PHILIPPE EP 13 : UNE NUIT A LA MAISON
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 13 : UNE NUIT A LA MAISON
PHILIPPEEP 13 : UNE NUIT A LA MAISON
Les derniers jours passaient vite, heureusement l'impatience se faisait sentir. Victor avait rempli son dossier d'entrée à la PK University, il ne savait ni si sa bourse serait renouvelée, ni dans quelles mesures. Il était issu d'un milieu modeste et sans sa bourse il ne pouvait pas se payer une telle école. Il ne disait rien mais commençait à s’angoisser.
Personne, parmi ses camarades ne pouvaient se douter de son petit problème. Le règlement interne était formel, et dans la fac c'était pareil, on n'avait pas le droit de parler de notre situation sociale. Dans l'école on était tous au même niveau. La plus grande partie des élèves étaient issus d'une famille très favorisée économiquement, les autres avaient une bourse et étaient financièrement pris en charge mais en aucun cas ils ne devaient se sentir défavorisés, rabaissés. On était à égalité !
Au pire celui qui était issu de la famille la plus riche ( bon d'accord c'était moi ) serait par la suite héritier, au mieux le moins favorisé serait le directeur de la PK ( par exemple ) … Tout était possible, seuls les qualités devaient être prises en compte. Victor ne parlait donc pas des ses inquiétudes, on savait qu'il était issu d'une famille modeste, on en savait donc déjà trop !
Le dernier jour arrivait. Les parents des élèves étaient venus chercher leur progéniture ou avaient envoyé leur chauffeur, personne ne faisait attention à toutes ces voitures mais ce n'étaient que des voitures de très haut de gamme. Victor n'était pas surpris, il avait été prévu qu'il partirait avec moi, tout comme Théo. Comme ils venaient à mon invitation passer les vacances sur Magic Island, c'était plus simple.
Je cherchais des yeux une limousine ou une Rolls d’exception quand mes yeux tombaient sur un visage connu. C'était le chauffeur de mon père.
Moi : Et merde c'est la Bentley !
Victor : Et alors, c'est déjà bien !
Moi : Ça veut dire que c'est mon père qui nous envoie son chauffeur … J'avais espéré que ce serait mon grand père. En plus lui il serait venu en personne !
Victor poussait un long soupir de soulagement.
Moi : Tu as peur de voir mon grand père ou bien ?
Victor : Non c'est pas ça mais … Peut être que pour toi c'est tout à fait normal mais tu sais que pour le reste de la planète … Ton grand père est l'un des personnage les plus puissant du monde. Et je ne te cache pas que je suis très intimidé par cette rencontre.
Moi : Ne t'inquiète pas, tu verras, il est très cool ! Et toi Théo tu ne dis rien ?
Théo : Ça y est la voiture est là ?
Il relevait la tête, il était en train de lire son courrier ou je ne sais quoi sur sont téléphone, lui il ne s’angoissait pas du tout. Il attrapait sa valise d'une main en disant cela et regardait à droit et à gauche.
Théo : Bon elle est ou la voiture ?
Moi : Elle arrive, mon père a envoyé son chauffeur.
La voiture se garait juste à côté de nous, les portières s'ouvraient ainsi que le coffre et le chauffeur descendait.
Le chauffeur : Monsieur Brosso, je suis très heureux de vous revoir, on m'a dit que deux amis vous accompagneraient.
On prenait nos bagages et on les jetait dans le coffre, ensuite on s'installait dans la voiture.
Moi : C'est toi que mon père a envoyé ? Je pensais que c'est mon grand père qui viendrait me chercher.
Le chauffeur : Il a été appelé d'urgence en Asie, mais il sera de retour demain, en plus Monsieur Philippe votre père tenait absolument à rencontrer vos amis.
Je voyais Victor devenir tout pâle.
Moi : Ça va Victor ?
Victor : Ça va, ça va … Mais je ne te cacherai pas que je n'en mène pas large !
Théo : Mais pourquoi ?
Victor : Je ne suis pas du même milieu que vous les gars, mon père est représentant de commerce … Et vous, vous vous demandez si on viendra vous chercher en Rolls ou en Hélicoptère … C'est la première fois que je monte dans ce genre de … véhicule !
Moi : Voyons, tu es un des meilleurs élèves de l'école, tu portes un dispositif de chasteté depuis l'âge de seize ans et tu acceptes même de le garder pendant tes vacances … Mon père va t'adorer !
Ce soir là, à table, en effet, il était charmant. Il me faisait remarquer avec bienveillance que mon directeur ne l'avait pas appelé depuis les dernières vacances, presque trois mois plus tôt …
Mon père : Et toi Théo, tes parents vont bien j'espère ? Je n'ai pas vu ton père depuis quelques temps maintenant !
