Moule boulant (02)

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Moule boulant (02) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Moule boulant (02)
Je le regardais dans les yeux, je lui souriais, il ouvrait sa ceinture, je restais là comme tétanisé. Je ne voyais plus que cette masse qui apparaissait sous l'étoffe de son pantalon, ça faisait peur.

Ça faisait envie aussi. Je restais là, la bouche à moitié ouverte il me semble. Il baissait son pantalon, juste quelques centimètres. Sa bite roulait sous le tissus, il arrêtait.

– Toi aussi ! Montre moi !

Il me fallait quelques secondes avant que je réagisse. J'ouvrais à mon tour mon pantalon. Je le regardais droit dans les yeux.

– Tu m'as bien dit que tu étais actif ?
– Non c'est toi qui m'a dit que tu était passif ! Et j'ai pas très bien compris.
– Ça veut dire ça . Rajoutais-je en baissant mon pantalon et me montrant bien.
– J'y crois pas ! S'exclamait-il.

Puis il me faisait un large sourire en laissant sa queue ressortir. Elle se redressait, elle était bien large, bien longue et en tous points elle était telle que je l'avais imaginée.

Il avait fait ce dernier geste mécaniquement, les yeux rivés sur ma cage à bite.

– Alors là ! Rajoutait-il. Je savais bien que ça existait ce genre de truc mais j'en avais jamais vu
– C'est moi qui l'ai inventé.

Il tendait une main et commençait à me tripoter les couilles, son visage passait d'une expression de surprise totalement incrédule à une expression amusée puis à une expression de curiosité.

Il s'amusait ainsi pendant un long moment, je laissais faire puis me décidais à réagir moi aussi je tendais la main et lui caressais la queue. C'était un rêve, c'était un cauchemar.

Ma queue protestait, elle protestait de voir la sienne libre se développer avec autant de liberté. Elle protestait à l'idée de la voir bientôt se glisser dans mon cul. C'est ainsi que l'histoire devait se passer si tout allait bien. C'était un rêve.

C'était un cauchemar, sa queue était énorme, elle était belle et ferme mais elle me montrait de quoi elle était capable, elle se montrait menaçante, là je pensais à mon cul et la ma queue était comme prise d'une petite panique et se ratatinait allait se cacher dans un petit coin de sa cage et j'avais l'impression qu'elle disparaissait.

Les sentiments que me suggérait une telle queue étaient mitigés. J'étais très exactement entre la panique et l'enthousiasme. Je lui caressais sa queue avec douceur, elle était devenue bien ferme, bien dure. Il était circoncis, je m'en doutait bien un peu. En Fait je m'en doutais depuis, ça faisait un moment que je m'en doutait. Sa queue transparaissait avec tellement de netteté sous son étoffe que je m'en doutais, mais on ne sait jamais vraiment.

Je lui caressais la queue avec douceur, il retirait sa chemise. Je me mettais à genoux devant lui et commençais à lui lécher le gland tout en le caressant. Je le masturbais avec douceur. Il me retirait ma chemise, il tirait dessus et me la retirait par le haut. Il me caressais les épaules.

Pendant que je commençais à le sucer je faisais glisser son pantalon sur les genoux, son gland entrait dans ma bouche. Je me disais qu'en fait il avait raison de montrer ses formes, elles étaient à la hauteur de ce qu'il promettait. Et son gland entrait dans ma bouche.

C'était un gros gland, mais je l'avais déjà remarqué avant qu'il ne retire son pantalon. Bien gonflé, sa surface était lisse, douce et brillante. Je le prenais dans ma bouche, prenais un réel plaisir à glisser ma langue dessus, dessous. Je le sentais frissonner quand j'essayais de Glisser ma langue dans le petit trou qu'il avait à sont extrémité. Ça m'amusait et je recommençait, il frissonnait de nouveau et finissait par pousser quelques gémissements de plaisir.

