Monsieur Denis Ep01 Souvenir de vacances
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Monsieur Denis Ep01 Souvenir de vacances
Il s'agit bien la de la suite de ' Le jeune Denis' cette histoire se passe un peu moins de dix ans plus tard. L'époque ou il avait passé des vacances qui devaient le marquer est resté un souvenir plein de tendresse, de mélancolie mais aussi un secret. Je me suis dit que nous n'allions pas attendre dix ans pour que je vous la raconte.
Denis menait une vie tranquille. Oui une vie tranquille, un peu trop peut-être. Mais Denis n'aimait pas trop la présence de trop de monde autour de lui. C'était d'autant plus ballot que comme il travaillait dans la finance il aurait dû être conduit à rencontrer beaucoup de gens.
Il se sentait bien au milieu d'un groupe très restreint et uniquement composé de personnes en qui il avait confiance. Il avait fait ses études et s'était installé à son compte. Il gagnait très bien sa vie, la scène publique le voyait comme un gourou mystérieux que peu de personnes pouvaient approcher . Il avait un flair certain et faisait gagner beaucoup d'argent à ses clients, en en gagnant lui-même énormément.
Un Gourou dont on ne savait pas quoi dire, il vivait presque reclus dans une très belle maison bourgeoise d’où il gérait ses affaires. Sa femme s'étaient installée à la ville, et ils ne se voyaient pas très souvent. Elle élevait leur fille. C'était une situation assez banale chez ces puritains.
Denis n'avait gardé à son service qu'un majordome, et un commis de … On ne savait pas trop de quoi d'ailleurs. Enfin un homme de toutes mains. C'était un déviant mais comme la maison était assez grande, il logeait dans la maison. Oui je sais c'est un peu scabreux mais il était dans une partie de la maison bien isolée du reste du bâtiment. Un sous-sol très convenable. Pour passer du sous-sol au reste de la maison il fallait passer par le jardin. Pas de communication directe donc ça pouvait aller.
La maison était de petite taille certes, enfin tout ça c'est très relatif, mais il y avait de la place tout de même. Une salle de conférence et suffisamment de chambres pour loger tous les participants. De plus le jardin était tout à fait respectable et un seul commis pour tout ça, ce n'était pas assez. On avait donc fait passer une petite annonce dans la presse.
On recherche pour une maison bourgeoise un ouvrier dons la fonction sera d'assurer la maintenance autant sur le bâti que dans le jardin . Vous présenter … Gna … gna … gna …
Le majordome avait le secours d'une cuisinière pour la préparation des repas, elle n'habitait pas dans la maison mais un peu plus loin dans le quartier, elle ne venait que le matin.
Pour terminer cette petite équipe, il y avait une secrétaire qui travaillait sur place uniquement le matin. L'après midi elle travaillait à son domicile, c'était dans le quartier et il ne lui fallait pas bien longtemps pour se rendre au bureau. Une ligne téléphonique directe lui permettait de rester en contact avec son patron. C'était elle, bien sûr, qui s'était occupée de faire passer l'annonce, mais c'est Mr Denis qui recevait les candidats.
Donc Monsieur Denis était tout sauf un mondain.
Ce matin là, un candidat s'était présenté, la secrétaire l'avait reçu avant de le faire entrer dans le bureau de son patron.
C'était un homme jeune qui se présentait, il avait l'âge de Monsieur Denis et présentait très bien. Denis parcourait rapidement et distraitement le CV que le candidat lui remettait puis relevait les yeux dans sa direction.
Son regard s'est figé.
– Emmanuel ! Parvenait-il juste à dire.
Le candidat fronçait les sourcils il n'avait pas encore reconnu son ancien ami. Puis son regard s'est éclairé,il reconnaissait Denis.
– Denis ! S'exclamait-il avec un large sourire.
Puis se ravisant.
– Pardon … Monsieur … Reprenait-il.
– Mais qu'est ce que tu es devenu, assieds toi, raconte.
Au début Emmanuel restait un peu sur la défensive, on lui avait appris à rester à sa place, et ils n'avaient plus l'âge de l'adolescence. De plus son ancien amant était devenu un Monsieur que tout le monde saluait dans la rue, un homme riche et puissant, et c'était un rendez-vous d'embauche.
