Notre aventure du mois de septembre 2016

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Notre aventure du mois de septembre 2016 Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2025 dans la catégorie Plus on est
Tags : Arabes Beauté
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Notre aventure du mois de septembre 2016
Un nouveau jour se lève. Nous sommes à la cuisine préparant notre premier café de la journée. Je tends mon téléphone, sur lequel est affiché la photo d’une très jolie femme, en annonçant fier de ma trouvaille :

— Je te présente «Mariza» ! Et... Comme le prénom l'indique elle est d’origine espagnole !

Que je vous (chers lecteurs et lectices) décrive cette personne : elle a une peau mate, cheveux noirs qui font ressortir ses yeux clairs, qui sont magnifiques au passage.
Elle "exhibe" une mine sérieuse, avec des sourcils fins froncés et une bouche pincée. Caline passe à la photo suivante : la photo a été prise avec un peu de recul, de côté. On peut voir que la poitrine de la belle est assez opulente, et son top moulant permet d’en détailler la forme, ronde et de bonne tenue.
On peut voir sur le deuxième cliché le visage, de profil, est détendu, plus doux que sur la précédente. La dame penche un peu la tête sur le côté, qui vous laisse imaginer qu'elle rêve ou pense à quelque chose de plaisant.
Caline passe à la photo suivante : c'est le portrait de cette personne, de face. Là, elle sourit carrément.

— Wahh... On ne sait pas où fixer son regard... Entre ce visage gai, ses charmantes fossettes ou ces seins généreux et ce ventre qui, appelle la caresse. Elle est bien grande et sensuelle... Elle fait quelle taille ?
— Elle est un peu plus petite que moi... Je dirai.... 1m70 - 72 !

Caline me rend le téléphone :

— Une bombe atomique ! Que dit ma cochonne.
— C’est aussi mon avis !
— Reste à savoir si elle serait partante.

Nous savons tous deux pour quoi nous voudrions qu’elle soit partante. Inclure cette femme dans nos jeux d'amour nous à traversé l'esprit pervers à tous les deux.

— Chui pas normal... Rien qu'à la voir en photo, chui déjà excitée rien qu'à l’idée de partager avec elle le sexe de mon Hamidou... Commente Caline en me faisant ses yeux de biche.
— Ce dont je suis certain, réponds ai-je, c’est que si on lui demande pas, on saura jamais.
— Sûr, mais dans l’absolu, le plus probable, c’est tout de même qu’elle refuse... À moins que tu aies des raisons de croire…
— Je peux pas me prononcer à cent pour cent. Quand elle est dans mon bureau ce matin, j’ai noté qu’elle regardait la jeune stagiaire qu'on m'a mis dans les pattes !
— Tu as une stagiaire ? Elle est comment ?
— Jeune et jolie... Et très timide !
— Tu pense...
— Non... Elle ne répond pas à notre sélection...
— Dommage ! Dit Caline en faisant la moue.
— Tu ne penses qu'à ça toi... Bref, avec Mariza, on un peu bosser sur son dossier et à midi, on est allé déjeuner en tête à tête et j’ai eu alors l’occasion de lui faire un brin de causette. Mine de rien, j’ai aiguillé la conversation vers les relations de couples, ce genre de choses. Pour faire court : Mariza s’installe dans la région pour raison professionnelle. Mais côté perso, elle vivait à Nice et son déménagement tout récent est en parti professionnel mais surtout pour ne pas se retrouver dans la même ville que son ex qu'elle a largué il y a peu... Et Paris est une grande ville
— Donc revoir son ex serait du pur hasard... Mais entre nous, je pense bien que cette séparation l'a secoué ?
— P'tet bien, ce que je sais c'est que cette separation était envisagée depuis un moment.
— Ah wéé ! Tu sais why ?
— Elle m'en a parlé avec un peu plus d’émotion que c’était sa meilleure amie et colocataire qui le lui a piqué !
— Wahhh... 2 en 1... Elle perd sa meilleure amie et son p'tit ami... Un cœur à soigner ! Et...
— Je lui ai parlé un peu de nous, elle m’a très vite questionné sur toi. Elle a même voulu voir des photos. Rassures-toi, je lui ai montré seulement celles qui sont labellisées «Hallel»... Elle m’a dit qu’elle te trouvait «craquante». J’ai réussi à glisser qu’on était très heureux ensemble, que j’aimais ton côté éclectique, ton absence de tabous... Sans que je le dise ouvertement, que ça pouvait s’appliquer au sexe.
— Oui, je crois que j’aurais compris cela comme ça, aussi !

