Petite nudiste - Dialogues interdits -

Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Petite nudiste - Dialogues interdits -
« Dialogues Interdits » : seule série littéraire d’histoires sulfureuses… uniquement constituées de dialogues.
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Petite nudiste
— Quand je suis arrivée à ce camping naturiste, j’étais méfiante. Si j’avais pas eu ce job d’été à l’accueil du club, je serais jamais venue. Après, j’ai vite été adoptée par une bande de potes et j’ai connu tous les jeunes du camping. Entre eux il se passait rien de bien particulier, enfin pas plus pas moins que dans les groupes de jeunes en général. Peut-être même moins car ils se connaissaient depuis l’enfance et préféraient pas trop coucher ensemble pour éviter les jalousies. Enfin, de ce que j’ai compris après coup. Car sur le moment, j’en savais rien et je supposais tout le contraire.
— Juste parce que c’était naturiste ?
— Oui ! Je m’étais laissée dire que les naturistes étaient des partouzards. Je me disais, ils échangent leurs fluides à tout va sans moi parce que je suis nouvelle, ou trop moche, ou pas assez ceci, ou trop cela, et ça me vexait. J’avais l’impression qu’une foule de rapports sexuels secrets me passaient sous le nez. Au départ j’avais aucune envie particulière : une libido classique d’été. Là, imaginer tout ce que je loupais, même si en fait je loupais rien ou si peu, ça me frustrait.
— Voilà comment on fait grimper la libido de façon totalement artificielle…
— Je te jure ! Il me suffisait de voir partir deux filles avec trois garçons pour penser qu’ils allaient dans un coin faire un plan à cinq. Alors qu’ils allaient juste se balader, faire des courses ou bronzer à la plage ! Pour être de la partie j’ai tout fait pour séduire, et jusqu’au bout.
— Je présume que ça a fait mouche…
— Pour ça, oui ! C’est devenu un festival de baise.
— Pour toi seulement ?
— Pour tous ceux qui m’ont baisée. A la bonne franquette. Ça m’allait bien… J’ai pas fait ma difficile, un peu n’importe qui, n’importe où, n’importe quand. C’est là que j’ai appris la vérité. Je pensais être juste une baiseuse de plus, en fait j’étais LA baiseuse. La fille qui avait le plus couché de l’ensemble des nanas passées ici depuis toutes ces années. J’avais peut-être plus baisé en un été qu’elles toutes réunies, et sur tous les étés cumulés depuis le début de leur vie sexuelle !
— Les garçons devaient être contents. Les filles un peu moins peut-être ?
— Certaines ont eu du mal à l’accepter… mais moins que prévu. Finalement, les naturistes sont des gens tolérants. Ils accueillent les prudes comme les salopes.
— T’avais vu juste sur un point : les mecs étaient bien des chauds lapins en sommeil.
— Quelle bande de jeunes gars refuserait une nana prête à coucher ? Ils étaient pas plus chauds que n’importe qui.
— Quand t’as compris ton erreur, t’as arrêté ?
— Non : c’était bien trop bon. Et mon job étant à mi-temps j’ai pu en profiter à fond.
— C’est drôle ! Tu réponds parfaitement à l’adage « elle ne savait pas que c’était impossible, alors elle l’a fait ». Sans ce mauvais jugement t’aurais jamais cherché à te faire autant sauter. Et la nudité quotidienne, ça t’a plu ?
— C’est pas gênant sans être spécialement mon truc. Par contre, à force de sexe je suis devenue naturiste malgré moi. J’ai couché jusqu’à trois ou quatre fois par jour. Tant qu’à faire je me suis pas toujours rhabillée après. Et de plus en plus souvent déshabillée d’avance. Plus pratique, tu vois ? Si par exemple j’avais rendez-vous sous une tente à quinze heures, j’allais me baigner à midi sans me revêtir ensuite. D’autant que l’eau, le soleil et le vent contre une peau nue met encore mieux en condition pour l’amour. Ils avaient à leur disposition un bel épiderme sans sueur, tout beau tout propre, tout doré tout bronzé. Rien à voir avec la fille de fin de soirée, alcoolisée, défraîchie avec des auréoles sous les bras. LA salope de rêve.
— La direction du centre t’a pas prise en grippe ?
— Au contraire ! La plupart de leurs employés sont pas du tout naturistes. La direction savait que je l’étais pas non plus, m’a vue le devenir au cours du séjour et m’en a félicitée.
— Ce qu’elle ignorait la direction, c’est que les jours où t’étais nue du matin au soir étaient ceux où… tu baisais du soir au matin. Ou au moins la moitié du temps ! Job à mi-temps… Moitié taf, moitié baise. Joindre l’utile à l’agréable… L’utile au futile ?
— Et du coup malgré leurs dires, je suis pas certaine d’être une vraie naturiste. Plutôt une nudiste. En tout cas ils sont prêts à me rembaucher l’année prochaine. Et il y en a qui ont hâte de me voir revenir…
— Faudrait réorienter la pub autour de toi peut-être ? « Chez nous le personnel s’occupe de tout, même de vos besoins sexuels »…
— Ah non ! N’exagérons rien. Il y a au moins un millier de vacanciers qui tournent, t’imagines ! ?…
A très vite pour de nouveaux Dialogues Interdits.
