Mon premier voyage de femme « libre »… 18° partie
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2019 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier voyage de femme « libre »… 18° partie
Avant de vous faire lire la suite de mon histoire, je tiens à vous informer qu'un lecteur a trouvé mon histoire sur un autre site qui porte le nom d'un petit animal de compagnie que l'on garde le plus souvent en cage. Je ne suis pas à l'origine de cette publication. Je ne publie mes histoires que sur HDS. Le site en question vole les contenus des autres sites pour se les approprier afin de générer du trafic et s'enrichir. Je n'ai donc rien à voir avec la Patricia qui s'attribue les mérites de mon récit.
Suite de mon histoire....
La conduite de Jeff était fluide. Il se dirigeait sans hésitation dans les rues parisiennes. Quand je lui ai demandé comment il faisait pour être aussi à l’aise, il m’expliqua qu’il avait vécu dix ans à Paris avant de descendre à Montpellier pour prendre la direction de la concession.
Je dus m’assoupir quelques instants. Ce fut la main de Jeff sur le haut de ma cuisse qui me réveilla. Sa main était douce. Je le laissais faire. Je m’abandonnais, les yeux fermés. Ma robe était retroussée. Ses doigts me fouillaient. La voiture s’arrêta. Sûrement un feu tricolore. Alors que j’ouvrais les yeux, je m’aperçus que la voiture était arrêtée le long d’un car rempli de touristes japonais très intéressés par la scène qui se déroulait dans la voiture.
J’avertis Jeff calmement. Il me répondit que cela ne pouvait que faire du bien à ces asiatiques à la recherche de spécialités françaises. Je gardais les yeux entrouverts. Je voyais les flashs des appareils photos qui crépitaient au-dessus de moi. J’allais devenir une star internationale.
Jeff me complimenta. Quand la voiture redémarra, il ajouta qu’il était fier de moi et que je l’avais excité de m’exhiber ainsi devant ces touristes en toute impudeur.
Il me demanda d’ouvrir la boite à gants. Un paquet m’attendait. Il me dit de l’ouvrir. Je découvris un plug en plaqué or, ainsi qu’un œuf vibrant. Il me demanda de mettre les deux, ce que je fis sans hésiter. Je voulais que Jeff soit satisfait de son Éva. Il me le rendait si bien.
Les vibrations soudaines dans mon vagin me firent comprendre que la télécommande devait être dans la poche de mon amant. Au feu suivant, il prit de nouvelles photos. Pour Paul précisa-t-il avec un clin d’œil complice.
Que pensera-t-il de sa dévergondée ? Moi qui restais une épouse plutôt classique.
Les vibrations s’arrêtèrent. Nous étions arrivés à l’hôtel. Le voiturier vint m’ouvrir la portière si rapidement que je n’eus pas le temps de rabattre ma robe. De plus, il ne m’était pas facile de descendre du SUV. Le coquin me tint le bras avec un sourire ravi.
Jeff n’avait rien manqué de ma mésaventure. Il était tout souriant. Il me prit la taille pour m’accompagner au restaurant du Lutécia.
La salle n’était pas pleine. Le maître d’hôtel nous accompagna à une table ronde. Jeff rapprocha sa chaise de la mienne pour être plus près de moi.
Il commanda du champagne. Je lui demandais alors pourquoi nous n’avions pas été directement dans la chambre pour profit du room service tranquille ?
Il mit sa main sur ma cuisse et remonta jusqu’à ma vulve. J’étais tétanisée. Ses doigts m’électrisaient. L’œuf vibrant se mit aussitôt en route. Je serrais mes cuisses. Je fermais les yeux. J’étais perdue. Les vibrations passaient de l’œuf au plug. Mes orifices me trahissaient. Les vibrations montaient par vagues dans tout le corps. Les jouets de Jeff étaient diaboliques.
C’est le maître d’hôtel qui me sortit de ma torpeur. « Tout va bien madame ? »Je bafouillais une réponse inintelligible et demandais à Jeff de commander pour moi. J’étais emportée à mille lieux de là….
Jeff acquiesça en souriant et nous commanda un repas léger à base de poisson ai-je cru comprendre….
