Où ça commence, où ça finit… + Fantasme numérique
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 208 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Où ça commence, où ça finit… + Fantasme numérique
"Dialogues Interdits" : une série de mini-nouvelles sans narration, uniquement faite de dialogues. Confessions crues, drôles et surprenantes entre amis...
####################################### Où ça commence, où ça finit… #######################################
— Tu devrais arrêter maintenant…— Pourquoi. Tu… tu n’as plus du tout envie ?
— Oh, c’est pas ça. Chez moi tu sais l’appétit vient en baisant, même si je suis repue, titille un peu mon corps et ça repart jusqu’au bout de la nuit si tu veux.
— Alors…— Alors c’est surtout toi qui es crevé. C’est bien normal ! Je ne t’en fais pas le reproche. D’abord tu as été dans la séduction, puis dans les caresses et cajoleries. Tu m’as donné beaucoup de plaisir et j’espère bien t’en avoir rendu tout autant. Ensuite tu m’as fort bien pénétrée, longtemps, vivement, et en plus, deux fois. Tu étais alors dans le désir, le besoin et l’envie. Maintenant tu as quitté l’état purement émotionnel pour être dans le mental.
— Tu crois deviner mes pensées ?
— Oui ! Tu te dis « c’est le corps dont je rêvais depuis longtemps. Il est à ma disposition pour un temps donné. Si je n’en profite pas à fond je le regretterai longtemps ». Bref, tu reprends conscience de la situation. Que même si dans le feu de l’action tu as cru que mon cul t’appartenait, tu comprends que je ne fais que te le prêter. Et aussi, que je ne suis que de passage dans ce pays et qu’il y a peu de chances pour qu’on se revoie. Alors juste pour le principe d’avoir tout donné, tu veux t’obliger à te dépasser, me sauter une troisième fois puis une quatrième, t’esquinter les reins et le dos, me mettre ta verge et tes couilles partout sur ma peau, mes seins, mes lèvres, mon derrière… Jusqu’à tomber d’épuisement, anéanti, ton sexe n’ayant plus que l’apparence d’une petite limace écrasée toute poisseuse et dégoulinante. Pardon pour la poésie, c’est la réalité. Je ne suis pas télépathe. C’est juste que tous les garçons sont un peu pareils.
— Tu l’as souvent vécu ?
— C’est arrivé. Je te vexe ? Ou bien je te déçois ?
— Je ne m’attendais pas à ce que tu me dises ça. Non, je suis pas vexé. Plutôt épaté… je reconnais que tu as visé assez juste.
— Pourquoi ne pas passer à des activités plus zen ? On se fait de gentils petits massages à l’huile, je fais du thé, on se mate un petit film… ce ne serait pas mieux ?
— Sans doute. Tu fais quoi dans la vie, psychiatre ? Docteur en psychologie comportementale ?
— Fille.
############################# Fantasme numérique #############################
— Parfois, qu’est-ce que j’aimerais être un ordinateur !
— Pardon ?
— Clarissa, ma collègue de bureau. Elle m’a toujours dit non. Enfin, elle me l’a toujours fait gentiment comprendre… Son PC, par contre ! À longueur de semaine il n’arrête pas de lui donner des ordres et de lui poser des questions. « Voulez-vous installer… ? », « Confirmer que… », « Pour continuer, veuillez approuver… ». Et cétéra. Une fenêtre s’ouvre, lui pose une question en lui demandant de cliquer sur Oui ou Non, pas une seule fois je l’ai vue cliquer sur non. L’ordinateur est son maître absolu, elle lui est entièrement soumise. Elle lui dit « Oui », « Oui » et encore « Oui ».
— Tu oublies un détail : un PC obtient des « Oui » parce qu’il formule des demandes décentes et raisonnables. Le jour où une fenêtre s’ouvre lui demandant « Déshabillez–vous et mettez vous à quatre pattes Oui Non », elle cliquera sur « Non », tu verras.
####################################### Où ça commence, où ça finit… #######################################
— Tu devrais arrêter maintenant…— Pourquoi. Tu… tu n’as plus du tout envie ?
— Oh, c’est pas ça. Chez moi tu sais l’appétit vient en baisant, même si je suis repue, titille un peu mon corps et ça repart jusqu’au bout de la nuit si tu veux.
— Alors…— Alors c’est surtout toi qui es crevé. C’est bien normal ! Je ne t’en fais pas le reproche. D’abord tu as été dans la séduction, puis dans les caresses et cajoleries. Tu m’as donné beaucoup de plaisir et j’espère bien t’en avoir rendu tout autant. Ensuite tu m’as fort bien pénétrée, longtemps, vivement, et en plus, deux fois. Tu étais alors dans le désir, le besoin et l’envie. Maintenant tu as quitté l’état purement émotionnel pour être dans le mental.
— Tu crois deviner mes pensées ?
— Oui ! Tu te dis « c’est le corps dont je rêvais depuis longtemps. Il est à ma disposition pour un temps donné. Si je n’en profite pas à fond je le regretterai longtemps ». Bref, tu reprends conscience de la situation. Que même si dans le feu de l’action tu as cru que mon cul t’appartenait, tu comprends que je ne fais que te le prêter. Et aussi, que je ne suis que de passage dans ce pays et qu’il y a peu de chances pour qu’on se revoie. Alors juste pour le principe d’avoir tout donné, tu veux t’obliger à te dépasser, me sauter une troisième fois puis une quatrième, t’esquinter les reins et le dos, me mettre ta verge et tes couilles partout sur ma peau, mes seins, mes lèvres, mon derrière… Jusqu’à tomber d’épuisement, anéanti, ton sexe n’ayant plus que l’apparence d’une petite limace écrasée toute poisseuse et dégoulinante. Pardon pour la poésie, c’est la réalité. Je ne suis pas télépathe. C’est juste que tous les garçons sont un peu pareils.
— Tu l’as souvent vécu ?
— C’est arrivé. Je te vexe ? Ou bien je te déçois ?
— Je ne m’attendais pas à ce que tu me dises ça. Non, je suis pas vexé. Plutôt épaté… je reconnais que tu as visé assez juste.
— Pourquoi ne pas passer à des activités plus zen ? On se fait de gentils petits massages à l’huile, je fais du thé, on se mate un petit film… ce ne serait pas mieux ?
— Sans doute. Tu fais quoi dans la vie, psychiatre ? Docteur en psychologie comportementale ?
— Fille.
############################# Fantasme numérique #############################
— Parfois, qu’est-ce que j’aimerais être un ordinateur !
— Pardon ?
— Clarissa, ma collègue de bureau. Elle m’a toujours dit non. Enfin, elle me l’a toujours fait gentiment comprendre… Son PC, par contre ! À longueur de semaine il n’arrête pas de lui donner des ordres et de lui poser des questions. « Voulez-vous installer… ? », « Confirmer que… », « Pour continuer, veuillez approuver… ». Et cétéra. Une fenêtre s’ouvre, lui pose une question en lui demandant de cliquer sur Oui ou Non, pas une seule fois je l’ai vue cliquer sur non. L’ordinateur est son maître absolu, elle lui est entièrement soumise. Elle lui dit « Oui », « Oui » et encore « Oui ».
— Tu oublies un détail : un PC obtient des « Oui » parce qu’il formule des demandes décentes et raisonnables. Le jour où une fenêtre s’ouvre lui demandant « Déshabillez–vous et mettez vous à quatre pattes Oui Non », elle cliquera sur « Non », tu verras.
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