PHILIPPE EP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME
PHILIPPEEP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME

J'étais pas vraiment convaincu en montant dans l'ascenseur, la destination REPOS était accessible. Victor était très décidé et c'est cette destination qu'il validait. Dans les minutes qui suivaient l'ascenseur s'ouvrait sur le couloir ou nous étions déjà venus. Au fond du couloir la fenêtre que nous avions déjà repéré donnait sur un jardin. En fait le jardin faisait le tour de la maison, tout le pourtour de la maison était végétalisé. Si on y réfléchit bien, la falaise fait plus de cent mètre de haut et la maison plus de trente elle aurait dû être très visible depuis le sol… C'est à cause de cette ceinture de plantes que la maison parvenait à rester discrète depuis le bas de la falaise. À côté de la fenêtre un couloir très lumineux, des fenêtres sur le mur extérieur ouvraient sur la baie qu'on pouvait admirer au travers de la ceinture végétale.

Au fond du couloir la porte s'ouvrait. Alex en sortait il poussait un plateau sur roulettes.

Moi : Mais tu es là toi ? Qu'est-ce que tu fous ici ?
Alex : Oui euh … En fait … C'est que … Moi : Quand je pense que j'en étais malade ! Je croyais t'avoir fait virer !
Théo : Finalement ça se termine bien cette histoire.
Victor : Ça me fait plaisir de te revoir Alex.
Alex : C'est gentil ce que tu dis là Victor. Tu cherchais tes oncles Philippe ? Ils sont là !

On entrait. Mon oncle Bob et mon oncle Luc étaient là en effet, ils terminaient de dîner, ils étaient en compagnie d'un homme très âgé que je ne connaissais pas. C'est lui qui s'adressait à moi en premier.

Charles : Entre Philippe, approche que je te vois, ça fait si longtemps ! Tu as changé, tu as grandi !
Bob : Il avait quoi, six ans la dernière fois que tu l'as vu Charles ?
Charles : A peu près oui, je me souviens très bien, c'était dans cette maison, dans cette suite qui m'est aujourd'hui réservée.

Je baissais les yeux, j'étais un peu intimidé, il semblait me connaître ce vieux monsieur, je me retournais le plus discrètement possible vers Alex … '' C'est qui ? ''. Alex rigolait de ma question.

Alex : Je te présente Charles, il a été pendant de nombreuses années le majordome de ton grand père. Aujourd'hui il est en retraire et une suite dans la maison a été mise à sa disposition … C'est lui le fantôme, c'est à lui qu'un valet apportait un thé et que notre ami Victor a vu. Bien sûr il aurait pu ouvrir le panneau, mais il était fatigué ce soir là et le valet n'a pas osé le faire.
Victor : Mais vous auriez pu le dire, j'ai eu une peur bleue moi !
Charles : Il ne faut pas m'en vouloir Victor, c'est mon côté taquin et Djé ne vaut guère mieux !

On entrait et on prenait place à table. Alex revenait un peu plus tard, nous servait un chocolat et déposait un gâteau devant nous. Théo commençait déjà à saliver.

Moi : Et qui a eu cette idée de me faire croire qu'Alex avait été viré.
Luc : C'est lui !
Bob : Ça va être de ma faute maintenant. J'ai juste dit '' Il faudrait le responsabiliser, si ses actes avaient des conséquences, il réfléchirait peut être un peu ! ''…
Puis Bob appelait Alex qui tentait de sortir sur la pointe des pieds …
Alex : Bon d'accord j'avoue, mais moi j'ai juste dit '' Si ses conneries faisaient virer quelqu'un … '' .
Moi : Ça va j'ai compris ! Vous m'avez donné une leçon et ça a marché vous savez … J'en menais pas large !
Charles : Bon puisque tout le monde est d'accord, si on goûtait un peu à ce superbe gâteau, c'est moi qui ai fourni la recette, j'espère qu'il est réussi.

Un gâteau aux fruits avec une crème légère, c'était une merveille. On me présentait plus longuement Charles, il avait été au service de mon grand père depuis plus de soixante ans. C'était plus qu'une relation employeur-employé qui les unissait. C'était une véritable, une sincère amitié qui les rapprochait. Charles avait passé les quatre vingt dix ans, il se déplaçait en fauteuil roulant mais uniquement parce qu'il se fatiguait rapidement, il n'était absolument pas handicapé, il était âgé c'est tout !

Mon grand père veillait sur lui, il y avait du personnel à son service et une suite privé dans une des maisons les plus convoitée de la planète. Normal elle appartenait à ma famille !

Finalement il y avait bien un hôte invisible dans la maison mais ce n'était pas un fantôme. Victor n'en rajoutait pas mais devait se sentir rassuré.

