Mon rendez-vous d'hier.
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon rendez-vous d'hier.
Hier après midi, j'avais rendez-vous chez un nouveau client.
J'avais d'abord rendez vous avec le patron pour parler de son dossier perso, puis avec
lui et son assistante pour un sujet concernant l'entreprise.
Le bureau du boss est au sous-sol d'un immeuble, une grande salle avec une grande
table de réunion, puis plus loin son bureau.
Au bout d'une heure, le patron devait partir pour un rendez-vous de 45 mn et m'a
laissé seul avec son assistante.
Une femme de 35 ans, brune au cheveux long, qui portait une jupe en tissu à carreaux
laissant voir les genoux,avec des collants. De beaux yeux marrons et une poitrine bien
dessinée par le petit pull léger noir un peu moulant qu'elle portait.
au cours de l'entretien son épaule se dénudait souvent, laissant apparaître la
bretelle de son soutien gorge.Elle remontait le pull sur son épaule.
Nous discutions boulot, mais je ne pouvais m'empêcher de la regarder avec des yeux
concupiscents....
Au bout d'un moment, elle m'a regardé bien dans les yeux, m'a souri, et a laissé la
bretelle découverte.
J'étais un peu hésitant, je ne suis pas un fonceur !
Alors elle a fait le tour de la table, prétextant de regarder un document avec moi, et
s'est collée à moi, tout en se penchant sur le document.
J'avais ses jambes juste à côté, étant toujours assis, tétanisé.
Puis elle s'est collée à moi, la jambe contre mon coude, et là j'ai compris que je
pouvais y aller.
J'ai passé une main derrière elle et j'ai commencé à caresser ses mollets. Elle a
écarté légèrement les jambes, et j'ai alors remonté ma main sous sa jupe, et lui ai
caressé les fesses, puis l'entrejambe. Je sentais ses collants frémir.
Elle m'a dit : "Vous êtes un coquin, vous, vous caressez toutes vos clientes" ?
Je lui ai répondu que c'était la première fois, tout en lui passant un doigt sur la
chatte à travers le tissus
-"mm vous faites ça bien" m'a-t-elle dit en gémissant et en tendant une main vers mon
pantalon, sous lequel ma queue commençait à durcir.
J'ai tourné mon fauteuil vers elle, j'ai passé ma main devant sous sa jupe, et de mon
autre main, je lui ai attrapé le buste et j'ai commencé à lui caresser les seins.
Elle s'est penchée vers moi et nous nous sommes embrassés, goulûment, pendant que je
descendais son collant puis sa culotte sur ses genoux, accédant à son buisson qui
suintait le désir.
Je lui ai enfoncé un doigt dans la chatte, et j'ai commencé à la branler.
De mon autre main, je suis passé sous son pull, ai dégrafé son soutif, ai remonté le
pull, et j'ai attrapé un téton dans ma bouche. Ils étaient fermes et pleins et j'ai
bien vu qu'elle adorait ça.
Elle a réussi à me sortir la queue du pantalon par la braguette et m'a branlé
doucement, tout en gémissant de mes caresses.
Au bout d'un moment, je me suis levé, je l'ai allongée sur le dos sur la table, me
suis agenouillé, lui ai ôté collant et culotte, et j'ai happé son abricot mouillé, lui
léchant la fente à grande lampées, cherchant à attraper son clito entre mes lèvres,
redescendant sur son sillon, plusieurs fois de suite.
A un moment, je lui ai relevé les cuisses et j'ai pu accéder à son petit trou mignon,
que j'ai inscrit dans mon parcours de langue, allant du bouton à son cul, revenant,
pendant un long moment.
D'une main, je pétrissais ses seins alternativement.
Au bout de 10 mn, j'ai senti à ses gémissement qu'elle allait jouir, alors je suis
resté concentré sur son bouton d'amour, le léchant, l'aspirant, tournant autour. Bref,
elle a fini par jouir, pas trop bruyamment pour ne pas alerter ses collègues à l'étage
au dessus, mais suffisamment pour je constate son plaisir !
Je me suis relevé, j'ai enlevé pantalon et caleçon, et la queue bien raide, je l'ai
pénétrée profondément, d'un coup.
Elle a crié de plaisir, me demandant de la prendre lentement.
Alors j'ai entamé un va et vient au ralenti, regardant mon dard pénétrer sa chatte
brûlante, en sortir, y revenir, rester au bord, m'introduire, rester au fond,
ressortir un peu, revenir au fond...
Elle se caressait les seins et cette vue m'enchantait.
