Mon rendez-vous d’hier – 3
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon rendez-vous d’hier – 3
Ce soir là (voir épisode 2) Nathalie ne nous a rien « fait », mais forte de sa supériorité, et surtout des photos prises pendant mes ébats avec Marlène, elle nous a dit :
- A partir d’aujourd’hui, après 19h, vous devrez m’obéir en tout. Toute résistance, toute incartade sera punie, et si je vois que vous ne faites pas les efforts nécessaires, les photos arriveront dans la boite mail du patron. Vu ?
- Vu, ai-je répondu pour nous deux. On peut partir maintenant ?
- Avant, vous me donnez chacun votre numéro de mobile, je vous avertirai par
texto.
Et elle s’est éclipsée…
Restés seuls, avec Marlène, nous nous regardions, l’air penaud. J’ai senti qu’il fallait que je reprenne la situation en main.
- Marlène, ce que nous avons vécu n’est pas entamé par les menaces de cette salope. Je veux être avec toi autant que possible, et nous allons affronter ensemble cette épreuve. Es-tu d’accord ?
- Oui Zoot, je suis d’accord. J’ai encore la sensation de ta queue en moi, je veux encore que nous vivions de beaux moments de sexe ensemble. Et même, je crois que je commence à t’apprécier plus que ça.
- Moi aussi ma jolie... Et nous nous sommes roulés un gros patin, l’excitation reprenant le dessus sur le sentiment de gêne et de honte que nous ressentions en présence de Nathalie.
Il nous fallait rentrer, et nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir, et que si Nathalie nous envoyait un message, nous nous préviendrions mutuellement.
Le lendemain, un jeudi, à 19h01, j’ai reçu un texto : rendez-vous au 15 rue du Père Nicieux, à 20h, escalier E, 2ème étage, porte 258. Soyez ponctuels. J’ai aussitôt appelé Marlène qui m’a confirmé avoir reçu le même.
A 19h55, nous nous sommes retrouvés devant la porte. A 20h pile, elle s’est ouverte et une voix nous a invités à entrer. Un couloir devant nous, dans la pénombre, puis une lumière dans le fond qui nous invitait à entrer.
J’avais pris la main de Marlène, pour nous rassurer, nous mettre en confiance, mais je n’en menais pas large.
Une pièce s’ouvrait sur la droite, assez grande, faiblement éclairée elle aussi, avec des bougies à chaque coin.
Sur le sol, une grande bâche, des coussins, et le long d’un mur, une grande table sur laquelle étaient des objets que nous ne pouvions distinguer.
- Mettez vous nus, et posez vos vêtements sur la commode à votre droite, a dit la voix qui semblait provenir du plafond. Nous nous sommes regardés avec Marlène, hésitants.
- Plus vite ! Voulez-vous tout de suite une punition ? a dit la voix.
Nous avons obtempéré, et, nue dans la lumière des bougies, Marlène m’a semblé la plus belle des femmes. Je l’ai enlacée, l’ai embrassée, et elle a répondu à mon avance.
- Bien, je vois que vous avez déjà envie de baiser tous les deux ! On va vous satisfaire, a commenté la voix.
Marlène, venez vous mettre au centre de la pièce, assise sur un coussin. Toi Zoot, debout devant elle. Puis toi, Marlène, tu le suces.
Jusque là, on peut dire que nous étions plutôt d’accord ! Et ma queue s’est vite dressée sous les coups de langue. Elle s’appliquait, me donnant autant de plaisir que possible.
- Suffit : maintenant que tu es dur, Zoot, tu l’encules directement, à sec !
- Mais elle va avoir mal, ai-je tenté.
- Tais-toi, fais-le !
J’ai regardé Marlène, qui m’a souri, l’air soumis. Elle s’est mise à quatre pattes, m’offrant son cul, et je n’ai eu qu’à me positionner. Mais j’hésitais à entrer. Autant j’avais adoré la première fois, autant je voulais ne pas la blesser aujourd’hui.
- Je vois que tu hésites, tant pis !
Un éclair cinglant a surgi, une lanière de fouet phosphorescente m’a flagellé le dos.