Jeff reposa sa main sur ma cuisse et arrêta la télécommande pour que je puisse souffler. A mon tour, je mis ma main sur sa cuisse pour constater l’état de mon bel étalon. Il était gonflé à bloc. Je le regardais avec un large sourire, satisfaite de mon effet, et en pensant à ce que mon amant allait pouvoir me faire dès que nous serions dans la chambre.
Je lui posais la question. Il me sourit sans me répondre. A quoi pensait-il donc ? Je commençais à m’inquiéter. Dans quel piège m’avait-il attiré ?
Je revins à moi au moment où nos plats arrivèrent. Le dressage était superbe et le fumet… Hummm. Quel plaisir quand on a un peu d’argent, cela change beaucoup de choses. Il est vrai que je commençais à fortement apprécier mon rôle de femme coquine. Il y avait beaucoup d’avantages.
J’allais remercier mon bienfaiteur quand je sentis à nouveau les vibrations dans mon bassin… Jeff me regarda d’un air coquin et me murmura à l’oreille : « Ne bouge pas. Regarde-moi. Ne tourne pas la tête. Il y a un homme qui semble t’apprécier sur la table de droite. Tu regarderas dans quelques instants. Je te souhaite un bon appétit. »
Je ne comprenais pas bien ce que voulait dire Jeff. J’attendis quelques instants afin de déguster tranquillement mon poisson avant de tourner négligemment la tête sur la droite. Effectivement, un homme brun d’une cinquantaine d’année me regardait. C’est quand je pris conscience que Jeff avait relevé ma robe plus que de raison que je compris l’intérêt de notre voisin.
Par réflexe, j’allais tirer sur le bas de la robe, quand je sentis la main de Jeff m’en empêcher. « Tss, tss, … Reste comme cela. Cet homme profite d’un instant magique. Laisse-le. Il rêvera de toi cette nuit et grâce à toi, il passera une nuit agréable. »
C’était un point de vue… Je ne pouvais qu’accepter la demande de Jeff. Sentant ma soumission, mon amant écarta davantage mes cuisses pour que le regard du voyeur puisse atteindre mon intimité dénudée…
Me laissant aller, je décidai de jouer le jeu de Jeff et de terminer mon délicieux repas avec appétit.
Le repas terminé, je me sentais un peu grisée par le champagne. Je dis à Jeff, qu’après cette excellente journée, j’aimerais me poser un peu dans notre chambre. Mon amant répondit favorablement à ma demande, mais avant de partir, il me demanda de laisser tomber négligemment ma serviette et de faire en sorte d’écarter mes cuisses au maximum pour offrir un dernier point de vue à notre voisin. Je n’étais pas très à l’aise. Paul, d’ailleurs, me reprochait de ne pas me dénuder davantage dans la rue, mais je ne pouvais pas refuser à Jeff si cela lui faisait plaisir. Jeff avait son téléphone à la main. Je compris qu’il allait filmer mon exhibition. Je jouais, je surjouais mon rôle de coquine pour notre voisin. J’ai cru que ce dernier allait s’étrangler devant mon audace.
Jeff me remercia, m’embrassa et tira ma chaise pour que je puisse me lever. Le coquin en profita pour palper mes fesses en remontant le bas de ma robe.
Enfin, nous voilà dans l’ascenseur qui nous menait à notre chambre. J’étais épuisée. J’avais besoin d’un double café et d’une bonne douche réparatrice avant de m’occuper de Jeff dont je n’avais pas encore reçu les faveurs aujourd’hui.
Nous étions seuls dans l’ascenseur. Mon amant en profita pour faire vibrer mon œuf au maximum. Je ne tenais plus sur mes jambes. Il remonta ma robe et prit quelques photos. Je jouis juste avant d’arriver à notre étage. Jeff arrêta la télécommande et me plaqua contre le mur du couloir pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentais son sexe en érection contre mon ventre.
Il me tendit la clé de la chambre et me demanda d’y aller en relevant ma robe jusqu’à la porte. Il restait derrière moi pour me filmer à moitié nue. Une porte pouvait s’ouvrir à n’importe quel moment. J’hâtais le pas. Enfin, la porte, le lit…J’enlevais ma robe Kenzo que je pliais délicatement sur une chaise.
