Pour faire plaisir à Madame 10

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour faire plaisir à Madame 10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pour faire plaisir à Madame 10
Pour faire plaisir à Madame 10



Les mois avaient passé. Ils avaient été suivis par quelques années. Oh pas beaucoup, mais disons deux ou trois … Je sais ce n'est pas une vie mais il faut bien s'imaginer que pour moi c'étaient presque trois années avec une cage à bite sur la queue. Ensuite, il n'y a pas très longtemps, elle m'avait mis une cage à bite en métal, du titane il parait. On m'a dit que c'était du titane, c'est léger, je confirme. C'est doux, je confirme aussi. Ça ne rouille pas, il vaudrait mieux. Et en plus c'est très solide, il paraît qu'on fait des fusées avec ce matériau.

On m'a dit que je pouvais toujours essayer de le couper, ça ne résisterait pas bien longtemps. Pardon je m'exprime mal, la scie ne résisterait pas bien longtemps. Là je peux pas encore confirmer, j'ai pas encore essayé. Mais pour ce qui est d'en sortir ma queue, je vous confirme que le dispositif est très sécurisé. Ça coince ! C'est confortable mais ça coince !

Je tenais le coup comme je pouvais ! Madame s'amusait avec moi. Quand elle recevais Henri, j'avais le droit de rester, j'avais le droit de regarder, j'avais le privilège de me rendre utile, je servais à boire par exemple. Mais pour participer, là, il ne fallait pas déconner. Je n'avais pas le droit de toucher, ni ma femme, ni Henri.

J'avais perdu l'envie de m'opposer à ma femme et j'acceptais ma situation. Je gardais le souvenir de ma queue, petite et pathétique. La taille de la cage le prouvait. Il n'aurait jamais été possible d'y loger une grosse bite de mâle dominant.

Ma femme savait me le rappeler.

Mais ma vie ne se résumait pas à l'attendre à la maison, je n'avais rien de l'esclave domestique, j'avais un travail et j'étais même très bien payé, ma femme aussi et ne s'était jamais préoccupée de la gestion de nos finance. On participait tous les deux et il nous restait bien assez pour vivre à notre aise.

J'avais une nouvelle voiture tous les un ou deux ans. Mes vêtements étaient de qualité. Je portais tous les attributs d'un niveau de vie bien au dessus de la moyenne.

Par contre au niveau sexuel, là, je préfère ne pas vous raconter. Enfin c'est ce que je viens de faire depuis quelques épisodes remarquez.

J'avais une petite bite ridicule, et si elle ne l'était pas encore quelques années plus tôt, je savais que maintenant il ne devait plus en rester grand chose. Pourtant j'aimais de plus en plus ma vie. J'aimais de plus en plus cette frustration. C'est un peu fou je sais mais, c'est comme ça.

Vous imaginez bien que je ne racontais pas ça à ma femme. Nous n'étions plus assez intimes. Régulièrement j'étais le témoin des ébats entre ma femme et son nouvel amant.

C'était stimulant, c'était excitant, c'était frustrant mais j'adorais ça. Il n'était plus question de me défoncer le cul par un amant de passage, il n'était plus question non plus de s'amuser avec des godes et des godes-ceinture. C'était devenu pour moi, une abstinence totale.

Là c'était moins cool. Un soir je venais traîner sur un de ces lieux de drague. C'était glauque, c'était un parc, bien boisé, il y avait plein de petit coins tranquilles, ou plus ou moins tranquilles. Je passais, on me regardait, je repassais, je regardais.

Il y en avait pour tous les goût, des gros, des maigres, des jeunes, des moins jeunes. Il y en avait un qui n'était pas mal, il se branlait et il semblait en avoir une belle. Je m'arrêtais, je le regardais, il me regardait et continuait à se masturber. C'était un échange rapide, pas un mot, juste un regard. Je m'approchais et sans rien dire je me mettais à genoux devant lui.

Toujours sans un mot je lui caressais la queue et rapidement la prenais dans ma bouche, il avait un beau gland, lisse et doux, large. Il gémissait de plaisir, il ne disait rien, il gémissait, écartait un peu plus les cuisses et me laissait faire.

Rapidement j'avalais sa queue bien à fond dans ma gorge, j'étais en manque et j'avais envie d'une queue. Elle était de belle taille et je me disais qu'elle me soulagerait au moment ou il m'enculerait. En attendant qu'il me fasse plaisir, c'est moi qui lui faisait plaisir.

Et il aimait, je vous jure. Il le faisait savoir, il gémissait, appuyait sur ma tête. Sa queue entrait alors jusqu'au fond de ma gorge. C'était pas encore ce que j'espérais, c'était un bon début mais ce que je voulais c'était une bite dans le cul. Elle me conviendrait mais, c'est à ça et uniquement à ça que je pensais.

Il tirait mon visage contre lui, il avançait son bassin et j'en prenais plein la gorge, plein la gueule, et c'est sans prévenir qu'il lâchait la purée. Il jouissait dans ma bouche, il éjaculais dans ma gorge. J'ai pas eu le temps de réagir, j'ai tout pris dans la bouche, il me retenait, son sperme coulait dans ma gorge, c'est pas tout à fait ce que je voulais, mais c'était évident, c'est tout ce qu'il me donnerait.

Il débandait rapidement, j'avalais. Il se retirait et refermait son pantalon.

– Merci, c'était sympa ! Me disait-il simplement avant de partir.

Il y avait pas loin un autre mec qui nous regardait, il se branlait. Il s'est alors approché de moi, toujours en se branlant. Il s'arrêtait juste devant moi et me regardait dans les yeux. Il me faisait un sourire, il semblait attendre que je prenne l'initiative. C'est ce que je faisais.

