PHILIPPE EP 04 : PREMIERS BAISERS

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 04 : PREMIERS BAISERS Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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PHILIPPE EP 04 : PREMIERS BAISERS
PHILIPPEEP 04 : PREMIERS BAISERS

Je passais le reste de la matinée à jouer avec ma nouvelle console de jeux. Je me sentais bien je ne vous dit pas. J'avais fait mon footing, pris une douche et on m'avait fait un massage libertin qui m'avait fait juter comme il faut avant de me laisser tremper dans un bain bouillonnant juste comme il faut pour que je ne me ratatine pas … Suivait ensuite un petit déjeuner avec un mes tontons et mon papy qui avaient le sourire et un majordome qui avait aussi le sourire ( ça me changeait ).

J'étais vautré devant la télé, j'étais décontracté et je savais que personne n'entrerait dans ma chambre ni sans frapper ni en m'engueulant sans même que je ne sache pourquoi …
C'était le pied !

Je pensais toujours à ce black magnifique de l'autre soir dans la maison close. J'avais toujours devant les yeux sa bite énorme, bien droite et si bien proportionnée. Je me rêvais dans ses bras. J'aurais tellement voulu savoir si j'aurais pu me la prendre dans le cul. Peut être pas, là c'était vraiment énorme pour une première fois. Mais on a le droit de fantasmer ?

On frappait à la porte, je sursautais, la porte s'entre ouvrait et j'entendais la voix de mon grand père …
Gp : Je peux entrer, je ne te dérange pas ?
Moi : Entre grand père . Tu ne me déranges jamais.
Gp : Si c'est vrai mon bonhomme c'est que tu es encore plus dévergondé qu'on ne le pense tes oncles et moi !

Il est marrant mon grand père. Il entrait.

Gp : Alors elle te plaît ta console de jeux ?
Moi : J'adore et les jeux sont supers. Mais comment vous avez fait pour l'avoir, elle ne sera pas commercialisée avant un moment ?
Gp : Ton oncle Bob à des relations. C'est lui qu'il faudra remercier !
Moi : Et il y a aussi …Gp : Oui ! Je t'écoute !
Moi : C'est pour l'autre soir, tu sais …Gp : Ne t'inquiète pas aucun des gardes qui t'ont ramené n'en parlera à ton père. Il croit que tu étais avec une fille. Pour lui c'est déjà grave mais s'il savait tout ce serait pire.
Moi : C'est pas ça ! C'est que … Il va faire fermer la maison close Gp : Je t'ait dis que je m'en occupais. J'ai eu le gouverneur au téléphone tout à l'heure. Ton père n'a pas traîner. Il était embarrassé le gouverneur. Je lui ai demandé de ne pas écouter Antoine, j'ai un peu argumenté et le problème est réglé.
Moi : Il va gueuler !
Gp : C'est sûr mais ça lui passera ! Je viens de parler à ton père au téléphone.
Moi : Et il as … Gp : Tu sais très bien qu'il n'ose pas gueuler avec moi mais il était furieux ! Il ne veut plus que tu garde cette carte de crédit ! Il ne te la rendra pas !
Moi : C'est pas juste je ne l'ai eu qu'une seule journée !
Gp : Et tu as dépensé trente mille DI (Dollars Internationaux ), et c'est une grosse somme …Moi : Mais ça ne sert à rien d'être riche si on ne peut rien dépenser.
Gp : Rien dépenser ! Mais trente mille DI c'est une grosse somme ! Je crois qu'il faudra en effet que tu apprennes la valeur de l'argent ! Mais ne t'inquiète pas on ne va pas te laisser sans ressources … Mais la prochaine carte de crédit sera limité.
Moi : Pffff !
Gp : Ça y est maintenant il boude ! Arrête tes caprices. C'est ton anniversaire, viens plutôt voir tes cadeaux.
Moi : Cadeaux ? Alors là j'arrive !

On descendait dans le hall d'entrée, il y avait tout un tas de paquets réunis au milieu de la salle. Un en particulier était énorme …
Moi : C'est quoi celui là ? Je le veux ! ( en montrant le plus gros ) Bob : Ça m'aurait étonné ça ! D'abord tu ouvres le plus petit !
Moi : Mais il est tout petit le plus petit !