Théo : Ils vont très bien et vous transmettent toute leur amitié !
Théo ne connaissait pas mes parents mais nos parents se connaissaient très bien …
Mon père : Et toi Victor, tu ne dis rien … J'espère que tu n'est pas intimidé, on m'a dit que tu étais le meilleur élève de l'école … Si seulement tu pouvait avoir une bonne influence sur mon fils ! Lui, il doit être un des pires !
Moi : Je suis le pire papa !
M P : Et en plus tu en es fier ! Enfin Philippe pourquoi ne prends-tu pas exemple sur ton ami Victor ! Il est issu d'une famille modeste mais son travail lui promet une très bonne situation. Tu sais, ton héritage ne te garantis pas que tu dirigeras la PK mais lui, par contre, avec son travail il pourrait parfaitement se retrouver un jour à la tête du conseil d'administration.
La discussion se continuait et Victor finissait pas se détendre un peu.
M P : Tu vas entrer en fac à la prochaine rentrée, tu as choisi quelles matières ?
Mon père savait déjà tout mais c'était juste pour parler …
Victor : J'ai choisi économie en premier … Enfin si je peux …M P : Comment ça ? Si tu peux …Victor : Vous devez le savoir Mr Brosso, mais je ne peux faire mes études dans cette école que grâce à ma bourse et je n'ai pas de réponse à ma demande pour l'année prochaine …M P : Je serais très étonné qu'une bourse d'étude soit refusée au meilleur élève de sa promotion s'il en a besoin pour continuer ses études. Je vais me renseigner si tu n'y vois pas d'objection. Ne t'inquiète pas c'est sûrement une erreur qui sera rapidement réglée.
Victor devait recevoir une lettre trois jours plus tard. Le comité des bourses lui présentait des excuses pour ce retard et lui confirmait que ses bourses étaient acceptée au taux le plus élevé soit cent pour cent des frais … Tout était couvert, y compris le logement !
Il faut savoir que mon père est le président honoraire de ce comité et le principal mécène …
M P : J'ai pensé que vous seriez plus à votre aise si je vous logeait ensemble, j'ai fait installé trois lits dans la grande chambre de l'aile nord … Moi : C'est une très bonne idée papa !
Mes camarade répondaient à cette information avec un grand sourire. Le repas terminé mon père nous laissait nous retirer dans nos quartiers. Victor n'en revenait pas, il y avait trois lits installés mais il restait de la place, cette chambre était bien plus grande que la mienne, pas celle que j'avais chez mes tontons ou chez mon papy mais celle que j'avais ici. Mon père trouvait ridicule de me loger dans une suite, ma chambre à la maison ne faisait que vingt mètres carrés. J'avais toutefois ma propre salle de bain … Mais ça c'est un minimum !
On se jetait sur les lits.
Moi : Alors Victor tu es rassuré de savoir que ta bourse sera acceptée ?
Victor : Attend, elle n'est pas encore accepté, il va voir mais ils peuvent encore me la refuser.
Moi : Pas si c'est mon père qui se renseigne !
Victor me regardait, il avait l'air incrédule, il ne réalisait pas encore mais un sourire se dessinait sur ses lèvres. Il est vraiment mignon Victor, je m'approchais de lui, mon visage juste devant le sien, je passais ma main derrière sa nuque, le tirais doucement vers moi et lui donnais un baiser. Théo nous regardait sans rien dire.
En temps normal mon père entrait dans ma chambre sans prévenir mais je savais que là il n'y avait aucun risque. On avait des invités, un d'entre eux était porteur volontaire et meilleur élève de sa promotion … J'étais en bonne compagnie et il respecterait notre intimité, pas pour moi mais pour nos invités.
Théo s'était relevé, il retirait sa cravate, sa chemise et se mettait à l'aise. Victor me rendait mes baisers, il avait aussi passé sa main derrière ma tête et me caressait mes cheveux. Quand on tournait les yeux vers Théo, il avait retiré ses chaussures et était torse nue, il nous regardait avec le sourire.
Théo : Et moi alors je fais quoi ?
Victor et moi lui sautions dessus, je l'embrassais sur le visage pendant que Victor l'embrassait sur le corps. On le caressait, on l'embrassait, il se laissait tomber sur le dos les bras en croix et les jambes écartées.
Théo : Allez y les mecs faites moi plaisir !
Pendant que je l'embrassais sur les tétons, Victor lui ouvrait son pantalon, tirait dessus fortement et le lui retirait. Théo était à poil entre nos bras, Victor sans attendre lui suçait la queue et j'entendais Théo gémir de plaisir. Il glissait une main dans mon pantalon, me caressait la queue, je bandais déjà bien ferme à ce moment …
Et ne me dites pas que ça vous étonne, je ne vous croirai pas !