On discutait longuement avec Charles, il me parlait de mon grand père, de ma grand mère que je n'avais pas connue, il me racontait un peu l'histoire de ma famille, il était très sympa et je comprenais rapidement pourquoi lui et mon grand père étaient restés si proches.

Un peu plus tard on se retirait pour aller à la plage. Il ne restait plus que quelques jours avant la fin des vacances et déjà on se préparait pour le retour. Charles prévoyais de rester, la suite était à sa disposition sans limites ni contraintes, mon grand père et mes deux oncles avaient validé cette décision. Je ne sais pas ce qu'en pensait mon père, je suppose qu'il ne devait pas être d'accord mais ils avaient dû se passer de son avis, ils avaient même peut être choisi d'oublier de le lui demander. C'est toujours comme ça que ça se passe dans la famille, en théorie c'est mon père le big-boss, mon grand père est en retraite et mes deux oncles ne travaillent pas et n'ont jamais travaillé officiellement pour la PK, mais dans la pratique … Le big-boss c'est mon grand père et si un de mes oncle prend la parole devant le conseil d'administration tout le monde oublie la présence de mon père … Et je vous garantis qu'il n'aime pas ça !

Les derniers jours se passaient calmement, Alex était réapparu dans la maison, il n'avait plus aucune raison de se cacher. On continuait a faire la fête mais je restais sage. Cette histoire m'avais servie de leçon. Faire virer Alex ! Il faut dire aussi que ça m'avait étonné de la part de mes deux oncles.

Le dernier jour, on allait saluer Charles, il nous recevait avec le sourire, on discutait un long moment. Il nous racontait les début de l'université PK. C'est vrai qu'il y avait participé … On retrouvait finalement mes deux oncles à la gare. Ils avaient réservé un compartiment, les bagages avaient suivi tout seuls, enfin peut être pas tout seuls mais ils avaient suivi.

Quelques heures plus tard on arrivait sur le continent. Victor seul quittait le train, mon père avait prévu une correspondance avec un hélicoptère pour lui permettre de passer les deux derniers jours avec sa famille. J'avais de la chance il n'avait entendu parler de rien, mon nez commençait à guérir et décidément mon père appréciait vraiment Victor.

A la station suivante c'est Théo qui descendait du train, son père était venu le chercher avec une grosse voiture de sport italienne de couleur rouge ( ça vous dit quelque chose ?).

Pour terminer c'est nous, mes deux oncles et moi qui montions dans un hélicoptère qui nous conduisait directement chez mes oncles. Mon père m'avait laissé un message me disant qu'il était très occupé, qu'il me verrait plus tard, que je pouvais rester chez mes oncles en attendant la rentrée …
Mais c'est que ça m'arrangeait bien cette histoire. Je me disais que j'allais enfin pouvoir retirer mon dispositif. Le jour même je descendais au sous sol, et cherchais des outils de précision pour retirer mon dispositif de chasteté. Ça va faire plus d'un mois que je porte ce truc, pfff ! C'est de la saloperie je ne vous dis pas, mais ce que je vous dis c'est que jamais, non jamais plus … JA-MÉ … !

C'était une très mauvaise idée finalement, et en plus il n'y avait pas moyen de trouver des outils de précision avec lesquels je pourrais retirer ce truc …
Luc : Tu cherches quelque chose mon petit Philippe ?

Je sursautais. Je ne l'avais pas entendu venir celui-là.

Moi : Bein oui tonton, c'est pour retirer mon dispositif …Luc : Je te déconseille d'essayer de le retirer avec un outils qui ne serait pas prévu pour ça.

Je le regardais incrédule !

Luc : Tu sais les dispositifs de ce type sont très sécurisés, tu aura un mal fou à le découper et si jamais tu dérape … Ouch …Moi : Mais je ne peux pas garder ce truc pour toujours !
Luc : Tu le portes depuis plus d'un moi, tu devrais bien pouvoir attendre deux jours …Moi : Pffff . Meuhh . C'est pô drôle !
Luc : Mais tu verras on s'y fait très bien !
Moi : Deux jours ?
Luc : Dans trois jours tu seras libre de faire ce que tu veux, et tu seras à l'école ou tu es connu pour être un petit branleur ! Je te rassure ta réputation ne vas pas en souffrir …Moi : Là tu as une manière de dire les choses tonton !
Luc : Allez va prendre une douche et te changer, après tu pourras faire un tour, n'oublie pas qu'on passe à table un peu plus tôt, il y a le décalage horaire.
Moi : Au fait Alex il est revenu ou pas ?
Luc : Pas encore, il va rester quelques semaines avec Charles.