Il était en effet minuscule, il tenait dans la main. Je l'ouvrais … C'était un téléphone cellulaire … '' Ouééé ! Je viens de casser le mien et c'était pas la première fois ...''
J'ouvrais un autre colis … Une paire de gants en cuir bien épais bien frime … Le suivant contenait un blouson de motard. Il y avait aussi un casque de moto, un pantalon de moto en cuir . J'enfilais le pantalon, c'est sexy ce genre de truc, dans le miroir je me trouvais très beau et déjà je bandais mais ça ne se remarquait pas. Je mettais aussi le blouson, le casque, les gants. Suivaient des lunettes de soleil, un ceinturon et quelques bricoles qui faisaient un équipement complet de super motard. Je faisais le clown devant ma famille et quelques employés qui étaient là ne cachaient pas un large sourire à me voir heureux comme ça. Il restait le gros colis, vu la taille, vu la forme c'était une moto …
Mon grand père : Maintenant je suppose que tu devines ce qu'il y a dans le dernier colis. C'est ton oncle Bob qui a choisi.
Moi : Tonton Bob comment tu as pu deviner que je voulait tant une bicyclette ?

Tout le monde éclatait de rire !

J'ouvrais le colis … Elle était belle, c'était bien une superbe moto. Un modèle américain. Un cylindré moyen, a mon âge je n'avais pas le droit de conduire plus gros. Mais elle était vraiment belle, elle était customisées, rien que pour moi. Là je ne faisais plus le mariole, je ne disais plus rien, tout le monde regardait mes réactions dans un profond silence.

Je me retournais vers mon oncle Bob, le prenais dans mes bras et le remerciais. J'en faisais de même avec mon oncle Luc et mon grand père Jérémy.

Bob : C'est ton oncle Luc qui s'est occupé de trouver l'artiste pour customiser la moto. Il reste encore un colis !
Gp : Un colis, mais quel colis ?
Bob : Mais celui-ci .

Il était minuscule, c'était de loin le plus petit … Je regardais Bob sans trop comprendre, il me le tendais en me disant : '' Ouvre '' … Mais bien sûr c'étaient les clées de la moto !

Moi : Je peux l'essayer ?
Gp : On passe à table dans une heure, je veux que tu sois revenu pour passer à table.
Moi : Promis papy !

Des employés ouvraient en grand la porte magistral de l'entrée, j'étais équipé et je démarrais directement depuis le hall d'entrée … J'étais parti pour une petite heure, je faisais le tour de la propriété, elle fait quand même plusieurs kilomètres de la large. Il y avait un véritable réseau routier dans la propriété, je m'amusais à le parcourir dans tous les sens. Je revenais peu de temps avant de passer à table, ne prenais pas le temps de me changer avant de retrouver tout le monde dans la salle à manger. A la maison passer à table dans cette tenue aurait fait scandale, ici personne ne faisait attention.

De toutes façons même si je venais manger à poil, je ne suis pas sûr qu'ici on me ferait une réflexion … J'ai tous les droits ici! J'avais à peine avalé la dernière bouchée que je demandais à mon grand père si je pouvais quitter la table. C'était par pure politesse et uniquement parce que je l'adore. En faisant cela je me levais sans attendre la réponse.

Luc : Ne sois pas en retard pour le souper tu serais mignon.
Moi : Mais je suis toujours mignon mon tonton !

J'avais la moto bien en main et je décidais de faire un tour hors de la propriété. Le portail s'ouvrait tout seul, je sortais et je roulais pendant le reste de la journée. J'ai fait plus de deux cents kilomètres et pourtant je me suis arrêté plusieurs fois.

Je me suis arrêté au bar du village à quelques kilomètres de là. J'ai des copains là bas. C'est amusant, en surface le village est plus petit que la propriété de mes oncles.

Je ne voyais personne de connu sauf au moment ou je ressortais. Juliette une fille charmante elle arrivait avec des copines à elle. Juliette c'est la fille du notaire du coin. J'ai l'impression qu'elle me court après depuis longtemps. Elle est sympa mais … Je ne sais pas … Une impression … Il y a quelque chose qui ne me plaît pas en elle … Elle est gentille, mais je suis sûr qu'elle est intéressée mais bon, c'est vrai que je suis le meilleur parti de la planète. Il faut bien se dire que quand je recevrais mon héritage le montant de mon compte en banque ne s'écrira pas avec seulement neuf zéros, il en faudra plus … Je la soupçonne d'être cupide !