Jeff me commanda un café pendant que je faisais couler l’eau du bain. Il donna ma robe au garçon d’étage pour un nettoyage au laundry service.
Tandis que je me penchais sur la baignoire pour tester la température de l’eau, Jeff vint derrière moi pour jouer avec le plug qui était toujours dans mon derrière. Il me le donna à lécher. Il était recouvert de sperme. Un souvenir des mécaniciens. L’odeur étant mélangée à celle de mes intestins. Je voyais que Jeff me regardait. Cela l’excitait. Je me prenais au jeu. Je léchais attentivement le bijou, puis Jeff me le reprit pour le replacer dans mon cul.
Je me glissais dans l’eau chaude. J’étais bien. J’avais besoin de ces quelques minutes de détente avant de prendre une bonne douche fraiche et un bon café pour être à nouveau d’attaque.
Jeff restait près de moi. Il me caressait. J’adorais sa tendresse. Il était attentionné. Il était mon ange gardien. C’était lui qui avait initié mon week-end de femme libre. Je ne pourrais jamais le remercier comme il le mérite. J’étais prête à tout pour lui faire plaisir, pour lui donner du plaisir.
Il m’apporta mon café que je bus lentement. C’était une merveille de Blue Mountain. Quel délice !
Comme je me levais, mon amant me tendit la main pour m’aider. Je réglais la température de la douche et m’arrosais le corps d’une eau fraiche et revigorante. Enfin, Jeff me tendit un peignoir et m’aida à l’enfiler.
Il se déshabilla et se doucha. Je m’appliquais à le savonner. J’insistais sur son membre gonflé de désir et j’infiltrais mon majeur, enduit de savon, dans son anus. Cette caresse eût l’air de lui plaire. Il se contorsionna sous celle–ci avec un grand sourire de satisfaction. Il se rinça.
A mon tour, je lui fis passer un peignoir.
Serrés l’un contre l’autre nous nous dirigeâmes vers le lit.
Jeff s’assit sur le bord du lit. J’écartais les pans du peignoir pour extirper son sexe dressé. Sa queue était grosse et aussi dure qu’un gode. Enfin. Je pouvais m’en occuper. Je pouvais l’aimer. Je pouvais le gober, le lécher, l’avaler au plus profond de ma gorge. Mon plaisir était le total lâcher-prise de Jeff qui me laissait en tête à tête avec sa queue.
Quelques gouttes de liquide perlaient au bord de son méat. Je m’en régalais. Je pénétrais son anus à nouveau après l’avoir léché. Jeff gémissait de plaisir. Il était au bord de la jouissance. Je voulais le boire, là, maintenant.
Jeff devait avoir une autre idée. Il me repoussa et me fit mettre à quatre pattes à même ma moquette. Il se mit derrière moi et me pénétra lentement et pleinement. J’avais oublié que mon œuf était encore en moi, mais pas Jeff apparemment qui se plaisait à cohabiter avec l’intrus.
J’étais remplie, comme si deux sexes étaient en moi. Que dis-je, trois, en comptant le bijou anal. C’était trop. Jeff savait jouer de mon corps et me donner un plaisir intense et total. Je jouis très vite. Ma jouissance était profonde, sourde et totale. Une vague, un tsunami m’emporta.
Jeff n’avait pas fini. Il me fit pivoter pour que je puisse mettre mon buste sur le lit. Il me caressa le dos. Je pouvais sentir son sexe toujours raide contre mes fesses. Je lui ai murmuré : « viens. Encule-moi. Maintenant !! S’il te plait. »Il enleva le plug qu’il me redonna à lécher, puis positionna son gland devant mon anneau pour me sodomiser. Le plug avait bien préparé mon anus. Jeff pénétra facilement. Son sexe me paraissait pourtant énorme. Il attendit un peu avant de bouger et… de déclencher la télécommande de l’œuf toujours dans mon vagin.
