PHILIPPE EP 32 : VACANCES IMPROVISEES

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 32 : VACANCES IMPROVISEES Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 32 : VACANCES IMPROVISEES
PHILIPPEEP 32 : VACANCES IMPROVISEES


J'ai mal dormi cette nuit là. J'ai même très mal dormi. Je bandais, je n'avait pas joui moi et je n'osais pas me branler. Ça m'aurait calmé mais, bon, je n'osais pas. Je me suis réveillé je ne sais pas combien de fois et à chaque fois je voyais Luidji dormir. Il était allongé sur le dos, de temps en temps il bougeait.

Par moment son dispositif ressortait sous sa couverture, à d'autres moments c'étaient ses fesses que je pouvais admirer. Il a un joli cul mon copain Luidji et je m'étais fait une fête de l'enculer. Je rêvais en regardant son cul, je rêvais mais ça ne veut pas dire que je dormais. C'était plutôt un cauchemar.

Il y avait à quelques mètres de moi un garçon adorable qui portait un dispositif de chasteté PK. Un garçon qui était en manque et qui ne tarderait pas à exprimer à nouveau son manque d'ici peu. Un garçon qui malgré son manque d'expérience suçait assez bien, je suis sûr qu'il va devenir un véritable spécialiste avec un peu d'entraînement celui-là. Il avait en plus un cul et je me sentais débordant de romantisme moi à ce moment.

Je bandais, j'admirais ses fesses et me voyais en train de l'enculer. Je m'y voyais bien là, surtout que je savais que j'y viendrait, je savais qu'un jour il serait encore plus en manque et que ce jour là je pourrais laisser s'exprimer mon romantisme naturel … Et pan dans l'cul  !

C'est lui qui me réveillait le matin suivant en m'attrapant les couilles et en les serrant dans sa main. C'était pas pour me faire mal, juste pour me taquiner, ça a marché je me suis réveillé tout de suite. Comme tous les matins, douche, habillage laborieux, moi c'est la bite qui ne voulait pas rentrer dans mon slip, lui c'était son dispositif qu'il ajustait avec délicatesse.

C'est ainsi que se terminait le premier trimestre. J'étais frustré, heureusement qu'il y avait Peter et ses soirées libertines.

J'arrivais à la maison pour les vacances, les journées étaient belles, la saison chaude était terminée mais le soleil ne le savait pas encore. Mon père me tombait dessus.

Père : Monsieur Brosso Philippe ! Tu pourrais m'expliquer ce qui t'arrive ?
Moi : C'est pas moi papa je te jure, j'ai rien fait, si ça se trouve j'étais même pas là !
Père : Mais qu'est ce que tu racontes ? Je viens de recevoir une note de ton directeur qui me transmet quelques félicitations pour toi et m'informe que tu n'as pas été viré d'un seul cours depuis plus d'un mois. Il rajoute aussi que pendant les deux mois précédents ton comportement s'était considérablement amélioré. Bravo Philippe ! Tu n'as plus qu'à travailler un peu mieux et tu devrais devenir un élève acceptable.
Moi : C'est bien alors ?
Père : J'aimerais juste savoir à quoi tu pensais quand tu te défendais si vite à l'instant.
Moi : Quand ça ?
Père : Il y a quelques secondes quand tu me disais '' C'est pas moi papa !''.
Moi : Ah ! Tu parles de ce moment là ? ...
Père : Oui !
Moi : Bein je ne pensais à rien.
Père : Tu es sûr ?
Moi : Bein oui !
Père : Alors pourquoi tu …Moi : Au cas ou … On ne sait jamais …Père : Et tu n'as donc rien fait ?
Moi : Pour une fois …Père : Philippe tu me fatigues !
Moi : Bien papa ! Si tu veux papa !
Père : CE N'ETAIT PAS UNE REQUETE ! Fout moi le camp tu m'énerves !
Moi : Je peux aller faire un tour en moto ?
Père : Vas ou tu veux, tant que tu ne reviens pas entre deux gendarmes et que tu ne défrayes pas les chroniques !