Quelques jours plus tard on la recevait avec ses parents. Ils s'étaient mis en costume se cérémonie … Le petit notaire du coin reçu par la plus grosses bourgeoisie du monde, c'était un événement. Enfin c'était un événement pour eux. Mon tonton Luc m'avait demandé de m'habiller pour ce repas, c'était la première fois qu'on me faisait le coup dans cette maison : '' Fais moi plaisir je veux que sois très présentable mais reste décontracté tout de même, la cravate n'est pas obligatoire … ''.

A la maison c'est une corvée que de passer à table. Il y a le regard inquisiteur de mon père qui repère le moindre petit défaut. Les règles de tenue, on dirait qu'il a un parapluie dans le cul parfois et quand on reçoit c'est pire … Ici même si on reçoit on reste décontracté. Chez mon papy c'est un peu comme chez mon père mais uniquement quand on reçoit, sinon en famille ou entre amis on est décontracté aussi. Même mon père y est décontracté. Mais il faut dire que là il n'a pas le choix …
C'est toujours très amusant de recevoir chez mes tontons. Les invités s'en font toujours un monde. Il est vrai qu'il y a les deux kilomètres qui séparent la grille d'entrée de la maison, c'est pas comme ça partout vous pouvez me croire. Ensuite on entre dans la maison, la porte d'entrée n'est pas si haute que ça, elle n'atteint qu'à peine la hauteur d'un deuxième étage, au dessus il y a cette imposte vitrée de presque trois mètre de haut qui n'arrivait toujours pas à la hauteur du plafond … Ça en jette ! Il faut voir la tête des gents qui entrent dans cette maison pour la première fois.

La maison est ramassée sur elle même aussi de loin elle parait tout à fait normal, elle ressemble à une maison de poupée mais quand on s'en rapproche on en voit les proportions … Elle n'a que huit étages mais elle culmine à la hauteur d'un immeuble de plus de quinze étage. Je ne vous avais pas dit qu'ils étaient un peu fous dans la famille ! C'est mon tonton Luc qui l'a dessinée !

Les salles de réceptions au rez de chaussée ont un plafond qui ne monte pas à plus de six mètres … Il faut savoir rester simple n'est-ce pas ! … Quelle famille ! Enfin je ne vous dit pas les invités la première fois ils en prennent plein les yeux. Ce jour là c'était le cas. J'ai sursauté quand un des majordome que je connais depuis ma naissance m'a appelé Monsieur Philippe ! Ça m'a rappelé qu'il y avait des invités. Le maire du village soupait ici avec sa famille.

Je ne vous avais pas dit ? Le notaire est également le maire du village. Tout le monde prenait place, le notaire me connaissait un peu, il avait déjà rencontré plusieurs fois mes deux oncles qui étaient les principaux mécènes du village ( et pas uniquement à cause des impôts fonciers ). Mais c'était la première fois qu'il rencontrait mon grand père.

On le mettait tout de suite à l'aise. Mon papy fait ça très bien quand il veut, remarquez s'il veut vous mettre mal à l'aise il sait faire aussi ! Le menu est toujours très soigné dans cette maison. On se régale et en plus c'est très équilibré. On vient de changer de chef à la cuisine, le dernier vient d'ouvrir un restaurant qui déjà marche très bien, il faut dire aussi que mes deux oncles ainsi que mon grand père étaient à l’inauguration du resto … Ça aide !

Après le repas je me retrouvais sur la terrasse avec Juliette. Le reste de la famille était dans le salon d'honneur. Ils avaient ouvert des cartes géographiques, des plans … Enfin il s'agissait de la construction prochaine d'un nouveau centre commercial ou culturel je ne sais pas trop, c'est ma famille qui finançait le projet.