Il me tripotait les couilles en même temps. Je me redressais et retirais ma chemise et ma cravate que je lançais à l'autre bout de la chambre. Théo me regardait faire il continuait à me tripoter les couilles au travers de mon pantalon. Je me levais et il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver à poil et plonger de nouveau sur mon camarade. La nos caresses devenaient plus intense. Victor me suçait la queue.
Théo se déplaçait et je lui suçais la queue également, seul Victor était encore tout habillé. Je lui caressais les cheveux et appuyais sur sa tête avec force, il me répondait en faisant des bruits rigolos. Théo aussi s'amusait en appuyant sur sa tête, plus fort j'ai l'impression, mais les bruits que faisait Victor n'était pas plus forts eux.
Théo : Vas y Victor, fait nous un strip-tease.
Victor ne se faisait pas prier, il se relevait et du bout de la chambre se mettait à danser, il en rajoutais pour nous faire rire … Et ça marchait bien. On était plié de rire. On le regardait, toujours dans les bras l'un de l'autre, Théo et moi on se caressait, on s'embrassait. Je penchais la tête, je le suçais un peu puis il me rendait la politesse pendant que je regardais Victor.
Victor terminait son petit numéro, il dansait à poil désormais, il rigolait. On se relevait et on s'approchait de lui, on le caressait doucement de la main, il ne bougeait plus. Je le couvrais de baisers sur le cou et l'épaule gauche pendant de Théo en faisait de même à droite. Ma main se promenait sur le torse, le ventre puis sur le dispositif de chasteté qu'il portait, elle rencontrait à plusieurs reprises la main de Théo et en profitait pour caresser le bras de Théo.
Mes lèvres rencontraient aussi les lèvres de Théo, on s'embrassait alors avec passion. Victor passait lui aussi ses mains sur nos corps, il insistait sur nos queue, nos couilles et finissait par s'accroupir devant nous. Il nous suçait alors avec passion, il fait ça très bien le petit Victor. C'est vrai qu'il est en manque de bite, ça fait plus de deux ans qu'il ne s'est pas branlé, qu'il n'a pas pu se tripoter. Je n'ose pas imaginer comment il doit se sentir frustré, enfin, je n'ose pas imaginer mais j'ose en profiter. J'appuyais sur sa tête en lui balançant un violent coup de bassin, il encaissait puis passait à mon camarade !
Ce jeux durait un long moment, il nous suçait l'un après l'autre. Théo se décidait à prendre la direction des opération, Il prenait Victor par le bras et l'attirait vers un lit, Victor s'installait à genoux sur le lit, le cul bien offert, bien accessible et se penchait bien en avant. Je prenais place et lui enfonçait la queue dans la bouche avec douceur mais pas trop … Si ça résistait un peu, même un tout petit peu, je forçais ! Victor râlait un peu puis finissait par se taire au moment ou mon gland s'enfonçait au fond de sa gorge.
Au moment ou Théo enfonçait sa queue dans l'anus de notre ami, je le sentais réagir, il tentait de se dégager. C'était un réflexe de défense, il faut dire que Théo n'y mettait aucune tendresse. Il avait bien lubrifié, le cul et sa bite, puis y était allé sans préliminaire, direct, bien à fond.
Victor gémissait comme il le pouvait, il n'était pas en position de se faire entendre, il n'était pas en position de force et ne parvenait pas à se dégager. Quelques instants plus tard le coups violents que lui balançait Théo résonnaient fort dans la chambre.
C'est sûr, c'est pas à ce moment que mon père devait entrer dans la chambre sans prévenir … C'est pourtant à ce moment que la porte s'ouvrait violemment … Non je déconne, comme je vous disais tout à l'heure, mon père ne viendra pas nous surprendre, nous avons des invités ...
Je suivais les mouvements de Théo, quand je tirais la tête de Victor fermement vers moi je lui balançais des coups de bassin dans la bouche sans me retenir non plus. Il gémissait, c'était des bruits bizarres, on aurait dit qu'il chialait par moment. Franchement, je ne suis pas sûr qu'il appréciait à ce moment précis, même si moi par la suite j'ai appris à beaucoup apprécier cette position, je veux dire sa position !
J'ai fini par beaucoup apprécier de me faire défoncer le cul et la bouche et je suis sûr que lui aussi, mais à ce moment il devait le sentir passer !
Je respirais fort, je ne tentais pas de faire durer le plaisir, je n'avais pas envie d'en finir. J'avais seulement envie de prendre du plaisir. Et le plaisir je peux vous assurer que j'en ai pris au moment ou, le souffle court, dans un râle de plaisir je lui jutais dans la gorge. Je tirais alors sa tête vers moi de toutes mes forces et le maintenait contre moi. Je ne le lâchais que quand je voyais qu'il paniquait. Il manquait d'air. Il toussait et reprenait son souffle pendant un moment.