Je suivais ses conseils, je prenais une moto dans le garage et partais faire un tour dans le village. J'allais repartir et au moment ou j'allais quitter la place de l'église je voyais une tête connue. C'était Ludo. Je sursautais et bloquais les freins de la moto, je pilais net et je hurlais … '' Ludo !''.

Il se retournais vers moi et en me souriant me criait mon nom.

Deux minutes plus tard il était sur ma moto derrière moi, il me tenait bien serré contre lui. Je suppose qu'il avait peur de tomber, enfin je ne conduis pas si mal que ça tout de même ! On se retrouvait chez lui, il avait une chambre à l'écart de la maison, deux pièces ou il pouvait recevoir qui il voulait comme il le voulait. Ses parents lui laissaient une grande liberté, il faut dire que c'était un élève modèle et qu'il avait plus de vingt ans.

Je lui arrachais ses vêtements, il m'arrachait les miens. Nos deux corps se serraient l'un contre l'autre, se frottaient, se caressaient. Il me couvrait de baisers, sur tout le visage, sur les épaules. Je le couvrais de baisers à mon tour. Nos deux lèvres se cherchaient et se trouvaient. Nos langues se caressaient avant de se faufiler et de se promener sur tout le corps de l'autre.

Je glissais mes mains sur ses fesses et le tirait contre moi. Puis je glissais mes mains sur ses fesses dans son pantalon, il n'avais pas de sous vêtements le coquin. J'aime bien ça moi. D'ailleurs j'en ai pas non plus.

Il ouvrait mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles. Je sentais ses mains qui me caressait les couilles, il me souriait. Il tâtait mon dispositif de chasteté.

Ludo : Mais c'est que c'est nouveau ça !
Moi : Oui je sais, c'était pas prévu au départ … De plus normalement j'aurais dû le retirer …Ludo : Ne te cherches pas d'excuses. Pour un membre de ta famille c'est normal.
Moi : Pas pour moi.

Je ne bougeais plus, je veux dire que je ne le caressais plus, j'avais mes mains posées sur ses fesses, sa peau était douce et je ne bougeais plus. Il m'embrassait de nouveau et ouvrait son pantalon en même temps. Son pantalon tombait sur ses chevilles, sa queue se relevait avec une grande virilité. J'avais oublié qu'on était en vacances et que en vacances les étudiants de la PK peuvent retirer leur dispositif.

Un instant je me demandait ce que nous allions faire mais là, c'était une surprise qui me redonnait le sourire. Je tombais à genoux devant lui et sans hésiter lui suçait la queue, je l'avalais sur toute sa longueur. Il appuyait sur ma tête et avançait le bassin.

La dernière fois ça s'était passé dans l'autre sens mais je commençais déjà à bien aimer aussi dans ce sens. Je commençais à savoir faire et c'est avec plaisir que j'avalais sa queue. Il gémissait de plaisir et faisait durer un long moment. Il me tenait fermement la tête avec les deux mains et me donnait maintenant des coups de bassin violents et rapides.

Son ventre s'écrasait sur mon visage, mon nez ne me faisait plus mal du tout et j'y prenais beaucoup de plaisir. Je lui en donnais aussi beaucoup. Par moment il me maintenait le visage bien appuyé contre lui, sa queue bien enfoncée dans ma gorge.

Quand il se retirait il me relevait avec force et me prenait dans ses bras. La pression dans ma cage de chasteté me rendait fou. Ça faisait quelques semaines que je portais ce dispositif et je commençais à m'y habituer mais là ! Il n'y avait rien à faire, c'était l'enfer.

Je serrais Ludo dans mes bras avec passion et le couvrais de baisers …
Ludo : Retourne toi !

Je m'exécutais, je me retournais et me penchais sur le lit. Il se penchait sur moi, me couvrait de baisers sur les épaules, le cou. Il me caressait, ses mains se promenaient sur tout mon corps, depuis mes épaules jusqu'à mes fesses en passant par mon dispositif de chasteté.

Sans plus attendre il me lubrifiait me cul et je sentais une pression contre mon anus, une pression de plus en plus forte. Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui. Là je sentais mon anus se dilater, une légère douleur puis un immense plaisir, un plaisir profond, profond dans mes entrailles. Ma tête tombait en avant et je gémissais de plaisir.

Il se penchais contre moi et me prenait dans ses bras, il se relevait, je me relevais aussi. La position changeait, la pression dans mon cul changeait et je gémissais de plus en plus fort, le plaisir montait d'un cran supplémentaire.

Je passais mes bras dans mon dos, juste pour le plaisir de sentir sa peau. Je tournais le visage vers lui, il m'embrassait. Doucement son corps se balançait de gauche à droite, je suivais le mouvement, c'était comme une danse qui m'arrachait des cris de plaisir. Il penchait son visage vers le mien, je l'embrassais.