Juliette : Tu en as de la chance d'habiter dans une telle maison !
Moi : Tu sais je n'habite pas ici.
Juliette : Oui mais tu viens souvent, et je suis sûr que ta maison doit être du même genre.
Moi : Non quand même pas, ma maison reste très particulière mais là, mon oncle Luc à tout de même un peu déliré quand il en a tracé les plans.
Juliette : Je ne savais que ton oncle était architecte.
Moi : En fait il est journaliste !
Juliette : On m'a parler de cela, il paraît qu'il possède 60 des plus gros et des plus influant journaux de la planète …Moi : Je sais pas !
Juliette : Il possède aussi plus de cent cinquante chaînes de télé sur tous les continents … Moi : Peut être … Certaines appartiennent au groupe …Juliette : Ils n'ont pas d'héritiers tes deux oncles.
Moi : Je crois qu'ils n'ont pas pu avoir d'enfants ensemble ! (d'un air dégagé )
Elle pouffait de rire en se tortillant devant moi. Avec beaucoup de maladresse elle se caressait le corps. Elle se rapprochait de moi et à plusieurs reprises je sentais ses mamelles … Ah ! On doit dire : Ses seins … Oui mais vous savez moi ce genre de truc je préfère ne pas trop y toucher.

Vous imaginez bien que je ne répondais pas à ces avances. Elle était bien foutue la Juliette, un visage très doux, très féminin. Elle avait de long cheveux, uns silhouette mince et deux mamelles , pardon je ne voulais vexer personne, elle avait deux seins pas trop gros. C'est mieux parce que vu que c'est déjà moche quand en plus c'est énorme … Bon je n'en parle plus ça vaut mieux !

Finalement c'était une assez jolie fille qu'on devait trouver très attirante … Enfin pour ceux qui aiment … Mais c'est pas mon cas !

Juliette : Tu me fais visiter la propriété ?
Moi : Euh …Juliette : S'il te plaît.
Moi : Toute le propriété ? La journée ne suffira pas !

J'avais brusquement une idée ! Je lui disais : '' Ne bouge surtout pas je reviens ''. Je fonçait voir mon tonton Bob et lui demandais si je pouvais sortir l'aéroglisseur. Il me disait oui, bien sûr, me donnais quelques conseils ( comme d'habitude ). C'est pas la première fois que je l'utilise et je le conduis très bien donc il ne s'inquiétait pas d'avantage.

Je revenais voir Juliette et lui disais de me suivre. Elle se caressait les cheveux sur le côté, me faisait un grand sourire et finalement me suivait ! Cet appareil contient quinze places, ce n'est pas un modèle sportif mais ça remue bien, ça fait du bruit et ça va vite … C'est génial ! … On suivait la route puis je prenait par un grand espace de gazon, je retrouvais une autre route, je l'entraînait à l'aéroport, sur la piste d'atterrissage c'est rigolo, on peut faire des dérapages contrôlés. Ensuite je l'emmenait vers le port, je visais la descente des bateaux et fonçais à fond. Au moment ou on arrivait sur l'eau elle hurlait.

L'eau giclait tout autour de nous puis l'aéroglisseur avançait rapidement sur l'eau, elle retrouvait son sourire …
Juliette : Je croyais qu'il fallait entrer dans l'eau doucement …Moi : C'est tout le contraire ! C'est génial non ?

Je ressortais du port et remontait par la plage ( il y a aussi une plage … ). Là je faisais une pause, tournais l'appareil ver la mer et coupais le moteur. Les énormes boudins d'air se vidaient et l'appareil se posais sur le sol.

Elle me sautait dessus et m'embrassait avec fougue. Je ne savais plus quoi faire moi, elle aurait pu prévenir, j'aurais su m'esquiver … Mais non, elle m'a sauté dessus et ne voulait plus ma lâcher.

Franchement j'avais toujours réussi à éviter ce genre de situation navrante jusqu'à ce jour . De plus j'étais dans une école de garçons donc … Et elle ne me lâchait pas en plus ! On fait quoi dans ces cas là ? Je sais pas comment c'est fait moi une fille, j'y ai jamais touché.

Un court instant j'ai pensé crier : '' Au viol '' ! Mais de toutes façons il n'y avait personne dans le coin, aucun secours à attendre. Si je pouvais attraper le bouton d’alerte, on viendrait rapidement m'aider mais j'aurais l'air de quoi moi ? Je pourrais toujours dire que je l'ai fait par maladresse, sinon même mes deux oncles risquaient de se foutre de ma gueule.

Si je lui donnais ce qu'elle veut ! Peut être que ça la calmerait ! Je finissais donc par lui rendre ses baisers, je la prenais dans mes bras et la serrais contre moi … Mais c'est quoi ces trucs tout mous là. A oui ce sont ses mam... Pardon je voulais dire ses seins … Pas très confortable comme truc. Mais c'est qu'elle embrasse pas trop mal la grosse. La peau des douce, il n'y a pas de barbe , c'est dommage moi j'aime bien. Les cheveux long ça chatouille dans mon nez, je sens que je vais éternuer si ça continue. C'est pas trop lourd une fille finalement c'est plus léger qu'un homme.