Progressivement, Jeff augmenta la cadence de ses va et vient. Les coups de boutoir et les vibrations de l’œuf me provoquaient des ondes de plaisir qui me traversaient le corps. J’étais perdue. Je secouais la tête de part et d’autre. Je criais, je pleurais, je gémissais, je jouissais comme une démente quand je sentis Jeff qui me lâchait plusieurs jets de sperme dans mes intestins dans un cri primal indicible…
Mon amant s’écroula sur moi, épuisé. Il resta ainsi un moment, son sexe toujours dans mon cul. L’œuf continuait de vibrer. Tandis que j’allais proposer à Jeff de l’arrêter, je sentis que les vibrations de l’objet avaient redonné vie à mon homme. Je sentis son sexe reprendre de la vigueur. Étonné par l’érection, Jeff recommença quelques mouvements, comme pour la tester. Satisfait, il sortit sa queue de mes fesses pour s’allonger sur le lit.
Voyant l’objet de mon désir si près de mon visage, je le pris à nouveau en bouche. Jeff apprécia si bien ma caresse buccale qu’il s’activa. Sa queue rentrait et sortait de ma bouche. Il baisait littéralement ma bouche. Excité par cette position, il jouit rapidement dans ma bouche. Je le gardais un moment, puis je m’appliquais à sucer, lécher, boire, les dernières gouttes qu’il m’offrait.
Épuisés, nous nous endormîmes sur place.
Réveillée par une envie d’aller aux toilettes, je retrouvais jeff, dans le lit, toujours endormi. Qu’il était beau. C’était un bel homme. Bien fait et bien proportionné.
Il devait faire un rêve érotique. Peut-être se repassait-il toutes les images excitantes de la veille ? Et, il y en avait eu. Son sexe était en érection.
Je m’allongeais contre lui, de façon à avoir ma bouche à la hauteur de son gland et je le pris en bouche, sans bouger, comme si je suçais mon pouce.
Peu après, je sentis son gland gonfler, son sexe légèrement bouger. Son rêve devenait humide. Jeff commença à bouger son bassin, et progressivement sa queue me remplit la bouche. Endormi ou pas, il me baisait à nouveau la bouche. Rapidement, je sentis son gland se gonfler, puis des jets de sperme giclèrent au fond de ma gorge. J’avalais avec gourmandise le sperme de mon amant qui ne bougeait pas. Il dormait. Sa jouissance ne l’avait pas réveillé. C’est la première fois que j’avais le privilège de vivre cet instant exceptionnel.
Je restais ainsi, la queue de Jeff dans ma bouche et me rendormit, la tête contre son ventre.
Suite de mon histoire....
La conduite de Jeff était fluide. Il se dirigeait sans hésitation dans les rues parisiennes. Quand je lui ai demandé comment il faisait pour être aussi à l’aise, il m’expliqua qu’il avait vécu dix ans à Paris avant de descendre à Montpellier pour prendre la direction de la concession.
Je dus m’assoupir quelques instants. Ce fut la main de Jeff sur le haut de ma cuisse qui me réveilla. Sa main était douce. Je le laissais faire. Je m’abandonnais, les yeux fermés. Ma robe était retroussée. Ses doigts me fouillaient. La voiture s’arrêta. Sûrement un feu tricolore. Alors que j’ouvrais les yeux, je m’aperçus que la voiture était arrêtée le long d’un car rempli de touristes japonais très intéressés par la scène qui se déroulait dans la voiture.
J’avertis Jeff calmement. Il me répondit que cela ne pouvait que faire du bien à ces asiatiques à la recherche de spécialités françaises. Je gardais les yeux entrouverts. Je voyais les flashs des appareils photos qui crépitaient au-dessus de moi. J’allais devenir une star internationale.
Jeff me complimenta. Quand la voiture redémarra, il ajouta qu’il était fier de moi et que je l’avais excité de m’exhiber ainsi devant ces touristes en toute impudeur.
Il me demanda d’ouvrir la boite à gants. Un paquet m’attendait. Il me dit de l’ouvrir. Je découvris un plug en plaqué or, ainsi qu’un œuf vibrant. Il me demanda de mettre les deux, ce que je fis sans hésiter. Je voulais que Jeff soit satisfait de son Éva. Il me le rendait si bien.
Les vibrations soudaines dans mon vagin me firent comprendre que la télécommande devait être dans la poche de mon amant. Au feu suivant, il prit de nouvelles photos. Pour Paul précisa-t-il avec un clin d’œil complice.
