Nudité mesurée
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nudité mesurée
Nudité mesurée
– Dans cette zone de camping sauvage, les premières années il n’y avait que nous. C’est-à-dire ma famille et deux familles amies. Uniquement des filles.
– Même pas de papa ?
– Aucun ! On était à fond dans la mode sans mâle des seventies.
– Et les amants des mères ?
– Même pas. Enfin du moins pas pour les vacances, en période scolaire j’entendais souvent maman baiser avec un mec ou un autre mais c’était différent. Nos mères étaient une bande de joyeuses divorcées. À l’abri des regards indiscrets, sans une seule présence masculine, on s’est toutes mises à se baigner nues. Waouh, quel pied ! Super découverte. Peu à peu d’ailleurs, on se rhabillait de moins en moins. Dans nos têtes ce n’était ni du nudisme ni du naturisme ! Je ne suis même pas sûr qu’on connaissait les termes. Sans être à la piscine ou devant tout le monde, il n’y avait pas de raison de prendre des maillots, rien de plus.
– Et juste une petite pièce d’habits en moins ça changeait tant ?
– Oui ! C’est vrai ce qu’on raconte, ça a l’air de rien comme ça mais c’est extatique.
– On appelle ça de l’auto-érotisme je crois. Ou bien de l’auto-sensualité.
– Beaucoup de sensualité, sûr et certain ! De là à parler d’érotisme… Enfin, l’érotisme a bien fini par arriver, mais différemment.
– Avec la venue de garçons ?
– Evidemment. En fait, chaque été il y avait un peu plus de monde. Au début, juste un petit bout de chou de cinq ans : on ne faisait pas la différence, c’est tout juste si son pénis était visible, et de toute manière à cet âge non seulement on n’est pas intéressées…– J’imagine bien !
– …et en plus le garçon est asexué. À partir de l’été de mes onze ans, il y a eu deux ou trois mâles de notre tranche d’âge. Le lieu est pourtant resté plus ou moins secret, on n’a jamais séjourné à plus de quelques familles, malgré ça ce n’était plus une zone réservées uniquement aux jolies amazones.
– Vous avez osé poursuivre vos baignades nues ?
– On ne supportait plus le maillot ! C’est pas faute d’avoir tenté. Ce petit espace de paradis et de liberté, on voulait le garder tel quel : c’est comme si nous étions dans un lieu féerique dirigé par des règles magiques. Pourtant, ma sœur et moi on a eu des réactions plutôt opposées. Moi, je ne me suis plus mise nue quand ils étaient là, et nue quand ils étaient ailleurs. Quand je les voyais, ils n’étaient que des copains de jeu. Ma sœur s’est laissée draguer, et… a fait l’inverse. Elle ne trouvait plus tellement intérêt à se déshabiller avec moi pour faire les gamines dans l’eau, par contre, bronzer nue sous leurs regards, ça elle adorait.
– Plutôt bronzette que baignade ?
– Forcément, en bronzant elle se montrait totalement, pouvait prendre des poses… dans l’eau on la voyait moins. Les mecs ont rapidement acheté des lunettes de soleil.
– À quoi bon ? Ils le savaient qu’elle aimait se faire mater, non ? Pourquoi faire comme s’ils ne la regardaient pas ?
À suivre… (samedi prochain, ou dans la liste de textes de Théo Kosma selon le jour où vous lisez cette histoire)
– Dans cette zone de camping sauvage, les premières années il n’y avait que nous. C’est-à-dire ma famille et deux familles amies. Uniquement des filles.
– Même pas de papa ?
– Aucun ! On était à fond dans la mode sans mâle des seventies.
– Et les amants des mères ?
– Même pas. Enfin du moins pas pour les vacances, en période scolaire j’entendais souvent maman baiser avec un mec ou un autre mais c’était différent. Nos mères étaient une bande de joyeuses divorcées. À l’abri des regards indiscrets, sans une seule présence masculine, on s’est toutes mises à se baigner nues. Waouh, quel pied ! Super découverte. Peu à peu d’ailleurs, on se rhabillait de moins en moins. Dans nos têtes ce n’était ni du nudisme ni du naturisme ! Je ne suis même pas sûr qu’on connaissait les termes. Sans être à la piscine ou devant tout le monde, il n’y avait pas de raison de prendre des maillots, rien de plus.
– Et juste une petite pièce d’habits en moins ça changeait tant ?
– Oui ! C’est vrai ce qu’on raconte, ça a l’air de rien comme ça mais c’est extatique.
– On appelle ça de l’auto-érotisme je crois. Ou bien de l’auto-sensualité.
– Beaucoup de sensualité, sûr et certain ! De là à parler d’érotisme… Enfin, l’érotisme a bien fini par arriver, mais différemment.
– Avec la venue de garçons ?
– Evidemment. En fait, chaque été il y avait un peu plus de monde. Au début, juste un petit bout de chou de cinq ans : on ne faisait pas la différence, c’est tout juste si son pénis était visible, et de toute manière à cet âge non seulement on n’est pas intéressées…– J’imagine bien !
– …et en plus le garçon est asexué. À partir de l’été de mes onze ans, il y a eu deux ou trois mâles de notre tranche d’âge. Le lieu est pourtant resté plus ou moins secret, on n’a jamais séjourné à plus de quelques familles, malgré ça ce n’était plus une zone réservées uniquement aux jolies amazones.
– Vous avez osé poursuivre vos baignades nues ?
– On ne supportait plus le maillot ! C’est pas faute d’avoir tenté. Ce petit espace de paradis et de liberté, on voulait le garder tel quel : c’est comme si nous étions dans un lieu féerique dirigé par des règles magiques. Pourtant, ma sœur et moi on a eu des réactions plutôt opposées. Moi, je ne me suis plus mise nue quand ils étaient là, et nue quand ils étaient ailleurs. Quand je les voyais, ils n’étaient que des copains de jeu. Ma sœur s’est laissée draguer, et… a fait l’inverse. Elle ne trouvait plus tellement intérêt à se déshabiller avec moi pour faire les gamines dans l’eau, par contre, bronzer nue sous leurs regards, ça elle adorait.
– Plutôt bronzette que baignade ?
– Forcément, en bronzant elle se montrait totalement, pouvait prendre des poses… dans l’eau on la voyait moins. Les mecs ont rapidement acheté des lunettes de soleil.
– À quoi bon ? Ils le savaient qu’elle aimait se faire mater, non ? Pourquoi faire comme s’ils ne la regardaient pas ?
À suivre… (samedi prochain, ou dans la liste de textes de Théo Kosma selon le jour où vous lisez cette histoire)
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