PHILIPPE EP 47 Petite soirée nocturne

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 47 Petite soirée nocturne Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 47 Petite soirée nocturne
PHILIPPE EP 47
Petite soirée nocturne


Vous ne vous imaginez tout de même pas que je sortais tous les soirs, vous me connaissez mal ! Alors là, c'est pas du tout mon genre … Enfin si un peu quand même. Mais bon, je ne vais pas avouer non plus, ça c'est pas mon genre !

Sérieusement, je n'ai pas dit que je ne faisais plus la fête ni même que je faisais moins la fête … Mais j'ai un appartement gigantesque, mon grand père m'a dit qu'il y avait fait des soirées mémorables. Bein oui, mon papy avait vécu dans cet appartement quand il était à la fac. A cette époque il recevait beaucoup, il se garnissait son carnet d'adresses, il recevait le maire, des enseignants, les banquiers, tous les notables de la ville, ses soirées étaient très prisées. Il mettait même beaucoup de tact dans les invitations, il fallait inviter tout le monde qui comptait mais pas le même soir bien sûr. C'était toute une organisations. Ce sont mes tontons qui m'ont raconté ça.

Et bien moi je faisais pareil, j'invitais le personnel de cette boîte '' De Nuit '', je précise pour ceux qui auraient loupé un épisode … '' De Nuit '' , c'est le nom de la boite-bar ou j'étais allé l'autre jour. Je faisais comme m'avait dit de faire mon papy, quand je recevais je faisais appel à un traiteur … C'est plus simple, surtout quand on est plus de cinquante.

On n'était pas cinquante à chaque fois c'est vrai mais quelquefois on était plus nombreux. Il y avait aussi la maison close et ses hôtes, je m'en étais fait quelques une et on se revoyait de temps en temps, la directrice de cet établissement devait être une des rares, très rares femmes qui participait à mes soirées.

Enfin comme vous pouvez le voir, depuis ma dernière aventure j'avais fait le tour de la ville, et je connaissais maintenant tous les endroits infréquentables.

Heu !

Enfin je voulais dire, tous les endroits ou on s'amuse !

Mike et Dylan y étaient très souvent. On portait un dispositif de chasteté, aussi la plus grande partie de mes invités n'en portaient pas. Il faut savoir rééquilibrer.

Je prévoyais un buffet, personne pour assurer le service, c'était préférable. Vous avez deviné pourquoi, bein oui très vite ça dégénérait !

Il ne fallait pas une demie heure avant que la moitié des participants ne se retrouvent à poil. Mais à ce moment là ce n'était que le début, en général il ne fallait pas bien longtemps pour que ça se mélange.

Dylan se retrouvait dans un coin à sucer toutes les queues qu'on lui présentait. Il réapparaissait par moment dans la soiré, histoire de boire un verre et de se détendre la mâchoire, il en profitait pour manger quelques crevettes, puis de nouveau il disparaissait. Au bout de quelques mois on me parlait de lui. Il paraît qu'il suçait super bien !

Mike restait visible toute la soirée. Il passait de bras en bras, il se faisait tripoter, caresser. Et il n'était pas rare qu'on se retrouve dans les bras l'un de l'autre. On se faisait alors un gros câlin et comme on ne pouvait pas aller beaucoup plus loin, on attrapait chacun un autre partenaire.

Personne ne s’embarrassait de s'isoler pour des relations plus intimes. On m'attrapait par le bras, je me laissais toujours faire et je vous jure que si je devais crier '' Au secours !'', je le faisais tout bas. Pour ne surtout pas être entendu. En tous cas je ne trouvais aucune raison de me défendre.

Il y avait ce grand type, un athlète magnifique, je ne me souviens plus de son nom, mais vous connaissez peut être. C'est lui qui travaille au rapid-bouf du centre commercial Touclrec, il y fait le service. Les hamburger les plus hot de l'ouest … Il dit !

Il aurait fait le service dans la tenue ou il était dans mes soirées, je reste convaincu qu'il y aurait eu plus de monde au guichet !

Il était beau,musclé, il avait des muscles partout, il était grand et avait un sourire à tomber mais surtout il avait une bite magnifique. J'ai couiné la première fois que je me la suis prise dans le cul.