Que pensera-t-il de sa dévergondée ? Moi qui restais une épouse plutôt classique.
Les vibrations s’arrêtèrent. Nous étions arrivés à l’hôtel. Le voiturier vint m’ouvrir la portière si rapidement que je n’eus pas le temps de rabattre ma robe. De plus, il ne m’était pas facile de descendre du SUV. Le coquin me tint le bras avec un sourire ravi.
Jeff n’avait rien manqué de ma mésaventure. Il était tout souriant. Il me prit la taille pour m’accompagner au restaurant du Lutécia.
La salle n’était pas pleine. Le maître d’hôtel nous accompagna à une table ronde. Jeff rapprocha sa chaise de la mienne pour être plus près de moi.
Il commanda du champagne. Je lui demandais alors pourquoi nous n’avions pas été directement dans la chambre pour profit du room service tranquille ?
Il mit sa main sur ma cuisse et remonta jusqu’à ma vulve. J’étais tétanisée. Ses doigts m’électrisaient. L’œuf vibrant se mit aussitôt en route. Je serrais mes cuisses. Je fermais les yeux. J’étais perdue. Les vibrations passaient de l’œuf au plug. Mes orifices me trahissaient. Les vibrations montaient par vagues dans tout le corps. Les jouets de Jeff étaient diaboliques.
C’est le maître d’hôtel qui me sortit de ma torpeur. « Tout va bien madame ? »Je bafouillais une réponse inintelligible et demandais à Jeff de commander pour moi. J’étais emportée à mille lieux de là….
Jeff acquiesça en souriant et nous commanda un repas léger à base de poisson ai-je cru comprendre….
Jeff reposa sa main sur ma cuisse et arrêta la télécommande pour que je puisse souffler. A mon tour, je mis ma main sur sa cuisse pour constater l’état de mon bel étalon. Il était gonflé à bloc. Je le regardais avec un large sourire, satisfaite de mon effet, et en pensant à ce que mon amant allait pouvoir me faire dès que nous serions dans la chambre.
Je lui posais la question. Il me sourit sans me répondre. A quoi pensait-il donc ? Je commençais à m’inquiéter. Dans quel piège m’avait-il attiré ?
Je revins à moi au moment où nos plats arrivèrent. Le dressage était superbe et le fumet… Hummm. Quel plaisir quand on a un peu d’argent, cela change beaucoup de choses. Il est vrai que je commençais à fortement apprécier mon rôle de femme coquine. Il y avait beaucoup d’avantages.
J’allais remercier mon bienfaiteur quand je sentis à nouveau les vibrations dans mon bassin… Jeff me regarda d’un air coquin et me murmura à l’oreille : « Ne bouge pas. Regarde-moi. Ne tourne pas la tête. Il y a un homme qui semble t’apprécier sur la table de droite. Tu regarderas dans quelques instants. Je te souhaite un bon appétit. »
Je ne comprenais pas bien ce que voulait dire Jeff. J’attendis quelques instants afin de déguster tranquillement mon poisson avant de tourner négligemment la tête sur la droite. Effectivement, un homme brun d’une cinquantaine d’année me regardait. C’est quand je pris conscience que Jeff avait relevé ma robe plus que de raison que je compris l’intérêt de notre voisin.
Par réflexe, j’allais tirer sur le bas de la robe, quand je sentis la main de Jeff m’en empêcher. « Tss, tss, … Reste comme cela. Cet homme profite d’un instant magique. Laisse-le. Il rêvera de toi cette nuit et grâce à toi, il passera une nuit agréable. »
C’était un point de vue… Je ne pouvais qu’accepter la demande de Jeff. Sentant ma soumission, mon amant écarta davantage mes cuisses pour que le regard du voyeur puisse atteindre mon intimité dénudée…
Me laissant aller, je décidai de jouer le jeu de Jeff et de terminer mon délicieux repas avec appétit.
