Monsieur Lopez
Récit érotique écrit par lelivredejeremie [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Monsieur Lopez
Mes parents sont un peu inquiets, mais je les rassure à chaque fois, je m’en sors pour ma chambre à la cité U et les repas au resto de la fac, avec mon job d’étudiant. Ils sont adorables, mais ils ont déjà fait bien assez, et je ne parle pas des 200€ par mois qu’ils me virent, non, là, je parle de moi, le joli petit moi qu’ils ont réussi à fabriquer, ma silhouette fine, mon visage juvénile qui, à dix-neuf ans m’en donne seize pour certains, et tous les détails que ces mecs adorent s’offrir pour autant par séance… la lueur de plaisir que Marcel prétend voir dans mes yeux lors de l’orgasme que je simule, mes ‘adorables petits orteils’ (sic) que Jean-Michel suce comme veau au pis avant de tenter trois fois de me pénétrer pour finir par se branler sur mon dos, la prétendue douleur quand Tony enfonce ce qu’il peut en moi, juste assez pour me stimuler la prostate pendant trois-quatre minutes et faire suinter de mon petit gland à demi décalotté un filet de présperme qui le satisfait, et déclenche son éjac’…
- Tu y déjà as des amis ?
J’ai un peu phasé en repensant à cet après-midi, mes omoplates collées au matelas, mes cuisses serrées sur la taille de Max, une main sur sa nuque, l’autre agitée sur ma queue "Oooh oui, lààà ! Encooore… Je v… Je vais… Aaaaah, je jouiiiiiis !" avant qu’il redresse son torse finement musclé, rejette en arrière son visage de jeune dieu grec où ses mèches blondes sont collées par la transpiration et, de quatre coups de coups de bite plus profonds, espacés, qu’il se répande en moi.
- Oui, me suis-je repris, "Max…imilien, vous ne le connaissez pas, il était au lycée quand j’étais encore au collège, à Saint-Hadelin. Il est étudiant en STAPS à l’université…"
Pour Max, c’est gratuit, bien sûr, il me donne un plaisir rarissime avec mes clients, mais je peux bien me l’accorder, Marcel, Jean-Michel, Tony et les autres m’assurent un revenu régulier de près de 1.600€ par mois, je ne peux me passer ni de l’un ni de l’autre, alors je cloisonne, voilà.
Ce soir, Mister Magic Dick, vraiment étudiant en STAPS pour le coup, a un match… Non, pas du genre rencontre intime, un vrai, de ceux à cinq, contre cinq autres mecs, avec une balle…
C’est dire si j’avais une bonne raison pour me connecter sur Adam4Adam, rentré à la cité U.
Les ‘coucou, t’es libre ?’ des habituels désespérés, qui tentent de montrer le meilleur du pire d’eux-mêmes, dont certains très proches, sur le campus, puis, en défilant les candidats, ‘Sergi, 66 ans, actif, pour role-play et sodo’.
‘Du jeu de rôle, ça changerait’ ai-je pensé. ‘Son âge, puis visiblement épais comme un sandwich SNCF d’après la photo de son corps coupée au cou, ça me fera deux cents boules gagnées facile. J’ai validé sa demande, pour un message presque immédiat.
[Bonsoir, jeune homme. Il y aurait une partie en uniforme, cela vous agrée-t-il ?]
Demandé si poliment… Puis, bon, j’ai déjà enfilé un costume de renard, et même une moche robe à fleurs de la défunte épouse de Jean-Michel-le-suceur-d’orteils, on n’est plus sur ça…
[Il y a un supplément pour porter un déguisement, donc 250€, mais sinon, tout pour votre plaisir, le jour, l’heure et l’adresse, s’il vous plait, je ne reçois pas]
[Soit, soit… Demain, 20h, allée des Primevères, 2 à P***]
J’ai laissé la conv’ en suspens, j’aime un peu cruellement qu’ils soient inquiets…
Ce qu’il n’était pas du tout en ouvrant la porte de son pavillon de banlieue tranquille, au contraire…
- Bien, c’est parfait, quelques retouches à porter, mais mince, et blond… Oui, c’est bon ! a couiné monsieur Lopez, le prof d’espagnol – et terreur - du lycée, qui avait heureusement pris sa retraite juste avant que, jeune collégien, j’y accède.
J’ai brièvement pensé que je n’avais jamais su son prénom, mais ce n’est surement pas Sergi, celui de l’acteur, un beef avec probablement tout en proportion, lui…
- Quelques retouches ? ai-je demandé, en le suivant dans son salon vieillot.