Théo n'avait pas arrêté ses mouvements et continuait à le buriner de toutes ses forces et peu après c'est lui qui jutais à son tour mais dans son cul. Comme moi un peu plus tôt il tirait fermement Victor vers lui et appuyait le bassin contre ses fesses. Victor avait le visage contre la couverture, on aurait dit qu'il chialait.
On le laissait un moment, il ne bougeait plus, il reprenait son souffle. Quand il relevait la tête il était tout rouge, et en larme, ou alors il avait bavé tellement … Il faisait peur …
Victor : Vous abusez là les mecs !
Théo : Tu n'as pas aimé ?
Victor : J'ai pas dit ça mais vous y allez un peu fort je trouve !
Moi : Prêt à recommencer ?
Victor : Non ! Déconnez pas ! Ça fait mal et toi tu en as une encore plus grosse !
Je rigolais de la réponse. On le laissait souffler puis on se prenait une douche, tous les trois ensemble. Chacun savonnait son voisin avec beaucoup de tendresse maintenant. Victor retrouvait des couleurs et un air présentable. Théo et moi avions toujours une grosse molle qui pendait devant nous mais le dispositif de chasteté de Victor, lui, pendait mollement entre ses cuisses. Il était calmé le petit Victor, toujours aussi mignon, j'avais envie de lui défoncer le cul mais il avait eu sa dose …
On discutait encore un long moment, chacun sur son lit, à poil. Puis on se couchait et il devait être tard quand on s'endormait. Le lendemain on frappait à la porte avec insistance. Sans la présence de mes camarades la personne qui frappait n'aurait pas attendu aussi longtemps avant d'entrer.
Finalement la porte s'ouvrait. C'était le valet de chambre qui entrait, il glissait la tête, nous étions tous sagement endormis dans nos lits respectifs.
Le valet : Allez les jeunes, il est l'heure de se lever .Monsieur Philippe il faut se lever. Je vous laisse réveiller vos camarade. Monsieur Brosso vous attendra pour le petit déjeuner dans quinze minutes … S'il vous plaît Monsieur Philippe !
Je relevais la tête et lui faisait signe que je prenais les choses en mains. Il avait à peine refermé la porte que je hurlais …
Moi : Debout ! Il faut se lever ! Il y a le feu ! Sauve qui peut ! Dépêchez vous je plaisante pas il y a vraiment le feu !
Mes trois camarades sursautaient et se retrouvaient sur leurs pieds en quelques secondes, me regardaient, j'étais toujours dans mon lit et je rigolais comme une baleine !
Le temps de s'habiller, de se rendre présentable, et un bon quart d'heure plus tard nous descendions à la salle à manger, mon père y arrivait également.
M P : Bonjour les jeunes … Bien, très bien même … Dans les horaires, veste, chemise, cravate … Vous êtes tout à fait présentables les jeunes, je vois que tes camarades on une excellente influence sur toi Philippe. Bravo, je suis très favorablement impressionné !
Moi : Bande de fayots ( tout bas à l'intention de mes camarades )M P : Tu as dit Philippe ?
Moi : Nan , j'ai rien dit !
M P : Mais si tu as dit quelques chose !
Moi : Bonjour papa !
M P : Bonjour Philippe …
On passait à table. Quelques instants plus tard mon grand père arrivait.
G P : Salut tout le monde … Mais qu'est ce que c'est que ça ? Non mais sérieusement vous avez vu dans quelle tenue vous êtes les enfants ?
M P : Papa, enfin, je venais justement de les féliciter pour leur tenue. Ils sont en costume, ils sont comme moi, ils sont très bien !
G P : Oui mais enfin eux ils sont en vacances, ils devraient être en sandales, short ou bermuda et chemise à fleurs Hawaïenne ouverte …M P : PAPA ! Tu sais très bien qu'on ne se présente pas à table en cette tenue !
G P : Encore un règlement ridicule. Heureusement que pour moi ce règlement ne s'applique pas !
M P : En plus tu n'as pas de cravate papa ! Mon dieu ! L'exemple que tu montres ! Bon je préfère vous laisser, mon hélicoptère m'attend sur le toit ! Ah Victor, une dernière chose, je voulais te dire que ta bourse est acceptée, tu recevras un courrier dans quelques jours. Et passez tous de très bonnes vacances !
Il quittait la table.
G P : Je vous préviens les jeunes, vous ne venez pas avec moi dans cette tenue, vous allez vous changer dès que le petit déjeuner est pris.