J’ai rugi de douleur, mais le mouvement m’a fait m’avancer, et comme ma queue était posée juste sur le trou de Marlène, je me suis retrouvé en elle jusqu’à la garde. Elle a également poussé un cri devant cette introduction brutale.
- Baise-la, défonce cette chienne, encule-la à mort, ce n’est qu’un trou à bite, une pute qui veut de la queue.
La voix s’excitait de plus en plus, et je dois dire que cela m’excitait aussi. Mais je voulais continuer à respecter Marlène, aussi j’ai entamé mes va et vient avec une certaine prudence.
Le coup de fouet qui a suivi m’a fait comprendre qu’il fallait que j’obéisse, et m’excusant auprès de Marlène dans un chuchotement, j’ai commencé à la pilonner fortement.
- Alors Salope, tu aimes que ton mec te défonces le cul ? Réponds, dis-lui d’aller plus fort, que tu n’es qu’un garage à bites.
- Non, je ne peux pas, a résisté Marlène.
A son tour, la lanière a fouetté son dos, juste devant moi, laissant une zébrure rouge en travers de son corps.
- Obéis, chienne !
Alors Marlène, pleurant à moitié, a commencé à me parler
- Vas-y, salaud, encule-moi, je suis ta chienne, ta salope, je veux que tu me défonces le cul, je ne suis qu’une pute.
Cela, je l’avoue un peu honteusement, m’a mis une queue en béton, et je me suis laissé aller à ses demandes.
Et j’ai cru me rendre compte que plus elle me parlait, moins Marlène pleurait, et plus ses phrases avaient des accents de vérité, comme si, finalement, elle était passée d’une soumission à une volonté de se faire humilier.
- Réponds-lui, connard, m’a dit la voix.
Je n’aimais pas trop le qualificatif, mais la situation n’était pas à la discussion, alors je m’y suis mis aussi.
- Ton cul m’excite, ma bonne salope, tu sens mon dard qui te déflore, tu sens mon chibre dans tes boyaux qui écarte ton cul, tu es une belle chienne...
- Oui, vas-y, oooh, quelle queue, encore plus dure que l’autre jour, fais-moi jouir, je te veux, je ne suis qu’un cul, qu’un trou qui demande à être bourré. Aaaa, oooooonnnnnn...
Je dois dire que nous y prenions gout, et que finalement, la punition de Nathalie était plutôt sympathique jusque là. Ça n’a pas duré, évidemment.
Brutalement, alors que nous allions jouir ensemble, le plafond s’est ouvert et une trombe d’eau glacée s’est abattue sur nous. Immédiatement, les coins de la bâche se sont relevés pour former comme une grande baignoire dans laquelle nous trempions, frigorifiés !
- Oh, mais c’est qu’il fallait vous calmer tous les deux, vous n’êtes pas là pour jouir, mais pour subir. Vous êtes de vrais cochons, c’est sûr maintenant, et cette petite expérience nous prouve que vous avez des aptitudes pour le dévergondage. J’ai bien vu que Marlène mouillait comme une truie pendant que Zoot la besognait sans retenue. La suite va vous plaire mes mignons...
Nous nous étions rapprochés, avec Marlène, et pour tenter de conjurer le froid, nous nous étions collés l’un à l’autre. Ma queue n’avait pas supporté la douche et pendait lamentablement. Seuls les tétons durcis de ma beauté pouvaient laisser penser qu’elle était excitée, alors qu’elle n’avait que froid.
L’eau a été tout à coup aspirée, la bâche s’est reposée sur le sol. Transis, nous ne savions que faire, quand un souffle chaud et enveloppant nous a séchés rapidement. Je n’en revenais pas de toute cette installation, visiblement bien au point et qui ne pouvait avoir été mise en place depuis la veille. Cela me laissait penser que Nathalie ne devait pas en être à son coup d’essai avec nous !
A peine séchés, la voix nous a intimé l’ordre de nous mettre respectivement un bandeau noir sur les yeux, bien serré, nous avertissant que si nous pouvions apercevoir quoi que ce soit ensuite, cela serait très grave pour nous. Ayant vu de quoi étaient capables nos hôtes, nous avons fait ainsi, non sans nous donner une caresse tendre sur la joue au passage pour nous réconforter.