- Vos cheveux, jeune homme, je souhaiterais que vous les domestiquiez, raie à gauche, aplatis, mèche sur le front, il y a du gel dans la salle de bain du premier, et un uniforme sur le lit, dans la chambre… Oh ! Et aussi, je me moque de votre prénom, vous êtes Maximilien, et vous m’appelez Monsieur, vous retiendrez ces instructions de base ? Signalez-moi lorsque vous serez prêt.
J’ai trouvé sur le lit l’uniforme l’école, en taille L, dans lequel ma physionomie maigrichonne se glissait encore, pieds nus pour échapper aux horribles chaussures cirées, la cravate négligemment détachée…
- Je suis prêt, ai-je crié dans la cage d’escalier, qu’il a remontée d’un pas mesuré, en grommelant "Les cheveux, j’ai dit bien coiffés, raie à gauche !"
Je me suis précipité dans la salle de bain, pour appliquer le gel, avant qu’il m’y rejoigne et murmure, le regard dans le vague "Maximilien, enfin, je vais pouvoir assouvir un fantasme vieux de cinq ans, puis quelques autres…"
Le collège, le prénom, l’apparence, même très relative, là… Je dois en avoir le cœur net !
- Sur le lit, à plat ventre, pantalon baissé, a-t-il couiné en ouvrant le sien sur sa queue déjà raide, assez épaisse, mais courte.
J’ai entièrement retiré le vêtement, pour m’allonger sur le dos "En missionnaire, ce serait mieux, pas pour mon plaisir, c’est juste que ça entre plus loin" ai-je menti.
- Ton plaisir n’est effectivement pas prévu au programme… Merde, ce que c’est chiant à enfiler, ces capotes, quoiqu’indispensable avec les petites putes comme toi.
- Le plaisir, ça ne se commande pas vraiment, ai-je murmuré avec un sourire lubrique, en écartant les cuisses pour les remonter sur mon torse étroit
Comme trop souvent avec ces baiseurs amateurs, la douleur, forcément, mais qui, avec l’habitude, et l’expérience, s’estompe désormais rapidement… J’ai pu me concentrer sur la pénétration limitée de sa queue, heureusement assez épaisse qui passe et repasse mécaniquement en me massant la prostate, faisant pointer le premier… l’autre plaisir, plus diffus, qui précède l’orgasme anal ultime.
Son corps redressé à 45 degrés m’a laissé voir mon gland, spontanément décalotté, luisant du présperme qui coule en un lent filet, j’ai enroulé les doigts sur ma hampe, juste sous mon petit fruit mûr, ce qui a à son tour attiré son attention.
- Pas de ça ! a-t-il glapi en chassant ma main pour la remplacer par la sienne, fermement serrée. "Pas de plaisir pour toi, Maximilien, seulement le mien, alors que je te baise enfin."
Il a repris ses mouvements en moi, poussant plus brusquement son gros gland aussi profond qu’il le pouvait, exerçant à chaque passage une pression de sa main immobile sur mon sexe, sans réaliser que le plaisir, c’est en partie cérébral, et parfois, ça se commande… Les yeux fermés, un peu d’autosuggestion m’a mis à l’esprit l’image du corps de Max, et la sensation de sa belle queue qui me possède longuement avant qu’il répande en moi sa semence épaisse, qu’il adore voir ensuite lentement s’écouler de mon anus tuméfié et encore palpitant.
Quand j’ai senti l’imminence de l’orgasme, j’ai écrasé les talons sur les fesses de monsieur Lopez pour le retenir en moi, alors que mon corps se tendait et que j’éjaculais à gros jets, dont le dernier a coulé sur ses doigts.
- Nooon ! a-t-il crié, en s’enfonçant rageusement, désespérément, avant de gémir pour exprimer son plaisir, probablement frustré.
Il a grimacé en comparant sa faible éjaculation dans le latex, et la mienne, glorieusement étalée sur mon torse et mon pubis.
- Qui est ce Maximilien, monsieur Lopez ? ai-je insidieusement demandé, après m’être rhabillé et avoir empoché un huitième de sa retraite du mois, et qu’il m’avait raccompagné à la porte.
- Un de mes ancien élève, assez moyen, il faut dire, mais très beau, sportif, populaire, la petite star du lycée, et ridiculement hétéro, le petit con… Mais… Je ne t’ai pas donné mon nom, comment peux-tu le connaitre ?