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Petite nudiste
— Quand je suis arrivée à ce camping naturiste, j’étais méfiante. Si j’avais pas eu ce job d’été à l’accueil du club, je serais jamais venue. Après, j’ai vite été adoptée par une bande de potes et j’ai connu tous les jeunes du camping. Entre eux il se passait rien de bien particulier, enfin pas plus pas moins que dans les groupes de jeunes en général. Peut-être même moins car ils se connaissaient depuis l’enfance et préféraient pas trop coucher ensemble pour éviter les jalousies. Enfin, de ce que j’ai compris après coup. Car sur le moment, j’en savais rien et je supposais tout le contraire.
— Juste parce que c’était naturiste ?
— Oui ! Je m’étais laissée dire que les naturistes étaient des partouzards. Je me disais, ils échangent leurs fluides à tout va sans moi parce que je suis nouvelle, ou trop moche, ou pas assez ceci, ou trop cela, et ça me vexait. J’avais l’impression qu’une foule de rapports sexuels secrets me passaient sous le nez. Au départ j’avais aucune envie particulière : une libido classique d’été. Là, imaginer tout ce que je loupais, même si en fait je loupais rien ou si peu, ça me frustrait.
— Voilà comment on fait grimper la libido de façon totalement artificielle…
— Je te jure ! Il me suffisait de voir partir deux filles avec trois garçons pour penser qu’ils allaient dans un coin faire un plan à cinq. Alors qu’ils allaient juste se balader, faire des courses ou bronzer à la plage ! Pour être de la partie j’ai tout fait pour séduire, et jusqu’au bout.
— Je présume que ça a fait mouche…
— Pour ça, oui ! C’est devenu un festival de baise.
— Pour toi seulement ?
— Pour tous ceux qui m’ont baisée. A la bonne franquette. Ça m’allait bien… J’ai pas fait ma difficile, un peu n’importe qui, n’importe où, n’importe quand. C’est là que j’ai appris la vérité. Je pensais être juste une baiseuse de plus, en fait j’étais LA baiseuse. La fille qui avait le plus couché de l’ensemble des nanas passées ici depuis toutes ces années. J’avais peut-être plus baisé en un été qu’elles toutes réunies, et sur tous les étés cumulés depuis le début de leur vie sexuelle !
— Les garçons devaient être contents. Les filles un peu moins peut-être ?
— Certaines ont eu du mal à l’accepter… mais moins que prévu. Finalement, les naturistes sont des gens tolérants. Ils accueillent les prudes comme les salopes.
— T’avais vu juste sur un point : les mecs étaient bien des chauds lapins en sommeil.
— Quelle bande de jeunes gars refuserait une nana prête à coucher ? Ils étaient pas plus chauds que n’importe qui.
— Quand t’as compris ton erreur, t’as arrêté ?
— Non : c’était bien trop bon. Et mon job étant à mi-temps j’ai pu en profiter à fond.
— C’est drôle ! Tu réponds parfaitement à l’adage « elle ne savait pas que c’était impossible, alors elle l’a fait ». Sans ce mauvais jugement t’aurais jamais cherché à te faire autant sauter. Et la nudité quotidienne, ça t’a plu ?
— C’est pas gênant sans être spécialement mon truc. Par contre, à force de sexe je suis devenue naturiste malgré moi. J’ai couché jusqu’à trois ou quatre fois par jour. Tant qu’à faire je me suis pas toujours rhabillée après. Et de plus en plus souvent déshabillée d’avance. Plus pratique, tu vois ? Si par exemple j’avais rendez-vous sous une tente à quinze heures, j’allais me baigner à midi sans me revêtir ensuite. D’autant que l’eau, le soleil et le vent contre une peau nue met encore mieux en condition pour l’amour. Ils avaient à leur disposition un bel épiderme sans sueur, tout beau tout propre, tout doré tout bronzé. Rien à voir avec la fille de fin de soirée, alcoolisée, défraîchie avec des auréoles sous les bras. LA salope de rêve.
— La direction du centre t’a pas prise en grippe ?
— Au contraire ! La plupart de leurs employés sont pas du tout naturistes. La direction savait que je l’étais pas non plus, m’a vue le devenir au cours du séjour et m’en a félicitée.
— Ce qu’elle ignorait la direction, c’est que les jours où t’étais nue du matin au soir étaient ceux où… tu baisais du soir au matin. Ou au moins la moitié du temps ! Job à mi-temps… Moitié taf, moitié baise. Joindre l’utile à l’agréable… L’utile au futile ?
— Et du coup malgré leurs dires, je suis pas certaine d’être une vraie naturiste. Plutôt une nudiste. En tout cas ils sont prêts à me rembaucher l’année prochaine. Et il y en a qui ont hâte de me voir revenir…
— Faudrait réorienter la pub autour de toi peut-être ? « Chez nous le personnel s’occupe de tout, même de vos besoins sexuels »…
— Ah non ! N’exagérons rien. Il y a au moins un millier de vacanciers qui tournent, t’imagines ! ?…
A très vite pour de nouveaux Dialogues Interdits.
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