Orgie or not orgie - Dialogues interdits -
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Orgie or not orgie - Dialogues interdits -
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues.
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Orgie or not orgie
— Je t'ai plus vue à partir d'un moment dans la soirée. T’étais où ?
— T'as pas remarqué un garçon qu’avait aussi disparu ?
— Y avait trop de monde. Enfin, c'en était un que j'avais pas remarqué.
— Pas étonnant on a jamais eu les mêmes goûts. Tant mieux d'ailleurs.
— C’est vrai que les quelques fois où on a baisé côte à côte, ça s’est pas mélangé des masses. Et même pas du tout.
— J’aime beaucoup t’observer, sans avoir envie de me farcir tes mecs. T’es si jolie quand tu fais l’amour ! Ou autre chose. Maintenant on est différentes pour tout, c’est vrai, même pour les styles de bites ou de torses.
— Alors tu t’es tapée un seul homme ce soir-là ?
— Et je connais même pas son prénom. Ou alors je me souviens plus.
— Je te rappelle qu’on était à une partouze ! S’éclipser à deux dans un petit coin fermé c’est bon pour les soirées normales. Enfin, les classiques. Vous avez pas respecté le concept…
— Je sais pas si on pouvait vraiment appeler ça une partouze ?
— Eternel débat, éternels ébats… Même chez les adeptes du genre tout le monde est pas d'accord. Pour certains, une partouze c'est festoyer dans une pièce puis chacun part à deux, à trois ou plus dans des recoins ou pièces voisines. Pour d’autres, c’est tous ensemble dans la même pièce jusqu’au bout de la nuit, bien au milieu dans la lumière et hop baisons-nous les uns les autres. Tu vois passer des couilles, des glands, des seins et des minous sous ton nez, derrière, devant toi, au-dessus, en dessous, sans même trop savoir qui te caresse, t’embrasse, te lèche ou t’attrape. La fête du slip quoi, enfin… la fête du slip sans slip.
— Comparé à cela, on est assez sages.
— Oui, on en est encore un peu au charmant jeune homme qu’on prend par la main et qu’on emmène quelque part.
— Toi comme moi ?
— Oui, c’est aussi ce qu’il m’est arrivé hier, et j’ai pas plus d’infos sur mon amant que le tien. C’est le charme. Tu vois, je vanne sans juger puisque je fais comme toi.
— Et lui non plus, zéro prénom ?
— Si, un faux à mon avis. Un flic ou un employé de l'éducation nationale je suppose. C’était moins chaud que prévu tout ça, d’ailleurs je sais de source sûre qu'il y a au moins deux filles de la soirée qu'ont pas du tout couché.
— Elles te l’ont dit ? Et lui t’a dit qu’il te cachait sa véritable identité ?
— Pas la peine ! Je le comprends dans la voix, dans les yeux.
— J’ai l’impression que t’es déçue…
— Ben, j’aurais préféré plus de sexe cru. Avoir deux hommes, ou trois, ou être accompagnée d’autre filles, enfin je sais pas, de l’inattendu quoi. Juste un amant, je peux te le trouver n’importe où.
— T’aurais pu prendre plus d’initiatives.
— Mouais…
— Peut-être que ce qu’il nous faut c’est une vraie bonne grosse orgie tous les uns sur les autres. On pourrait tout tester… et si on le sent pas, on regardera.
— Certains pensent que dans une partie digne de ce nom chacun doit être dans le coup. D'autres, qu'on peut regarder ou participer. Faudra s’informer avant des règles convenues.
— Y a pas si longtemps, je pensais qu'une orgie c'était juste bouffe et alcool à gogo.
— L'un n'empêche pas l'autre. Les orgies viennent de la vieille Rome. Ils se réunissaient en groupe pour de la bouffe et de l'alcool, et c'était prétexte pour ensuite passer à la baise.
— Ça a pas tellement changé… Parce qu’aujourd’hui, ça, on l’appelle même plus « orgie » : c’est une simple soirée entre jeunes. Peut-être qu’on devrait y revenir, au fond ! Parce que là, entre une partouze dont on était même pas sûres que c’en était une et nos simples duos chacune dans son coin…
…
A très vite pour de nouveaux Dialogues Interdits.