- Je n’ai jamais eu de cours avec vous, j’étais encore au collège quand vous êtes parti, mais je me souviens de vous. Max, par contre, j’en doute un peu, ai-je murmuré, avant d’ajouter, un peu cruellement, en espagnol "Lo siento, señor Lopez".
- Tu connaissais également Maximilien, alors ?
- On se voit toujours, sauf quand il me baise en levrette… Et votre description était assez juste, à un détail près, ai-je dit en sortant mon smartphone pour ouvrir l’appli Instagram et tourner l’écran vers lui sur un selfie avec Max, torses nus, le même sourire libidineux aux lèvres. "Il n’est pas vraiment hétéro du tout… Je lui remets votre bonjour ?"
Il a claqué la porte. J’ai remonté la rue, mon portable toujours en main et j’ai accédé au répertoire.
- Alors, ce match ?
- On a gagné, Jérémie ! C’est l’overdose d’adrénaline, là !
- Et de testostérone, j’imagine. Que ferais-tu bien de toute cette énergie ? Je quitte mon client de ce soir, je serai à la cité U dans une heure…
Pas le temps de me recharger les couilles, ai-je pensé, mais ma prostate semble inépuisable…
Max m’a avoué que son excitation ne lui accorderait pas l’endurance qu’il consacre toujours à me faire l’amour, et sa fierté tient pas mal au plaisir qu’il m’accorde, il a longuement massé ma petite glande de deux doigts légers en faisant éclore, de la caresse de ses lèvres et de sa langue, mon gland, dont des gouttes de présperme ont suinté. Il l’a libéré, avant de revenir lécher mon méat et de murmurer, l’air faussement désolé "Je serai peut-être un peu brusque, mais j’ai tellement envie de toi, Jérémie…"
- Ça tombe bien, j’ai envie de virilité débridée après…
- Pas terrible, le mec ? Je vais te le faire oublier, t’inquiète.
- Je sais, ça. Et non, pas terrible du tout, je te raconterai, ça te fera peut-être même rire.
Finalement, je ne vois jamais pourquoi il s’inquiéterait, que la baise soit lente et délicate ou, comme ce soir, plus bestiale, avec une maitrise totale de la force, du rythme et de la profondeur de sa pénétration, il s’arrange toujours pour provoquer le plaisir que je ne peux pas cacher, à me tortiller en gémissant sur le matelas.
Si j’ai forcément peu éjaculé, cette fois, lui, par contre…
Agenouillé de part et d’autre de son torse, j’ai interrompu sa contemplation des gouttes de son sperme qui y tombent ‘’Au fait, au lycée, tu as eu Lopez en espagnol, non ?’’
- Qui ? Lopez… Ah ouais, un petit teigneux aigri, il détestait les cancres, genre… moi.
- Peut-être nul dans son cours, mais beau, sportif, populaire… ce sont ses termes. Tu veux entendre mon truc marrant ?
- Tu y déjà as des amis ?
J’ai un peu phasé en repensant à cet après-midi, mes omoplates collées au matelas, mes cuisses serrées sur la taille de Max, une main sur sa nuque, l’autre agitée sur ma queue "Oooh oui, lààà ! Encooore… Je v… Je vais… Aaaaah, je jouiiiiiis !" avant qu’il redresse son torse finement musclé, rejette en arrière son visage de jeune dieu grec où ses mèches blondes sont collées par la transpiration et, de quatre coups de coups de bite plus profonds, espacés, qu’il se répande en moi.
- Oui, me suis-je repris, "Max…imilien, vous ne le connaissez pas, il était au lycée quand j’étais encore au collège, à Saint-Hadelin. Il est étudiant en STAPS à l’université…"
Pour Max, c’est gratuit, bien sûr, il me donne un plaisir rarissime avec mes clients, mais je peux bien me l’accorder, Marcel, Jean-Michel, Tony et les autres m’assurent un revenu régulier de près de 1.600€ par mois, je ne peux me passer ni de l’un ni de l’autre, alors je cloisonne, voilà.
Ce soir, Mister Magic Dick, vraiment étudiant en STAPS pour le coup, a un match… Non, pas du genre rencontre intime, un vrai, de ceux à cinq, contre cinq autres mecs, avec une balle…
C’est dire si j’avais une bonne raison pour me connecter sur Adam4Adam, rentré à la cité U.
Les ‘coucou, t’es libre ?’ des habituels désespérés, qui tentent de montrer le meilleur du pire d’eux-mêmes, dont certains très proches, sur le campus, puis, en défilant les candidats, ‘Sergi, 66 ans, actif, pour role-play et sodo’.
