PHILIPPE EP 39 : ON RIGOLE, ON RIGOLE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 39 : ON RIGOLE, ON RIGOLE Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 39 : ON RIGOLE, ON RIGOLE
PHILIPPEEP 39 : ON RIGOLE, ON RIGOLE


Les deux semaines qui suivaient étaient tout simplement géniales, j'avais presque envie de rester dans cette école et je l'aurais fait si je n'étais pas obligé de porter un de ces dispositifs. Il y avait une bonne ambiance, les enseignants connaissaient leurs sujets. En fait j'ai beaucoup bossé pendant cette courte période, je ne faisais pas seulement le con le soir dans ma chambre. Même si tous les soir il y avait au moins un étudiant qui passait me voir …
C'était encore mieux que dans mon école, j'étais le seul à ne pas porter un dispositif de chasteté dans un campus qui ne comptait que de jeunes hommes, des dizaines de milliers de jeunes hommes en chaleur, frustrés, en manque et qui en redemandaient !

Enfin des dizaines de milliers, peut être pas ! Des milliers je ne dis pas mais des dizaines peut être pas !

Mais enfin ils étaient en manque tout de même ! Moi bien sûr j'étais venu pour étudier, pour voir si ce genre d'études me conviendrait et vous vous doutez bien que sérieux comme je suis je n'ai absolument pas tenté de profiter de la situation … Éh, éh, éh !


Ne me dites pas qu'il y en a un qui m'a cru là ?!

Non c'est pas mon genre ça de rester sérieux. J'en ai profité au maximum. Vous savez on vous dit que le dispositif de chasteté vous libère l'esprit et vous permet de vous concentrer sur votre activité, qu'on fini par ne plus y penser … Je ne sais pas moi je ne l'ai pas porté assez longtemps mais il y avait un étudiant très doué en sculpture. Il avait réalisé une reproduction du David de Michel-Ange mais il l'avait fait avec un harnais autour du torse et des épaules, un collier clouté autour du coup les lanières cloutées autour des bras des poignées et des chevilles, il lui avait aussi mis un dispositif de chasteté et un gode dans la main droite … Le tout en argile cuite, un mètre cinquante de haut, c'était superbe …
Les profs ne se sont pas formalisés pour si peux, et son œuvre était exposée dans la grande salle des étudiants. La statue faisait rigoler tout le monde mais personne n'y trouvait rien à redire …
Après ça on va vous dire que le dispositif, on n'y pense plus du tout … Franchement je me demande à quoi il pensait le gars si c'était pas à ça !

Finalement l'endroit était génial, j'y serais bien resté mais je n'étais pas disposé à payé le prix exigé, à savoir, porter un dispositif de chasteté comme c'est de règle dans l'université PK … Et puis on avait un truc en végétalisation de prévu pour moi. Les beaux arts c'était le deuxième choix, j'en aurais bien fait mon premier choix mais bon … Mon père était dans de bonnes dispositions mais il ne faut pas trop rêver, il y a des limites.

La seconde semaine venait de commencer quand j'apercevais une tête connue. Non c'était pas Ludo, lui il étudiait dans un autre bâtiment, nous on avait un campus pour nous, on était un peu isolés par rapport aux autres étudiants dits sérieux …
C'était Benoît que je retrouvais un jour, c'est un gars que j'avais rencontré un soir en boîte, il était avec René ce jour là … ? … Ça ne vous dit rien ? Mais si il était avec René, j'avais terminé la soiré avec René, ils étaient bourrés, ils m'avaient bien fait rigoler tous les deux … Toujours pas ? ( Épisode 33 )
Moi : Benoît ! Ça va toi ? Mais je ne savais pas que tu étais là ! Tu es étudiants ici ?

Il me regardait en fronçant les sourcilles.

Benoît : Té ki toi ? J'te connais pas !
Moi : Mais si, bon on n'a pas discuté bien longtemps mais on s'est rencontré il y a quelques mois en boite, tu étais avec René !
Benoît : Ah tu es un ami à René, il fallait le dire tout de suite !

Là il me faisait un grand sourire.

Moi : Bein je connais un peu René oui !

On est allé boire un verre il y avait une cafétéria ou on ne vendait pas d'alcool mais ou on pouvait prendre un café. Il ne se souvenait pas de moi, ça ne m'étonnait pas vraiment remarquez. La dernière fois il était complètement ivre.

L'université n'était pas une prison, mais ce n'est pas pour autant qu'on pouvait s'absenter sans justifications. Le soir même Benoît et moi décidions donc de faire le mur … Dehors il y avait une voiture qui attendait. C'était René.