Je tentais de prendre sa queue plus profond dans ma bouche, mais elle était grosse. Il ne tentait pas de me forcer, il voyait que je faisais au mieux en fonction de ce que j'avais sous la main, pardon je voulais dire dans la bouche.

Il me caressait les cheveux, quand je relevais les yeux je le voyais, il avait un visage grave mais voyant mon regard il me souriait. Son gland rentrait un peu plus dans ma bouche. Mais ça finissait par coincer. Sa queue était trop large pour aller bien loin.

A cet instant je pensais à mon cul. C'est lui qui allait encaisser ce truc géant. Je pensait aussi à ma queue dans sa cage, elle ne se faisait plus remarquer, je ne la sentais plus, elle s'était planquée devant une telle concurrence, elle n'insistait pas.

Je me relevais, en quelques gestes nous nous débarrassions de nos vêtements. Puis on se saisissait l'un l'autre. Je sentais sa queue qui s'écrasait contre mon ventre, j'avais l'impression qu'elle était encore plus grosse qu'au début. Mais plus gros c'est pas possible. C'était en fait sa cuisse qu'il glissait entre mes jambes, il la remontait et m'écrasait doucement les couilles.

Je baissais les yeux et je voyais ma cage, en dessous mes couilles et elles étaient de belles tailles. Dans ma cage il y avait ma bite, finalement elle ne s'était pas sauvée, comment aurait-elle pu ? Elle prenait toute la place et quelques bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération et formaient comme des petites bosses rondes et lisses. Ça ne me faisait pas mal, c'était une réaction totalement normale.

Ma queue prenait toute la place mais ne se faisait par remarquer, elle jouait les grosses molle, enfin grosse, aussi grosse qu'elle pouvait. Il n'y avait pas de pression dans la cage, et à ce moment précis je ne la sentais pas vraiment, il n'y avait aucune pression, aucune sensation désagréable.

Il attrapait sa queue, la branlait en quelques mouvements rapides juste destinés à lui redonner de la vigueur, pourtant je vous jure qu'elle n'en manquait pas. Il m'attrapait les couilles et me plaçait la différence sous les yeux, deux paires de couilles, une petite cage à bite qui faisait pitié avec sa petite chose dedans et une super grosse bite bien longue, bien large, bien ferme.

Il m'entraînait dans le salon, nous laissions nos vêtements sur place, nous n'avions plus rien sur nous. Il me repoussait avec force sur le canapé qu'il dépliait et qui nous recevait dans le plus grand confort. Puis me prenait dans ses bras, m'embrassait et me caressait.

J'en faisais de même et rapidement ça devait ressembler à une sorte de combat à mort, ou le coup de grâce viendrait de celui qui serait capable du plus gros câlin.

Nos lèvres, nos bouches se rencontraient et nos langues se caressaient l'une l'autre. Elle ne se séparaient que pour mieux se retrouver un peu plus tard et donner des baisers et des signes de tendresse à toutes les parties de peaux qui passaient à proximité. Je le mordillait et lui arrachait des gémissements de plaisir. En réaction il en faisait de même, nos morsures étaient douces et tendres, elle ne laissaient aucune traces mais le contact des dents qui auraient pu blesser nous faisaient frémir. Les lèvres suivaient les dents, puis c'était la douceur de la langue.

Nos bras, nos mains aussi parcouraient tout le corps de l'autre sans se retenir de bien insister sur les parties les plus intimes. Tout en couvrant son ventre de baisers, je prenais bien mon temps de lui caresser les couilles et la bite.

Si à un moment sa queue passait à ma porté je ne résistait pas au plaisir de lui sucer, lécher longuement son gland. Il était vraiment trop beau. Une de ses mains passait entre mes jambes, m'écrasait les couilles, les écartait et ses doigts se glissaient entre mes fesses. Il commençait à tâter le passage. Je le voyais venir de loin mais ne faisais rien pour le dissuader. Je sentais aussi la caresse des ses dents contre l'extérieur de ma cuisse.

