Mon premier voyage de femme « libre »… 7° partie - histoire érotique

Avant de publier cette nouvelle partie je tiens à remercier les lecteurs (et lectrices) qui m'ont fait des commentaires. J'ai répondu à tous ceux qui avaient laissé une adresse mail.
Merci également à l'auteur expérimenté qui m'a donnée de précieux conseils qui ne sont pas toujours faciles à suivre dans le fil de l'écriture érotique.
Un lecteur m'a reprochée de ne pas trouver de candaulisme dans mon histoire... Cela viendra car mon aventure n'a été possible qu'avec l'aval de mon Paul, bien évidemment.
Enfin, je terminerai en précisant qu'il s'agit d'une histoire fictive et que bien évidemment, dans une situation réelle, il faut se protéger.
Bonne lecture. Sofie

J’ai eu besoin de reprendre mes esprits. Jeff était revenu se placer dans ma bouche et restait immobile.

Tous les deux attendaient le signal pour reprendre vie. Dès que j’ai commencé à bouger mes mâchoires, mes deux amants ont repris vie… Mon téton a subi à nouveau les assauts des doigts de fer de Jeff ? Ce qui a eu également pour conséquence de lui faire grossir son gland d’un cran.

Antoine est venu placer son gland devant ma fente pour me pénétrer à nouveau. Son sexe long allait et venait pour mon plus grand plaisir. J’avais l’impression que c’était un sexe sans fin qui touchait le col de mon utérus et qui ressortait totalement pour mieux revenir. J’avais resserré les cuisses pour le sentir encore davantage.

Maintenant Jeff était davantage face à moi et me malaxait mes deux seins et mes deux pauvres tétons… Antoine profita d’une inadvertance de ma part pour me tirer un peu plus au bord du fauteuil et pour revenir dans mon cul qui semblait lui plaire. Il est renté sans difficultés. Ses doigts avaient bien dilaté l’orifice et mon rectum était encore plein de son foutre. Malgré tout, ma position me le rendait encore plus gros que tout à l’heure. Il s’amusa à changer de trou pour aller et venir du vagin à mes fesses. Je ne savais plus où j’étais. Et puis, il sorti de mon cul pour venir visiter ma bouche.

Jeff lui laissa sa place et vint à son tour entre mes cuisses. Antoine était excité de me baiser par tous mes trous.

Je sentis le sexe de Jeff plus gros et me donner des coups de butoir. Antoine me tenait la tête pour me baiser la bouche à son rythme. Jeff profita de la situation pour venir se placer devant mon œillet préparé par Antoine. Sur le coup je n’y ai pas prêté attention, mais son engin, bien plus gros que celui d’Antoine m’a défoncé le cul. J’ai cru qu’il m’écartelait les fesses.

Le sexe d’Antoine dans ma bouche qui s’excitait m’a fait oublier ma douleur. Je me suis concentrée sur son gland parfumé de multiples sécrétions, de ma cyprine mélangée à son sperme déposé il y a quelques minutes déjà, ainsi que celles de mes entrailles. De son méat se mit à perler un peu de sperme, annonciateur d’une jouissance prochaine.

Jeff continuait de me perforer le cul. Il était déchaîné. Et, comme son copain, il ne voulait pas être de reste, il était « comme chez lui ». Il allait et venait de mon cul à mon vagin. Je sentais mon plaisir revenir au même rythme que mes amants qui commençaient à haleter. Cette fois, j’ai joui la première. Devançant de très peu Antoine qui m’envoya 2 ou 3 jets de sperme au fond de ma gorge dans un « han » de bûcheron qui m’a effrayée.

Son sperme légèrement salé s’ajoutait aux sécrétions déjà dégustées. Je tentais de le garder en bouche pour boire toute sa semence jusqu’à la dernière goutte, mais Jeff avait prévu un autre scénario. Lui aussi a voulu jouir dans ma bouche. Il s’éjecta de mon cul pour se précipiter dans ma bouche où il a joui également dans un cri qui m’a percé les tympans. Lui aussi m’offrit 2 ou 3 jets de sperme parfumé encore bien épais que j’ai léché et avalé avec grand plaisir. Je l’ai gardé tant que j’ai pu. Son sexe refusait de rétrécir….

Afin de tester son endurance, je me suis amusée à mordiller son gland et à griffer ses couilles. Cela ne semblait pas suffire. J’ai craché son mon majeur pour aller titiller son anus. A peine mon doigt est-il venu perforer son intimité que sa queue s’est durcie d’un coup. Je ne sais pas si il a voulu se venger, mais il est brutalement sorti de ma bouche pour revenir m’enculer d’un coup sec. J’ai crié. Encore une fois mon cul criait grâce, mais Jeff ne se préoccupait pas de mes protestations. Il m’a défoncé le cul de plus belle et je n’avais plus guère de force pour lui résister. Il m’a limée, fourrée, défoncée. Il sortait et rentrait. Il était devenu fou. Il transpirait, il ahanait. Il m’a fait vraiment peur et puis un dernier cri a accompagné quelques secousses. Mon cul se remplissait de sa semence. Il était fourbu, épuisé.

Nous nous sommes tous les trois traînés au lit pour sombrer dans un sommeil profond.