Mes camarades regardaient mon grand père avec un large sourire. C'est vrai ça, ils n'avaient même pas été présentés mais déjà ils le trouvaient sympathique !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Les derniers jours passaient vite, heureusement l'impatience se faisait sentir. Victor avait rempli son dossier d'entrée à la PK University, il ne savait ni si sa bourse serait renouvelée, ni dans quelles mesures. Il était issu d'un milieu modeste et sans sa bourse il ne pouvait pas se payer une telle école. Il ne disait rien mais commençait à s’angoisser.
Personne, parmi ses camarades ne pouvaient se douter de son petit problème. Le règlement interne était formel, et dans la fac c'était pareil, on n'avait pas le droit de parler de notre situation sociale. Dans l'école on était tous au même niveau. La plus grande partie des élèves étaient issus d'une famille très favorisée économiquement, les autres avaient une bourse et étaient financièrement pris en charge mais en aucun cas ils ne devaient se sentir défavorisés, rabaissés. On était à égalité !
Au pire celui qui était issu de la famille la plus riche ( bon d'accord c'était moi ) serait par la suite héritier, au mieux le moins favorisé serait le directeur de la PK ( par exemple ) … Tout était possible, seuls les qualités devaient être prises en compte. Victor ne parlait donc pas des ses inquiétudes, on savait qu'il était issu d'une famille modeste, on en savait donc déjà trop !
Le dernier jour arrivait. Les parents des élèves étaient venus chercher leur progéniture ou avaient envoyé leur chauffeur, personne ne faisait attention à toutes ces voitures mais ce n'étaient que des voitures de très haut de gamme. Victor n'était pas surpris, il avait été prévu qu'il partirait avec moi, tout comme Théo. Comme ils venaient à mon invitation passer les vacances sur Magic Island, c'était plus simple.
Je cherchais des yeux une limousine ou une Rolls d’exception quand mes yeux tombaient sur un visage connu. C'était le chauffeur de mon père.
Moi : Et merde c'est la Bentley !
Victor : Et alors, c'est déjà bien !
Moi : Ça veut dire que c'est mon père qui nous envoie son chauffeur … J'avais espéré que ce serait mon grand père. En plus lui il serait venu en personne !
Victor poussait un long soupir de soulagement.
Moi : Tu as peur de voir mon grand père ou bien ?
Victor : Non c'est pas ça mais … Peut être que pour toi c'est tout à fait normal mais tu sais que pour le reste de la planète … Ton grand père est l'un des personnage les plus puissant du monde. Et je ne te cache pas que je suis très intimidé par cette rencontre.
Moi : Ne t'inquiète pas, tu verras, il est très cool ! Et toi Théo tu ne dis rien ?
Théo : Ça y est la voiture est là ?
Il relevait la tête, il était en train de lire son courrier ou je ne sais quoi sur sont téléphone, lui il ne s’angoissait pas du tout. Il attrapait sa valise d'une main en disant cela et regardait à droit et à gauche.
Théo : Bon elle est ou la voiture ?
Moi : Elle arrive, mon père a envoyé son chauffeur.
La voiture se garait juste à côté de nous, les portières s'ouvraient ainsi que le coffre et le chauffeur descendait.
Le chauffeur : Monsieur Brosso, je suis très heureux de vous revoir, on m'a dit que deux amis vous accompagneraient.
On prenait nos bagages et on les jetait dans le coffre, ensuite on s'installait dans la voiture.
Moi : C'est toi que mon père a envoyé ? Je pensais que c'est mon grand père qui viendrait me chercher.
Le chauffeur : Il a été appelé d'urgence en Asie, mais il sera de retour demain, en plus Monsieur Philippe votre père tenait absolument à rencontrer vos amis.
Je voyais Victor devenir tout pâle.
Moi : Ça va Victor ?
Victor : Ça va, ça va … Mais je ne te cacherai pas que je n'en mène pas large !
Théo : Mais pourquoi ?
Victor : Je ne suis pas du même milieu que vous les gars, mon père est représentant de commerce … Et vous, vous vous demandez si on viendra vous chercher en Rolls ou en Hélicoptère … C'est la première fois que je monte dans ce genre de … véhicule !
Moi : Voyons, tu es un des meilleurs élèves de l'école, tu portes un dispositif de chasteté depuis l'âge de seize ans et tu acceptes même de le garder pendant tes vacances … Mon père va t'adorer !
Ce soir là, à table, en effet, il était charmant. Il me faisait remarquer avec bienveillance que mon directeur ne l'avait pas appelé depuis les dernières vacances, presque trois mois plus tôt …
Mon père : Et toi Théo, tes parents vont bien j'espère ? Je n'ai pas vu ton père depuis quelques temps maintenant !
Théo : Ils vont très bien et vous transmettent toute leur amitié !