J'ai réussi à piquer la curiosité de Caline, quand je l'entends me demander :

— Et ces photos d’elle… Comment elle t’a laissé les prendre ?
— Pour les deux premières, je les ai prises sans lui dire. Mais j’en voulais une de face, alors j’ai cherché un prétexte pour la photographier... Je sais pas si l’idée était brillante, mais je lui ai parlé de ton goût pour la peinture.
— Ouais... C'est une approche pas qui n'est pas fausse... Même s'il y a belle lurette que je n'ai pas touché à un pinceau  ! !
— Je sais, mais... Je me suis souvenu que tu peignais d’après des photos... Alors j’ai brodé là-dessus, et je lui ai demandé si ça la gênait que je la photographie, car je la trouve séduisante et pour voir si elle pouvait t’inspirer... Elle m’a dit « Si c’est pour peindre, no problemo !». Elle a fait la pose et m’a demandé de lui envoyer la photo, sur son téléphone… Donc du coup, j’ai son 06. Et elle m’a aussi fait promettre de lui montrer ton œuvre, quand elle serait finie.
— Ouais, alors là, moi je promets rien du tout !
— Pas de problème, j’ai précisé qu’il était probable que tu feras jamais son portrait... "L'inspiration des artistes" tel est le prétexte que j'ai employé... Chai pas, mais j’ai eu l’impression qu’elle était contente qu'on va rester en contact !
— Contact... Vous avez dit "contact"... Humm... Je me vois déjà entrain d'effleurer sa peau de petits baisers...

C’est moins un rêve qu’une anticipation, puisque Caline et moi avons, sans ce le dire ouvertement, déjà décidé de tenter cette expérience... Ensemble... Et comme il se doit, car c’est ainsi que nous concevons notre plaisir et notre bonheur.
Nous avions cependant en tête une version assez différente de la scène : Caline s'attend à une partie de jambes en l'air à 3, perso je me verrai bien, en pur spectateur, ce fantasme «candauliste» qui ne me quitte plus, mais je ne suis pas sûre qu’il me soit vraiment possible de rester assis sur ma chaise quand je suis entrain de voir deux belles femelles, comme elles, se font jouir ! Mais bon, cela sera un autre problème que je me dois de gérer alors.

— Mais le plus important que mes envies est que votre plaisir soit juste le vôtre. À chaque fois je souhaite, je veux, j'espère que tu vives cette expérience à donf, et que tu ne penses qu'à toi et rien qu'à toi, sans être perturbée par ma présence et si je vais ou non intervenir.
— Ça, tu sais bien que c’est impossible : même si tu nous touches pas, ta présence changerait nécessairement les choses. C’est quand même pas pareil d’être deux meufs, seules dans une chambre, ou d’être sous le regard d’un homme qui bande, voire qui se branle en nous observant.
— Hihihi... Mais bien sûr que je compte me branler en vous observant !

Caline éclate de rire.

— Et tu crois que nous, on pourra faire notre affaire comme si on n'te voit pas ?
— Chai pas, mais peu importe... Si vous oubliez ma présence, c’est bien... Si ça vous dérange que je sois avec vous, vous me le dites et je sors faire un tour en attendant et... Si la présence d’un voyeur vous fait de l’effet, c’est bien aussi, ce sera ma contribution.
— Bon, admettons... On verra quand y sera... Si on y sera... Je suis pas si sûre que tu tiendrais, de toute façon ! Hihihi...
— C’est un défi ?
— Plus ou moins… Et puis, ça dépend aussi de ce qu’en dit Mariza.
— J’en déduis qu’on est d’accord pour que je la rappelle ? Finis-je par dire.

