PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS
PHILIPPEEP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS

Le lendemain, on se réveillait un peu plus tôt. Dave passait voir si tout allait bien et comme il était tôt il s'invitait à notre petit déjeuner.

Je ne sais pas qui c'est ce mec, c'est vrai ça il est gonflé, que Alex s'invite, pourquoi pas, je le connais depuis ma naissance et on est entre nous mais Dave, il vient d’où ? Il faisait quoi ? Il n'y a pas longtemps qu'il travaille chez mes tontons et c'est le seul employé qui tutoie tout le monde ! Et quand je dis tout le monde … Même mon papy y a droit et je ne connais personne étranger à la famille qui ose faire une chose pareil, sauf ses vieux amis bien sûr.

On est entre nous, j'invitais donc Alex à se joindre à nous, après le petit déjeuner il nous accompagnerait pour la séance de sport. Avec Victor on était à poil, Dave retirait ses vêtements et voyant ça Alex en faisait de même. On s'installait à table sur la terrasse, c'était déjà un plaisir.

Dave : On est quatre …Alex : Oui il manque quelqu'un j'ai l'impression !
Moi : Théo !
Alex : Théo ! C'est ça, il manque Théo … Il est rentré hier soir ?

La porte de Théo s'ouvrait, il en ressortait en baillant, il était à poil lui aussi et était suivi par un petit gars d'une tête de moins que lui et qui portait un dispositif de chasteté céramique. C'est vraiment très beau comme objet, c'est du composite, je vous rassure, mais ça ressemble vraiment à de la céramique, c'est insalissable, tellement lisse que même l'eau n’adhère pas. Tout comme le modèle titane il peut être porté en permanence sans limite de durée.

Théo prenait son camarade par la main et l’entraînait vers la table avant qu'il n'ai le temps de disparaître dans la chambre. Au moment ou ils arrivaient, un couvert pour notre nouvel invité était déjà installé, il est rapide Alex. On faisait les présentations, il s'appelle Lionel, et il avait l'air embarrassé de nous avouer qu'il travaillait dans un bar, au centre du village. Le village c'est comme ça qu'on appelle la zone construite en dur, c'est au centre de l'île, le grand quartier ou tout se passe, de loin ça ressemble à Manhattan en plus petit.

Comme prévu on faisait ensuite notre petit entraînement matinal quotidien. J'avais rapidement retrouvé ma silhouette élégante et sportive. Lionel nous laissait, il travaillait dans l'après midi. On descendait sur la plage pour le reste de la matinée, on se baignait, on jouait au ballon, il y avait des jeunes de notre âge un peu partout et on faisait des équipes, on bronzait, le reste de la journée on a fait de la plongée ou alors c'était un autre jour, je ne sais plus.

Là bas il y avait de quoi s'occuper, au nord de la maison à l'ouest de l'île, coincé entre les arbres, sur la route qui montait à notre parc privé il y avait un immense bâtiment. C'était un frigo, un frigo géant ou on produisait de la neige artificielle avec deux pistes de ski, autant vous dire qu'il était vraiment géant ce '' frigo '' . On y est allé régulièrement aussi, ça nous rafraîchissait un peu des trente cinq, quarante degrés. Tout les jours on s'occupait.

Le ski, on le faisait aussi sur l'eau, du surf, de la planche à voile, du parachute ascensionnel … Puis il y avait les corps des moniteurs, ils étaient tous musclés, leur peau était ambrée, plus d'un étaient totalement imberbe et ça ne pouvait pas être naturel. Sur l'île il y avait plusieurs salon de beauté destinés aux hommes ( il y en avait aussi pour les femmes bien sûr ). Soin des cheveux, des sourcils, de la barbe, massage et bien sûr épilation … Ils ne désemplissaient pas ! Il y avait aussi le célèbre bureau PK, vous savez ces endroits ou on peut se procurer un de ces dispositif de chasteté, tous les conseils vous y seront prodigués avec une grande générosité et une patience infinie, même si vous n'achetez pas.