Théo ne connaissait pas mes parents mais nos parents se connaissaient très bien …
Mon père : Et toi Victor, tu ne dis rien … J'espère que tu n'est pas intimidé, on m'a dit que tu étais le meilleur élève de l'école … Si seulement tu pouvait avoir une bonne influence sur mon fils ! Lui, il doit être un des pires !
Moi : Je suis le pire papa !
M P : Et en plus tu en es fier ! Enfin Philippe pourquoi ne prends-tu pas exemple sur ton ami Victor ! Il est issu d'une famille modeste mais son travail lui promet une très bonne situation. Tu sais, ton héritage ne te garantis pas que tu dirigeras la PK mais lui, par contre, avec son travail il pourrait parfaitement se retrouver un jour à la tête du conseil d'administration.
La discussion se continuait et Victor finissait pas se détendre un peu.
M P : Tu vas entrer en fac à la prochaine rentrée, tu as choisi quelles matières ?
Mon père savait déjà tout mais c'était juste pour parler …
Victor : J'ai choisi économie en premier … Enfin si je peux …M P : Comment ça ? Si tu peux …Victor : Vous devez le savoir Mr Brosso, mais je ne peux faire mes études dans cette école que grâce à ma bourse et je n'ai pas de réponse à ma demande pour l'année prochaine …M P : Je serais très étonné qu'une bourse d'étude soit refusée au meilleur élève de sa promotion s'il en a besoin pour continuer ses études. Je vais me renseigner si tu n'y vois pas d'objection. Ne t'inquiète pas c'est sûrement une erreur qui sera rapidement réglée.
Victor devait recevoir une lettre trois jours plus tard. Le comité des bourses lui présentait des excuses pour ce retard et lui confirmait que ses bourses étaient acceptée au taux le plus élevé soit cent pour cent des frais … Tout était couvert, y compris le logement !
Il faut savoir que mon père est le président honoraire de ce comité et le principal mécène …
M P : J'ai pensé que vous seriez plus à votre aise si je vous logeait ensemble, j'ai fait installé trois lits dans la grande chambre de l'aile nord … Moi : C'est une très bonne idée papa !
Mes camarade répondaient à cette information avec un grand sourire. Le repas terminé mon père nous laissait nous retirer dans nos quartiers. Victor n'en revenait pas, il y avait trois lits installés mais il restait de la place, cette chambre était bien plus grande que la mienne, pas celle que j'avais chez mes tontons ou chez mon papy mais celle que j'avais ici. Mon père trouvait ridicule de me loger dans une suite, ma chambre à la maison ne faisait que vingt mètres carrés. J'avais toutefois ma propre salle de bain … Mais ça c'est un minimum !
On se jetait sur les lits.
Moi : Alors Victor tu es rassuré de savoir que ta bourse sera acceptée ?
Victor : Attend, elle n'est pas encore accepté, il va voir mais ils peuvent encore me la refuser.
Moi : Pas si c'est mon père qui se renseigne !
Victor me regardait, il avait l'air incrédule, il ne réalisait pas encore mais un sourire se dessinait sur ses lèvres. Il est vraiment mignon Victor, je m'approchais de lui, mon visage juste devant le sien, je passais ma main derrière sa nuque, le tirais doucement vers moi et lui donnais un baiser. Théo nous regardait sans rien dire.
En temps normal mon père entrait dans ma chambre sans prévenir mais je savais que là il n'y avait aucun risque. On avait des invités, un d'entre eux était porteur volontaire et meilleur élève de sa promotion … J'étais en bonne compagnie et il respecterait notre intimité, pas pour moi mais pour nos invités.
Théo s'était relevé, il retirait sa cravate, sa chemise et se mettait à l'aise. Victor me rendait mes baisers, il avait aussi passé sa main derrière ma tête et me caressait mes cheveux. Quand on tournait les yeux vers Théo, il avait retiré ses chaussures et était torse nue, il nous regardait avec le sourire.
Théo : Et moi alors je fais quoi ?
Victor et moi lui sautions dessus, je l'embrassais sur le visage pendant que Victor l'embrassait sur le corps. On le caressait, on l'embrassait, il se laissait tomber sur le dos les bras en croix et les jambes écartées.
Théo : Allez y les mecs faites moi plaisir !
Pendant que je l'embrassais sur les tétons, Victor lui ouvrait son pantalon, tirait dessus fortement et le lui retirait. Théo était à poil entre nos bras, Victor sans attendre lui suçait la queue et j'entendais Théo gémir de plaisir. Il glissait une main dans mon pantalon, me caressait la queue, je bandais déjà bien ferme à ce moment …
Et ne me dites pas que ça vous étonne, je ne vous croirai pas !