Caline se colle mon corps. Nos langues se mêlent. Je l’enlace... Je la sens contre ma cuisse et je crois bien que la conversation lui a fait de l’effet. Elle n’est pas la seule, je sens que mon zboub est tout dur. Mais nous savons bien qu’il n’est pas vraiment l’heure de batifoler. Aucun de nous n’ose le formuler, mais sans un mot, nous nous séparons à regret, et nous partons travailler, chacun de son côté.

Le soir même, alors que nous finissons un dîner léger, je lui dis que j'ai enfin invité Mariza pour le vendredi, à l’heure de l’apéritif. Je précise que je l’avais au début appelé pour de vrais motifs professionnels. Puis que j'ai enchaîné sur la proposition de nous rencontrer. J’avais préparé quelques explications alambiquées, mais je n’avais pas eu besoin de les exposer, Mariza semblait n’attendre que ça.
Je vois alors comment la nouvelle a fait frissonner Caline de désir. Elle me avec regarde d’un air consentant. Je l’embrasse dans le cou. Cette fois, ce n’est pas comme ce matin, nous avons du temps. Mes mains se posent sur ses seins, les lui caressent à travers le tissu de son corsage. À son tour, Caline, sans se retourner, se colle plus contre moi.
Je continu tant bien que mal, joyeusement, à l'embrasser.
Sa bouche va de mon cou à mon épaule, remonte jusqu’à mon oreille, elle me murmure :

— Je t’aime !

Mes mains glissent sur son ventre, sur ses hanches. Elle ondule du bassin, frotte ses fesses contre mon sexe qui est, bien dur. Puis je passe une main entre nous, baisse la fermeture éclair de nos pantalons respectifs, libérant entre autre ma bite dressée.
Puis ma main se glisse dans le futal de ma chérie. Je la sens frémir au contact de mes doigts. Je lui caresse un peu son pubis mais ma main ne peut pas aller bien loin. Je la remonte pour revenir sur son sein que je malaxe doucement.
Caline interrompe quelques instants ses caresses pour pouvoir, de ses deux mains, faire tomber mon pantalon à terre, accompagné de mon boxer. Puis sa main droite reprend possession de mon membre rigide, qu'elle peut frotter directement contre ses fesses nues.
Je continue de lui caresser un sein d’une main, tandis que l’autre part explorer son intimité désormais accessible. Je lui branle le clitoris. De doux gémissements de bien-être s'échappent ce sa bouche. Lentement, je la fais pivoter pour qu'elle fasse face à notre bar américain.
Caline se penche, se retient d’une main au bord du bar pour ne perdre son équilibre, et de l’autre, guide ma bite dressée entre les lèvres toutes humides de son sexe. La bête commence à s’introduire, sans cesser de titiller le clitoris. Elle se tient maintenant au bar de ses deux mains, et elle pose une jambe sur la barre d’appui d’un tabouret, pour que je puisse la pénètre plus loin. C’est divin...
Ma cochonne accorde son déhanchement au rythme de mes coups de reinsqui font que je me loge au plus profond de son nid à chaque poussée.
Je la pénètre de plus en plus fort ce qui la fait crier crescendo de plaisir en bougeant en cadence, pour mieux sentir mon pieu... Nous nous envolons ensemble vers les sommets des plaisirs charnelles.
J'accélère mes mouvements en la tenant par les hanches en poussant des :

— Oui ... Oui... Putain quelle salope !

Caline aussi explose, hurle, ahane et me supplie alors que je vide toutes mes réserves du jour dans sa cage à bites.
De mes bras enlacés, je la serre à l'étouffer presque. Nous restons longuement enlacés, amoureusement. Puis je m’écarte un peu, nous nous sourions, nous embrassons à nouveau.