Sur la plage les porteurs de dispositif de chasteté avaient le droit de faire du naturisme. Beaucoup ne s'en privaient pas. On pouvait admirer sans se sentir gêné, des fesses musclés, des hanches fines et dessinées et quand le monsieur se retournait on voyait un éclair, un reflet de soleil sur le dispositif de chasteté en métal brillant comme un miroir. Il l’exhibaient tous avec une certaine fierté. Surtout ceux qui portaient un modèle en métal. On voyait aussi de nombreux modèles en plastic.

Les plus étonnant étaient les modèles ambrés, marron clair. De loin avec le bronzage, on pouvait croire que le porteur était nu, de près l'impression changeait on pouvait admirer par transparence la bite du monsieur bien confinée qui pouvait même remplir généreusement le tube de chasteté, juste en dessous les deux testicules, bien ronds, bien pleins et souvent épilés.

Oui, je dis admirer parce que même si c'est pas pour moi ce genre de truc je trouve ça tellement sexy sur les autres, j'adore ça moi. Ce me fait bander, par prudence je gardais un maillot de bain. Et puis de toutes façons comme je ne porte pas de dispositif de chasteté, j'ai pas le choix. Je vous rassure je ne porte pas de ces maillot de bain qui couvrent de la ceinture jusqu'au milieu des cuisses. J'avais un modèle plus léger, c'était un modèle taille basse qui s'arrêtait tout en haut des cuisses, il couvrait parfaitement mon sexe et retenait également mes érections … C'était le but !

Théo faisait comme moi mais, seul Victor en profitait pour nous allumer un peu, il savait que ça nous allumait de le voir avec pour seul vêtement son dispositif de chasteté. Il était peut être en manque mais ça ne l'empêchait pas de nous allumer.

Le soir pour sortir on s'habillait, un polo de marque, un bermuda et marque également, avec des chaussures légères et des chaussettes pour faire plus habillé … On était tous les trois tout à fait craquant. Victor s'y faisait bien finalement à cette vie, au bout de deux semaines à peine il ne se posait plus de question et se contentait de profiter de la situation. On était un peu comme des princes, on habitait dans une maison gigantesque, tellement gigantesque qu'on n'a pas réussi à en faire le tour pendant notre séjour. On y occupait une aile, avec terrasse et piscine, on avait à notre service un petit personnel de maison, un valet de chambre adorable que je connaissais depuis mon enfance … On avait aussi un coach sportif pour rester en forme et c'était lui le plus pénible.

On pouvait rentrer, sortir quand on voulait, manger si on voulait et quand on voulait mais pour ce qui est du sport il y avait Dave, et là … Pas question d'y échapper ! Vous imaginez il tutoies mon papy ce phénomène alors c'est pas moi qui vais l'impressionner … Si on voulait résister on se faisait engueuler et on se retrouvait rapidement en short ou à poil à courir dans notre parc privé ! Pour le reste il est sympa Dave.

Il nous a encadré pour une initiation à la plongée sous marine, nous avions un moniteur pour chacun d'entre nous, il y avait même un caisson de décompression au cas ou, mais bon on plongeait à dix mètres … La plongée se passait au nord de notre île, en plein milieu de l'archipel, il y avait des coraux, des poissons de toutes les couleurs, c'était tout simplement fabuleux. On revenait à la surface avec des étoiles de mer dans les yeux. Il était tôt, aussi Dave nous proposait de revenir à la maison en faisant le tour complet de l'île.