Au bout d'un moment, elle m'a dit : "attends". Je suis sorti d'elle. Elle s'est
relevée, s'est agenouillée et m'a pris en bouche, me prodiguant une des plus belles et
excitante fellation de ma vie.
Puis elle s'est retournée, les coudes posés sur la table, me présentant son cul
admirable.
- "prends moi", m'a-t-elle dit.
Mais je n'ai pu résister à l'envie de lui humecter d'abord sa raie, et m'agenouillant
à nouveau, je lui ai fait un nettoyage complet de son cul, pétrissant ses fesses et
ahanant de plaisir.
Puis je me suis relevé, j'ai posé ma queue à l'entrée de sa chatte et de nouveau l'ai
pénétrée.
Au début je suis allé doucement, et elle venait vers moi s'empaler en couinant.
Rapidement j'ai accéléré le rythme, la pilonnant sans repos, et elle a commencé à
parler : "oui, vas-y, défonce moi la chatte, j'aime ta queue puissante, tu es un
salopard et j'aime ça, enfonce toi bien, etc...."
J'étais fou, et ma queue allait bien au fond, puissamment.
Je n'ai pas tenu très longtemps, l'excitation de la situation était telle, et j'ai
senti monter la sève.
Au dernier moment, je me suis retiré et j'ai envoyé mes petits jets (je ne suis pas un
homme fontaine) sur son cul.
Quand je me suis retiré, elle s'est relevée, m'a regardé en souriant, l'air heureuse.
Nous nous sommes embrassés encore une fois, puis elle m'a dit : "on va se rhabiller,
le patron pourrait arriver, et puis on a encore un peu de travail non ?".
Une fois rhabillés, je lui ai dit : "Je te remercie de ce moment magique, on va
pouvoir travailler plus sereinement, tu m'excitais tellement... mais je vais
t'imaginer nue maintenant !".
Elle m'a répondu : "Je ne mélange pas le boulot et la bagatelle, mais je te promets
que je vais tenter de convaincre mon patron de te choisir comme fournisseur. On aura
ainsi l'occasion de se revoir de temps en temps".
Le Patron est revenu 15 mn après, nous a trouvé en train de travailler, et nous avons
fait un point de synthèse.
En partant, en serrant la main de ma belle aventurière, nous nous sommes fait une
dernière caresse imperceptible mais tangible.
J'ai hâte d'y retourner.....
J'avais d'abord rendez vous avec le patron pour parler de son dossier perso, puis avec
lui et son assistante pour un sujet concernant l'entreprise.
Le bureau du boss est au sous-sol d'un immeuble, une grande salle avec une grande
table de réunion, puis plus loin son bureau.
Au bout d'une heure, le patron devait partir pour un rendez-vous de 45 mn et m'a
laissé seul avec son assistante.
Une femme de 35 ans, brune au cheveux long, qui portait une jupe en tissu à carreaux
laissant voir les genoux,avec des collants. De beaux yeux marrons et une poitrine bien
dessinée par le petit pull léger noir un peu moulant qu'elle portait.
au cours de l'entretien son épaule se dénudait souvent, laissant apparaître la
bretelle de son soutien gorge.Elle remontait le pull sur son épaule.
Nous discutions boulot, mais je ne pouvais m'empêcher de la regarder avec des yeux
concupiscents....
Au bout d'un moment, elle m'a regardé bien dans les yeux, m'a souri, et a laissé la
bretelle découverte.
J'étais un peu hésitant, je ne suis pas un fonceur !
Alors elle a fait le tour de la table, prétextant de regarder un document avec moi, et
s'est collée à moi, tout en se penchant sur le document.
J'avais ses jambes juste à côté, étant toujours assis, tétanisé.
Puis elle s'est collée à moi, la jambe contre mon coude, et là j'ai compris que je
pouvais y aller.
J'ai passé une main derrière elle et j'ai commencé à caresser ses mollets. Elle a
écarté légèrement les jambes, et j'ai alors remonté ma main sous sa jupe, et lui ai
caressé les fesses, puis l'entrejambe. Je sentais ses collants frémir.
Elle m'a dit : "Vous êtes un coquin, vous, vous caressez toutes vos clientes" ?
Je lui ai répondu que c'était la première fois, tout en lui passant un doigt sur la
chatte à travers le tissus
-"mm vous faites ça bien" m'a-t-elle dit en gémissant et en tendant une main vers mon
pantalon, sous lequel ma queue commençait à durcir.
J'ai tourné mon fauteuil vers elle, j'ai passé ma main devant sous sa jupe, et de mon
autre main, je lui ai attrapé le buste et j'ai commencé à lui caresser les seins.