‘Du jeu de rôle, ça changerait’ ai-je pensé. ‘Son âge, puis visiblement épais comme un sandwich SNCF d’après la photo de son corps coupée au cou, ça me fera deux cents boules gagnées facile. J’ai validé sa demande, pour un message presque immédiat.
[Bonsoir, jeune homme. Il y aurait une partie en uniforme, cela vous agrée-t-il ?]
Demandé si poliment… Puis, bon, j’ai déjà enfilé un costume de renard, et même une moche robe à fleurs de la défunte épouse de Jean-Michel-le-suceur-d’orteils, on n’est plus sur ça…
[Il y a un supplément pour porter un déguisement, donc 250€, mais sinon, tout pour votre plaisir, le jour, l’heure et l’adresse, s’il vous plait, je ne reçois pas]
[Soit, soit… Demain, 20h, allée des Primevères, 2 à P***]
J’ai laissé la conv’ en suspens, j’aime un peu cruellement qu’ils soient inquiets…
Ce qu’il n’était pas du tout en ouvrant la porte de son pavillon de banlieue tranquille, au contraire…
- Bien, c’est parfait, quelques retouches à porter, mais mince, et blond… Oui, c’est bon ! a couiné monsieur Lopez, le prof d’espagnol – et terreur - du lycée, qui avait heureusement pris sa retraite juste avant que, jeune collégien, j’y accède.
J’ai brièvement pensé que je n’avais jamais su son prénom, mais ce n’est surement pas Sergi, celui de l’acteur, un beef avec probablement tout en proportion, lui…
- Quelques retouches ? ai-je demandé, en le suivant dans son salon vieillot.
- Vos cheveux, jeune homme, je souhaiterais que vous les domestiquiez, raie à gauche, aplatis, mèche sur le front, il y a du gel dans la salle de bain du premier, et un uniforme sur le lit, dans la chambre… Oh ! Et aussi, je me moque de votre prénom, vous êtes Maximilien, et vous m’appelez Monsieur, vous retiendrez ces instructions de base ? Signalez-moi lorsque vous serez prêt.
J’ai trouvé sur le lit l’uniforme l’école, en taille L, dans lequel ma physionomie maigrichonne se glissait encore, pieds nus pour échapper aux horribles chaussures cirées, la cravate négligemment détachée…
- Je suis prêt, ai-je crié dans la cage d’escalier, qu’il a remontée d’un pas mesuré, en grommelant "Les cheveux, j’ai dit bien coiffés, raie à gauche !"
Je me suis précipité dans la salle de bain, pour appliquer le gel, avant qu’il m’y rejoigne et murmure, le regard dans le vague "Maximilien, enfin, je vais pouvoir assouvir un fantasme vieux de cinq ans, puis quelques autres…"
Le collège, le prénom, l’apparence, même très relative, là… Je dois en avoir le cœur net !
- Sur le lit, à plat ventre, pantalon baissé, a-t-il couiné en ouvrant le sien sur sa queue déjà raide, assez épaisse, mais courte.
J’ai entièrement retiré le vêtement, pour m’allonger sur le dos "En missionnaire, ce serait mieux, pas pour mon plaisir, c’est juste que ça entre plus loin" ai-je menti.
- Ton plaisir n’est effectivement pas prévu au programme… Merde, ce que c’est chiant à enfiler, ces capotes, quoiqu’indispensable avec les petites putes comme toi.
- Le plaisir, ça ne se commande pas vraiment, ai-je murmuré avec un sourire lubrique, en écartant les cuisses pour les remonter sur mon torse étroit
Comme trop souvent avec ces baiseurs amateurs, la douleur, forcément, mais qui, avec l’habitude, et l’expérience, s’estompe désormais rapidement… J’ai pu me concentrer sur la pénétration limitée de sa queue, heureusement assez épaisse qui passe et repasse mécaniquement en me massant la prostate, faisant pointer le premier… l’autre plaisir, plus diffus, qui précède l’orgasme anal ultime.
Son corps redressé à 45 degrés m’a laissé voir mon gland, spontanément décalotté, luisant du présperme qui coule en un lent filet, j’ai enroulé les doigts sur ma hampe, juste sous mon petit fruit mûr, ce qui a à son tour attiré son attention.
- Pas de ça ! a-t-il glapi en chassant ma main pour la remplacer par la sienne, fermement serrée. "Pas de plaisir pour toi, Maximilien, seulement le mien, alors que je te baise enfin."