René : Mé té ki toi ?

En me voyant, lui non plus ne me reconnaissait pas. On n'allait pas se formaliser pour si peu ! Nous étions à côté de sa voiture.

Moi : Philippe !
René : Salut Philippe …
Il glissait sans plus de formalité une main sous ma chemise en me faisant la bise.

René : C'est mignon tout ça dis donc.
Moi : Ouai je sais tu m'as déjà fait le coup il y deux mois !
René : Je suis sûr que c'est pas vrai, je ne fais pas ça à tout le monde !
Benoît : Je te jure c'est pas vrai, il fait ça à tout le monde !
René : N'écoute pas l'autre grosse salope, il est trop puritain quelquefois !
Benoît : Connasse ! C'est toujours pareil avec toi, dès que tu vois un garçon mignon tu ne me connais plus !
René : Mais non c'est pas vrai ça Benoît !
Benoît : J'en ais assez, je te quitte René …
Quelques secondes plus tard ils se tenaient bien serrés dans les bras, ils s'embrassaient avec passion, ils m'avaient complètement oublié. On montait tous les trois dans la voiture et on démarrait.

Moi : Dites moi tous les deux, si j'ai bien compris vous êtes ensemble ?
René : Ça dépend, tu es libre ?
Benoît : Alors là tu es vraiment une grosse salope, tu dragues devant moi maintenant. C'est clair cette fois-ci je te quitte, c'est fini entre nous !
René : Enfin Benoît, tu es vraiment une pauvre fille !
Benoît : Maintenant il me méprise, c'était pas comme ça quand on s'est rencontré, mais ça y est, avec cette allumeuse tu couches avec lui une fois et il te méprise.
René : Tu crois pas que tu en rajoutes une peu ? Et puis c'est mieux comme ça. Je ne peux pas te sortir, te présenter, et … C'est fini tu as raison descend.

La voiture s'était arrêtée à un feu rouge, ils se regardaient et se sautaient littéralement dans les bras l'un de l'autre. Ils s'embrassaient avec passion.

René : Je t'aime moi Benoît !
Benoît : Moi aussi je t'aime !
René : Tu es l'homme de ma vie !
Benoît : Non c'est toi qui est l'homme de ma vie !

Le feu passait au vert !

René : Je ne te quitterai jamais Benoît.
Benoît : Tu parles quand tu en auras mare de moi tu me largueras !
René : Tu sais que tu es vraiment une grosse chieuse !
Benoît : T'as vu comment tu me parles ! C'était pas comme ça au début, il y a trois mois …
Le feu passait au rouge. Ils se regardaient sans rien dire. Puis tombaient dans les bras l'un de l'autre de nouveau.

Benoît : Tu es l'homme de ma vieRené : Je ne te quitterai jamais.
Benoît : Je t'aime !
René : Non moi je t'aime encore plus !
Benoît : C'est moi que je t'aime encore …Moi : Bon ça va là, c'est vert !!!

La voiture redémarrait. Un peu plus tard on arrivait chez René, je reconnaissais le quartier. Finalement ils étaient peut être plus compliqués qu'il ne m'avait semblé au début ces deux là.

Nous arrivions sur le pallier. Ils avaient à peine eu le temps de se faire une petite scène, du genre :
'' C'est moi que je t'aime le plus ''… '' Non c'est moi '' … '' Nan c'est pas toi c'est moi '' … '' Tu me fais chier '' … '' Avec toi c'est toujours pareil '' … '' Je te hais ''
Ils étaient enlacés et s'embrassaient avec passion devant la porte, René me passait les clés sans lâché son amant. Y a pas à dire … C'est beau l'amour ! J'entrais, ils me suivaient sans se lâcher, semblaient rouler jusqu'au lit ou ils se laissaient tomber, je suivais et me laissais tomber sur eux. Instantanément il m'agrippaient et me couvraient de baisers.

Je saisissais fermement le premier que je pouvais attraper et lui arrachais sa chemise, il ne se défendait pas et en faisait de même à l'autre. L'autre, le troisième c'était rené qui était allongé sur le lit, Benoît le chevauchait et moi j'arrivais en deuxième position. Je tenais Benoît dans mes bras et l'embrassais sur les épaules. Mes mains se dirigeaient rapidement vers sa ceinture, j'ouvrais son pantalon et je me retrouvais tout con, tout surpris de constater que Benoît portait un dispositif de chasteté. J'aurais dû m'en douter pourtant !