Puis c'est la joie de retrouver son ancien ami qui prenait le dessus, il n'avait jamais cessé de penser à lui et s'il n'était pas embauché ce ne serait pas bien grave par rapport au plaisir de retrouver son ancien amant.
Il lui répondais avec un large sourire.
Denis se relevait et faisait le tour de son bureau, il avait les yeux qui se remplissaient de larmes, c'était l'émotion. Il se retrouvait devant son ancien ami puis se laissant aller le prenait dans ses bras. Emmanuel en faisait de même.
Les deux hommes étaient en larme. Quand Denis se retournait il appuyait sur le bouton de l'interphone et déclarait : '' Mlle Guertrüde voulez-vous veiller à ce qu'on ne me dérange pas.
Mlle Guertrüde n'avait pas l'habitude de discuter des consignes que lui donnait son maître. Et sa discrétion était totale.
Denis s'asseyait sur le canapé, avec à ses côtés son vieil ami. Ils parlaient , ils se racontaient les années passées. Emmanuel ne s'était pas marié. Il n'avait pas réussi à se décider, les femmes ne l'intéressaient pas. Pour Denis c'était bien pareil mais dans son milieu, tout était différent. On faisait chambre à part et tous ceux qui en avaient les moyens faisaient même souvent … Maison à part !
Cette famille était une famille bourgeoise et comme c'était souvent le cas dans ce milieu, ils faisaient chambre à part, et comme ils en avaient les moyens ils faisait maison à part et même ville à part.
Denis avait tout ce qu'il fallait dans son bureau et préparait un thé, une infusion rare provenant des régions très éloignées de l'empire. Ils discutaient, ils se racontaient leurs vies, ce qu'ils étaient devenus.
Rapidement toutes les règles de retenues disparaissaient et ils se racontaient … Oui ils se racontaient tout simplement. Le thé était exceptionnel. Emmanuel ne savait même pas qu'un tel régal pouvait exister.
– Qu'est tu devenu après mon départ ? Demandait Denis.
– J'ai travaillé un peu dans une ferme sur place, puis ma mère a décidé que ce serait mieux pour moi d'entrer au service d'une personne importante. C'est ce que tu es devenu, non !
– Et c'est pour ça que tu te présentes chez moi.
– Je ne savais pas que c'était toi.
– Tu serais venu si tu avais su ?
– Je ne sais pas, peut être pas.
– Alors comme ça c'est mieux !
Il y avait des moments de silence, de longs moment de silence. Puis, c'est Denis qui se décidait le premier, sa main frôlait celle de son ami. Emmanuel ne retirait pas la sienne et c'est délicatement qu'il lui répondait par une caresse, oh pas une bien grosse, juste avec son auriculaire.
C'est Emmanuel qui continuait à se rapprocher, il penchait sa tête sur le côté vers Denis. Denis faisait de même, les fronts se touchaient et rapidement c'étaient les lèvres qui se retrouvaient, des années avaient passé. Mais les deux corps se reconnaissaient, se retrouvaient.
Il n'en fallait pas plus pour que leurs baiser devienne intenses. On ne savait plus lequel tirait l'autre vers lui en passant sa main sur sa nuque. On ne savait plus lequel ouvrait la chemise de l'autre.
Ils se retrouvaient rapidement torse nues, ils étaient beau, il n'avait plus le corps d'adolescent, ils avaient le corps de jeunes hommes. Il était encore très jeune, encore loin des trente ans. Ils étaient musclés, forts et doux à la fois.
Emmanuel embrassait le torse de son compagnon, il le couvrait de baiser, avec la langue, avec les dents. Il le mordillait doucement. Denis n'avait aucune inquiétude. Il savait qu'ils étaient en sécurité, personne ne les dérangerait. Même si par le plus grand des hasard Mlle Guertrüde venait à entrer, ce qui était impossible, elle n'aurait rien eu à raconter, elle n'aurait rien vu. Vous savez quand on a décidé de ne rien voire. Son dévouement avec son patron Mr Denis était total.
C'est lui qui couvrait de baiser son amant maintenant, c'est lui qui lui ouvrait son pantalon. Y glissait une main sous le tissus, la peau était douce, il lui semblait bien se souvenir de cette douceur.
Emmanuel le laissait faire, Emmanuel se souvenait aussi de la douceur de son camarade Denis, à l'époque ils étaient deux camarades, deux jeunes, deux amants en devenir et ils le seraient devenus si la vie n'en avait pas décidé autrement à leurs places.