Par contre il y a grand vide là, entre les cuisses. Là c'est bien moins intéressant. Le lui caressait le dos, elle me tenait la tête et me couvrait de baiser sur tout le visage …
Bon maintenant on fait comme pour la décoller ?

Je lui ai donné tous les baisers qu'elle voulait, et elle en veut encore. Bon on ne va pas y passer la nuit ! Je voyais la lumière du jour décliner, c'est pas grave il y a un éclairage très performant sur cet appareil, je l'ai même conduit de nuit vous savez.

Elle m'embrassait dans le cou. Je sursautais, je rigolais, elle me chatouillait la petite. Bon ça d'accord c'est marrant. C'était une belle journée, il avait fait beau finalement, la saison chaude était terminée mais quelques degrés de plus et on aurait pu se baigner. Elle me donnait encore des baiser sur la bouche … Mais c'est pas fini cette histoire … Je la sentais enjamber ma cuisse et se frotter tout contre moi… Bon, il faudrait qu'elle se calme là ça devient gênant.

Elle se relevait enfin. Horreur ! Elle avait ouvert son corsage et en avait ressorti des deux mamelles … Oui je sais mais je m'en fou j'ai pas envie d'appeler ça autrement là ! … Et elle me les collait sous le nez … Beuh ! Mais c'est que c'est pas hygiénique ça !

Je hurlais au moment ou avec sa main elle me saisissait le sexe au travers de mon pantalon. Mon téléphone sonnait à ce moment et par pur réflexe je répondais. Ça la calmait, la peur sans doute que quelqu'un ne l'entende … J'étais sauvé par le gong !

Moi : Oui papa … oui papa … non papa … oui papa on arrive !
Juliette : C'était ton père ?
Moi : Quand ça ?
Juliette : Mais tout de suite au téléphone.
Moi : Bein non c'était pas mon papa, pourquoi tu dis ça ?
Juliette : Mais tu as dis '' papa ''Moi : C'était pas mon père c'était mon tonton Luc !
Juliette : Et ton tonton Luc tu l'appelle '' papa '' ?

Je m'étais retrouvé allongé sur le sol de la cabine dans cette histoire moi, je me relevais, réajustais mes vêtements, elle en faisait de même. Elle gardait un sourire un peu vicieux et un regard à faire peur … Enfin moi ça me faisait peur ! Elle ne va pas encore me sauter dessus, si elle essaye j’appuie sur le bouton d’alerte, dans cinq minutes il y aura deux hélicoptère autour de notre appareil. Je gardais un œil sur elle pour prévenir toute nouvelle agression. Vous savez je n'avais pas bandé là, mais pas bander du tout.

Je remettais l'appareil en marche et rentrais doucement vers la maison.

Juliette : C'est moi qui te fait cet effet ?
Moi : Euh … oui !
Juliette : Tu n'as jamais … ?
Moi : Euh non !
Juliette : On remettra ça un autre jour ?
Moi : Un autre jour oui, un autre jour oui, un autre jour …Juliette : Tu m'as l'air bouleversé.

Elle posait alors sa main sur ma cuisse. Je hurlais, repoussais sa main.

Moi : Pas pendant que je pilote, c'est dangereux !

L'appareil faisait une embardée sur la gauche, elle n’insistait pas ! Peu après je posais l'appareil dans le garage, je coupais le contact et je sortais tellement vite que les boudins d'air n'étaient pas totalement vide. Je sais il faut toujours attendre mais là, comment dire, j'étais un peu pressé …
Quand elle descendait de l'appareil il était complètement posé. Par réflexe je ne l'approchais pas trop, elle le remarquait.

Juliette : Tu es du genre timide toi !

Je faisais oui de la tête.

Juliette : Mais c'est un peu normal dans une famille comme la tienne. Mais tu verras tout ira bien !

Elle voulait me donner un baiser mais je me reculais d'un mouvement rapide. Elle me souriait !

Juliette : Farouche ! Je saurais t'apprivoiser, tu verras !

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Texte coquin : PHILIPPE EP 04 : PREMIERS BAISERS
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