Elle faisait plus de trente kilomètre d'Est en Ouest, elle était recouverte d'arbres, la partie nord était rocheuse, il y avait donc surtout des bâtiments en dur, villas, hôtels, parc. Attention seule notre villa était une propriété privée, les autres étaient en location. Notre bateau était un vedette rapide qui dépassait les soixante kilomètres-heure, ça nous faisait quelques heures de promenade, un truc pareil ça remue et c'est génial. Les autres îles se trouvaient toutes au nord. Il y en avait une pour loger le personnel, on pouvait y accéder avec un aéroglisseur en un bon quart d'heure de trajet, ça me rappelait quelques souvenir de les voir passer au moment ou nous traversions cette zone très fréquentée.

Nous avions encore passé une merveilleuse journée. Le soir après le souper, nous nous préparions à sortir comme d'habitude, Théo avait un rendez-vous, Victor aussi, à ce qu'il nous disait …
Je décidais d'aller voir comment ça se passait du côté des embarcadères, au Nord Ouest de l'île. C'est à cet endroit que les employés prenait les aéroglisseurs pour rentrer chez eux, vers l'île nord.

C'était un quartier un peu fermé, refermé sur lui même. Ici on ne recherchait pas à faire venir les touristes, c'était réservé au personnel qui travaillait sur place, mais il y avait un petit quartier vivant avec quelques bar qui faisaient aussi brasserie, on pouvait manger en attendant l'aéroglisseur. C'est ici qu'on déchargeait tout ce qu'il fallait importer sur l'île, il y avait toujours de l'activité, quelque soit l'heure de la journée. J'entrais dans une brasserie et j'entendais une voix qui m'interpellait.

'' Ah le revoilà lui ! Ça faisait longtemps, on te croyait mort dans un autre naufrage bonhomme … Ça va Philippe ? ''
Tout le monde se retournait vers moi, je sursautais et tentais d'identifier la personne qui m'avait interpellé. C'était un homme au bar, je ne l'avais jamais vu mais il semblait me connaître.

Moi : On se connaît ?
Lui : Pierre Henri. Pour te servir petit naufrageur … Je faisais partie de l'équipe des sauveteurs en mer, il y a six ans quand tu as coulé l'aéroglisseur, je faisais partie de l'équipe qui t'a secouru. Bein dis donc bonhomme tu as fait du propre ce jour là ! On en rit encore tu sais !

D'une voix forte il me présentait à tout le monde. Il faut dire que tout le monde connaissait cette histoire. Six ans plus tôt, j'avais donc onze ans, histoire de rigoler j'avais pris les commandes d'un aéroglisseur pour faire un tour en mer, ça s'est mal terminé, j'ai coulé l'appareil, on m'a secouru. Tout le monde s'en souvenait. Ce souvenir me faisait rigoler.

Pierre Henri : Je t'offre une petite bière ?
Moi : Ah ouai je veux bien ! ( c'est que je ne peux pas me procurer ce genre de truc ici moi ).

Deux heures plus tard j'étais saoul, j'avais pas bu beaucoup de bière mais je n'étais pas habitué. Voyant ça Pierre Henri préférait m'emmener chez lui, enfin, dans sa capsule. Il logeait dans une sorte de petit appartement qu'on appelait capsule sur l'île nord, juste la place pour dormir confortablement, ici tout le monde vivait à l'extérieur, la capsule c'était juste pour dormir, dix mètres carrés c'est tout. Dans la capsule d'à côté il y avait un gars rigolo et sympa, Joey, un black, grand, musclé à point, il était en week-end.

Moi : Ça veut dire quoi en weed-end.
Joey : Ça veut dire que si je reste sur cette île, j'ai le droit de retirer mon dispositif de chasteté.
Moi : Tu veux bien le retirer dis ?
Joey : C'était pas prévu mais si c'est pour satisfaire un p'tit gars en manque, pourquoi pas ?
Moi : Oué vas y retire le !

Il me faisait signe de le suivre dans sa capsule. Il refermait la porte derrière moi. Il retirait ses vêtements, je ne loupais rien, il était magnifique et … Je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit mais j'adore la couleur … Il déverrouillait son dispositif et le retirait. J'admirais le mouvement, j'admirais sa queue qui se développait tout doucement, je me penchais sur lui et sans plus de manière lui suçais la queue, elle se développait alors plus vite dans ma bouche et rapidement prenait toute la place.