Il m'attrapait, je me laissais tomber dans ses bras, il m'enveloppait avec ses deux bras, m'embrassait dans le cou. Ses mains se promenaient sur mon corps, elles étaient douces. Il me les glissait entre mes cuisses. Me caressait avec force le haut de mes cuisses et me relevait les couilles en même temps. Il me tripotait les couilles d'une main et me retenait contre lui de l'autre.

Je penchais ma tête en arrière, la retournais vers lui, ils m'embrassait et ses baisers étaient chauds. J'étais son jouet entre ses mains, il me déplaçait, me posait ou il avait envie, me mettait dans la position ou il avait envie de me voir et quand il le décidait, seulement au moment ou il le décidait, sans se préoccupé de ce que j'aurais voulu dire. Il se lubrifiait la queue, elle était grosse et dure, puis il me la glissait dans le cul.

Ça résistait toujours un peu, il faut dire qu'il était large, il forçait, je gloussais un peu mais je laissais faire. Il forçait, là je couinais, ça semblait l'amuser. Mon cul résistait encore un moment, puis il se décidait et forçait vraiment … Mon cul lâchait, je le sentais se distendre, se dilater. Au début c'était effrayant et terrifiant même. Par la suite ce n'était plus que effrayant …

En même temps que la panique m'envahissait, c'était son énorme queue qui s'enfonçait en moi, je la sentais glisser, je sentais cette résistance qui venait de moi. J'étais trop étroit mais je pense qu'avec ce gars, tout le monde ou presque doit être trop étroit.

Ce n'était pas douloureux, c'était juste à la limite. Un peu plus on dépassait la limite du supportable.

Je savais comment ça allait se passer mais à chaque fois c'était une découverte, à chaque fois il y avait celle folie qui me retournait la tête. A chaque fois j'avais l'impression que ça ne passerait pas même au moment ou son ventre s'écrasait doucement contre mes fesses j'avais l'impression que je ne tiendrais pas.

Je respirais fort et lentement, et je me laissais faire. Dans un cas pareil, un conseil, ne serrez pas les fesses. Ça ne sert à rien.

Ses caresses me faisait oublier qu'on était pas seul, je fermais les yeux et d'autres mains, venaient aussi se promener sur mon corps, venaient me caresser avec douceur ou avec forces. D'autres mains encore s'amusaient avec ma cage ou avec mes couilles. Je fermais les yeux et en fait je ne sais pas, le plus souvent je ne savais pas qui faisait quoi. Sauf le grand gars qui ne bougeait toujours pas en moi. Lui je savais ou il était, il était planté dans mon cul, bien planté et il ne semblait pas vouloir partir voir ailleurs.

Il me donnait des coups de bassin, doucement au début, puis plus fort. C'était sans se retirer, il poussait simplement son bassin pour l'écraser encore un peu plus fort contre mes fesses. Là je couinais.

Quand je vous disais que j'avais couiné la première fois qu'il m'avait défoncé le cul, en fait j'ai couiné à chaque fois.

Ses coups de bassin devenaient plus insistants, plus ferme, plus rapides, plus violent. Puis sans prévenir il se retirait lentement, il ressortait complètement de mon cul. Plusieurs mains arrivaient pour voir comment ça se passait cette affaire et c'est tout un tas de doigts qui se glissaient dans mon cul et me lubrifiaient, ils s'étaient concertés, c'est sûr. Puis sans prévenir je sentais de nouveau cette large queue qui reprenait position. Là je manquais d'air. Je savais que ça passais, c'est ce qu'il venait de faire à l'instant mais l'angoisse à nouveau me conduisait à la limite de la panique et là je lui gueulais.

– Oui vas y défonce moi le cul !

J'ai dit que je paniquais, j'ai pas dit que je n'aimais pas !

De nouveau il s'enfonçait, plus rapidement que juste avant, il glissait sa queue dans mon cul sur toute sa longueur en quelques secondes. Ah il savait me donner des sensations fortes celui-là. Son ventre s'écrasait avec force contre mes fesses et je hurlais.

Personne en général ne faisait plus attention, je n'étais pas le seul à gueuler à ce moment de la soirée, pourtant il n'était pas tard ! Ça se mélangeait dans tous les sens. Mike était dans la même situation que moi, il était dans les bras d'un gros costaud qui le retenait avec force pendant qu'un autre mec lui défonçait le cul avec conviction.