- Bien, maintenant, mettez-vous côte à côte et ne bougez plus. Et silence.
Une musique a démarré, très douce et lente. J’ai pris la main de Marlène. Nous ressentions des mouvements dans la pièce, des meubles que l’on bougeait. Je me disais que sans doute on enlevait les coussins qui avaient été trempés avec nous.
Au bout de quelques minutes, le silence s’est fait. Puis, sur notre gauche :
- Il n’a pas une très grande queue, n’est-ce pas ?
- Pas très, et il a un peu de ventre en plus, il ne fait pas assez de sportSur notre droite
- Et puis ses mollets sont un peu maigres,
- Et ses fesses sont rondes mais un peu molles.
- Et elle, regardez, une belle pouliche non ?
- Oh tout à fait, des formes superbes, quels nichons, quel cul !
- On va en faire quoi, de ces deux là ?
Visiblement, si j’ose dire avec les yeux bandés, nous ne sommes plus seuls. Marlène m’a serré la main un peu plus fortement. Nous ne bougeons pas, attendant la séquence suivante.
Tout à coup, je sens un effleurement sur ma hanche gauche, et je sens Marlène tressaillir aussi. Sans doute la touche-t-on aussi. Puis je me sens happé par quatre mains puissantes, qui me soulèvent, m’éloignent de
Marlène, et qui me reposent un peu plus loin, me forçant à me mettre à quatre pattes.
Je sens quelque chose qui veut forcer mes lèvres. Je dois ouvrir, et là, pour la première fois de ma vie, une queue me pénètre la bouche. Je ne peux que l’avaler, car on me tient la tête. C’est un membre large, pas très long semble-t-il, mais qui se branle en moi.
- Regardez-moi ce Zoot, il suce bien non ? Une vraie bouche à bite.
- Elle aussi elle suce bien, mais je lui ai donné ma chatte à lécher. Je reconnais la voix et comprends que Marlène est en train de découvrir le goût de la chatte de Nathalie.
- MMM, il ouvre bien, il a l’air d’aimer ma queue, reprend mon tourmenteur, et il me baise sauvagement la bouche.
Après quelques instants de dégoût, je me suis fait à cette introduction, et j’essaye de profiter de l’occasion pour découvrir cette sensation. Il me fait mal, ce con, mais
je ressens un peu de plaisir quand même à être ainsi pris de force.
- Regarde, il bande ce salopard, ça l’excite de se faire baiser la bouche.
- Et elle, elle mouille bien aussi, dit une voix d’homme. Regarde, je lui mets ma queue dans la chatte, elle me l’engloutit. Marlène est prise entre les deux pervers, et j’entends ses gémissements. Honnêtement, je crois bien que ce sont des murmures de plaisir, et que le traitement qu’elle reçoit lui plaît.
- Incroyable, ces deux là sont faits pour le plaisir ! On croyait les humilier, et on les excite !
- Alors continuons, et voyons ce que nous pouvons leur faire subir.
Je sens des mains me saisir le cul, et un doigt s’approcher de ma rondelle puis l’humecter avec de l’huile. Un doigt s‘insinue, m’élargissant le trou. Puis deux doigts. J’ai résisté un peu, mais celui qui me baise la bouche me tient bien, et l’autre finit par m’insérer sa queue, profondément.
Une douleur me vrille le ventre, je me cambre, j’essaye d’échapper à cette saillie.
- Oh, le vilain, il veut résister ! Une grande claque s’abat sur mes fesses.
Reste là, lopette, tu vas aimer j’en suis sûr.
- Elle aussi, je l’encule, regarde comme elle se trémousse cette pute.
Nos culs sont à la merci de ces hommes en rut, et peu à peu, sous les mots vulgaires, orduriers, je ressens la pénétration sans douleur, et brusquement, je me détends et me mets à apprécier ce traitement.
- Tu vois, Zoot, j’en étais sûr, tu es une vraie pute toi aussi, il a suffit que l’on te prenne et maintenant tu vas jouir.
- Attends, on va faire crier cette garce aussi, dit une autre voix d’homme, je vais la prendre en double avec toi.