Le repas terminé, je me sentais un peu grisée par le champagne. Je dis à Jeff, qu’après cette excellente journée, j’aimerais me poser un peu dans notre chambre. Mon amant répondit favorablement à ma demande, mais avant de partir, il me demanda de laisser tomber négligemment ma serviette et de faire en sorte d’écarter mes cuisses au maximum pour offrir un dernier point de vue à notre voisin. Je n’étais pas très à l’aise. Paul, d’ailleurs, me reprochait de ne pas me dénuder davantage dans la rue, mais je ne pouvais pas refuser à Jeff si cela lui faisait plaisir. Jeff avait son téléphone à la main. Je compris qu’il allait filmer mon exhibition. Je jouais, je surjouais mon rôle de coquine pour notre voisin. J’ai cru que ce dernier allait s’étrangler devant mon audace.
Jeff me remercia, m’embrassa et tira ma chaise pour que je puisse me lever. Le coquin en profita pour palper mes fesses en remontant le bas de ma robe.
Enfin, nous voilà dans l’ascenseur qui nous menait à notre chambre. J’étais épuisée. J’avais besoin d’un double café et d’une bonne douche réparatrice avant de m’occuper de Jeff dont je n’avais pas encore reçu les faveurs aujourd’hui.
Nous étions seuls dans l’ascenseur. Mon amant en profita pour faire vibrer mon œuf au maximum. Je ne tenais plus sur mes jambes. Il remonta ma robe et prit quelques photos. Je jouis juste avant d’arriver à notre étage. Jeff arrêta la télécommande et me plaqua contre le mur du couloir pour m’embrasser à pleine bouche. Je sentais son sexe en érection contre mon ventre.
Il me tendit la clé de la chambre et me demanda d’y aller en relevant ma robe jusqu’à la porte. Il restait derrière moi pour me filmer à moitié nue. Une porte pouvait s’ouvrir à n’importe quel moment. J’hâtais le pas. Enfin, la porte, le lit…J’enlevais ma robe Kenzo que je pliais délicatement sur une chaise.
Jeff me commanda un café pendant que je faisais couler l’eau du bain. Il donna ma robe au garçon d’étage pour un nettoyage au laundry service.
Tandis que je me penchais sur la baignoire pour tester la température de l’eau, Jeff vint derrière moi pour jouer avec le plug qui était toujours dans mon derrière. Il me le donna à lécher. Il était recouvert de sperme. Un souvenir des mécaniciens. L’odeur étant mélangée à celle de mes intestins. Je voyais que Jeff me regardait. Cela l’excitait. Je me prenais au jeu. Je léchais attentivement le bijou, puis Jeff me le reprit pour le replacer dans mon cul.
Je me glissais dans l’eau chaude. J’étais bien. J’avais besoin de ces quelques minutes de détente avant de prendre une bonne douche fraiche et un bon café pour être à nouveau d’attaque.
Jeff restait près de moi. Il me caressait. J’adorais sa tendresse. Il était attentionné. Il était mon ange gardien. C’était lui qui avait initié mon week-end de femme libre. Je ne pourrais jamais le remercier comme il le mérite. J’étais prête à tout pour lui faire plaisir, pour lui donner du plaisir.
Il m’apporta mon café que je bus lentement. C’était une merveille de Blue Mountain. Quel délice !
Comme je me levais, mon amant me tendit la main pour m’aider. Je réglais la température de la douche et m’arrosais le corps d’une eau fraiche et revigorante. Enfin, Jeff me tendit un peignoir et m’aida à l’enfiler.
Il se déshabilla et se doucha. Je m’appliquais à le savonner. J’insistais sur son membre gonflé de désir et j’infiltrais mon majeur, enduit de savon, dans son anus. Cette caresse eût l’air de lui plaire. Il se contorsionna sous celle–ci avec un grand sourire de satisfaction. Il se rinça.
A mon tour, je lui fis passer un peignoir.
Serrés l’un contre l’autre nous nous dirigeâmes vers le lit.
Jeff s’assit sur le bord du lit. J’écartais les pans du peignoir pour extirper son sexe dressé. Sa queue était grosse et aussi dure qu’un gode. Enfin. Je pouvais m’en occuper. Je pouvais l’aimer. Je pouvais le gober, le lécher, l’avaler au plus profond de ma gorge. Mon plaisir était le total lâcher-prise de Jeff qui me laissait en tête à tête avec sa queue.