____________________

Trois jours s’écoulent, durant lesquels nous vivons dans l’attente de la fin de ce fameux vendredi, même si nous en parlons peu. Mais je sens bien, en chacun de nous, cette impatience.
Le jeudi soir, Caline me livre qu'elle a passé près d’une heure à se caresser en imaginant des scènes érotiques où Mariza tient le premier rôle.
Enfin le vendredi est là, et ma satanée journée de travail n’en finit pas, les minutes passent au ralenti... Quellle poisse.
Je n’ai pas la tête à ce que je fais. Je pense à la soirée qui vient, à Mariza, et à Caline.
Le soir, Mariza se présente chez nous à l’heure dite. Elle est aussi belle, si cela n'est plus que le premier jour où j'ai le bonheur de la voir... Elle nous salue avec une voix est claire et franche, un peu chantante. Elle a amené des acras qu’elle a préparés elle-même, assez épicés. Nous buvons quelques verres en devisant de tout et de rien.
Assez vite, nous en venons à parler de notre façon de vivre. Mariza nous apprend sans détour qu’elle est bisexuelle, depuis l’adolescence puis elle précise qu’elle a eu des relations aussi bien avec des hommes que des femmes, mais ajoute en souriant : «mais toujours un ou une à la fois».
Avant de venir s'installer sur Paris, elle vivait en coloration avec sa meilleure amie qui était, de temps en temps, son amante et qui lui a piqué son homme.
Caline et moi parlons aussi de notre couple, du fait que nous sommes très soudés, et de comment on en ai arrivé à vivre nos fantasmes, en lui en racontant quelques unes de nos histoires et surtout la dernièreen date avec le beau Guillaume. Pour elle, qui nous avait expliqué qu’elle n’a jamais été tentée de s’attacher longtemps, tout notre vécu lui semble bizarre.

— Bizarre ? Non... Je trouve ça très mignon. Répond ma charmante épouse.
— En ce qui me concerne, répond sérieusement Mariza, j’ai jamais connu ce genre de passion fusionnelle, alors je peux pas vraiment me projeter ni donner un avis. Mais si ça vous convient à tous les deux, je peux que vous donner raison de faire comme vous le sentez. Surtout que d’un point de vue extérieur, on peut voir qu'avec vous, on aura une occasion de vivre une expérience originale si on sait faire confiance : on voit en vous un couple sûr de lui et ouvert, ça évoque une relation riche et saine !
— D’un point de vue extérieur… ?
— Je veux dire, du point de vue de quelqu’un qui pourrait être attiré par vous deux. Comme… De mon point de vue, par exemple.

Inutile de tourner autour du pot, je demande franchement :

— Et ton point de vue, il serait prêt à la vivre, là, maintenant, une expérience originale ?
— Si... Je suis là pour ça, non ?

Tout est dit... Caline se lève, prend Mariza par la main, l’entraîne dans la chambre. Je les suit...
Debout près du lit, Mariza et Caline s'enlaent avec amour et passion.
Cela dit en passant, Caline partagera avec nous, plus tard, que pour elle c'est toujours une agréable sensation que de frotter ses seins contre les seins d’une autre femme. De faire glisser ses mains sur la forme féminine d’une hanche, d’une fesse.
Bref,
Entre deux baisers dans son cou, j'entends ma coquine glisse à oreille de son amante du soit en prenant l'accent d'une arabe qui nr maitrise pas la langue de Voltaire :

—Mari moi... Pas participer... Toi pouvoir dire lui partir.. Si veux toi ? Ou toi vouloir lui rester ?