Il appuyais sur ma tête sans me ménager, il ne savait pas qui j'étais et c'était mieux ainsi. Pierre Henri était reparti avant que je ne suive Joey et devait penser que je dormais dans sa capsule. En fait non ! Dans la capsule à côté il y avait mieux.

Mais c'est qu'il ne me respectait pas vraiment Joey. Il tenait fermement ma tête avec ses deux mains et m'enfonçait violemment sa queue jusque dans gorge, balançait un coup de bassin en me tirant la tête vers lui. Quelques instants plus tard il me repoussait contre le mur, me coinçait dans un angle et me baisait la bouche là encore sans ménagement. Il s'amusait avec moi pendant un long moment, par moment je suffoquais, il faisait alors une pose me laissais respirer puis reprenais.

Je trouvais qu'il abusait le gars et j'avais envie de m'en aller mais il me retenait avec force. Il s'amusait, il faisait durer le plaisir, j'avais du mal à encaisser, je voulais me dégager mais je ne parvenais pas bouger, il me bloquait contre l'angle du mur.

C'est un long moment plus tard qu'il m'ordonnait de retirer mes vêtements.

Joey : Mais tu ne portes pas de dispositif toi. Et moi qui pensais que tu était en manque, tu peux te branler quand tu veux, te soulager, te faire plaisir …
Il me tirait alors vers lui, me jetais sur le lit, tirait mon pantalon sur mes pieds …
Joey : Mais c'est pas grave, ma queue vient de passer deux semaines dans cette cage, tu as voulu me libérer, tu vas en payer le prix !

Disant cela il me lubrifiait abondamment le cul et sans prévenir m'enfonçait la queue dans le cul. Je voulais gueuler, il posait sa main sur ma bouche et sans aucun préliminaires me limait le cul avec force. Il se retirait complètement puis revenait à fond. Ses mouvements étaient rapide et violents. Il me faisait vraiment mal, je voulais me dégager mais je ne sais pas si c'est parce qu’il était bien plus fort que moi ou si c'était les effets de l'alcool mais je ne pouvais pas bouger.

Il me tenait fermement contre le lit, les bras dans le dos. Il était bien plus fort que moi, je ne pouvais pas bouger. Je ne pouvais qu'encaisser. J'avais rêver de me faire prendre sauvagement plus d'une fois mais maintenant que j'y étais, ça me faisait mal, ça me faisait vraiment très mal. A chaque fois que je tentais de me dégager, il me tordait le bras un peu plus dans le dos et me bloquait encore plus. Maintenant j'avais aussi mal au bras.

Si je gueulais il me mettait sa mains sur la bouche et j'avais du mal à respirer, si je tentais de me dégager il me tordais le bras encore plus fort, si je serrais les fesses, ça faisait encore plus mal. Je n'avais pas le choix, je ne pouvais que subir. En plus il était bien monté, il devait être dans la catégorie du mec que j'avais rencontré dans la maison close le soir de mon anniversaire.

Je serrais les dents, je respirait fort, je gémissait mais j'essayais de ne pas faire trop de bruit. Il commençait à me faire un peu peur le gars en plus de me faire vraiment mal au cul. C'est là que j'ai commencé à chialer. Il s'en moquait, voyant que je ne résistais plus, il s'était relevé, ne tenait plus mes bras que d'une main et ses coups de bassins contre mes fesses devenaient de plus en plus violents. Il ne se retenait plus, il se lâchait, sa queue était longue et large, elle ressortait complètement de mon cul puis y revenait avec une extrême violence, bien à fond, en appuyant bien son ventre contre mes fesses.

Il respirait plus fort, plus vite.

