vers la porte en cmpagnie de Cello.
Lorsque Marie apparaît nue dans la cuisine, elle embrasse son amant et maître, puis elle s'assied pour avaler un café. Elle a les cuisses ouvertes et se penche pour caresser son mentor sur le bermuda.
Cello : « Non Marie, pas maintenant ».
Marie est surprise, mais n'inste pas. Après la douche, il entraîne sa pute dans la pièce aménagée la veille, et en croisant Alban, qui prend son café, il lui dit :
« Quand tu auras fini ton petit-déjeuner, tu viendras nous rejoindre dans le bureau de Marie, s'il te plait ».
Marie suit Cello en pensant qu'il va lui montrer d'autres choses, qui sont dans la pièce. Aussi, c'est en confiance que la pute suit son amant. En arrivant dans la pièce, il ordonne à Marie de s'allonger sur le canapé-lit et d'écarter les bras et les jambes. Marie pense à un nouveau jeu prévu par Cello. C'est à ce moment, qu'Alban les rejoint et son patron lui demande d'attacher les chevilles de la belle aux pieds du lit afin qu'elle soit bien écartée. Pendant ce temps, il attache les poignets de Marie aux autres pieds du lit. Totalement offerte, et sans possibilité de bouger, il prend un drap et recouvre le corps de la belle jusqu'au cou, puis lui dit :
« Voila ma belle, dans cette position, tu ne peux pas t'exhiber, ni te caresser. Tu passeras ainsi la journée, privé de sexe, car je souhaite que tu soit en manque, pour ton stage auprès de Georges. Je passerais de temps en temps, voir si tout va bien, mais le mieux que tu as à faire, c'est de te reposer et même de dormir ».
Les deux hommes quittent la pièce et Cello éteint la lumière, laissant Marie dans l'obscurité totale.
Cello interpelle alors Sarah, qui boit une tasse :
« Sarah, ce matin c'est toi qui va me sucer, car Marie est privé de sexe pour la journée ».
Sarah s'accroupie entre les jambes de son patron, sort son sexe du bermuda et commence à donner des petits coups de langue sur la bite de son patron, puis elle passe sa langue sur la longueur du sexe avant de le prendre en bouche. Il profite de la posiiton de Sarah pour lui peloter les mamelles, étirant et pinçant les tétons de la jeune employée.
Lorsque Cello sent qu'il va jouir, il repousse la tête de la jeunette, et prend la tasse de café de Sarah pour jouir dans son café. Il fait s'asseoir la belle et lui dit :
« Bois ton café-crème Sarah ! »
La blondinette prend la tasse, mélange la boisson et avale le contenu de celle-ci, et remercie son maître, car elle a vraiment aimé le goût.
En milieu de matinée, Alban prépare Sarah pour la promener et Cello se rend dans le bureau, pour voir Marie. Elle a fini par s'assoupir et lorsque son maître allume la lumière, cela la réveille,
Cello : « Je te reveille ? Tout va bien? »Marie : « Oui je m'étais endormie. Non ! Ça ne pas pas, monsieur Cello, et comment je fais si j'ai envie de pisser ? »
Cello ; « Oh ! Ne t'inquiète pas, avec Alban, nous avons mis une bâche sur le matelas et une alèse par dessus, alors tu peux pisser si tu veux passer dans ton jus toute la journée. Mais rassure-toi la prochaine fois que tu seras dans la même position, ce sera pour être offerte pour jouir ou pour être cravacher, voir les deux en même temps ».
Cello éteint de nouveau la lumière et abandonne la pute, pour retourner à ses occupations.
Sarah prépare des pilons de poulet qu'elle met à mariner pour les cuire ce midi. Pendant ce temps Alban et Cello discute sur la terrasse en prenant un jus de fruit.
Vers midi, Sarah met la table en demandant si Marie va se joindre à eux. Son patron répond par la négative et alors qu'elle apporte 3 couverts sur la terrasse, Cello lui diit de ne mettre que 2 couverts et une gamelle par terre, car elle mangera comme une petite chienne. Sarah obéit et lorsque Alban apporte les pilons de poulet, les deux hommes s'asseois à table et Cello met un morceaux de poulet dans la gamelle prévue pour Sarah et lui ordonne de se mettre à 4 pattes et de manger comme une chienne, sans s'aider des pattes.
Sarah se sent humiliée de manger ainsi, sous les commentaires des deux hommes. A la fin du repas, c'est le visage souillée de graisse et de marinade que Sarah est autorisée à se lever pour débarrasser la table. Puis seulement après avoir fait son travail, qu'elle peut aller se laver.
En milieu d'après midi, Cello va retrouver Marie toujours attachée sur son lit. Celle-ci est réveillée et en voyant Cello, elle est très en colère contre son maître.
« Pourquoi me traitez-vous ainsi, alors que j'ai toujours fait ce que vous désiriez ? Je ne mérite pas d'être punie aujourd'hui sans motif. Je vous déteste ! ».
Cello : « Tu as fini ? Pour t'être mise en colère contre moi, tu sera sévèrement punie, mais nous en reparlerons plus tard, pour l'instant je vais te détacher, mais tu as interdiction de te caresser jusqu'à ce soir. Tu as bien compris ? »
Les larmes aux yeux Marie « Oui monsieur Cello. Je vous demande pardon ! »
Cello : « Mon pardon, tu l'auras plus tard, mais pour l'instant, je vais te libérer ».
En enlevant le drap qui la recouvre, il constate que Marie à pisser et qu'elle baigne dans son urine. Une fois détachée, Marie se lève et Cello lui dit :
« Tu as besoin d'une bonne douche, tu ne peux aller voir mon ami Georges dans cet état ».
Il l'accompagne jusqu'à la salle de bain, et lui annonce :
« Tu vas prendre ta douche sous le contrôle d'Alban, car je ne veux pas que tu en profites pour te branler et te faire jouir ».
Alban arrive vêtue simplement de son bermuda et il rentre dans la douche avec Marie. En voyant l'étonnement de sa pute, Cello lui dit :
« Tu te laves seule sous le regard d'Alban, mais c'est lui qui te lave la poitrine et les orifices, afin que tu n'y prennent pas de plaisir. Ensuite il restera à te surveiller pendant que tu te maquilles, te coiffes et te parfumes. Quand tu seras prète, il te ramenera jusqu'à la terrasse où je t'attendrai.
Alban laisse Marie faire son shampooing seule, puis elle se lave les pieds, les jambes, le dos et les épaules, puis le jeune homme intervient mettant du savon liquide dans ses mains, ils savonnent énergiquement la poitrine de Marie, puis il savonne ses doigts et pénétre le sexe de la belle avec 3 doigts et ensuite deux doigts dans son anus, mais il ne s'y attarde pas, pour ne pas lui donner de plaisir. Ils rincent la poitrine et les orifices en appliquant le jet sur les trous de la pute. Lorsque Marie est sèche et prête, il la conduit sur la terrasse et la laisse en compagnie de son patron.
Sarah arrive sur la terrasse avec l'imper de Marie et un sac en plastique rempli de vituailles. Elle précise qu'elle a mis un thermo de café, des sandwichs, des pilons de poulet et deux bouteilles de vins. Marie enfile son imper, prend le sac plastique et se dirige vers la porte en cmpagnie de Cello.
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