Un long cri de plaisir mêlé de douleur s’élève quand Marlène se retrouve prise par les deux, la bouche plaquée contre la chatte de Nathalie.
Pour ma part, je suis complètement envahi par la puissance du vit qui me traverse, je lance mon cul vers la queue, et les deux font un balancier avec moi, la queue sortant de ma bouche quand l’autre s’enfonce en moi, et inversement.
J’entends Marlène qui ahane à côté de moi, elle aussi est en train de prendre son pied.
Le mec dans ma bouche m’envoie une belle giclée au fond du gosier.
- Avale tout, Zoot, interdiction de perdre une goutte de mon nectar.
Et pendant que j’avale le sperme, au goût acre, l’autre qui me pilonne l’anus continue de plus belle, et me voilà en train d’éjaculer moi aussi, emporté par la jouissance.
Cela excite mon enculeur, qui se lâche à son tour, m’envoyant un litre de foutre sur le cul.
- Lèche moi dit-il, nettoie ma queue dit-il en la présentant à ma langue.
L’idée de prendre une queue qui sort de mon cul me révulse, mais je sais que je n’ai pas le choix, et me voilà à nouveau avec un chibre entre les lèvres. Le goût est particulier, une odeur fétide me prend le cœur, mais je m’acquitte de ma tâche avec conviction, pour en finir au plus vite.
- C’est bien, maintenant nettoie le sol que tu as souillé.
Et je lèche mon propre jus, ce que je n’avais jamais fait. Et je l’aime, ce goût de moi-même, je découvre sa texture, son odeur, et cela me désaltère un peu après avoir sucé l’autre enculeur.
Puis j’entends Nathalie qui crie :
- Ouiiiiiiiiii, salope, tu me suces bien, aaaaaaaayyyyy, je jouis...
Et les deux mecs qui prennent Marlène éjaculent chacun leur tour, sur son visage
- En voilà une belle figure repeinte, va falloir te remaquiller petite chienne !
Un solo de rock nous vrille les tympans. Puis s’arrête. Un grand silence. Je n’ose bouger. Marlène également.
Mais après plusieurs minutes, je finis par enlever mon bandeau, et j’aperçois Marlène à quelques pas de moi, seule et nue, dégoulinante de foutre. Je m’approche d’elle, lui libère les yeux. Nous nous regardons, effarés.
- Reprenez vos vêtements et partez, vous aurez nos instructions pour la prochaine fois. Nous avons quelque idée de ce que vous pouvez subir maintenant, et croyez bien que nous avons apprécié votre prestation. Mais ce n’était qu’un apéritif... Allez, dehors, si vous n’êtes pas partis d’ici deux minutes, nous prenons vos vêtements.
Nous n’avons que le temps de nous sauver. Dès que nous sommes dans l’escalier, nous nous essuyons tant bien que mal. Je prends Marlène dans mes bras.
- Ma belle, même si j’ai eu des moments difficiles, je dois admettre que j’ai eu du plaisir à cette séance.
- Mon beau, je t’avoue que moi aussi, j’ai aimé être prise ainsi. Mais j’ai eu mal au début.
- Et moi donc, je n’avais jamais été enculé, et pour toi c’était récent aussi !
- Et cela me donne envie de toi encore plus.
- Et moi aussi, de t’entende beugler ton plaisir, c’était divin.
- De t’entendre, toi un garçon, te faire traiter de pute, cela m’a bien excitée aussi sais-tu ?
- Et ils avaient un peu raison, j’ai adoré cette queue qui me vrillait. Allez, viens, je t’invite à dîner pour nous remettre d’aplomb, et si tu veux, après, nous irons chez moi, je veux passer une nuit avec toi, et après ce que nous venons de vivre, je sens que nous allons encore nous découvrir.
- D’accord, je ne te quitte plus... et ta queue non plus.
Là j’ai été ému, parce qu’un sentiment nouveau naissait entre nous, fait de tendresse et d’envie de sexe, de douceur et de sauvagerie animale, et je me suis dit que nous ne faisions que commencer un long chemin...
Je ne vous raconterai pas notre première nuit ensemble, cela nous appartient… mais je vous dirai bientôt comment cette salope de Nathalie nous a embarqué dans une nouvelle séance.