Il a repris ses mouvements en moi, poussant plus brusquement son gros gland aussi profond qu’il le pouvait, exerçant à chaque passage une pression de sa main immobile sur mon sexe, sans réaliser que le plaisir, c’est en partie cérébral, et parfois, ça se commande… Les yeux fermés, un peu d’autosuggestion m’a mis à l’esprit l’image du corps de Max, et la sensation de sa belle queue qui me possède longuement avant qu’il répande en moi sa semence épaisse, qu’il adore voir ensuite lentement s’écouler de mon anus tuméfié et encore palpitant.
Quand j’ai senti l’imminence de l’orgasme, j’ai écrasé les talons sur les fesses de monsieur Lopez pour le retenir en moi, alors que mon corps se tendait et que j’éjaculais à gros jets, dont le dernier a coulé sur ses doigts.
- Nooon ! a-t-il crié, en s’enfonçant rageusement, désespérément, avant de gémir pour exprimer son plaisir, probablement frustré.
Il a grimacé en comparant sa faible éjaculation dans le latex, et la mienne, glorieusement étalée sur mon torse et mon pubis.
- Qui est ce Maximilien, monsieur Lopez ? ai-je insidieusement demandé, après m’être rhabillé et avoir empoché un huitième de sa retraite du mois, et qu’il m’avait raccompagné à la porte.
- Un de mes ancien élève, assez moyen, il faut dire, mais très beau, sportif, populaire, la petite star du lycée, et ridiculement hétéro, le petit con… Mais… Je ne t’ai pas donné mon nom, comment peux-tu le connaitre ?
- Je n’ai jamais eu de cours avec vous, j’étais encore au collège quand vous êtes parti, mais je me souviens de vous. Max, par contre, j’en doute un peu, ai-je murmuré, avant d’ajouter, un peu cruellement, en espagnol "Lo siento, señor Lopez".
- Tu connaissais également Maximilien, alors ?
- On se voit toujours, sauf quand il me baise en levrette… Et votre description était assez juste, à un détail près, ai-je dit en sortant mon smartphone pour ouvrir l’appli Instagram et tourner l’écran vers lui sur un selfie avec Max, torses nus, le même sourire libidineux aux lèvres. "Il n’est pas vraiment hétéro du tout… Je lui remets votre bonjour ?"
Il a claqué la porte. J’ai remonté la rue, mon portable toujours en main et j’ai accédé au répertoire.
- Alors, ce match ?
- On a gagné, Jérémie ! C’est l’overdose d’adrénaline, là !
- Et de testostérone, j’imagine. Que ferais-tu bien de toute cette énergie ? Je quitte mon client de ce soir, je serai à la cité U dans une heure…
Pas le temps de me recharger les couilles, ai-je pensé, mais ma prostate semble inépuisable…
Max m’a avoué que son excitation ne lui accorderait pas l’endurance qu’il consacre toujours à me faire l’amour, et sa fierté tient pas mal au plaisir qu’il m’accorde, il a longuement massé ma petite glande de deux doigts légers en faisant éclore, de la caresse de ses lèvres et de sa langue, mon gland, dont des gouttes de présperme ont suinté. Il l’a libéré, avant de revenir lécher mon méat et de murmurer, l’air faussement désolé "Je serai peut-être un peu brusque, mais j’ai tellement envie de toi, Jérémie…"
- Ça tombe bien, j’ai envie de virilité débridée après…
- Pas terrible, le mec ? Je vais te le faire oublier, t’inquiète.
- Je sais, ça. Et non, pas terrible du tout, je te raconterai, ça te fera peut-être même rire.
Finalement, je ne vois jamais pourquoi il s’inquiéterait, que la baise soit lente et délicate ou, comme ce soir, plus bestiale, avec une maitrise totale de la force, du rythme et de la profondeur de sa pénétration, il s’arrange toujours pour provoquer le plaisir que je ne peux pas cacher, à me tortiller en gémissant sur le matelas.
Si j’ai forcément peu éjaculé, cette fois, lui, par contre…
Agenouillé de part et d’autre de son torse, j’ai interrompu sa contemplation des gouttes de son sperme qui y tombent ‘’Au fait, au lycée, tu as eu Lopez en espagnol, non ?’’
- Qui ? Lopez… Ah ouais, un petit teigneux aigri, il détestait les cancres, genre… moi.
- Peut-être nul dans son cours, mais beau, sportif, populaire… ce sont ses termes. Tu veux entendre mon truc marrant ?
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