Mon premier voyage de femme « libre »… 3° partie
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2019 dans la catégorie Plus on est
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Mon premier voyage de femme « libre »… 3° partie
Je me suis levée pour aller aux toilettes. En passant devant lui, il m'a bloquée quelques secondes. j'ai senti ses mains me remonter la jupe pour mettre mes fesses à l'air. Il m'a caressé mon derrière. Je me suis laissée faire. Je me suis même cambrée en écartant les jambes, pour lui offrir mon postérieur.
Il a apprécié. Il m'a encore gardée en prenant un malin plaisir pour me fouiller entre les cuisses… J'ai cru qu'il allait me baiser là. Mes jambes commençaient à flageoler. Mais non. J'ai senti ses mains rabattre ma jupe, non sans m'avoir auparavant embrassé langoureusement les fesses.
Quand je suis revenue à ma place, mon prince charmant avait disparu !
Je me suis lovée dans mon fauteuil, j'ai fermé les yeux pour repenser à ma dernière folie et je me suis sentie m'endormir, un doux sourire aux lèvres.
Le retour de mon voisin m'a sortie de mon sommeil.
Il m'a demandée de l'excuser de m'avoir réveillé tout d'abord, ensuite de m'avoir abandonné quelques instants.
Pour reprendre des forces, il était parti prendre un café au bar et là, il avait rencontré un de ses amis, patron de garage comme lui. Et ils avaient parlé affaires avant d'aller à la convention annuelle des concessionnaires BMW qui avait lieu le lendemain à Paris dans un contexte économique difficile. C'est ainsi que j'appris que mon voisin était "garagiste"!!! Il possédait le garage BMW de Montpellier.
Nous avons profité de la fin du voyage pour mieux nous connaître.
Arrivés à Paris, il me demanda où j'allais. Je lui répondis que mon fils me prêtait son appartement et que j'allais m'y rendre. Là, il me prit dans ses bras avec son plus beau sourire. Éva, on ne va pas se quitter comme ça. Je te propose de m'accompagner à mon hôtel. Nous passerons une nuit d'exception tous les deux. Je te le promets et demain, sera un autre jour. Je n'ai pas répondu, mais je suis restée à son bras et nous nous sommes dirigés vers les taxis. En attendant notre tour, j’envoie un texto à Paul, comme convenu :« tout va bien. J’ai déjà des choses à te raconter. Je t’aime fort. »Soudain, un homme est venu taper sur l'épaule de mon compagnon. "Jeff, à quel hôtel passes-tu la nuit ?""Au Lutetia, pourquoi ?""Moi, aussi, on prend un taxi ensemble ?"J'ai senti Jeff hésiter, et puis :"Si tu veux, mais il va falloir se serrer, car Éva est avec moi !""Pas de soucis, une si charmante compagnie…"Je me suis sentie devenir écarlate.
"Enchantée Éva, je me présente, Je m'appelle Antoine, et je suis de Nîmes."Lorsque notre taxi s'est présenté, Jeff m'a ouvert la porte, je me suis assise tant bien que mal avec ma jupette, Jeff s'est assis à côté de moi et Antoine a fait le tour du véhicule pour venir à ma gauche.
Pendant le trajet, Jeff parlait avec Antoine, et je me laissais bercer par le bruit du moteur. Jeff avait posé sa main chaude sur ma cuisse. Je n'ai pas fait tout de suite attention, mais j'ai senti que sa main commençait à remonter ma jupe en parlant … Je me suis crispée, mais que faire… Et puis, je ne connaissais personne. Je sentais son pouce qui me caressait la peau en haut de mon bas. J'étais grisée car je repensais à ce que je venais de vivre et mon désir recommençait à pointer.
C'est à ce moment là que j'ai senti une autre main se poser sur ma cuisse gauche. Oh les coquins !!!
Il a apprécié. Il m'a encore gardée en prenant un malin plaisir pour me fouiller entre les cuisses… J'ai cru qu'il allait me baiser là. Mes jambes commençaient à flageoler. Mais non. J'ai senti ses mains rabattre ma jupe, non sans m'avoir auparavant embrassé langoureusement les fesses.
Quand je suis revenue à ma place, mon prince charmant avait disparu !
Je me suis lovée dans mon fauteuil, j'ai fermé les yeux pour repenser à ma dernière folie et je me suis sentie m'endormir, un doux sourire aux lèvres.
Le retour de mon voisin m'a sortie de mon sommeil.
Il m'a demandée de l'excuser de m'avoir réveillé tout d'abord, ensuite de m'avoir abandonné quelques instants.
Pour reprendre des forces, il était parti prendre un café au bar et là, il avait rencontré un de ses amis, patron de garage comme lui. Et ils avaient parlé affaires avant d'aller à la convention annuelle des concessionnaires BMW qui avait lieu le lendemain à Paris dans un contexte économique difficile. C'est ainsi que j'appris que mon voisin était "garagiste"!!! Il possédait le garage BMW de Montpellier.
Nous avons profité de la fin du voyage pour mieux nous connaître.
Arrivés à Paris, il me demanda où j'allais. Je lui répondis que mon fils me prêtait son appartement et que j'allais m'y rendre. Là, il me prit dans ses bras avec son plus beau sourire. Éva, on ne va pas se quitter comme ça. Je te propose de m'accompagner à mon hôtel. Nous passerons une nuit d'exception tous les deux. Je te le promets et demain, sera un autre jour. Je n'ai pas répondu, mais je suis restée à son bras et nous nous sommes dirigés vers les taxis. En attendant notre tour, j’envoie un texto à Paul, comme convenu :« tout va bien. J’ai déjà des choses à te raconter. Je t’aime fort. »Soudain, un homme est venu taper sur l'épaule de mon compagnon. "Jeff, à quel hôtel passes-tu la nuit ?""Au Lutetia, pourquoi ?""Moi, aussi, on prend un taxi ensemble ?"J'ai senti Jeff hésiter, et puis :"Si tu veux, mais il va falloir se serrer, car Éva est avec moi !""Pas de soucis, une si charmante compagnie…"Je me suis sentie devenir écarlate.
"Enchantée Éva, je me présente, Je m'appelle Antoine, et je suis de Nîmes."Lorsque notre taxi s'est présenté, Jeff m'a ouvert la porte, je me suis assise tant bien que mal avec ma jupette, Jeff s'est assis à côté de moi et Antoine a fait le tour du véhicule pour venir à ma gauche.
Pendant le trajet, Jeff parlait avec Antoine, et je me laissais bercer par le bruit du moteur. Jeff avait posé sa main chaude sur ma cuisse. Je n'ai pas fait tout de suite attention, mais j'ai senti que sa main commençait à remonter ma jupe en parlant … Je me suis crispée, mais que faire… Et puis, je ne connaissais personne. Je sentais son pouce qui me caressait la peau en haut de mon bas. J'étais grisée car je repensais à ce que je venais de vivre et mon désir recommençait à pointer.
C'est à ce moment là que j'ai senti une autre main se poser sur ma cuisse gauche. Oh les coquins !!!
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