Je vous dirai peut-être aussi comment Marlène et moi avons... Mais bon, vous le saurez bien assez tôt, bande de petit(e)s coquin(e)s.
- A partir d’aujourd’hui, après 19h, vous devrez m’obéir en tout. Toute résistance, toute incartade sera punie, et si je vois que vous ne faites pas les efforts nécessaires, les photos arriveront dans la boite mail du patron. Vu ?
- Vu, ai-je répondu pour nous deux. On peut partir maintenant ?
- Avant, vous me donnez chacun votre numéro de mobile, je vous avertirai par
texto.
Et elle s’est éclipsée…
Restés seuls, avec Marlène, nous nous regardions, l’air penaud. J’ai senti qu’il fallait que je reprenne la situation en main.
- Marlène, ce que nous avons vécu n’est pas entamé par les menaces de cette salope. Je veux être avec toi autant que possible, et nous allons affronter ensemble cette épreuve. Es-tu d’accord ?
- Oui Zoot, je suis d’accord. J’ai encore la sensation de ta queue en moi, je veux encore que nous vivions de beaux moments de sexe ensemble. Et même, je crois que je commence à t’apprécier plus que ça.
- Moi aussi ma jolie... Et nous nous sommes roulés un gros patin, l’excitation reprenant le dessus sur le sentiment de gêne et de honte que nous ressentions en présence de Nathalie.
Il nous fallait rentrer, et nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir, et que si Nathalie nous envoyait un message, nous nous préviendrions mutuellement.
Le lendemain, un jeudi, à 19h01, j’ai reçu un texto : rendez-vous au 15 rue du Père Nicieux, à 20h, escalier E, 2ème étage, porte 258. Soyez ponctuels. J’ai aussitôt appelé Marlène qui m’a confirmé avoir reçu le même.
A 19h55, nous nous sommes retrouvés devant la porte. A 20h pile, elle s’est ouverte et une voix nous a invités à entrer. Un couloir devant nous, dans la pénombre, puis une lumière dans le fond qui nous invitait à entrer.
J’avais pris la main de Marlène, pour nous rassurer, nous mettre en confiance, mais je n’en menais pas large.
Une pièce s’ouvrait sur la droite, assez grande, faiblement éclairée elle aussi, avec des bougies à chaque coin.
Sur le sol, une grande bâche, des coussins, et le long d’un mur, une grande table sur laquelle étaient des objets que nous ne pouvions distinguer.
- Mettez vous nus, et posez vos vêtements sur la commode à votre droite, a dit la voix qui semblait provenir du plafond. Nous nous sommes regardés avec Marlène, hésitants.
- Plus vite ! Voulez-vous tout de suite une punition ? a dit la voix.
Nous avons obtempéré, et, nue dans la lumière des bougies, Marlène m’a semblé la plus belle des femmes. Je l’ai enlacée, l’ai embrassée, et elle a répondu à mon avance.
- Bien, je vois que vous avez déjà envie de baiser tous les deux ! On va vous satisfaire, a commenté la voix.
Marlène, venez vous mettre au centre de la pièce, assise sur un coussin. Toi Zoot, debout devant elle. Puis toi, Marlène, tu le suces.
Jusque là, on peut dire que nous étions plutôt d’accord ! Et ma queue s’est vite dressée sous les coups de langue. Elle s’appliquait, me donnant autant de plaisir que possible.
- Suffit : maintenant que tu es dur, Zoot, tu l’encules directement, à sec !
- Mais elle va avoir mal, ai-je tenté.
- Tais-toi, fais-le !
J’ai regardé Marlène, qui m’a souri, l’air soumis. Elle s’est mise à quatre pattes, m’offrant son cul, et je n’ai eu qu’à me positionner. Mais j’hésitais à entrer. Autant j’avais adoré la première fois, autant je voulais ne pas la blesser aujourd’hui.
- Je vois que tu hésites, tant pis !
Un éclair cinglant a surgi, une lanière de fouet phosphorescente m’a flagellé le dos.
J’ai rugi de douleur, mais le mouvement m’a fait m’avancer, et comme ma queue était posée juste sur le trou de Marlène, je me suis retrouvé en elle jusqu’à la garde. Elle a également poussé un cri devant cette introduction brutale.