Il sortait de je ne sais d'où un petit peu de gel lubrifiant, et sans prévenir c'étaient deux doigts qui glissait dans mon cul. Un peu surpris, je me contractais mais presque aussitôt je me détendait de nouveau, redoublais mes câlins et caresses.

Il me tambourinait la prostate et m'arrachait des gémissements de plaisir. Il n'avait pas prévenu mais, son visage face au mien il ne cachait pas la satisfaction qu'il avait de me faire couiner. Car il insistait et rapidement je ne me contentais plus de gémir mais je couinais, je poussais de cris de plaisir. Il y allait un peu fort mais juste comme il faut, c'était le pied.

– Tu crois que ça va passer ? Me demandait-il en parlant de sa queue.
– Doucement, tu y vas doucement …

J'étais maintenant allongé sur le dos, il était à moitié allongé sur moi, une main entre mes cuisses et deux ou trois doigts s'agitaient dans mon cul. Il y allait fort. Mais je me disais que trois doigts ce n'était rien par rapport à ce qu'il allait m'enfoncer dans le cul.

Ma queue se faisait toujours oublier, je sentais bien mes couilles doucement écrasées sous son avant bras mais ma bite était toujours aux abonnés absents.

Avec force il me retournait, j'écartais les cuisses et je râlais. Mais là c'est parce que je commençais à avoir peur.

Il me détendait par sa douceur. Ses caresses étaient destinée à me rassurer. Il me couvrait toujours de baisers quand il s'allongeait sur moi et se glissait entre mes cuisses. Puis cette pression de dingue juste contre mon cul. Il appuyait contre mon cul avec son bras replié. Il poussait, je respirait fort, c'était pour me détendre mais, là je remarquais que, en fait il se retenait juste au dessus de moi avec ses deux bras ? C'était pas avec le bras qu'il appuyait contre mon cul.

Là j'ai un peu paniqué et la pression est devenue plus forte. Je tremblais, je respirais bien fond et quand je vidais mes poumons je sentait mon cul céder et s'ouvrir. C'était sans douleur, vous savez j'en ai vu d'autre et si on ne peut pas me traiter de grosse salope c'est uniquement parce que je ne suis pas gros.

Il poussait doucement mais il poussait fermement et je sentais quelque chose d'énorme qui entrait dans mon cul, qui glissait en me dilatant les entrailles. Il y allait doucement et ne me faisait pas mal mais je paniquais tout de même.

Il faisait une pause.

Je respirait fort et vite, j'avais le vertige. Il laissait alors son corps tomber sur moi et m'écrasait avec douceur.

– calme toi ! Me disait-il.

Je reprenais le contrôle de ma respiration et ma panique baissait. Il le sentait et reprenait. Il poussait de nouveau, très lentement mais très fermement. Ça ne faisait aucun doute il avait bien l'intention d'aller jusqu'au bout. Moi j'avais la trouille.

– On en est ou ? Demandais-je un peu plus tard.
– A la moitié !
– Oh mon dieu ! M'exclamais-je.

Pourtant ce n'est pas à lui que je me réfère dans ce genre de situation !

Il continuait à pousser, j'ai cru devenir fou. Je sentais mon cul tendu comme la peau d'un tambour. À chaque instant j'avais l'impression que j'allais déchirer. Il ne me faisait pas mal, la sensation était étrange, très exactement entre l'horreur et l'extase, en souhaitant que ça ne se termine pas dans un bain de sang cette histoire … Mais il n'y avait toujours pas la moindre douleur. Une sensation de plaisir peut être par moment.

Il continuait à pousser.

Je manquais d'air, et je ne sais pas si c'est la panique ou le soulagement qui m'envahissait qu moment ou je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses.

Il poussait alors pour bien écraser son ventre sur mes fesses, et sa queue s'écrasait alors contre je ne sais quoi au fond de ma gorge. Si, si je vous jure, c'est l'impression que j'ai eu à ce moment pourtant il était rentré par l'autre extrémité.