Il me tripotait les couilles en même temps. Je me redressais et retirais ma chemise et ma cravate que je lançais à l'autre bout de la chambre. Théo me regardait faire il continuait à me tripoter les couilles au travers de mon pantalon. Je me levais et il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver à poil et plonger de nouveau sur mon camarade. La nos caresses devenaient plus intense. Victor me suçait la queue.
Théo se déplaçait et je lui suçais la queue également, seul Victor était encore tout habillé. Je lui caressais les cheveux et appuyais sur sa tête avec force, il me répondait en faisant des bruits rigolos. Théo aussi s'amusait en appuyant sur sa tête, plus fort j'ai l'impression, mais les bruits que faisait Victor n'était pas plus forts eux.
Théo : Vas y Victor, fait nous un strip-tease.
Victor ne se faisait pas prier, il se relevait et du bout de la chambre se mettait à danser, il en rajoutais pour nous faire rire … Et ça marchait bien. On était plié de rire. On le regardait, toujours dans les bras l'un de l'autre, Théo et moi on se caressait, on s'embrassait. Je penchais la tête, je le suçais un peu puis il me rendait la politesse pendant que je regardais Victor.
Victor terminait son petit numéro, il dansait à poil désormais, il rigolait. On se relevait et on s'approchait de lui, on le caressait doucement de la main, il ne bougeait plus. Je le couvrais de baisers sur le cou et l'épaule gauche pendant de Théo en faisait de même à droite. Ma main se promenait sur le torse, le ventre puis sur le dispositif de chasteté qu'il portait, elle rencontrait à plusieurs reprises la main de Théo et en profitait pour caresser le bras de Théo.
Mes lèvres rencontraient aussi les lèvres de Théo, on s'embrassait alors avec passion. Victor passait lui aussi ses mains sur nos corps, il insistait sur nos queue, nos couilles et finissait par s'accroupir devant nous. Il nous suçait alors avec passion, il fait ça très bien le petit Victor. C'est vrai qu'il est en manque de bite, ça fait plus de deux ans qu'il ne s'est pas branlé, qu'il n'a pas pu se tripoter. Je n'ose pas imaginer comment il doit se sentir frustré, enfin, je n'ose pas imaginer mais j'ose en profiter. J'appuyais sur sa tête en lui balançant un violent coup de bassin, il encaissait puis passait à mon camarade !
Ce jeux durait un long moment, il nous suçait l'un après l'autre. Théo se décidait à prendre la direction des opération, Il prenait Victor par le bras et l'attirait vers un lit, Victor s'installait à genoux sur le lit, le cul bien offert, bien accessible et se penchait bien en avant. Je prenais place et lui enfonçait la queue dans la bouche avec douceur mais pas trop … Si ça résistait un peu, même un tout petit peu, je forçais ! Victor râlait un peu puis finissait par se taire au moment ou mon gland s'enfonçait au fond de sa gorge.
Au moment ou Théo enfonçait sa queue dans l'anus de notre ami, je le sentais réagir, il tentait de se dégager. C'était un réflexe de défense, il faut dire que Théo n'y mettait aucune tendresse. Il avait bien lubrifié, le cul et sa bite, puis y était allé sans préliminaire, direct, bien à fond.
Victor gémissait comme il le pouvait, il n'était pas en position de se faire entendre, il n'était pas en position de force et ne parvenait pas à se dégager. Quelques instants plus tard le coups violents que lui balançait Théo résonnaient fort dans la chambre.
C'est sûr, c'est pas à ce moment que mon père devait entrer dans la chambre sans prévenir … C'est pourtant à ce moment que la porte s'ouvrait violemment … Non je déconne, comme je vous disais tout à l'heure, mon père ne viendra pas nous surprendre, nous avons des invités ...
Je suivais les mouvements de Théo, quand je tirais la tête de Victor fermement vers moi je lui balançais des coups de bassin dans la bouche sans me retenir non plus. Il gémissait, c'était des bruits bizarres, on aurait dit qu'il chialait par moment. Franchement, je ne suis pas sûr qu'il appréciait à ce moment précis, même si moi par la suite j'ai appris à beaucoup apprécier cette position, je veux dire sa position !
J'ai fini par beaucoup apprécier de me faire défoncer le cul et la bouche et je suis sûr que lui aussi, mais à ce moment il devait le sentir passer !
Je respirais fort, je ne tentais pas de faire durer le plaisir, je n'avais pas envie d'en finir. J'avais seulement envie de prendre du plaisir. Et le plaisir je peux vous assurer que j'en ai pris au moment ou, le souffle court, dans un râle de plaisir je lui jutais dans la gorge. Je tirais alors sa tête vers moi de toutes mes forces et le maintenait contre moi. Je ne le lâchais que quand je voyais qu'il paniquait. Il manquait d'air. Il toussait et reprenait son souffle pendant un moment.