- Baise-la, défonce cette chienne, encule-la à mort, ce n’est qu’un trou à bite, une pute qui veut de la queue.
La voix s’excitait de plus en plus, et je dois dire que cela m’excitait aussi. Mais je voulais continuer à respecter Marlène, aussi j’ai entamé mes va et vient avec une certaine prudence.
Le coup de fouet qui a suivi m’a fait comprendre qu’il fallait que j’obéisse, et m’excusant auprès de Marlène dans un chuchotement, j’ai commencé à la pilonner fortement.
- Alors Salope, tu aimes que ton mec te défonces le cul ? Réponds, dis-lui d’aller plus fort, que tu n’es qu’un garage à bites.
- Non, je ne peux pas, a résisté Marlène.
A son tour, la lanière a fouetté son dos, juste devant moi, laissant une zébrure rouge en travers de son corps.
- Obéis, chienne !
Alors Marlène, pleurant à moitié, a commencé à me parler
- Vas-y, salaud, encule-moi, je suis ta chienne, ta salope, je veux que tu me défonces le cul, je ne suis qu’une pute.
Cela, je l’avoue un peu honteusement, m’a mis une queue en béton, et je me suis laissé aller à ses demandes.
Et j’ai cru me rendre compte que plus elle me parlait, moins Marlène pleurait, et plus ses phrases avaient des accents de vérité, comme si, finalement, elle était passée d’une soumission à une volonté de se faire humilier.
- Réponds-lui, connard, m’a dit la voix.
Je n’aimais pas trop le qualificatif, mais la situation n’était pas à la discussion, alors je m’y suis mis aussi.
- Ton cul m’excite, ma bonne salope, tu sens mon dard qui te déflore, tu sens mon chibre dans tes boyaux qui écarte ton cul, tu es une belle chienne...
- Oui, vas-y, oooh, quelle queue, encore plus dure que l’autre jour, fais-moi jouir, je te veux, je ne suis qu’un cul, qu’un trou qui demande à être bourré. Aaaa, oooooonnnnnn...
Je dois dire que nous y prenions gout, et que finalement, la punition de Nathalie était plutôt sympathique jusque là. Ça n’a pas duré, évidemment.
Brutalement, alors que nous allions jouir ensemble, le plafond s’est ouvert et une trombe d’eau glacée s’est abattue sur nous. Immédiatement, les coins de la bâche se sont relevés pour former comme une grande baignoire dans laquelle nous trempions, frigorifiés !
- Oh, mais c’est qu’il fallait vous calmer tous les deux, vous n’êtes pas là pour jouir, mais pour subir. Vous êtes de vrais cochons, c’est sûr maintenant, et cette petite expérience nous prouve que vous avez des aptitudes pour le dévergondage. J’ai bien vu que Marlène mouillait comme une truie pendant que Zoot la besognait sans retenue. La suite va vous plaire mes mignons...
Nous nous étions rapprochés, avec Marlène, et pour tenter de conjurer le froid, nous nous étions collés l’un à l’autre. Ma queue n’avait pas supporté la douche et pendait lamentablement. Seuls les tétons durcis de ma beauté pouvaient laisser penser qu’elle était excitée, alors qu’elle n’avait que froid.
L’eau a été tout à coup aspirée, la bâche s’est reposée sur le sol. Transis, nous ne savions que faire, quand un souffle chaud et enveloppant nous a séchés rapidement. Je n’en revenais pas de toute cette installation, visiblement bien au point et qui ne pouvait avoir été mise en place depuis la veille. Cela me laissait penser que Nathalie ne devait pas en être à son coup d’essai avec nous !
A peine séchés, la voix nous a intimé l’ordre de nous mettre respectivement un bandeau noir sur les yeux, bien serré, nous avertissant que si nous pouvions apercevoir quoi que ce soit ensuite, cela serait très grave pour nous. Ayant vu de quoi étaient capables nos hôtes, nous avons fait ainsi, non sans nous donner une caresse tendre sur la joue au passage pour nous réconforter.
- Bien, maintenant, mettez-vous côte à côte et ne bougez plus. Et silence.