Ils reprenaient une relation abandonnée des années plus tôt. Aucun des deux n'avaient oublié l'autre. Quand Denis faisait glisser le pantalon de son partenaire, il remarquait que Emmanuel n'avait pas de cage à bite, et ça lui plaisait.
Une très belle queue qu'il reconnaissait peut être se relevais, et c'est sans aucune hésitation qu'il plongeait et la prenait dans sa bouche. Les deux corps se saisissaient, se contractaient. Une douce folie les prenait. Emmanuel appuyait sur la tête de son partenaire qui lui avalait la queue jusqu'au fond de sa gorge.
Plus personne ne pensais au rendez-vous d'embauche, ils avaient de nouveau seize ou dix sept ans. Ils étaient libres, ils s'étaient rencontré la veille et les arbres de la forêt protégeaient ce premier amour.
Emmanuel se redressait et retournait son amant. Rapidement, comme pris d'une fièvre il retirait le pantalon de Denis. Et c'est entièrement nus que les deux corps glissaient l'un contre l'autre, se caressaient l'un l'autre.
– Tu le portes toujours ! Faisait remarquer Emmanuel, en caressant la cage à bite de Denis.
– Tu n'en portes toujours pas ?
– Non je veux pas, c'est pas pour moi ça.
– Tu as raison.
Puis de nouveau, les caresses et la tendresse reprenaient. De nouveau les deux corps se caressaient, leurs bras saisissaient l'autre. Les deux corps roulaient l'un sur l'autre.
Le tapis du bureau est très épais et confortable.
Denis suçait goulûment la belle bite d'Emmanuel qui le masturbait en lui tripotant les couilles. Puis il lui glissait un doigt dans le cul. Il lubrifiait avec sa salive et l'enfonçait totalement, un second doigt suivait.
Emmanuel agitait rapidement les deux doigts dans le cul de Denis.
– Tu aimes ? Demandait Emmanuel.
– Oui vas y, continue. Ne t'arrête pas !
– Tu l'a fait souvent ?
– Tu sais Emmanuel, tu es le dernier homme que j'ai pris dans mes bras et j'ai plus du tout envie de le lâcher.
Emmanuel le faisait taire en l'embrassant.
Denis se relevait et sortait d'un tiroir un tube de gel lubrifiant. Emmanuel s'étonnait.
– C'est mon majordome ! Expliquait Denis.
Les deux hommes reprenaient leurs ébats. Emmanuel qui de toute évidence manquait d'habitude lubrifiait le cul de Denis et se lubrifiait généreusement la queue.
Il était hésitant mais prenait place entre les cuisses de son ami, lui relevait les cuisses. Denis était allongé sur le dos, il souriait, il avait un sourire un peu tendu mais il souriait.
Emmanuel se positionnait avec précision, Denis continuait à le caresser pour l'encourager. Puis Emmanuel poussait doucement mais fermement.
Denis faisait alors une grimace crispée, il serrait les dents et ne parvenait pas à retenir un gémissement de panique. C'était un gémissement lent et long. Ensuite il respirait fort, il sur ventilait, il respirait rapidement.
La queue d'Emmanuel glissait lentement. Ça résistait bien peu mais ce n'était pas le gel qui manquait. Denis était juste un peu étroit. C'était la première fois depuis tellement longtemps.
Emmanuel était attentif à la moindre réaction de son partenaire, il glissait en lui mais avec une certaine retenue. Son ventre s'écrasait sur les fesses de son ami Denis.
Il se penchait alors sur Denis de tous son poids. Denis refermait ses jambes dans le dos de son amant. Emmanuel se laissait tomber sur le corps de son partenaire, ils s'enlaçaient et s'embrassaient.
Ils se caressaient, Emmanuel se retirait, Denis poussait de nouveaux cris. C'était un peu de plaisir et beaucoup de douleur ou le contraire mais il y avait un peu les deux et Denis retenait Emmanuel. Il le retenait avec ses bras, il refermait ses jambes dans le dos d'Emmanuel. Et il gémissait plus fort à chaque mouvement de son partenaire.
Il ouvrait la bouche et son visage exprimait comme une supplique, comme un appel au secours, ou de panique.
Emmanuel revenait bien fond un peu plus vite. Denis respirait vite et gémissait à chaque respiration. Emmanuel commençait alors à lui limer le cul, lentement mais sûrement. Il entrait et ressortait avec régularité. Les mouvements étaient amples et profonds.