Elle s'est penchée vers moi et nous nous sommes embrassés, goulûment, pendant que je
descendais son collant puis sa culotte sur ses genoux, accédant à son buisson qui
suintait le désir.
Je lui ai enfoncé un doigt dans la chatte, et j'ai commencé à la branler.
De mon autre main, je suis passé sous son pull, ai dégrafé son soutif, ai remonté le
pull, et j'ai attrapé un téton dans ma bouche. Ils étaient fermes et pleins et j'ai
bien vu qu'elle adorait ça.
Elle a réussi à me sortir la queue du pantalon par la braguette et m'a branlé
doucement, tout en gémissant de mes caresses.
Au bout d'un moment, je me suis levé, je l'ai allongée sur le dos sur la table, me
suis agenouillé, lui ai ôté collant et culotte, et j'ai happé son abricot mouillé, lui
léchant la fente à grande lampées, cherchant à attraper son clito entre mes lèvres,
redescendant sur son sillon, plusieurs fois de suite.
A un moment, je lui ai relevé les cuisses et j'ai pu accéder à son petit trou mignon,
que j'ai inscrit dans mon parcours de langue, allant du bouton à son cul, revenant,
pendant un long moment.
D'une main, je pétrissais ses seins alternativement.
Au bout de 10 mn, j'ai senti à ses gémissement qu'elle allait jouir, alors je suis
resté concentré sur son bouton d'amour, le léchant, l'aspirant, tournant autour. Bref,
elle a fini par jouir, pas trop bruyamment pour ne pas alerter ses collègues à l'étage
au dessus, mais suffisamment pour je constate son plaisir !
Je me suis relevé, j'ai enlevé pantalon et caleçon, et la queue bien raide, je l'ai
pénétrée profondément, d'un coup.
Elle a crié de plaisir, me demandant de la prendre lentement.
Alors j'ai entamé un va et vient au ralenti, regardant mon dard pénétrer sa chatte
brûlante, en sortir, y revenir, rester au bord, m'introduire, rester au fond,
ressortir un peu, revenir au fond...
Elle se caressait les seins et cette vue m'enchantait.
Au bout d'un moment, elle m'a dit : "attends". Je suis sorti d'elle. Elle s'est
relevée, s'est agenouillée et m'a pris en bouche, me prodiguant une des plus belles et
excitante fellation de ma vie.
Puis elle s'est retournée, les coudes posés sur la table, me présentant son cul
admirable.
- "prends moi", m'a-t-elle dit.
Mais je n'ai pu résister à l'envie de lui humecter d'abord sa raie, et m'agenouillant
à nouveau, je lui ai fait un nettoyage complet de son cul, pétrissant ses fesses et
ahanant de plaisir.
Puis je me suis relevé, j'ai posé ma queue à l'entrée de sa chatte et de nouveau l'ai
pénétrée.
Au début je suis allé doucement, et elle venait vers moi s'empaler en couinant.
Rapidement j'ai accéléré le rythme, la pilonnant sans repos, et elle a commencé à
parler : "oui, vas-y, défonce moi la chatte, j'aime ta queue puissante, tu es un
salopard et j'aime ça, enfonce toi bien, etc...."
J'étais fou, et ma queue allait bien au fond, puissamment.
Je n'ai pas tenu très longtemps, l'excitation de la situation était telle, et j'ai
senti monter la sève.
Au dernier moment, je me suis retiré et j'ai envoyé mes petits jets (je ne suis pas un
homme fontaine) sur son cul.
Quand je me suis retiré, elle s'est relevée, m'a regardé en souriant, l'air heureuse.
Nous nous sommes embrassés encore une fois, puis elle m'a dit : "on va se rhabiller,
le patron pourrait arriver, et puis on a encore un peu de travail non ?".
Une fois rhabillés, je lui ai dit : "Je te remercie de ce moment magique, on va
pouvoir travailler plus sereinement, tu m'excitais tellement... mais je vais
t'imaginer nue maintenant !".
Elle m'a répondu : "Je ne mélange pas le boulot et la bagatelle, mais je te promets
que je vais tenter de convaincre mon patron de te choisir comme fournisseur. On aura
ainsi l'occasion de se revoir de temps en temps".
Le Patron est revenu 15 mn après, nous a trouvé en train de travailler, et nous avons
fait un point de synthèse.
En partant, en serrant la main de ma belle aventurière, nous nous sommes fait une
dernière caresse imperceptible mais tangible.
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