Sa queue se déplaçait doucement à l'intérieur de mon corps, me massais l'anus, me massait la prostate avec une infinie douceur, avec d'infinis mouvements lents et doux. Je frémissais de plaisir. Ma queue ne me tourmentait plus, elle prenait toute la place disponible et en aurait certainement pris bien d'avantage si elle avait eu le choix mais c'était sans espoir. Ma queue remplissait bien le dispositif mais sans pression excessive pour autant, une grosse molle qui pendait lourdement devant moi.

Ludo s'assurait que tout allait bien de ce côté en me tripotant les couilles, je sentais sur ses lèvres un sourire quand il faisait cela. Nous étions debout et il me tirait vers lui ce qui m'obligeait à me cambrer. C'est à ce moment qu'il ressortait sa queue, juste un peu, puis l'enfonçait de nouveau bien à fond. Il poussait alors son ventre contre mes fesses et ce mouvement m'arrachait des cris de plaisir. La position amplifiait le plaisir c'était de la folie, je jutais, je jouissais. Je jutais sans mes mains que j'avais passé dans mon dos. Je jutais sans ses mains qu'il promenait sur mon torse.

Pas de violence, pas de mouvements violents, de la force et de la douceur et c'était le pied. Ma respiration était irrégulière, un long filet de sperme coulait de ma cage en me laissant à la fois une impression de pisser ou d'éjaculer. C'était une nouvelle sensation pour moi ça, et quand il a éjaculé en moi il n'a pu retenir quelques mouvement un peu plus violents qui m'ont arraché de petits cris de plaisir, comme des plaintes.

Je m'écroulais alors sur le lit, en sueur et tremblant de bonheur, il suivait le mouvement et s'écroulait lui aussi, sur moi, il était toujours en moi. On restait là sans bouger encore un long moment. Un peu plus tard il se retirait, je soupirais de plaisir, on passait sous la douche, encore quelques câlins, on se rhabillait et je faisait route vers la maison, le cœur léger et parfaitement détendu.

Tout le monde était à table, ils ne m'avaient pas attendu. Les barbares !

Bob : Ah te voilà toi ! Décalage horaire ?
Moi : Décalage horaire !

Chez mon père ça aurait fait un drame, surtout que je ne m'étais pas changé, j'étais en tenue de motard. Mais j'avais faim, et j'ai mangé de bon cœur.

Luc : Tu sais Philippe j'ai contacté la PK pour leur expliquer ton problème.
Moi : Oui.
Luc : Il vaut mieux, comme je te le disais …Moi : Tout à fait !
Luc : … Donc ils vont m'envoyer …Moi : Très bien … Luc : Dans deux jours …Moi : C'est parfait …Bob : Tu as l'air de bien le prendre ?

Je relevais la tête, regardais bob puis Luc …
Moi : Vous disiez quelques chose ?
Bob : Luc, il y a des jours ou je renonce à comprendre ton neveux !

Évidement le lendemain j'étais un peu plus impatient mais ça ne devait durer que deux jours et deux jours plus tard …
Luc : Un léger retard de rien du tout nous recevrons le matériel demain et on pourra te retirer ton dispositif mon petit bonhomme !
Moi : Ouai, des promesses, toujours des promesses !

Je devais partir pour mon interna, j'avais toujours le dispositif sur moi !

Moi : Mais tonton Luc je comptais vraiment sur toi ! Tu ne me laisses pas tomber ? Dis ! Tu me le jures ?
Luc : C'est promis, je passe te voir en personne très vite je te le jure !

J'arrivais à mon interna, j'y retrouvais mes camarades mais je peux vous garantir que je n'avais pas le sourire. Je tombais sur Théo qui était ravis des vacances qu'il avait passé.

Théo : Au fait Philippe, ton oncle Luc m'a donné un petit truc pour toi la dernière fois que je l'ai vu. Il a bien insisté …
Théo me donnais une petite boite, je l'ouvrais et j'y découvrais une clé et une lettre :
'' Mon petit Philippe, il faut que tu saches que l'appellation ' dispositif à clé unique ' ne signifie qu'une chose : une seule clé est donnée au client ! Il est toutefois possible d'obtenir une autre clé sur demande avec le numéro de série du dispositif. A la maison nous avons toujours un double de la clé. On aurait donc pu l'ouvrir le premier jour !
Alors soit mignon mon petit Philippe et ne joue plus avec ce genre de dispositif si tu ne veux pas y rester coincé un jour pour très longtemps.

Tes oncles qui t'aiment : Luc/ Bob ''.

...

Voilà qui conclut la seconde saison des tribulations du jeune Philippe. Une troisième saison est en préparation mais il faudra faire preuve d'un peu de patience …
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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Texte coquin : PHILIPPE EP 27 : ON LE CONNAIT LE FANTOME
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