Denis convulsait, il jouissait. Par moment Emmanuel avait des doutes mais à aucun moment Denis ne lui demandait d'arrêter ni ne le repoussait. Il continuait ainsi pendant de longues de très longues minutes Emmanuel limait le cul de Denis.
Tous les muscles de Denis se détendait, son corps devenait tout mou. Emmanuel à son tour était pris de convulsion et il finissait par juter et par jouir dans le cul de Denis. Il donnait alors quelques coups de bassin rapides et violents. Denis râlait de nouveau puis les deux amants s'écroulaient sur eux même.
Plus tard Emmanuel se relevait. Denis l'emmenait dans un petit cabiner de toilette. Ils se rendaient présentables, chacun ajustait le col le bouton du costume de l'autre … Ils avaient oublié la raison de ce rendez-vous.
Un peu plus tard encore.
– Tu veux travailler pour moi ? Demandait Denis.
– Parce que c'est moi qui décide ? Répondait Emmanuel.
– Oui !
Les conditions étaient vite décidées. Pas de cage à bite pour Emmanuel, un bon salaire, logé sur place, nourri sur place … Enfin comme on fait d'habitude dans ce milieu et dans ce boulot.
Ils ressortaient du bureau. Denis présentait officiellement Emmanuel à sa secrétaire Mlle Guertrüde qui se préparait à partir. Denis terminait plus tard les présentation avec son Majordome et son jardinier.
Emmanuel n'a pas eu de mal à trouver ses marques dans cette maison. Le majordome portait une cage à bite mais pas le jardinier. Ils dormaient souvent ensemble, et Emmanuel aussi dormait avec son patron. Entre eux ils étaient détendus et se comportaient comme des amis.
Pour l'extérieur de la maison, le protocole assurait le secret et l'honneur de la maison.
C'était un monde puritain, et les secrets devaient être bien gardés si ce petit monde voulait vivre en paix.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Denis menait une vie tranquille. Oui une vie tranquille, un peu trop peut-être. Mais Denis n'aimait pas trop la présence de trop de monde autour de lui. C'était d'autant plus ballot que comme il travaillait dans la finance il aurait dû être conduit à rencontrer beaucoup de gens.
Il se sentait bien au milieu d'un groupe très restreint et uniquement composé de personnes en qui il avait confiance. Il avait fait ses études et s'était installé à son compte. Il gagnait très bien sa vie, la scène publique le voyait comme un gourou mystérieux que peu de personnes pouvaient approcher . Il avait un flair certain et faisait gagner beaucoup d'argent à ses clients, en en gagnant lui-même énormément.
Un Gourou dont on ne savait pas quoi dire, il vivait presque reclus dans une très belle maison bourgeoise d’où il gérait ses affaires. Sa femme s'étaient installée à la ville, et ils ne se voyaient pas très souvent. Elle élevait leur fille. C'était une situation assez banale chez ces puritains.
Denis n'avait gardé à son service qu'un majordome, et un commis de … On ne savait pas trop de quoi d'ailleurs. Enfin un homme de toutes mains. C'était un déviant mais comme la maison était assez grande, il logeait dans la maison. Oui je sais c'est un peu scabreux mais il était dans une partie de la maison bien isolée du reste du bâtiment. Un sous-sol très convenable. Pour passer du sous-sol au reste de la maison il fallait passer par le jardin. Pas de communication directe donc ça pouvait aller.
La maison était de petite taille certes, enfin tout ça c'est très relatif, mais il y avait de la place tout de même. Une salle de conférence et suffisamment de chambres pour loger tous les participants. De plus le jardin était tout à fait respectable et un seul commis pour tout ça, ce n'était pas assez. On avait donc fait passer une petite annonce dans la presse.
On recherche pour une maison bourgeoise un ouvrier dons la fonction sera d'assurer la maintenance autant sur le bâti que dans le jardin . Vous présenter … Gna … gna … gna …
Le majordome avait le secours d'une cuisinière pour la préparation des repas, elle n'habitait pas dans la maison mais un peu plus loin dans le quartier, elle ne venait que le matin.
