Mon premier voyage de femme « libre »… 5° partie - histoire érotique

Antoine descend ses mains le long de mes hanches pour atteindre mes cuisses gainées de mes dim-up.
Ses mains remontent alors sous ma jupe pour venir caresser ma peau nue.
Ses mains restent un moment sans bouger.
Je sens son sexe durcir contre mes fesses, comme je sens le sexe de Jeff contre mon ventre. Je suis à leur merci. Et j'adore ça.
Jeff continue à m'embrasser. Il avale ma langue et me la tête.
Antoine reprend son investigation. Ses mains viennent entre mes cuisses. Il semble vouloir vérifier le niveau de mon désir. Il n'est pas déçu. C'est une chatte inondée que ses doigts découvrent. Ses doigts me pénètrent sans difficulté. Je me cambre. J'écarte les cuisses. Je sens sa main qui va et vient entre mes cuisses et ses doigts gluants qui me pénètrent devant comme derrière. Doigts qu'il porte à ma bouche collée à celle de Jeff. Je sens nos deux langues s'enrouler autour des doigts d'Antoine. Je me sens cochonne et j'adore ça.

Ses mains remontent maintenant vers mes seins. Mon chemisier en soie ne résiste pas à ses caresses appuyées. Ses mains viennent prendre mes seins en coupe. Il les soulève, les malaxe, les étreins. Je sens mes tétons durcis qui roulent sous ses doigts.
Jeff reprend l'initiative, il me murmure à l'oreille.
"Viens Éva, maintenant à toi de nous caresser. Mets-toi à genoux et prends nous en bouche. Tu te rappelles de ma queue que tu as sucée dans le TGV ?""Oui, je me suis entendue lui répondre, j'ai adoré""je sais, je l’ai bien senti. Recommence avec nous deux, comme tu sais si bien le faire."Je me suis agenouillée. J'ai commencé par défaire la ceinture de Jeff qui était devant moi. Son pantalon était tendu par son érection et son sexe qui attendait ma bouche.
Je prenais mon temps, même si j’avais trop envie de le prendre dans ma bouche.
Son gland a giclé de son caleçon. Il m'a fait peur… Il était déjà énorme, excité par la situation. Je l'ai décalotté délicatement avec ma bouche en l'avalant.
Je le sentais tendu, prêt à exploser…
Je me suis alors occupé d'Antoine, qui était venu se placer sur le côté. Il attendait que je lui défasse sa ceinture également. Je me suis exécuté pour revoir une verge telle que je l'avais déjà entrevue dans le taxi. Plus longue que celle de Jeff et un peu moins large.
Son gland était plus foncé que celui de Jeff. Son sexe était doux. J'ai découvert à cet instant que ses couilles étaient rasées. Cela m'a surpris car je ne suis pas habituée à cela. J'ai bien aimé. Je lui ai léché les couilles et ma langue est remontée pour venir avaler son gland.
Je devais faire attention car sa queue longue venait facilement taper le fond de ma gorge et me provoquait des hauts de cœur.
Je suis revenu vers Jeff qui semblait s'impatienter.
Je tenais un sexe dans chaque main et ma bouche allait de l'un à l'autre.
J’étais trop excitée, et, en même temps, je me disais que cette femme à genoux ne pouvait pas être la Éva qui était encore dans son lit conjugal ce matin…
J'ai senti qu'Antoine voulait me mettre sa queue avec celle de Jeff, mais le sexe de Jeff était trop gros pour que je puisse le faire.
En revanche, je plaçais les deux verges côte à cote et ma langue passait de l'une à l'autre. Ma langue était asséchée par mes léchouilles. Je devais sans cesse saliver pour l'humidifier.

Et puis, j'ai eu envie qu'ils me baisent maintenant. J'en avais trop envie. Je me suis levée. C'est Jeff qui a pris l'initiative. Il s'est allongé sur le lit et m'a demandé de venir sur lui.
Je ne me suis pas fait prier. J'ai soufflé de plaisir, j'ai gémi, au fur et à mesure que son sexe large et gonflé me remplissait. J'ai commencé à remuer les hanches quand j'ai senti l'autre coquin venir derrière moi.

Il s'est allongé et mon sexe détrempé l'a happé. Je me suis trouvée avec les deux sexes dans mon vagin. Je ne suis pas sur que c'était ce qu'avait prévu Antoine, mais cela eut l'air de lui plaire. J'étais distendue, pourfendue par ces deux membres qui allaient et venaient. Jeff me mangeait la bouche et Antoine me mordillait le cou en m'embrassant. 4 mains se promenaient sur mon corps. J'avais deux "locomotives" qui soufflaient près de mes oreilles à m'en faire perdre la raison.

Je ne savais plus qui était qui, qui me baisait. J'étais prise en sandwich, écrasée par Antoine. Je me sentais bourrée et laminée. J'avis l'impression qu'un rouleau compresseur me passait dessus. D'un coup Antoine sortit de mon vagin pour venir placer cette fois son gland contre mon œillet. Sa queue détrempée n'eut aucune difficulté à m'enculer. Quel plaisir de sentir ces deux bites qui vont et viennent. Quel plaisir de sentir chez mes amants leur plaisir monter, avec le mien en réaction. Ce fut ma première jouissance qui arriva d'un coup et qui me tétanisa. Je ne m'y attendais pas. Ce fut violent.

Jeff et Antoine ralentirent leur rythme pour me laisser reprendre mes esprits. Par expérience, ils savaient que l'orgasme n'était pas parti et qu'il était là, latent, prêt à revenir me submerger… Dès qu'ils me sentirent remuer les hanches, ils ont compris que j'étais prête à rejouir. Ils se sont alors déchaînés. J'ai cru qu'ils allaient me défoncer. Ils me pilonnaient à celui qui allait me faire jouir le premier. Ce fut Antoine qui se tendit et qui cria le premier. Je sentis son gland gonfler dans mon anus et ses jets de sperme envahir mes entrailles. Sa jouissance a déclenché la mienne et celle de Jeff quasi simultanément. J'ai senti ses mains me serrer les fesses à me faire crier. Mes cris de douleur et de jouissance se sont mêlés à ses cris rauques.

Ma tête est retombée sur son épaule. Quel moment de plénitude !
Je me sentais on ne peut plus femme. J'étais pleine de mon plaisir et du leur.
J'avais joui, ils m'avaient fait jouir, ils avaient joui. Je les avais fait jouir.