Pour toute réponse, elles s’embrassent sur les lèvres. Leurs langues jouent un moment. Mariza glisse une main sous le corsage de ma princesse et lentement, elles se déshabillent mutuellement l’une l’autre, en échangeant caresses et baisers. Chaque pièce de tissu qui tombe est pour moi l’occasion d’une découverte. Texture de la peau, odeurs de leur étreinte, le son de leurs gémissements...
Caline, comme un bébé, s’attarde sur les seins de sa proie puis descend sur son ventre. Sa façon de caresser sa partenaire, est d’une sensualité tout autre que celle d’un homme. Je les observe, sans intervenir.
Quand elles sont enfin nues, je me déshabille à mon tour aussi secrètement possible pour ne point briser cette communion.
Caline est toute absorbée par le corps souple et chaud de Mariza. Caline est un peu plus petite que sa cosuine espagnole, sa bouche est parfaitement à la hauteur des seins de Mariza.
Leurs minous, sont impeccablement rasés, épilés et je me vois déjà glisser ma langue sur leurs moules.
Caline remonte caresser les seins de l'autre nymphe, qu'elle avec un plaisir non caché.
Commr à chaque fois, je m’émerveille de chaque seconde de cette accouplement : voir le plaisir que ma femme fait naître chez une autre femme. Je vois aussi de le propre plaisir que ma nana est entrain de vivre.
Dispenser une extase, des frissons à une femme, lui donne une couleur, une odeur inavouable, indescriptible... Enlacées avec d'une passion, elles s'affolent sur le lit.
Subjugué que je suis, de voir le corps de Mariza vibrer sous les douces caresses de ma cochonne.
Je ne peux ignorer la montée du plaisir, que les doigts procurent sur notre invitée... Puis Mariza décide de ne pas en rester inactive... Elle embrasse le bas du ventre, le haut des cuisses de Caline qui se laisse faire, et elle est parcourue d’un long frisson quand la langue de Mariza se pose, délicatement, sur son clitoris, et commence à jouer avec, faiant monter les vagues de plaisir. Avec beaucoup d'effort, ma nana se dégage de l’étreinte de mon amante, et à son tour, pose sa bouche sur le sexe de cette femme latine. Ellee lèche la chatte de Mariza, je vois amusé les palpitations du plaisir saphique qui montent, qui envahissent Mariza.
Les caresses buccales sur cette vulve réceptive, mènent notre coquine Mariza vers un univers qu'elle ne peut, veut, partager avec quiconque.
Je sens comme en osmose entre ces deux femmes, qui vibrent des plaisirs qu'elles se procurent.
Je discerne, à travers ses soubresauts de plus en plus violents, désordonnés, les prémisses d’une explosion de jouissance, qui approche. Je m’applique à faire durer mon plaisir en m'arrêtant de me caresser le manche.
Je vois alors la transe qui envahit Mariza au moment où elle se tend en criant longuement son orgasme. Je considère ces longues secondes d’émoi comme un cadeau qu'elle nous fait, comme un don que nous fait un corps comblé.
Mariza reprend son souffle, à peine quelques instants, et très vite, elle vient sur Caline en se positionnant en soixante-neuf. Caline doit être excitée comme une puce, car les caresses buccales de son amie la font très vite décoller. Elle bouge à la cadence des coups de langue de cette félinede Mariza, à tel point que ma salope a du mal à la lécher en même temps. De part mon expérience, je sais que c’est doublement jouissif, de recevoir et procurer un plaisir oral en même temps.
Caline atteint l’orgasme lorsque Mariza colle sa bouche à ses petites lèvres et appuie sa langue sur son clitoris.
Après l'explosion de ses sens, ma chérie est prise d'un longuement tremblement comme électrocuté. Inerte un moment, Mariza, inquiète, se retourne et vient s’allonger sur sa victime cette terrible jouissance, lui fait de petits bisous d'amour et pose sa tête sur l'épaule celle qui été foudroyé par l'orgasme. Je suis un peuple jaloux sur le moment, mais cela ne me traverse le cœur que quelques secondes. Mariza dit avec un calme olympien :

— Wahhh... Dis donc, jamais... Je n'ai kiffé un orgasme comme celui de ce soir !
— Moi aussi... Tu as été la star de mes fantasmes depuis que mon homme m'a fait voir la formes de ton corps de déesse...
—T’es drôlement douée ma cocotte... Ils doivent kiffant grave, tes fantasmes !
— Oui, je m’en plains pas... Hihihi