Pour terminer cette petite équipe, il y avait une secrétaire qui travaillait sur place uniquement le matin. L'après midi elle travaillait à son domicile, c'était dans le quartier et il ne lui fallait pas bien longtemps pour se rendre au bureau. Une ligne téléphonique directe lui permettait de rester en contact avec son patron. C'était elle, bien sûr, qui s'était occupée de faire passer l'annonce, mais c'est Mr Denis qui recevait les candidats.
Donc Monsieur Denis était tout sauf un mondain.
Ce matin là, un candidat s'était présenté, la secrétaire l'avait reçu avant de le faire entrer dans le bureau de son patron.
C'était un homme jeune qui se présentait, il avait l'âge de Monsieur Denis et présentait très bien. Denis parcourait rapidement et distraitement le CV que le candidat lui remettait puis relevait les yeux dans sa direction.
Son regard s'est figé.
– Emmanuel ! Parvenait-il juste à dire.
Le candidat fronçait les sourcils il n'avait pas encore reconnu son ancien ami. Puis son regard s'est éclairé,il reconnaissait Denis.
– Denis ! S'exclamait-il avec un large sourire.
Puis se ravisant.
– Pardon … Monsieur … Reprenait-il.
– Mais qu'est ce que tu es devenu, assieds toi, raconte.
Au début Emmanuel restait un peu sur la défensive, on lui avait appris à rester à sa place, et ils n'avaient plus l'âge de l'adolescence. De plus son ancien amant était devenu un Monsieur que tout le monde saluait dans la rue, un homme riche et puissant, et c'était un rendez-vous d'embauche.
Puis c'est la joie de retrouver son ancien ami qui prenait le dessus, il n'avait jamais cessé de penser à lui et s'il n'était pas embauché ce ne serait pas bien grave par rapport au plaisir de retrouver son ancien amant.
Il lui répondais avec un large sourire.
Denis se relevait et faisait le tour de son bureau, il avait les yeux qui se remplissaient de larmes, c'était l'émotion. Il se retrouvait devant son ancien ami puis se laissant aller le prenait dans ses bras. Emmanuel en faisait de même.
Les deux hommes étaient en larme. Quand Denis se retournait il appuyait sur le bouton de l'interphone et déclarait : '' Mlle Guertrüde voulez-vous veiller à ce qu'on ne me dérange pas.
Mlle Guertrüde n'avait pas l'habitude de discuter des consignes que lui donnait son maître. Et sa discrétion était totale.
Denis s'asseyait sur le canapé, avec à ses côtés son vieil ami. Ils parlaient , ils se racontaient les années passées. Emmanuel ne s'était pas marié. Il n'avait pas réussi à se décider, les femmes ne l'intéressaient pas. Pour Denis c'était bien pareil mais dans son milieu, tout était différent. On faisait chambre à part et tous ceux qui en avaient les moyens faisaient même souvent … Maison à part !
Cette famille était une famille bourgeoise et comme c'était souvent le cas dans ce milieu, ils faisaient chambre à part, et comme ils en avaient les moyens ils faisait maison à part et même ville à part.
Denis avait tout ce qu'il fallait dans son bureau et préparait un thé, une infusion rare provenant des régions très éloignées de l'empire. Ils discutaient, ils se racontaient leurs vies, ce qu'ils étaient devenus.
Rapidement toutes les règles de retenues disparaissaient et ils se racontaient … Oui ils se racontaient tout simplement. Le thé était exceptionnel. Emmanuel ne savait même pas qu'un tel régal pouvait exister.
– Qu'est tu devenu après mon départ ? Demandait Denis.
– J'ai travaillé un peu dans une ferme sur place, puis ma mère a décidé que ce serait mieux pour moi d'entrer au service d'une personne importante. C'est ce que tu es devenu, non !
– Et c'est pour ça que tu te présentes chez moi.
– Je ne savais pas que c'était toi.
– Tu serais venu si tu avais su ?
– Je ne sais pas, peut être pas.
– Alors comme ça c'est mieux !
Il y avait des moments de silence, de longs moment de silence. Puis, c'est Denis qui se décidait le premier, sa main frôlait celle de son ami. Emmanuel ne retirait pas la sienne et c'est délicatement qu'il lui répondait par une caresse, oh pas une bien grosse, juste avec son auriculaire.
C'est Emmanuel qui continuait à se rapprocher, il penchait sa tête sur le côté vers Denis. Denis faisait de même, les fronts se touchaient et rapidement c'étaient les lèvres qui se retrouvaient, des années avaient passé. Mais les deux corps se reconnaissaient, se retrouvaient.
