Mon premier voyage de femme « libre »… 8° partie - histoire érotique

C’est le bruit des klaxons des voitures bloquées dans les embouteillages qui m’a réveillé. Il faisait jour. J’étais seule dans mon lit. Avais-je rêvé ? Je ne pense pas. J’étais fourbu et couverte de sperme. J’ai éprouvé beaucoup de difficulté pour me lever. Aux toilettes, j’ai évacué une quantité importante du sperme que mes amants avaient giclé dans mes entrailles. J’avais l’impression d’être passée sous un rouleau compresseur. Et en même temps si sereine, si bien dans mon corps et dans ma tête. J’ai ramassé ma jupe toute tâchée de sperme. Mon chemisier en soie était déchiré. Moi qui l’aimais tant…
En retournant vers mon lit, j’ai découvert une enveloppe sur la table avec mon nom.
Je l’ai ouverte. J’y ai trouvé une liasse de 10 billets de 50 euros avec un petit mot. « Merci pour l’amour et le plaisir que tu nous a donné. Une soirée inoubliable. Pour te remercier et te dédommager, voici un petit cadeau. »Signé Jeff et Antoine.
« Au cas où tu aimerais nous revoir pour un nouveau moment d’exception, voici nos numéros de téléphone. »« Si tu le désires, Antoine ou moi, te ferons visiter notre garage avec ses mystères »« Et pense à nous pour ta prochaine Mini. »
Je me suis enfouie sous les draps.
Pourquoi cet argent : ils m’avaient pris pour une pute ?
Et puis, si c’était le cas ? Ils m’ont baisée comme des dieux. J’ai profité de ce palace, et en plus, avec 500 euros, je vais pouvoir remplacer mon chemisier et faire quelques folies. Si je pouvais rencontrer des amants aussi gentils, performants et généreux que Jeff et Antoine chaque semaine, cela m’arrangerait bien, je veux bien me faire pute…
Et je pense que Paul ne serait pas contre… Que de choses à lui raconter.
Pourquoi ai-je attendu si longtemps ? Et ce Paul, il avait bien raison, finalement je dois être toujours séduisante, je dois toujours plaire pour avoir suscité l’intérêt et le désir chez ces deux mignons… Que c’est bon pour son ego !!!

Je restai traîner un peu au lit en revivant ma dernière nuit de folie et en m’imaginant visiter le garage de Jeff. De quels mystères parlait-il ? Et moi qui lui ai parlé de mes fantasmes des garagistes…
Je me suis fait couler un bain…La réception m'a téléphoné pour savoir si je voulais un petit déjeuner. Quel plaisir de se faire servir dans la chambre. J'ai demandé à être servie dans 45 minutes, le temps de prendre mon bain.

Me voici allongée dans un bain très chaud. J'en ai bien besoin. Je suis vermoulue. Mes amants m'ont labourée. J'ai tout mon corps douloureux. Dans le bain, mes sphincters se relâchent : je fais des bulles… Du sperme apparaît entre mes cuisses. A qui est-il ?

Je repense à cette nuit de folie. Comment ai-je pu me laisser aller ? Ce n'est pas moi. Ce n'est pas possible. Et pourtant, c'était si bon. Je suis si bien. D'y repenser, mon corps se réveille. Mon clitoris durcit. Mes tétons percent la mousse pour sortent de l'eau… Ma main caresse mes seins et descend pour calmer mon clito excité. Je plonge mes doigts dans mon vagin endolori pour les ressortir afin de venir frotter mon clito car ma jouissance est trop proche pour la manquer… Mes jambes se raidissent, tout mon corps se crispe… Enfin, ma jouissance est là. Hummm, puis la plénitude. Que c'est bon… !
Mon téléphone qui sonne. Heureusement que j'ai joui avant.
C'est Paul qui vient aux nouvelles.

"Mon amour, que je suis contente de te parler. Il faut que je te raconte ce qu'il s'est passé. C'est incroyable, Même moi, je me demande si je n'ai pas rêvé." Lui dis-je avec un petit sourire en voyant les filaments de sperme s'échapper encore de mon anus….

Heureusement que nous sommes en illimités… Surtout qu'il a fallu que je m'interrompe deux fois pour qu'il s'essuie. Le cochon s'est masturbé à l'écoute de mon récit. Il voulait force détails. Quel coquin !!
Il m’informa qu’il enregistrait tout pour se le repasser plus tard.

J'avais peur qu'il soit jaloux, qu'il le prenne mal, mais non. Il a adoré et était très heureux que j'aie pu prendre autant de plaisir. Je n'ai pas osé lui parler des 500 euros !!! Une autre fois. Il m’a demandé des photos également.

J’étais ravie de voir qu’il le prenait si bien. J’avais peur d’être jugée, mais pas du tout. Il voulait savoir si j’avais joui et combien de fois. Il était tout excité.
Je lui ai promis de lui envoyer des photos… J’étais bien. Cette nouvelle femme me plaisait bien finalement.

On a tapé à la porte. Je me suis levée. J'ai enfilé un peignoir. C'était l'homme de l'étage qui m'amenait mon petit déjeuner.
Je lui ai demandé à quelle heure je devais libérer la chambre. Il m'a informé que je pouvais prendre tout mon temps, que "Monsieur Jeff" avait réservé la chambre pour toute la semaine.

De toute façon, je n'allais pas rester là toute la journée. Je pris tranquillement mon petit déjeuner, finis de me préparer et avant de quitter la chambre, j'envoyais un texto à Jeff :
"Me voici prête. Je vais quitter l'hôtel. Merci pour cette nuit de plaisir. Elle restera inoubliable pour moi aussi. Peut-être à une prochaine fois… Je t'embrasse fort. Fais suivre à Antoine STP. Bonne journée. Éva la coquine."
Je n'avais pas osé lui parler non plus de l'argent. Bon, et puis, on verra bien.

Aussitôt, mon téléphone me signala l'arrivée d'un texto. C'était Jeff :"Convention ennuyeuse à mourir. Néanmoins, je bande encore à l'idée de cette nuit. Merci. Avant de partir, fais moi une photo que je vois ce qu'il y a sous ta jupe …" Mais qu’avaient-ils tous à vouloir des photos. Quels cochons ces mecs.

Le coquin. Il doit se douter que je n'ai rien mis dessous.
Je me suis placée devant la glace de la chambre pour me photographier. Et voilà, l'image est partie. Je lui dois bien ça pour ses 500 euros !!!

J’ai pris également des photos pour Paul. Des clichés de la chambre en désordre, de mes vêtements souillés et déchirés et quelques selfies près de la fenêtre. Paul sera ravi et fier de sa petite femme.

Et voilà, après un bon petit déjeuner, je suis dehors. Il fait plutôt beau.
Il faut que j'organise ma journée.