Il était dans de bonnes dispositions j'en ai profité. Il ne me fallait pas longtemps pour remplir un sac à dos et enfourcher ma moto. Un peu plus tard dans l'après midi je me disais qu'il valait mieux prévenir. Je téléphonais donc à mon pè … Euh ? …
Je téléphonais donc à ma mère …
Moi : Allo maman, papa m'a dit que je pouvais aller ou je voulais aussi comme il fait beau j'en profite pour me faire deux semaines de camping …Ma mère : Bien mon chéri ! Si ton père est d'accord je ne vois aucune raison de m'y opposer … Tu as tout ce qu'il te faut ?
Moi : Pas de problème j'ai tout prévu.
Ma mère : Bien alors amuse toi bien mon trésor.

Je ne suis pas sûr qu'elle ait tout compris mais c'est pas grave. Si mon père ne m'appelle pas dans l'heure pour m'engueuler c'est que tout va bien, c'est qu'il est d'accord ! Le soir je m'arrêtais dans un hôtel, j'avais une petite carte de crédit qui me permettait de régler mes menues dépenses.

Il ne me fallait pas une heure pour repérer un petit gars en livret de garçon d'étage, mignon comme un cœur. Le soir même le dernier service qu'il effectuait, c'était dans ma chambre, je me faisais livrer une bouteille de champagne et deux verres. Je sais je n'ai pas l'âge pour acheter de l'alcool mais dans un hôtel c'est pas comme dans un bar, et puis le champagne c'est pas vraiment de l'alcool.

Le garçon : Vous avez commandé deux verre monsieur, vous attendez quelqu'un .
Moi : Peut être est-il déjà là !

Oui je sais 'la ficelle est grosse' mais ça a marché. Moins de dix minutes plus tard il me frottais le dos sous la douche avant que je ne lui frotte le siens. En plus il portait un de ces dispositifs. C'est incroyable mais les porteurs de ce genre de truc ne sont décidément pas farouches.

On se séchait rapidement avant de nous jeter sur le lit. C'est frénétiquement que je le prenais dans mes bras et le couvrais de baisers. Il me couvrait de caresses. On roulait l'un sur l'autre, nos bras se mélangeaient.

Je me sentais très tendrement romantique moi au moment ou j'ai vu qu'il portait un dispositif, c'était un modèle en résine mais décoré, la PK en sort régulièrement avec des inclusions, des couleurs, des reflets.

Il était déjà vraiment mignon et avec ce dispositif sur lui il était craquant et sexy … J'ai craqué ! Ça devait bien finir par arriver tout de même …
Je me retournais pour pouvoir lui gober les couilles pendant qu'il me suçait la queue. Je lui glissais un doigt dans le cul, il en faisait de même. J'appuyais alors mon bassin contre son visage, ma queue s'écrasait au fond de sa gorge, il tenait le coup le gars, il avait l'air d'aimer.

Je lui enfonçais un second doigt dans le cul et commençais à les agiter. Je l'entendais gémir et se tortiller de plaisir. J'y allais plus fort, plus vite, je lui caressais les couilles avec force. Il me suçait avec vigueur.

C'est alors que plein de romantisme je me relevais, le retournais, l'allongeais sur le ventre. Il se laissait faire. Pour finir je m'allongeais sur lui, prenais position, ma queue bien en face de l'ouverture de son petit cul, je lubrifiais et lui enfonçait ma queue jusqu'à la garde. Il gueulait mais c'est pas ça qui me calmait.

Je m'enfonçais dans son cul, j'en ressortais, j'y retournais … De plus en plus vite. Mes coups de bassins devenaient violents, et mon ventre claquait fort contre ses fesses. Il râlait, il gueulait, je devinais qu'il adorait, il mordait l'oreiller et tremblait dans mes bras.