Dylan devait être en dessous, au milieu du groupe un peu plus loin, il avait une queue dans la bouche en attendant de se prendre une queue dans la bouche. Enfin une autre queue, je vous dis, celui-là, ça devenait compulsif il fallait qu'il suce. Enfin pas n'importe quoi non plus, il suçait bio, pas un gode, pas truc en plastic.

Moi je ne sais même pas comment je tenais debout, on devait me retenir. Je ne sais pas qui, mais il devait y avoir quelqu'un qui me retenais, il y avait des mains partout sur moi, et c'était pas les miennes. Par moment quand il enfonçait sa bite bien à fond je ne touchais plus le sol.

Je me retrouvais penché en avant, un queue arrivait je ne sais d’où, je suçais. Et c'est à ce moment qu'il décidait de me limer le cul avec force. Il entrait et ressortait, lentement au départ puis plus vite et encore plus vite. C'était de la folie, là je ne pouvais plus rien dire, je ne pouvais que subir. Je ne ms plaints pas, je l'avais quand même cherché. Et si par moment je me disait que là c'était trop, que je n'en pouvais plus que j'aurais bien voulu lui dire, lui gueuler que j'en pouvais plus qu'il fallait arrêter … Même au moment ou n'en pouvant plus je décidais de ne plus le laisser m'approcher !

Je vous jure que la semaine suivante je n'oubliais pas de l'inviter !

Quand on me libérait la bouche je gueulais. Je gueulais des '' Encore ! Oui vas y ! ''. Il m'écoutait et ne me décevait pas. Mais je gueulais aussi de '' Arrête, arrête, là j'en peux plus ! ''. Là par contre il savait ne pas m'écouter et continuait à me faire gueuler de plaisir.

Il finissait toujours par me laisser, il se retirait, j'étais retourné, il faisait un énorme câlin puis me déposait sur le sol. En fais je ne sais pas s'il me déposait, je ne sais même pas s'il me soulevait, je ne savais plus ou j'étais.

Je repoussais les propositions pendant un petit moment, je retrouvais près du banquer Mike qui avait plus ou moins subi la même chose que moi. Ça sera quand même plus drôle quand on me retirera ma cage ! Dylan aussi finissait par passer, il n'y avait plus de crevettes. Il faudra que j'en commande plus la prochaine fois.

Dylan était en vrac, il était couvert de sueur de salive et de sperme, il me faisait rire, on avalait quelque chose, puis les sollicitations reprenaient, de nouveau des corps chauds et fermes se rapprochaient, je ne repoussais plus les avances …

Les rôles et les positions changeait, je me retrouvait à genoux avec une bite dans la bouche, Mike aussi mais lui il y avait une queue qui lui limait le cul vigoureusement et pour Dylan, pour une fois qu'il n'avait pas une queue dans la bouche il en avait une grosse dans le cul et il gueulait de plaisir.

Ça me rassurait remarquez, par moment j'avais l'impression qu'il ne pouvait prendre son plaisir qu'en suçant. C'est vrai que là il devenait tout de même un suceur compulsif …

Pendant plusieurs heures les corps s'étaient mélangés, caressés, embrassés, la tension retombait, les désirs étaient assouvis. Il y avait trois chambre dans cet appartement et je retrouvais des corps un peu partout, certains bougeaient.

Dans le bain bouillonnant que j'avais dans ma chambre je retrouvais en général un douzaine de personnes, c'est un modèle cinq places mais bon, ils se tassaient, ils s'empilaient …

Mon appartement était en vrac, on aurait dit Beyrouth après un raid aérien, mais le lendemain soir quand je revenais de la fac, il n'y avait plus aucune trace … Tout était nickel, mon valet de chambre était efficace, et souvent je me suis étonné de ne pas entendre parler de ces soirées. J'ai toujours eu du mal à croire qu'il n'ai jamais fait aucun rapport à mon père. C'est pas le genre de la maison !

Mon père veut toujours tout savoir et en général il sait tout !

Jamais il ne fait la moindre réflexion. J'avais des obligations, et je comprenais tacitement que tant que je les respecterais on ne me dirait rien.


A suivre



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