René ne bougeait plus, il était allongé les bras en croix et il ronflait. Benoît n'y faisait pas attention et continuait à caresser son camarade. Il se relevait, laissait tomber son pantalon, je me penchais sur René, le cajolais et lui ouvrais son pantalon à son tour. C'est à ce moment qu'il s'est réveillé. En pleine forme, d'un mouvement rapide auquel je ne m'attendais pas il me retournais sur le dos.

Je me laissais faire vous imaginez ! Deux hommes voulait me faire subir les derniers outrages et abuser de moi, je n'allais tout de même pas me défendre. Pendant que Benoît me sautait dessus pour me retirer ma chemise, René se débarrassait du reste de ses vêtements avant de m'arracher mon pantalon. J'allais certainement pas me défendre.

Benoît : Quoi !? Tu ne portes pas de dispositif toi ?
Moi : Bein non !
Benoît : Ah il y en a qui ont de la chance !

Aussitôt après il me suçait la bite pendant que René prenait position pour que je lui suce la sienne.

Benoît avait la bite en cage aussi il faisait ce qu'il pouvait le pauvre, peu après il suçait René, et René lui il me suçait à ce moment. Si une bouche se libérait je l'embrassais, quand la queue de René sortait de la bouche de Benoît j'embrassais Benoît avant de prendre la queue de René dans la bouche à mon tour.

Il gémissait René, il gémissait de plaisir. J'aurais moi aussi gémi de plaisir si je n'avais pas eu la bouche pleine mais je faisais tout de même du bruit avec ma bouche.

D'un geste René me faisait signe de prendre place, c'est ce que je faisais, une violente montée de romantisme plus tard Benoît se redressait et hurlait. Je l'avais enculé jusqu'à la garde d'un mouvement rapide et violent.

C'est vrai quoi je ne pouvais pas savoir moi que c'était une petite nature enfin ! Bon René lui a attrapé la tête et lui enfournait de nouveau la queue dans la gorge pour le faire taire et moi je continuais. Il avait le cul serré ou alors c'est que j'y étais allé un peu fort. Mais comme il ne disait plus rien je continuais et j'accélérais même.

René se relevait, passait vers le réfrigérateur et revenait avec trois canette de bière dans les mains. Je ne bougeais plus et sans me retirer, la bite toujours bien garée dans le cul de Benoît je buvais tranquillement ma bière. Benoît s'était relevé, j'avais passé mon bras par dessus son épaule, il buvait la sienne tranquillement. René s'installait sur la tête du lit pour siroter sa bière également.

Moi je restais bien en position, prêt à repartir. Un moment plus tard, nous avions tous reposé nos canettes, je reprenais les mouvements rapides dans le cul de Benoît.

René : Au fait quand est-ce que tu me présentes ton prof de mise en scène ?
Benoît : Je sais … Je sais pas … Là peux pas … haaaa ! … Là peux pas parler …
J'avais repris les mouvements comme je vous disais et il dégustait !

René : De toutes façons Benoît avec toi c'est toujours pareil, on ne peut jamais parler …
Là c'était trop, je pouffais de rire, et c'est plié de rire que je retombais sur le dos de Benoît, j'avais encore quelques convulsions de mon bassin et je jutais, je jouissais en rigolant, c'était une première ça ! Je voyais le visage de Benoît de profil il faisait une grimace informe et râlait de plaisir. Il jouissait lui aussi, j'avais la main sur son dispositif de chasteté et je vous confirme qu'il jutait.

René repartait chercher une autre bière. Enfin une pour chacun.

Un peu plus tard, nous étions tous les trois allongés sur le lit.

René : Tu aurais pu me le présenter plus tôt ton copain.
Benoît : Mais je viens juste de le rencontrer.
René : Il devait bien être quelque part et ça m'étonne que tu ne l'ais pas encore rencontré. ( puis à mon attention ) Il a un vrai radar dans la tête pour repérer les mecs mignons.
Benoît : Mais il m'a dit que tu le connaissais.
René : Nan, moi connaissais pas !

Il ouvrait de nouvelles canettes de bière …
Moi : Mais si on se connaissait tous les trois.

Je leur racontait alors la dernière rencontre.

René : J'étais assis sur tes genoux tu dis … Bein mince alors je devais en tenir une belle … OUI ! Maintenant je me souviens, j'ai fais des photos de toi, justement je me demandais qui c'était sur les photos …
La nuit avançait et allait se terminer, René nous ramenait à l'école. On était un peu débraillé et le directeur nous tombait dessus.

Le directeur : Et bien ça fait toujours plaisir de voir qu'il y en a qui sont toujours en avance pour aller au cours !

D'abord on a sursauté. Ensuite on s'est fait engueuler …

N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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