Nous avons tous rit de bon cœur... C'est alors qu'elles me découvrent, mi-assis mi-allongé sur les coussins du lit. Je bande, comme un cerf, comme quand j'étais un ado qui decouvre son premier magasin X. Elles se rapprochent et se mettent à le caresser doucement les testicules en se regardant. Plus heureux je l'ai rarement étais... Ou disant que... Le bonheur que je découvre ici est supérieur à toutes les jouissances que j'ai vécu...
Mais rien ne dure... Mariza, avec un air coquin sur le visage, s’écarte un peu de moi et se remet à caresser Caline un peu partout : ses seins, son ventre, ses cuisses qui ne tarde pas à lui rendre la pareille. J’adore le contraste de leurs peaux, celle de la belle espagnole qui est cuivrée, par contraste à celui de ma promise bien plus pâle... Indéniablement on sent monter lentement le désir. Puis Mariza et Caline se positionnent en ciseau : jambes entrecroisées, leurs sexes se touchant. Le pied de la jeune femme ibérique remonte jusqu’aux seins de mon amour qu'elle caresse, et elle fait de même avec son pied. Elles commencent à onduler du bassin. Plus besoin de doigts ni de bouches : leurs chattes baveuses se caressent l’une l’autre.
Les deux nymphes ferment les yeux, pour mieux sentir ce doux contact.
Je savais que cette position existait, j’avais parfois rêvé de voir Caline dans cette position, mais elle ne l'avait jamais réalisé. Et surtout, contrairement à un cunnilingus, ça ne se partage que de femme à femme.
Après quelques minutes, elles rouvrent les yeux, qu'elles posent sur moi qui suis entrain de maintenir la droiture de mon membre que je branle.
Chacune agrippée à la jambe de l’autre, elles peuvent moduler la pression de leurs sexes, les frottant l’un à l’autre, cherchant le bon angle, la bonne cadence. Des respirations se font plus profondes. Les mouvements s’accentuent, pressant leurs lèvres les unes contre les autres. Soudées par leurs intimités, éprouvant ensemble cette jouissance qui monte. Caline se mord la lèvre en fixant son amante qui gémit de plaisir. J'arrive presque à sentir les ondes de plaisir qui traversent, chacune de ces dames. Mariza crie, Caline crie, je cris.
Nos orgasmes répondent l'un à l'autre. Nous ne faisons plus qu’un seul univers orgasmique, nous tremblons ensemble, tendues à l’extrême.
Un frisson me traverse, encore un, et un autre. Je ferme les yeux, je me concentre sur cette sensation de béatitude...
Je me lève et me dirige vers la salle de bains, qui jouxte la chambre. Tandis que je prend une douche, Mariza et Caline continuent de se bécoter.
En revenant dans la chambre, je vois qu'elles se sont installées sur le lit comme pour y dormir, mais leurs mains restent baladeuses.
Je suis le premier à parler :

— J’imaginais pas que ça pouvait être aussi bon !

Mariza sourit :

— Oui, c'était génial. Mais au risque de me répéter, Caline a un don !
— Je sais pas. Tu y es pour beaucoup, aussi. Je me suis tout de suite sentie en confiance. Répond Caline.
— Oui, je crois qu’on est bien tombées, on a un truc qui accroche bien. Renchéri Mariza.
— C’est Hamidou qui a eu l’intuition. Je crois qu’il a flashé sur toi, mais il a senti qu’il y avait un potentiel entre nous.
— Au fait, tu fais bien de me parler de lui : je me dis qu’on devrait pas le laisser seulement jouer les voyeurs branleurs. Dit Mariza sans me regarder.
— Pour l’instant, je reconnais que je me suis bien passée de lui. Tellement de nouveauté. Mais toi, si je me trompe pas, ça fait un moment que t’as pas eu d’homme ?
— Oui, c’est vrai. Quand j’ai compris où vous vouliez en venir, j’ai d’abord pensé que ce serait un vrai plan à trois. Après tu m’as dit que ce serait sans lui, et j’ai pensé : pourquoi pas ? J’étais peut-être un peu déçue, mais maintenant c’est le contraire : tu m’as comblée.
— Mais tu aurais quelque chose contre un petit extra ? Lui demande Caline.

Mariza semble réfléchir, puis prend une mine gourmande :

— Oh non, sans hésiter !

Les nanas s'écartent, me laissant un espace entre elles. Je viens tout naturellement m'allonger entre ces deux chaudasses. Je ne dis toujours rien, mais que je suis heureux à l'idée de ce que l’on va vivre. Il l’ignore encore, mais j'en ai pas encore fini avec Mariza et Caline. Chacune de son côté, elles posent leurs têtes sur une épaule, et joignent leurs mains sur ma poitrine. Puis, nous commençons à le caresser. Nos mains se séparent pour explorer un peu ces corps, puis se retrouvent, nos doigts s’entrecroisent.
Les bimbos se lovons contre moi, déposent des baisers sur ma poitrine. Je suis tout sourire.
Je les caresse, je suis très excité de toucher enfin le corps de Mariza. Petit à petit, deux mains s'approchent de mon sexe, qui se met à gonfler. Je laisse Mariza y poser sa main, et commencer à me branler. Quand elle le lâche, Caline prend la relève. Tour à tour, elles me font durcir. Je me mets à respirer plus fort lorsque l'amante de ma femme entreprend de me sucer.
Caline prend ma main qui était posée sur son sein, et la pose sur celui de Mariza qui était encore libre. Flexible qu'elle est, Mariza me lèche le sexe dressé, caresse mes couilles.