Je me retirais puis le retournais sur le dos. Je lui relevais alors les jambes et j'y retournais. Il me regardais bien droit dans les yeux, il était vraiment mignon et quand je baissais les yeux vers son dispositif l’excitation montait en moi et mes mouvements devenaient encore plus frénétiques.

J'ai vu ses yeux se retourner au moment ou il a juté, je l'ai senti alors trembler de tout son corps, il jouissait. Je ne me calmais pas, bien au contraire, je me donnais à fond, et quelques instants plus tard je jouissais dans son cul.

Les derniers mouvements de mon bassin devenaient particulièrement violents, je poussais mon bassin contre son cul et je le tirais vers moi de toutes mes forces. Il gardait la bouche ouverte, aucun son n'en sortait. Je finissais immobile puis je me laissais tomber sur lui.

Nos bras se refermaient sur l'autre, j'étais encore en lui et nous profitions d'un moment de tendresse et de douceur.

Il s'est réveillé en même temps que moi, et est rapidement parti prendre son service. Je passais lui dire au revoir juste avant de partir et enfourchais ma moto. Avant de m'engager sur les routes désertes vers le soleil couchant tel un pauvre cow-boy solitaire … ( Vous imaginez la scène ? Je suis pas sûr d'être très crédible là ? ) . Enfin … Surtout qu'on était le matin !

Dans la journée suivante je m'arrêtais dans un camping très classe ou on pouvait louer des mobile-home. Les journées étaient belles mais la saison touristique était toutefois terminée et on n'avait plus besoin de réserver. Rapidement autour de la piscine couverte je faisait connaissance avec un bar-man sublime. Il était bronzé à souhaits, et j'imaginais déjà le contraste que devais faire un dispositif céramique contre sa peau.

Je ne le lâchais pas des yeux de tout le temps que j'ai passé au bar. Il était musclé, mince, grand et il avait un sourire ravageur. J'étais fou amoureux avant l'heure du souper. Le soir il ne faisait pas encore nuit, on frappait à ma porte. C'était le bar man. Il avait une bouteille à la main.

Il était plus vieux que moi, il me regardait droit dans les yeux quand il s'est déshabillé. Il gardait ce sourire ravageur en exhibant sa musculature. J'avais le droit de toucher et je ne m'en privais pas. Moi aussi je me déshabillais. Il retirait un vêtement j'en faisais de même. Il a terminé à poil avant moi. J'étais presque déçu de ne pas trouver le dispositif céramique que j'avais imaginé mais j'étais ravi de découvrir une bite de très belle taille qui faisait envie.

C'est moi qui ai pris l'initiative et me suis retrouvé à genoux devant lui en premier. Il était taquin et appuyait sur ma tête tout en me balançant des coups de bassin. Comme il remarquais que j'encaissais sans faillir il appuyait avec force sur ma tête, j'en prenait plein la bouche.

On inversait les positions, je ne me retenais pas non plus d'appuyer sur sa tête et je lui balançais des coups de bassins sans me retenir. Il encaissait encore mieux que moi.

Il me renversait sur le lit, me sautait dessus, on roulait l'un sur l'autre. Il me mordillait un peu partout sur le corps. Ça devenait violent, je sentais ses ongles qui me labouraient le dos, ses dents sur ma peau, il m'écartais les jambes et je me sentais envahi par son sexe, envahi jusqu'à la gorge ( même si j'exagère un peu là ). Il ne montrait aucune tendresse au moment ou il m'a pénétré, il montrait le même romantisme que le mien quand j'encule quelqu'un. Il a lubrifié sa queue pris position et poussé de toutes ses forces. J'ai hurlé !

Un peu plus tard, c'est moi qui le retournait, il glissait du lit et atterrissait sur la tête. J'ai fait pareil, un jour je suis tombé sur le nez mais la tête c'est moins grave. On est des mec et en général dans la tête il n'y a pas grand chose …
Vous me dites si vous pensez que je viens de dire une connerie là !