Il n'en fallait pas plus pour que leurs baiser devienne intenses. On ne savait plus lequel tirait l'autre vers lui en passant sa main sur sa nuque. On ne savait plus lequel ouvrait la chemise de l'autre.
Ils se retrouvaient rapidement torse nues, ils étaient beau, il n'avait plus le corps d'adolescent, ils avaient le corps de jeunes hommes. Il était encore très jeune, encore loin des trente ans. Ils étaient musclés, forts et doux à la fois.
Emmanuel embrassait le torse de son compagnon, il le couvrait de baiser, avec la langue, avec les dents. Il le mordillait doucement. Denis n'avait aucune inquiétude. Il savait qu'ils étaient en sécurité, personne ne les dérangerait. Même si par le plus grand des hasard Mlle Guertrüde venait à entrer, ce qui était impossible, elle n'aurait rien eu à raconter, elle n'aurait rien vu. Vous savez quand on a décidé de ne rien voire. Son dévouement avec son patron Mr Denis était total.
C'est lui qui couvrait de baiser son amant maintenant, c'est lui qui lui ouvrait son pantalon. Y glissait une main sous le tissus, la peau était douce, il lui semblait bien se souvenir de cette douceur.
Emmanuel le laissait faire, Emmanuel se souvenait aussi de la douceur de son camarade Denis, à l'époque ils étaient deux camarades, deux jeunes, deux amants en devenir et ils le seraient devenus si la vie n'en avait pas décidé autrement à leurs places.
Ils reprenaient une relation abandonnée des années plus tôt. Aucun des deux n'avaient oublié l'autre. Quand Denis faisait glisser le pantalon de son partenaire, il remarquait que Emmanuel n'avait pas de cage à bite, et ça lui plaisait.
Une très belle queue qu'il reconnaissait peut être se relevais, et c'est sans aucune hésitation qu'il plongeait et la prenait dans sa bouche. Les deux corps se saisissaient, se contractaient. Une douce folie les prenait. Emmanuel appuyait sur la tête de son partenaire qui lui avalait la queue jusqu'au fond de sa gorge.
Plus personne ne pensais au rendez-vous d'embauche, ils avaient de nouveau seize ou dix sept ans. Ils étaient libres, ils s'étaient rencontré la veille et les arbres de la forêt protégeaient ce premier amour.
Emmanuel se redressait et retournait son amant. Rapidement, comme pris d'une fièvre il retirait le pantalon de Denis. Et c'est entièrement nus que les deux corps glissaient l'un contre l'autre, se caressaient l'un l'autre.
– Tu le portes toujours ! Faisait remarquer Emmanuel, en caressant la cage à bite de Denis.
– Tu n'en portes toujours pas ?
– Non je veux pas, c'est pas pour moi ça.
– Tu as raison.
Puis de nouveau, les caresses et la tendresse reprenaient. De nouveau les deux corps se caressaient, leurs bras saisissaient l'autre. Les deux corps roulaient l'un sur l'autre.
Le tapis du bureau est très épais et confortable.
Denis suçait goulûment la belle bite d'Emmanuel qui le masturbait en lui tripotant les couilles. Puis il lui glissait un doigt dans le cul. Il lubrifiait avec sa salive et l'enfonçait totalement, un second doigt suivait.
Emmanuel agitait rapidement les deux doigts dans le cul de Denis.
– Tu aimes ? Demandait Emmanuel.
– Oui vas y, continue. Ne t'arrête pas !
– Tu l'a fait souvent ?
– Tu sais Emmanuel, tu es le dernier homme que j'ai pris dans mes bras et j'ai plus du tout envie de le lâcher.
Emmanuel le faisait taire en l'embrassant.
Denis se relevait et sortait d'un tiroir un tube de gel lubrifiant. Emmanuel s'étonnait.
– C'est mon majordome ! Expliquait Denis.
Les deux hommes reprenaient leurs ébats. Emmanuel qui de toute évidence manquait d'habitude lubrifiait le cul de Denis et se lubrifiait généreusement la queue.
Il était hésitant mais prenait place entre les cuisses de son ami, lui relevait les cuisses. Denis était allongé sur le dos, il souriait, il avait un sourire un peu tendu mais il souriait.