Joey : Tu as l'air d'aimer ça toi ! Tu es une vrai petite salope, à te voir on n'y croirait pas …
Il me prenait fermement par les hanches, en râlant il me donnait des coups particulièrement violent et finissait pas jouir dans mon cul. Il me retenait alors encore un long moment bien serré contre lui, me lâchait et se laissait retomber sur moi. Il bandait encore, sa queue était encore dans mon cul et il m'arrachait encore quelques gémissements. Puis je ne disais plus rien.

Il était plus lourd que moi, il m'écrasait mais c'était pas le pire, il reprenait son souffle puis au bout d'un long moment se relevait, se retirait puis se dirigeait vers le coin douche …
Joey : Bon va falloir rentrer dormir ! C'était bon mais la nuit avance, ça fait du bien de se vider les couilles … Tu m'excuse si je te chasse un peu mais demain je suis en week-end, j'ai qu'une journée et je n'ai pas de temps à perdre. Tu repasses quand tu veux, enfin un soir ou je suis libre.

Je me retrouvais sur le seuil de la porte, à poil avec mes vêtements sous le bras, j'avais mal au cul, j'avais mal au bras et j'avais mal à la mâchoire. Avec une démarche en canard je me dirigeais vers la capsule de Pierre Henri. Elle était restée ouverte mais il n'était pas encore de retour, je m'installais et rapidement je m'endormais.

Le lendemain matin, ça allait mieux. J'avais encore un peu mal au cul mais ça allait. J'étais réveillé par une voix connue qui me gueulait dessus.

Alex : Philippe mais bon dieu qu'est ce que tu fous ici ? On te cherche partout depuis ce matin ! J'ai été obligé de faire appel à la sécurité.

Je sortais de la capsule, à poil, l'air hagard. Je me grattais la tête.

Moi : Bon ça va j'ai découché, enfin Alex arrête de m'engueuler j'ai rien fait de mal … ( je me grattais le cul ) … Enfin presque … Alex : C'est pas ça, je ne sais pas ce que tu as fais et je m'en moque mais … Ton père est dans le train il sera là dans quelques heures !
Moi : Qué ?
Alex : Mais tu es bourré ou quoi ? Ton père Monsieur Brosso Antoine sera là dans quelques heures et tu as intérêt à te remuer le cul si tu ne veux pas avoir des ennuis !

Joey était sorti également de sa capsule et je voyais dans ses yeux comme un éclair de panique quand il entendait ces mots. Il commençait à comprendre qui j'étais, j'enfilais mon short et suivais Alex avec le reste de mes vêtements sous le bras.

Il était venu avec une vedette rapide, c'était pas le moment de traîner, mon père descendrait du train pour prendre un hélicoptère et serait rapidement à la maison. On prenait par la côte Ouest, on arrivait en bas de la falaise, en contrebas de notre terrasse qui était invisible de la mer. A cet endroit il y avait des petite cryptes et une entrée ascenseur … On arrivait sur notre terrasse quelques instants plus tard, au moment ou l'hélicoptère de mon père se posait. Juste le temps de passer des vêtements de sport, de les arroser d'eau pour laisser croire que je m'entraînais depuis un moment, et je retrouvais mes camarades.

Dans la maison il n'y avait que des employés qui travaillaient pour mon grand père, ils me couvraient, accueillaient mon père, lui expliquaient que tout se passait bien, que nous étions à notre séance de sport sans lui dire que d'habitude nous la faisions à poil …
Quand mon père arrivait sur notre terrasse, il nous voyais revenir de notre séance de sport, en sueur, comme il convient …
Dave : Monsieur Brosso, mais c'est une surprise !
Mon père : Tout se passe bien ici ?
Dave : Tout se passe parfaitement bien Monsieur Brosso, si vous le permettez j'envoie les gamins prendre une douche et je les libère …Mon père : Je serai dans le salon d'honneur !


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Texte coquin : PHILIPPE EP 18 : LE QUARTIER DES EMPLOYÉS
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