Je le réinstallait sur le ventre et, à mon tour, je me lubrifiais la queue bien comme il faut avant de lui défoncer le cul. Il hurlait, j'en faisais de même, c'est vrai quoi, il n'y a pas de raison qu'il soit le seul gueuler !

En cette saison il n'y a pas grand monde dans le camping et c'est mieux. On se serait fait remarqué autrement. Il a voulu se venger de ce que je venais de lui faire, il m'a retourné, je me suis écrasé contre le mur, il m'a enculé sans ménagement. J'ai gueulé, j'ai hurlé je me suis débattu, il ne me lâchait pas, j'ai gémi, je l'ai imploré mais quand il me lâchait c'est moi qui l'attrapait et je l'enculais sans aucune tendresse à nouveau, de la même manière. C'est lui alors qui à gueulé, hurlé et s'est débattu …
Je ne sais pas lequel de nous deux était le plus fort, on a terminé par un match nul !

Il avait une bosse sur la tête, ça c'était quand il est tombé du lit.

J'avais des traces de griffures sur le dos, ça c'était quand il m'a fait un câlin viril avant de m'enculer.

Il avait des traces de dents sur le bras, ça c'était quand … Ça je ne sais plus tiens !

J'avais un bleu sur la fesse, ça c'était au moment ou je suis tombé sur le derrière.

Il était écorché au niveau du coude, ça c'était quand il s'est retourné et que son bras à frotté contre le mur.

J'avais un œil au beurre noir, ça c'était quand il s'est retourné et que j'ai pris son coude dans l’œil.

On avait dû nous entendre de loin là, on n'avait pas vraiment été discrets. Pfffiu … C'était quelque chose !

Le lendemain au bar on échangeait des regards complices pendant qu'il me servait un café. On ne parlait pas mais on affichait tous les deux un large sourire.

Lui : C'était quelque chose.
Moi : Je trouve aussi !
Lui : Tu viens de loin ?
Moi : Deux jours de moto !
Lui : Tu penses rester longtemps dans le coin ?

Finalement je suis resté plus d'une semaine , et il m'a fallu un mois pour m'en remettre. Non je déconne, ça s'est toujours terminé par un match nul et seulement quelques hématomes.

Les jours passaient il fallait bien penser à rentrer à l'école. En évitant de passer à la maison j'aurais préféré mais bon j'avais pas le choix. J'avais repoussé au maximum, j'arrivais à la maison la veille de mon retour à l'école. Mon père me tombait sur la couenne.

Père : PHILIPPE ! Quand tu décides de partir en vacances tu pourrais le demander tout simplement !
Moi : Oui papa !
Père : ' Oui papa ' ! C'est tout ce que tu trouves à répondre ?
Moi : Oui papa ! Pardon … Non papa ! Mais c'est pas moi que j'ai pas fait ! C'est toi que tu m'as dit que … Père : Philippe s'il te plaît respire quand tu parles, là tu bafouilles.
Moi : Oui papa !
Père : Ne te stresse pas comme ça et respire ! Tu sais que des fois tu me fatigues ! Tu sais que tu va bientôt avoir dix huit ans, ça ne me gêne pas que tu prennes un peu plus de liberté, d'autonomie. Alors si tu veux partir en vacances, préviens. Là tu m'as un peu mis devant le fait accompli, le gouverneur qui venait juste d'arriver et qui espérait te voir avait l'air un peu surpris que je ne sache pas quoi lui répondre …Moi : Oui papa !

Il m'envoyait me changer dans ma chambre, finalement ça c'était bien passé. En montant dans les escaliers je l'entendais parler avec ma mère …
Père : Ma chérie, tu sais il y a des jours ou je me demande si ton fils n'est pas un peu … Idiot … En tout cas c'est pas lui qui va me succéder à la tête de la PK.
Mère : Mais enfin, tu sais qu'il est encore très jeune, il faut lui laisser le temps de grandir en maturité.
Père : Il va bientôt avoir dix huit ans …


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