Une musique a démarré, très douce et lente. J’ai pris la main de Marlène. Nous ressentions des mouvements dans la pièce, des meubles que l’on bougeait. Je me disais que sans doute on enlevait les coussins qui avaient été trempés avec nous.
Au bout de quelques minutes, le silence s’est fait. Puis, sur notre gauche :
- Il n’a pas une très grande queue, n’est-ce pas ?
- Pas très, et il a un peu de ventre en plus, il ne fait pas assez de sportSur notre droite
- Et puis ses mollets sont un peu maigres,
- Et ses fesses sont rondes mais un peu molles.
- Et elle, regardez, une belle pouliche non ?
- Oh tout à fait, des formes superbes, quels nichons, quel cul !
- On va en faire quoi, de ces deux là ?
Visiblement, si j’ose dire avec les yeux bandés, nous ne sommes plus seuls. Marlène m’a serré la main un peu plus fortement. Nous ne bougeons pas, attendant la séquence suivante.
Tout à coup, je sens un effleurement sur ma hanche gauche, et je sens Marlène tressaillir aussi. Sans doute la touche-t-on aussi. Puis je me sens happé par quatre mains puissantes, qui me soulèvent, m’éloignent de
Marlène, et qui me reposent un peu plus loin, me forçant à me mettre à quatre pattes.
Je sens quelque chose qui veut forcer mes lèvres. Je dois ouvrir, et là, pour la première fois de ma vie, une queue me pénètre la bouche. Je ne peux que l’avaler, car on me tient la tête. C’est un membre large, pas très long semble-t-il, mais qui se branle en moi.
- Regardez-moi ce Zoot, il suce bien non ? Une vraie bouche à bite.
- Elle aussi elle suce bien, mais je lui ai donné ma chatte à lécher. Je reconnais la voix et comprends que Marlène est en train de découvrir le goût de la chatte de Nathalie.
- MMM, il ouvre bien, il a l’air d’aimer ma queue, reprend mon tourmenteur, et il me baise sauvagement la bouche.
Après quelques instants de dégoût, je me suis fait à cette introduction, et j’essaye de profiter de l’occasion pour découvrir cette sensation. Il me fait mal, ce con, mais
je ressens un peu de plaisir quand même à être ainsi pris de force.
- Regarde, il bande ce salopard, ça l’excite de se faire baiser la bouche.
- Et elle, elle mouille bien aussi, dit une voix d’homme. Regarde, je lui mets ma queue dans la chatte, elle me l’engloutit. Marlène est prise entre les deux pervers, et j’entends ses gémissements. Honnêtement, je crois bien que ce sont des murmures de plaisir, et que le traitement qu’elle reçoit lui plaît.
- Incroyable, ces deux là sont faits pour le plaisir ! On croyait les humilier, et on les excite !
- Alors continuons, et voyons ce que nous pouvons leur faire subir.
Je sens des mains me saisir le cul, et un doigt s’approcher de ma rondelle puis l’humecter avec de l’huile. Un doigt s‘insinue, m’élargissant le trou. Puis deux doigts. J’ai résisté un peu, mais celui qui me baise la bouche me tient bien, et l’autre finit par m’insérer sa queue, profondément.
Une douleur me vrille le ventre, je me cambre, j’essaye d’échapper à cette saillie.
- Oh, le vilain, il veut résister ! Une grande claque s’abat sur mes fesses.
Reste là, lopette, tu vas aimer j’en suis sûr.
- Elle aussi, je l’encule, regarde comme elle se trémousse cette pute.
Nos culs sont à la merci de ces hommes en rut, et peu à peu, sous les mots vulgaires, orduriers, je ressens la pénétration sans douleur, et brusquement, je me détends et me mets à apprécier ce traitement.
- Tu vois, Zoot, j’en étais sûr, tu es une vraie pute toi aussi, il a suffit que l’on te prenne et maintenant tu vas jouir.
- Attends, on va faire crier cette garce aussi, dit une autre voix d’homme, je vais la prendre en double avec toi.
Un long cri de plaisir mêlé de douleur s’élève quand Marlène se retrouve prise par les deux, la bouche plaquée contre la chatte de Nathalie.