Là il se laissait tomber de tout son poids sur moi, il respirait fort mais lentement, je synchronisais ma respiration sur la sienne.

– On y est me disait-il.
– Aaah, ahahah, rahhh. Aaaaaaah.
– Ça va ?
– Aha, rahah !

C'était le pied mais là, je vous jure, je ne trouvais pas mes mots, moi si éloquent d'habitude !

Il est resté là sans bouger pendant un long moment. Puis doucement s'est retiré, là j'ai hurlé. C'était un cri de surprise, de plaisir, de panique … Il ne faut pas rayer les mentions inutiles, c'était tout ça à la fois. C'était le pied et comme je ne trouvais toujours pas mes mots je râlais, je gueulais.

Il n'est ressorti que très peu, peut être même pas à moitié puis est revenu. Les seuls mots qui me venaient alors c'était …

– OUI VAS Y DÉFONCE MOI LE CUL. NON NE BOUGE PLUS. ARRÊTE TOUT TU VASME TUER. OOOOOOOOH C'EST BON . VAS Y A FOND. OUI. OUI. OUI. NON.

Oui je sais, remarquez, là on peut faire le tri. En tout cas il a compris que je lui donnais carte blanche. Il s'est retiré complètement et pendant que je continuais à gueuler il a lubrifié un peu plus et est revenu. Je ne disais plus rien, j'étais mort de plaisir.

Je ne contrôlais plus mon corps, il en avait pris possession. Il entrait, il sortait comme il voulait. La panique avait disparue, l'angoisse aussi. À cet instant il ne restait plus que le plaisir, et il était intense.

Il me limait le cul pendant de longues, de très longues minutes. Accélérait le mouvement mais en restant raisonnable, on m'avait déjà remué beaucoup plus mais pas avec une arme destruction massive dans le cul. Je gémissait, je gueulais, je râlais, je suppliais, je pleurais.

Il me serrait dans ses bras et cette étreinte se voulait réconfortante, il me rassurait en effet, j'aimais cette douceur qui s'opposait alors à cette incroyable violence dans mes entrailles. Mais la violence peut quelquefois être un plaisir, c'est ce que j'apprenais dans ses bras ce soir là.

J'en avais vu d'autres, comme je vous le disais mais comme ça, jamais !

J'ai bien cru devenir fou, à plusieurs autres reprises j'ai hurlé, j'ai supplié, j'ai demandé grâce mais il ne m'a jamais écouté. Il a fini par juté dans mon cul. Il retenait les mouvements mortels et me serrait très fort dans ses bras à ce moment. Puis il ne bougeait plus.

La présence de sa queue dans mon cul devenait très agréable, il débandait. Comme quoi il y a des jours ou il ne faut pas grand chose. Il a décidé de se relever, sa queue est alors sortie de mon cul et là … J'ai joui, c'était le pied, j'ai joui du cul, j'ai joui de la bite pourtant je l'avais oubliée celle là mais elle n'avait pas bougé, elle était toujours à sa place et se manifestait juste pour me donner du plaisir.

Il m'a fallu un moment avant de pouvoir me relever, il me faut toujours un moment avant de pouvoir me relever d'ailleurs. L'angoisse ne disparaît jamais quand il me la gare dans le cul, même après de nombreux mois, la panique non plus et font maintenant partie du plaisir.

Bein oui j'allais pas laisser passer un coup pareil. Et puis sa femme, vous savez on en parlait au début, et bien c'est un alibi. Il ne s'intéresse pas du tout aux femmes. Il embrasse bien par contre, elle me l'a confirmé. Je la vois souvent, il a gardé son alibi …

On est ensemble maintenant. Je le regrette à chaque fois qu'on se voit et en aucun cas je ne voudrait changer quoi que ce soit quand on se sépare. Il porte toujours des pantalons moule-boulant et aime bien que j'en fasse de même, alors, pour lui faire plaisir …

Fin


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