Quelques gouttes de liquide perlaient au bord de son méat. Je m’en régalais. Je pénétrais son anus à nouveau après l’avoir léché. Jeff gémissait de plaisir. Il était au bord de la jouissance. Je voulais le boire, là, maintenant.
Jeff devait avoir une autre idée. Il me repoussa et me fit mettre à quatre pattes à même ma moquette. Il se mit derrière moi et me pénétra lentement et pleinement. J’avais oublié que mon œuf était encore en moi, mais pas Jeff apparemment qui se plaisait à cohabiter avec l’intrus.
J’étais remplie, comme si deux sexes étaient en moi. Que dis-je, trois, en comptant le bijou anal. C’était trop. Jeff savait jouer de mon corps et me donner un plaisir intense et total. Je jouis très vite. Ma jouissance était profonde, sourde et totale. Une vague, un tsunami m’emporta.
Jeff n’avait pas fini. Il me fit pivoter pour que je puisse mettre mon buste sur le lit. Il me caressa le dos. Je pouvais sentir son sexe toujours raide contre mes fesses. Je lui ai murmuré : « viens. Encule-moi. Maintenant !! S’il te plait. »Il enleva le plug qu’il me redonna à lécher, puis positionna son gland devant mon anneau pour me sodomiser. Le plug avait bien préparé mon anus. Jeff pénétra facilement. Son sexe me paraissait pourtant énorme. Il attendit un peu avant de bouger et… de déclencher la télécommande de l’œuf toujours dans mon vagin.
Progressivement, Jeff augmenta la cadence de ses va et vient. Les coups de boutoir et les vibrations de l’œuf me provoquaient des ondes de plaisir qui me traversaient le corps. J’étais perdue. Je secouais la tête de part et d’autre. Je criais, je pleurais, je gémissais, je jouissais comme une démente quand je sentis Jeff qui me lâchait plusieurs jets de sperme dans mes intestins dans un cri primal indicible…
Mon amant s’écroula sur moi, épuisé. Il resta ainsi un moment, son sexe toujours dans mon cul. L’œuf continuait de vibrer. Tandis que j’allais proposer à Jeff de l’arrêter, je sentis que les vibrations de l’objet avaient redonné vie à mon homme. Je sentis son sexe reprendre de la vigueur. Étonné par l’érection, Jeff recommença quelques mouvements, comme pour la tester. Satisfait, il sortit sa queue de mes fesses pour s’allonger sur le lit.
Voyant l’objet de mon désir si près de mon visage, je le pris à nouveau en bouche. Jeff apprécia si bien ma caresse buccale qu’il s’activa. Sa queue rentrait et sortait de ma bouche. Il baisait littéralement ma bouche. Excité par cette position, il jouit rapidement dans ma bouche. Je le gardais un moment, puis je m’appliquais à sucer, lécher, boire, les dernières gouttes qu’il m’offrait.
Épuisés, nous nous endormîmes sur place.
Réveillée par une envie d’aller aux toilettes, je retrouvais jeff, dans le lit, toujours endormi. Qu’il était beau. C’était un bel homme. Bien fait et bien proportionné.
Il devait faire un rêve érotique. Peut-être se repassait-il toutes les images excitantes de la veille ? Et, il y en avait eu. Son sexe était en érection.
Je m’allongeais contre lui, de façon à avoir ma bouche à la hauteur de son gland et je le pris en bouche, sans bouger, comme si je suçais mon pouce.
Peu après, je sentis son gland gonfler, son sexe légèrement bouger. Son rêve devenait humide. Jeff commença à bouger son bassin, et progressivement sa queue me remplit la bouche. Endormi ou pas, il me baisait à nouveau la bouche. Rapidement, je sentis son gland se gonfler, puis des jets de sperme giclèrent au fond de ma gorge. J’avalais avec gourmandise le sperme de mon amant qui ne bougeait pas. Il dormait. Sa jouissance ne l’avait pas réveillé. C’est la première fois que j’avais le privilège de vivre cet instant exceptionnel.
Je restais ainsi, la queue de Jeff dans ma bouche et me rendormit, la tête contre son ventre.
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