Emmanuel se positionnait avec précision, Denis continuait à le caresser pour l'encourager. Puis Emmanuel poussait doucement mais fermement.
Denis faisait alors une grimace crispée, il serrait les dents et ne parvenait pas à retenir un gémissement de panique. C'était un gémissement lent et long. Ensuite il respirait fort, il sur ventilait, il respirait rapidement.
La queue d'Emmanuel glissait lentement. Ça résistait bien peu mais ce n'était pas le gel qui manquait. Denis était juste un peu étroit. C'était la première fois depuis tellement longtemps.
Emmanuel était attentif à la moindre réaction de son partenaire, il glissait en lui mais avec une certaine retenue. Son ventre s'écrasait sur les fesses de son ami Denis.
Il se penchait alors sur Denis de tous son poids. Denis refermait ses jambes dans le dos de son amant. Emmanuel se laissait tomber sur le corps de son partenaire, ils s'enlaçaient et s'embrassaient.
Ils se caressaient, Emmanuel se retirait, Denis poussait de nouveaux cris. C'était un peu de plaisir et beaucoup de douleur ou le contraire mais il y avait un peu les deux et Denis retenait Emmanuel. Il le retenait avec ses bras, il refermait ses jambes dans le dos d'Emmanuel. Et il gémissait plus fort à chaque mouvement de son partenaire.
Il ouvrait la bouche et son visage exprimait comme une supplique, comme un appel au secours, ou de panique.
Emmanuel revenait bien fond un peu plus vite. Denis respirait vite et gémissait à chaque respiration. Emmanuel commençait alors à lui limer le cul, lentement mais sûrement. Il entrait et ressortait avec régularité. Les mouvements étaient amples et profonds.
Denis convulsait, il jouissait. Par moment Emmanuel avait des doutes mais à aucun moment Denis ne lui demandait d'arrêter ni ne le repoussait. Il continuait ainsi pendant de longues de très longues minutes Emmanuel limait le cul de Denis.
Tous les muscles de Denis se détendait, son corps devenait tout mou. Emmanuel à son tour était pris de convulsion et il finissait par juter et par jouir dans le cul de Denis. Il donnait alors quelques coups de bassin rapides et violents. Denis râlait de nouveau puis les deux amants s'écroulaient sur eux même.
Plus tard Emmanuel se relevait. Denis l'emmenait dans un petit cabiner de toilette. Ils se rendaient présentables, chacun ajustait le col le bouton du costume de l'autre … Ils avaient oublié la raison de ce rendez-vous.
Un peu plus tard encore.
– Tu veux travailler pour moi ? Demandait Denis.
– Parce que c'est moi qui décide ? Répondait Emmanuel.
– Oui !
Les conditions étaient vite décidées. Pas de cage à bite pour Emmanuel, un bon salaire, logé sur place, nourri sur place … Enfin comme on fait d'habitude dans ce milieu et dans ce boulot.
Ils ressortaient du bureau. Denis présentait officiellement Emmanuel à sa secrétaire Mlle Guertrüde qui se préparait à partir. Denis terminait plus tard les présentation avec son Majordome et son jardinier.
Emmanuel n'a pas eu de mal à trouver ses marques dans cette maison. Le majordome portait une cage à bite mais pas le jardinier. Ils dormaient souvent ensemble, et Emmanuel aussi dormait avec son patron. Entre eux ils étaient détendus et se comportaient comme des amis.
Pour l'extérieur de la maison, le protocole assurait le secret et l'honneur de la maison.
C'était un monde puritain, et les secrets devaient être bien gardés si ce petit monde voulait vivre en paix.
Fin
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Googlé la cage de chasteté ... ??
Le contexte passé est amusant, mais on ne se méfie toujours pas des petits bourgeois sans histoires en apparence, et il aurait sans doute continué sa petite vie tranquille et rangée sans le retour d'un ancien pote (de jeu... particulier, j'imagine). Après, aux yeux du monde, rien ne changera, mais après tout, le bonheur ne doit pas forcément être exhibé, ça ne regarde personne, c'est tout tendre entre eux et ça suffit.
J'ai googlé la cage ('de chasteté', d'après google) et bon, le principe semble assez frustrant, mais à chacun son truc, hein.
J'ai googlé la cage ('de chasteté', d'après google) et bon, le principe semble assez frustrant, mais à chacun son truc, hein.
Merci
Elle finit bien cette histoire .j'aime beaucoup