Pour ma part, je suis complètement envahi par la puissance du vit qui me traverse, je lance mon cul vers la queue, et les deux font un balancier avec moi, la queue sortant de ma bouche quand l’autre s’enfonce en moi, et inversement.
J’entends Marlène qui ahane à côté de moi, elle aussi est en train de prendre son pied.
Le mec dans ma bouche m’envoie une belle giclée au fond du gosier.
- Avale tout, Zoot, interdiction de perdre une goutte de mon nectar.
Et pendant que j’avale le sperme, au goût acre, l’autre qui me pilonne l’anus continue de plus belle, et me voilà en train d’éjaculer moi aussi, emporté par la jouissance.
Cela excite mon enculeur, qui se lâche à son tour, m’envoyant un litre de foutre sur le cul.
- Lèche moi dit-il, nettoie ma queue dit-il en la présentant à ma langue.
L’idée de prendre une queue qui sort de mon cul me révulse, mais je sais que je n’ai pas le choix, et me voilà à nouveau avec un chibre entre les lèvres. Le goût est particulier, une odeur fétide me prend le cœur, mais je m’acquitte de ma tâche avec conviction, pour en finir au plus vite.
- C’est bien, maintenant nettoie le sol que tu as souillé.
Et je lèche mon propre jus, ce que je n’avais jamais fait. Et je l’aime, ce goût de moi-même, je découvre sa texture, son odeur, et cela me désaltère un peu après avoir sucé l’autre enculeur.
Puis j’entends Nathalie qui crie :
- Ouiiiiiiiiii, salope, tu me suces bien, aaaaaaaayyyyy, je jouis...
Et les deux mecs qui prennent Marlène éjaculent chacun leur tour, sur son visage
- En voilà une belle figure repeinte, va falloir te remaquiller petite chienne !
Un solo de rock nous vrille les tympans. Puis s’arrête. Un grand silence. Je n’ose bouger. Marlène également.
Mais après plusieurs minutes, je finis par enlever mon bandeau, et j’aperçois Marlène à quelques pas de moi, seule et nue, dégoulinante de foutre. Je m’approche d’elle, lui libère les yeux. Nous nous regardons, effarés.
- Reprenez vos vêtements et partez, vous aurez nos instructions pour la prochaine fois. Nous avons quelque idée de ce que vous pouvez subir maintenant, et croyez bien que nous avons apprécié votre prestation. Mais ce n’était qu’un apéritif... Allez, dehors, si vous n’êtes pas partis d’ici deux minutes, nous prenons vos vêtements.
Nous n’avons que le temps de nous sauver. Dès que nous sommes dans l’escalier, nous nous essuyons tant bien que mal. Je prends Marlène dans mes bras.
- Ma belle, même si j’ai eu des moments difficiles, je dois admettre que j’ai eu du plaisir à cette séance.
- Mon beau, je t’avoue que moi aussi, j’ai aimé être prise ainsi. Mais j’ai eu mal au début.
- Et moi donc, je n’avais jamais été enculé, et pour toi c’était récent aussi !
- Et cela me donne envie de toi encore plus.
- Et moi aussi, de t’entende beugler ton plaisir, c’était divin.
- De t’entendre, toi un garçon, te faire traiter de pute, cela m’a bien excitée aussi sais-tu ?
- Et ils avaient un peu raison, j’ai adoré cette queue qui me vrillait. Allez, viens, je t’invite à dîner pour nous remettre d’aplomb, et si tu veux, après, nous irons chez moi, je veux passer une nuit avec toi, et après ce que nous venons de vivre, je sens que nous allons encore nous découvrir.
- D’accord, je ne te quitte plus... et ta queue non plus.
Là j’ai été ému, parce qu’un sentiment nouveau naissait entre nous, fait de tendresse et d’envie de sexe, de douceur et de sauvagerie animale, et je me suis dit que nous ne faisions que commencer un long chemin...
Je ne vous raconterai pas notre première nuit ensemble, cela nous appartient… mais je vous dirai bientôt comment cette salope de Nathalie nous a embarqué dans une nouvelle séance.
Je vous dirai peut-être aussi comment Marlène et moi avons... Mais bon, vous le saurez bien assez tôt, bande de petit(e)s coquin(e)s.
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