Théo n'avait pas arrêté ses mouvements et continuait à le buriner de toutes ses forces et peu après c'est lui qui jutais à son tour mais dans son cul. Comme moi un peu plus tôt il tirait fermement Victor vers lui et appuyait le bassin contre ses fesses. Victor avait le visage contre la couverture, on aurait dit qu'il chialait.
On le laissait un moment, il ne bougeait plus, il reprenait son souffle. Quand il relevait la tête il était tout rouge, et en larme, ou alors il avait bavé tellement … Il faisait peur …
Victor : Vous abusez là les mecs !
Théo : Tu n'as pas aimé ?
Victor : J'ai pas dit ça mais vous y allez un peu fort je trouve !
Moi : Prêt à recommencer ?
Victor : Non ! Déconnez pas ! Ça fait mal et toi tu en as une encore plus grosse !
Je rigolais de la réponse. On le laissait souffler puis on se prenait une douche, tous les trois ensemble. Chacun savonnait son voisin avec beaucoup de tendresse maintenant. Victor retrouvait des couleurs et un air présentable. Théo et moi avions toujours une grosse molle qui pendait devant nous mais le dispositif de chasteté de Victor, lui, pendait mollement entre ses cuisses. Il était calmé le petit Victor, toujours aussi mignon, j'avais envie de lui défoncer le cul mais il avait eu sa dose …
On discutait encore un long moment, chacun sur son lit, à poil. Puis on se couchait et il devait être tard quand on s'endormait. Le lendemain on frappait à la porte avec insistance. Sans la présence de mes camarades la personne qui frappait n'aurait pas attendu aussi longtemps avant d'entrer.
Finalement la porte s'ouvrait. C'était le valet de chambre qui entrait, il glissait la tête, nous étions tous sagement endormis dans nos lits respectifs.
Le valet : Allez les jeunes, il est l'heure de se lever .Monsieur Philippe il faut se lever. Je vous laisse réveiller vos camarade. Monsieur Brosso vous attendra pour le petit déjeuner dans quinze minutes … S'il vous plaît Monsieur Philippe !
Je relevais la tête et lui faisait signe que je prenais les choses en mains. Il avait à peine refermé la porte que je hurlais …
Moi : Debout ! Il faut se lever ! Il y a le feu ! Sauve qui peut ! Dépêchez vous je plaisante pas il y a vraiment le feu !
Mes trois camarades sursautaient et se retrouvaient sur leurs pieds en quelques secondes, me regardaient, j'étais toujours dans mon lit et je rigolais comme une baleine !
Le temps de s'habiller, de se rendre présentable, et un bon quart d'heure plus tard nous descendions à la salle à manger, mon père y arrivait également.
M P : Bonjour les jeunes … Bien, très bien même … Dans les horaires, veste, chemise, cravate … Vous êtes tout à fait présentables les jeunes, je vois que tes camarades on une excellente influence sur toi Philippe. Bravo, je suis très favorablement impressionné !
Moi : Bande de fayots ( tout bas à l'intention de mes camarades )M P : Tu as dit Philippe ?
Moi : Nan , j'ai rien dit !
M P : Mais si tu as dit quelques chose !
Moi : Bonjour papa !
M P : Bonjour Philippe …
On passait à table. Quelques instants plus tard mon grand père arrivait.
G P : Salut tout le monde … Mais qu'est ce que c'est que ça ? Non mais sérieusement vous avez vu dans quelle tenue vous êtes les enfants ?
M P : Papa, enfin, je venais justement de les féliciter pour leur tenue. Ils sont en costume, ils sont comme moi, ils sont très bien !
G P : Oui mais enfin eux ils sont en vacances, ils devraient être en sandales, short ou bermuda et chemise à fleurs Hawaïenne ouverte …M P : PAPA ! Tu sais très bien qu'on ne se présente pas à table en cette tenue !
G P : Encore un règlement ridicule. Heureusement que pour moi ce règlement ne s'applique pas !
M P : En plus tu n'as pas de cravate papa ! Mon dieu ! L'exemple que tu montres ! Bon je préfère vous laisser, mon hélicoptère m'attend sur le toit ! Ah Victor, une dernière chose, je voulais te dire que ta bourse est acceptée, tu recevras un courrier dans quelques jours. Et passez tous de très bonnes vacances !
Il quittait la table.
G P : Je vous préviens les jeunes, vous ne venez pas avec moi dans cette tenue, vous allez vous changer dès que le petit déjeuner est pris.
Mes camarades regardaient mon grand père avec un large sourire. C'est vrai ça, ils n'avaient même pas été présentés mais déjà ils le trouvaient sympathique !
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