Mon premier voyage de femme « libre »… 6° partie - histoire érotique

Ce fut le moment où Paul revint à mes pensées. J'aurai des choses à lui raconter… Je me pris à sourire en pensant que sa petite cocotte allait le surprendre encore une fois. Jamais il n'aurait pu imaginer ce que je viens de vivre à peine arrivée à Paris.

Nous sommes restés quelques minutes sans bouger. Antoine semblait apprécier le confort de mon cul. Je sentais son sexe rétrécir, mais pas totalement. J'avais l'impression qu'il pouvait redémarrer à tout instant.
Ce fut Jeff le premier qui nous fit bouger. Je suppose que nos deux poids devaient commencer à lui peser.
Antoine sortit enfin de mes fesses. Jeff me fit rouler sur le côté. Le mouvement le fit sortir et une coulée de sperme mélangé à ma cyprine s'évacua de mon vagin.
Ma jupette était pleine de ce mélange. Mes bas étaient aux chevilles. Je n'étais pas à mon avantage. Je me suis rapidement enfuie dans la salle de bains…
Après une toilette rapide, je suis revenue dans la chambre vêtue d'un peignoir de l'hôtel. Antoine et Jeff parlaient une coupe de champagne à la main.
Ils se sont arrêtés de parler à mon retour pour me donner un immense sourire. Qu'ils étaient craquants tous les deux.
Ils s'écartèrent pour me laisser une place entre eux.
Antoine me donna une coupe. Celle-ci était bienvenue car ma gorge était desséchée. Tandis que je me désaltérais, et dans un accord parfait, mes deux amants firent glisser le haut du peignoir pour me dégager les épaules. Mon téton gauche se trouva dénudé par le mouvement plus ample de Jeff. Ils m'embrassèrent tendrement dans le cou, puis levèrent leur coupe en disant : "A notre ange que la providence a placé sur notre chemin. A notre Éva chérie ! » Je me suis sentie rougir, mais pas peu fière de moi. Ah, si mes copines savaient… !!! Qu’est-ce qu’elles ratent.

Jeff vint taquiner mon téton libéré qui réagit immédiatement sous ses doigts agiles. Cela sembla lui plaire car son sexe commençait à gonfler. Je lui pris sa verge de ma main de libre pour vérifier si son excitation était réelle ou fugace.
Il s’avéra que son sexe était déjà bien dur et prêt à reprendre du service. Antoine, me prit le verre de ma mon autre main pour que je m’occupe de lui aussi. Il vint me découvrir mon autre téton pour le prendre en bouche et le mordiller. Lui aussi reprenait de la vigueur.

Jeff me demanda de venir m’asseoir dans la bergère qui se trouvait devant eux. Assise les cuisses écartées et posées sur l’accoudoir dans une pose indécente à souhait. Je m’exécutais avec plaisir. Une fois en place, il me demanda de me caresser. J’ai hésité et puis, je me suis laissée aller. J’ai fermé les yeux. Mes mains sont alors parties à la recherche de mes seins, mes mamelons durcis étaient d'une sensibilité totale... je les caressais afin de me mener au bord de l'orgasme, j'imaginais une bouche les léchant, les pinçant jouant avec eux au rythme de mes gémissements. Puis mes mains sont descendues lentement vers mon ventre, mes hanches, mes cuisses pour venir à l'intérieur de mes cuisses. J'aime sentir mes mains remonter lentement vers mon sexe en feu, et puis remonter vers mon clitoris tout gonflé. Je le fais rouler entre mes doigts, je redescends vers mon sexe trempé, je glisse un doigt ou deux dans ma fente, avant de revenir vers mon clitoris que je commence à serrer et à frotter.
A cet instant, j’ai entrouvert les yeux et j’ai découvert mes deux amants la bite dressée en tarin de se caresser. Ils m’ont surpris car je les avais oubliés pendant ces quelques secondes de plaisir solitaire.

Jeff s’approcha de ma bouche pour me donner son sexe à gober.
Antoine vint s’agenouiller pour insinuer sa tête entre mes cuisses… Ces deux-là allaient me rendre folle !!!

Tandis que je prenais un grand plaisir à lécher, sucer, gober, mordiller le magnifique gland de Jeff, Antoine avait plaqué sa bouche sur mon clitoris qu’il aspirait pour le faire gorger de sang encore davantage. Sa langue montait et descendait et m’endiablait. Ses doigts ne restaient pas inactifs. Ils me pénétraient au plus profond de mon intimité.

Jeff me malaxait un sein et martyrisait mon pauvre téton.
J’essayais tant bien que mal d’avaler la tige de chair de Jeff, mais son sexe épais ne pouvait pas trop pénétrer ma gorge. Je le sentais vibrer dans ma bouche humide et avide de le boire.

Antoine me faisait perdre la tête. C’était un expert du cunnilingus. Sa langue, sa bouche, ses mains, me mettaient les sens en ébullition. J’avais l’impression qu’une pieuvre avait pris possession de mon sexe. Je ne pus résister à autant de savoir-faire et j’explosais littéralement de plaisir dans une jouissance hors du commun. Je me suis sentie éjaculer, pisser, je ne sais, dans la bouche d’Antoine… Un pied phénoménal qui m’a fait crier. J’ai failli mordre Jeff à cet instant crucial…