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Orgie or not orgie
— Je t'ai plus vue à partir d'un moment dans la soirée. T’étais où ?
— T'as pas remarqué un garçon qu’avait aussi disparu ?
— Y avait trop de monde. Enfin, c'en était un que j'avais pas remarqué.
— Pas étonnant on a jamais eu les mêmes goûts. Tant mieux d'ailleurs.
— C’est vrai que les quelques fois où on a baisé côte à côte, ça s’est pas mélangé des masses. Et même pas du tout.
— J’aime beaucoup t’observer, sans avoir envie de me farcir tes mecs. T’es si jolie quand tu fais l’amour ! Ou autre chose. Maintenant on est différentes pour tout, c’est vrai, même pour les styles de bites ou de torses.
— Alors tu t’es tapée un seul homme ce soir-là ?
— Et je connais même pas son prénom. Ou alors je me souviens plus.
— Je te rappelle qu’on était à une partouze ! S’éclipser à deux dans un petit coin fermé c’est bon pour les soirées normales. Enfin, les classiques. Vous avez pas respecté le concept…
— Je sais pas si on pouvait vraiment appeler ça une partouze ?
— Eternel débat, éternels ébats… Même chez les adeptes du genre tout le monde est pas d'accord. Pour certains, une partouze c'est festoyer dans une pièce puis chacun part à deux, à trois ou plus dans des recoins ou pièces voisines. Pour d’autres, c’est tous ensemble dans la même pièce jusqu’au bout de la nuit, bien au milieu dans la lumière et hop baisons-nous les uns les autres. Tu vois passer des couilles, des glands, des seins et des minous sous ton nez, derrière, devant toi, au-dessus, en dessous, sans même trop savoir qui te caresse, t’embrasse, te lèche ou t’attrape. La fête du slip quoi, enfin… la fête du slip sans slip.
— Comparé à cela, on est assez sages.
— Oui, on en est encore un peu au charmant jeune homme qu’on prend par la main et qu’on emmène quelque part.
— Toi comme moi ?
— Oui, c’est aussi ce qu’il m’est arrivé hier, et j’ai pas plus d’infos sur mon amant que le tien. C’est le charme. Tu vois, je vanne sans juger puisque je fais comme toi.
— Et lui non plus, zéro prénom ?
— Si, un faux à mon avis. Un flic ou un employé de l'éducation nationale je suppose. C’était moins chaud que prévu tout ça, d’ailleurs je sais de source sûre qu'il y a au moins deux filles de la soirée qu'ont pas du tout couché.
— Elles te l’ont dit ? Et lui t’a dit qu’il te cachait sa véritable identité ?
— Pas la peine ! Je le comprends dans la voix, dans les yeux.
— J’ai l’impression que t’es déçue…
— Ben, j’aurais préféré plus de sexe cru. Avoir deux hommes, ou trois, ou être accompagnée d’autre filles, enfin je sais pas, de l’inattendu quoi. Juste un amant, je peux te le trouver n’importe où.
— T’aurais pu prendre plus d’initiatives.
— Mouais…
— Peut-être que ce qu’il nous faut c’est une vraie bonne grosse orgie tous les uns sur les autres. On pourrait tout tester… et si on le sent pas, on regardera.
— Certains pensent que dans une partie digne de ce nom chacun doit être dans le coup. D'autres, qu'on peut regarder ou participer. Faudra s’informer avant des règles convenues.
— Y a pas si longtemps, je pensais qu'une orgie c'était juste bouffe et alcool à gogo.
— L'un n'empêche pas l'autre. Les orgies viennent de la vieille Rome. Ils se réunissaient en groupe pour de la bouffe et de l'alcool, et c'était prétexte pour ensuite passer à la baise.
— Ça a pas tellement changé… Parce qu’aujourd’hui, ça, on l’appelle même plus « orgie » : c’est une simple soirée entre jeunes. Peut-être qu’on devrait y revenir, au fond ! Parce que là, entre une partouze dont on était même pas sûres que c’en était une et nos simples duos chacune dans son coin…
…
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