Sans m'en rendre compte, je sens la langue de Caline joindre celle de Maria, sur ma bite. Deux bouches sur mon sexe, je ne peux que gémir de plaisir. Puis Mariza s’écarte, laissant Caline me sucer quelques instants, pour reprendre le flambeau.
C'est alors que ma femme s’écarte un peu, contemplant Mariza qui est penchée sur le sexe de son mari, qui a ses doigts emmêlé dans ses cheveux.

Caline fais le tour du lit, s’agenouille derrière Mariza et la prend par les épaules, la redresse, et lui glisse à l’oreille :

— Vas-y, ma chérie, fais-toi plaisir !

Elle m'attrape la bite, et Mariza vient se positionne au-dessus de ma tige. Me guidant en elle, Mariza s’empale sur mon membre, dressé en poussant un gémissement. Elle reste immobile un moment, comme pour bien ressentir en elle cette bite qui la remplit
Caline vient ensuite se positionner derrière elle et la caresse pendant qu’elle me chevauche. Pour ne pas rester inactif, moi aussi je la caresse. Avec ma salope, nos mains se partagent les seins de Mariza, son ventre. Parfois, je passe un doigt sur son clitoris, ce qui la fait frissonner. Je sens la jonction entre nos sexes, je ressens le plaisir qui unit les amants.
Apparemment Caline est aux anges : elle tient le corps de ma conquête du soir dans ses bras pendant que son époux la prend.

— Mon dieu que son cœur bat fort sous ma main. Dit ma chérie.
— C’est magnifique...Regarde comme elle ondule du bassin, sur ma queue !

Mariza gémit de plus en plus fort, s’agite sur le pieu qui la fait jouir. Finalement, elle se cabre en un orgasme magistral, puis s’immobilise, le souffle court. Elle est comblée, mais je n’ai pas encore atteint le point de non retour.
Dès que cochonne qui a eu mon pieu bien fiché dans son puits, reprend ses esprits et s’écarte, l'autre cochonne de la nuit se penche sur ma bite encore dure. Elle me suce doucement, amusée de goûter cette autre moule sur mon sexe. Mariza la laisse faire un moment, puis vient lécher à son tour. Je gémis et respire encore de plus en plus fort.
Après quelques minutes où Mariza me lèche comme une sucette, je hurle :

— C’est trop bon, je vais…

Caline ne me laisse pas finir ma phrase, pour engloutir complètement mo sexe, et m'offre une fellation jusqu’à ce que j'explose dans sa bouche.

Une fois remis de mes exploits, je vais nous chercher des jus de fruits frais, que nous buvons, tous les trois nus sur le lit.
Bien plus tard, lorsque Mariza est partie, Caline me dit à quel point cette séance l’a ébranlée et heureuse qu’on ait aussi pris du plaisir avec cette meuf hispanique qui nous est tombéedu ciel.

— Tout était génial, mon amour, lui dis-je, tu as été magnifique. Je t'ai rarement vu de si beau dans tes orgasms !
— Et… Tu as perdu ton défi, me dit-elle pour me taquiner.

Je proteste vivement :

— Quand même, j’ai réussi à ne pas intervenir du tout pendant… Tout le début. Et après, vous m’avez pris par surprise... Et de toute façon, ça comptait plus : c’est comme si c’était une autre fois.
— D’ailleurs, à propos d’une autre fois… je suppose que tu as gardé son numéro dans ton carnet d’adresses ?
— Oui, je pense que cela ne va pas s'arrêter là ! Tu en prnse quoi ?
—L'avenir nous le dire ! Me répond ma bien aimée mort de rire.


Y aura-t-il une autre épisode ?
"L'avenir nous le dira !"

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Texte coquin : Notre aventure du mois de septembre 2016
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