Je m'accroupissais devant lui et prenait sa queue dans la bouche. Elle était de taille normal, pas trop grosse, je devais être plus large quelques années plus tôt mais pas plus long.

Ça faisait longtemps et je ne savais plus comment elle devait être à ce moment. Tout ce que je savais c'est qu'elle manifestait et qu'elle manifestait fort. Ça faisait un moment maintenant que je ne l'avais pas vue en dehors de sa cage.

Maintenant je suçais, c'est tout ce que je pouvais encore faire. Je suçais un mec que je ne connaissait pas. Il appuyait sur ma tête, sa queue rentrait, je retirais mon visage mais là il me donnait des coups de bassin. Son ventre s'écrasait sur mon visage, mon nez s'écrasait sur son ventre. J'avais du mal à respirer mais ça, ça ne le dérangeait pas.

Rapidement je me retrouvais dans une situation de soumis, de passif soumis. Il faisait comme ma femme, il me traitait comme un jouet. Il semblait s'énerver et accélérait le mouvement. Il me balançait de violents coups de bite dans la gorge, il était plus violent que le précédent.

Je finissais par aimer.

Il ne disait rien, il était concentré sur ce qu'il faisait. Je n'avais qu'a fermer les yeux et encaisser. Je bavais, mon visage se recouvrait de bave, je la sentais couler sur mon cou.

Ça ne glissait que mieux, il continuait, il ne faisait pas de pause, on aurait dit qu'il était pressé. Moi je prenais mon temps. En fait moi je faisais comme je pouvais. Je ne faisais pas grand chose, je subissais.

Si je voulais me dégager il me retenais. C'est vrai que je n'insistais pas vraiment. J'aurais pu me dégager mais je préférais sans doute profiter de sa queue. Par moment il appuyait très fort sur ma tête et me maintenant ainsi contre lui.

Avec ma langue je le caressait tout de même et quand j'avalais ma salive il réagissait. Je l'entendais gémir, puis il me retenait plus fort et encore plus fort, jusqu'au moment ou il jutais dans ma bouche. Je l'entendais il ne cachait pas son plaisir. Il prenait bien soin de se vider les couilles, là je bavais de son sperme mélangé à ma salive. Il se retirait, s'essuyait et me disait juste : ' Salut !'
au moment ou il se retournait.

Puis il repartait. J'ai bien un peu continué à traîné dans le coin pendant un moment mais le cœur n'y était plus. Je suis rentré. Il commençait à être tard. Ma femme ne m'a même pas remarqué, elle était avec son nouvel amant. Ils étaient dans la chambre en train de s'envoyer en l'air, lui, allongé sur le dos et elle le chevauchant.

J'ai pris la chambre d'amis. J'ai très mal dormi cette nuit là.

Le lendemain je décidais de faire appel à un professionnel. Je me rendais dans ce magasin ou on avait acheté ce dispositif diabolique.

Mais terriblement confortable malgré tout !

Je retrouvais le vendeur qui m'avait conseillé quelques mois plus tôt. Je lui expliquait dont mon problème.

– Donc si j'ai bien compris vous voudriez retirer le dispositif ?
– Oui !
– Et vous n'avez plus la clé ?
– Non !
– Pourtant je vous en avais bien remis trois ?
– Oui !
– Et vous ne les avez pas gardées ?
– Non !
– Mais voilà c'est votre femme qui les a gardées ?
– Oui !
– Et bien c'est très simple, il suffit de demander à Madame de vous en restituer une et l'affaire sera faite.
– Heu !
– Problème ?
– Bein oui !
– Je vous écoute !
– Elle ne voudra jamais, elle ne s'occupe plus de moi !
– Je vois, je vois, je vois, je vois !
– Aaaaah !
– Ne vous réjouissez pas trop tôt. Ce dispositif est inviolable, sans la clé … Bein voilà c'est simple il y a quelques temps, la société qui le fabrique s'est posé la question. Comment ouvrir le dispositif sans la clé ?
– Et ?
– Et bien ils n'ont pas trouvé la réponse.
– Mince !
– Sans la clé ils n'ont pas trouvé de solution.
– Donc …
– Une seule solution, demander à Madame.
– Bah c'est pas gagné alors !

Je revenais à la maison, la queue entre les jambes, enfin là c'est une façon de parler en fait elle était toujours dans sa cage. J'y retrouvais ma femme.

– Dis moi Nadine ( Nadine c'est ma femme ) il faudrait peut être repenser à l'avenir de notre relation.
– Bon qu'est ce qui ne va pas ? Moi je trouve que la situation est très satisfaisante.
– Pour toi peut être !

C'est à peu près à ce moment que la discussion à dérapé.

Elle s'est énervée.

Elle a gueulé.

On s'est engueulé.

Non mais c'est vrai quoi, depuis des mois des années, des dizaines d'année, enfin un peu moins quand même mais, depuis trop longtemps elle décidait de tout, elle me manipulait, elle me maltraitait, elle …

Bon c'est vrai que des fois, j'aimais bien. Mais je ne me prenais plus assez de bite dans le cul depuis un long moment. Il fallait faire quelque chose.

– D'accord, si c'est ce que tu veux ! ON DIVORCE !

Bon je ne voulais pas aller jusque là mais. C'était une idée comme une autre. Puis elle rajoutait.

– Si c'est ça que tu veux ! Maintenant tu dégages.

C'est ce que j'ai fait mais avant je réclamais ma clé.

– Je te la rendrai le jour ou nous divorcerons, pas avant !

Je décidais donc d'aller dormir à l'hôtel.


A suivre


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