Novice, suite et fin
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Novice, suite et fin
— Par esprit de contradiction ? Par défi ?
— Par envie.
— De ce que j’en ai vu, il n’avait rien de particulier.
— Tu as bien vu : il n’avait effectivement rien de particulier.
— Je comprends pas. Mais me dis rien, je vais essayer de deviner : tu lui as trouvé quelque chose, un petit je ne sais quoi inexplicable qui t’a fait craquer.
— Non.
— Je sais ! Il t’a fait directement une proposition sexuelle, alors que les autres te parlaient de philosophes grecs en te cachant leur désir de te sauter.
— Non plus. Pourtant, en un sens t’es pas si loin.
— Il t’a proposé une rémunération.
— Ça va oui ?!?
— Tu avais repéré leur petit manège et…
— Tu t’éloignes ! Je t’ai déjà dit, il m’a fait des révélations uniquement le lendemain, j’avais rien repéré du tout.
— Tu l’as trouvé tellement maladroit qu’il en est devenu tout mignon craquant croquignou.
— Encore non ! Et pourtant à nouveau, t’es pas si loin.
— Bon, dis-moi ! J’abandonne.
— Chacun avait sa technique. L’humour, me parler de soi, s’intéresser à moi, me faire danser, me faire causer… C’était plutôt chouette ! En fait, j’ai apprécié chacun d’eux au point que j’ai pris plaisir à parler de moi à l’un, à écouter parler l’autre, à danser avec un troisième et cetera. Je passais une si bonne soirée que j’en oubliais presque mon manque sexuel. Malheureusement chacun partait au bout de vingt minutes maxi.
— Cela faisait partie des directives du coach je suppose : vingt minutes pour repartir avec toi… ou pas.
— Bah oui, et de mon côté comme une idiote je désexualisais complètement les conversations et les situations. Je prenais leur jeu au pied de la lettre, quelque part… je répondais à la conversation par la conversation, à la danse par la danse.
— Et le dernier ?
— C’était le pire élève du cours. Il bafouillait, il y avait des blancs, il savait pas faire d’humour. Rien de ce qu’avaient les autres. Forcément les silences gênants, c’est du vide. Et la nature ayant horreur du vide, c’est à ce moment que mon manque s’est fait ressentir à nouveau, plus fort que jamais. Alors je lui ai fait direct une proposition sexuelle, je l’ai pris par la main en lui laissant à peine le temps de répondre et on a foncé chez moi faire toutes les galipettes qu’il a voulu, et que j’ai voulu. C’était drôlement sympa.
— Simple coup d’un soir sans plus se donner de nouvelles ?
— Si ! Il m’a appelée tout à l’heure. Il m’a dit que tous les élèves étaient partis du stage plus tôt.
— Par envie.
— De ce que j’en ai vu, il n’avait rien de particulier.
— Tu as bien vu : il n’avait effectivement rien de particulier.
— Je comprends pas. Mais me dis rien, je vais essayer de deviner : tu lui as trouvé quelque chose, un petit je ne sais quoi inexplicable qui t’a fait craquer.
— Non.
— Je sais ! Il t’a fait directement une proposition sexuelle, alors que les autres te parlaient de philosophes grecs en te cachant leur désir de te sauter.
— Non plus. Pourtant, en un sens t’es pas si loin.
— Il t’a proposé une rémunération.
— Ça va oui ?!?
— Tu avais repéré leur petit manège et…
— Tu t’éloignes ! Je t’ai déjà dit, il m’a fait des révélations uniquement le lendemain, j’avais rien repéré du tout.
— Tu l’as trouvé tellement maladroit qu’il en est devenu tout mignon craquant croquignou.
— Encore non ! Et pourtant à nouveau, t’es pas si loin.
— Bon, dis-moi ! J’abandonne.
— Chacun avait sa technique. L’humour, me parler de soi, s’intéresser à moi, me faire danser, me faire causer… C’était plutôt chouette ! En fait, j’ai apprécié chacun d’eux au point que j’ai pris plaisir à parler de moi à l’un, à écouter parler l’autre, à danser avec un troisième et cetera. Je passais une si bonne soirée que j’en oubliais presque mon manque sexuel. Malheureusement chacun partait au bout de vingt minutes maxi.
— Cela faisait partie des directives du coach je suppose : vingt minutes pour repartir avec toi… ou pas.
— Bah oui, et de mon côté comme une idiote je désexualisais complètement les conversations et les situations. Je prenais leur jeu au pied de la lettre, quelque part… je répondais à la conversation par la conversation, à la danse par la danse.
— Et le dernier ?
— C’était le pire élève du cours. Il bafouillait, il y avait des blancs, il savait pas faire d’humour. Rien de ce qu’avaient les autres. Forcément les silences gênants, c’est du vide. Et la nature ayant horreur du vide, c’est à ce moment que mon manque s’est fait ressentir à nouveau, plus fort que jamais. Alors je lui ai fait direct une proposition sexuelle, je l’ai pris par la main en lui laissant à peine le temps de répondre et on a foncé chez moi faire toutes les galipettes qu’il a voulu, et que j’ai voulu. C’était drôlement sympa.
— Simple coup d’un soir sans plus se donner de nouvelles ?
— Si ! Il m’a appelée tout à l’heure. Il m’a dit que tous les élèves étaient partis du stage plus tôt.
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