Pour faire plaisir à Madame 12
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour faire plaisir à Madame 12
Pour faire plaisir à Madame 12
Je l'ai revu le petit Damien, je l'ai revu régulièrement. Toutefois je ne voulais pas précipiter les choses. Il m'accompagnait je jour ou j'allais chercher toutes mes affaire chez moi, enfin désormais ce serait chez ma femme. Il n'y avait personne, elle avait choisi de ne pas être là. Enfin j'étais surtout passé un jour ou elle travaillait.
Je préférais éviter une engueulade. Le soir elle me téléphonait.
– Alors c'est comme que tu veux voir les choses ? Et c'était qui le mec qui était avec toi ? Tu sais tu me déçois beaucoup? Moi qui pensais que je pouvais te faire confiance !
Elle m'a pris la tête pendant un long moment, moi qui avait précisément choisi de passer pendant son absence pour éviter ça. Je n'arrivais pas à en placer une.
Bref le lendemain elle faisait changer les serrures pour que je ne revienne plus sans prévenir. Je m'en moquais j'avais récupéré toutes mes affaires. Avec Damien tout allait bien, on se voyait désormais plusieurs fois par semaines. Oh il ne me défonçait pas le cul à chaque fois, je pense que je n'y aurais pas survécu.
Mais c'est qu'il était balaise, je voudrais vous y voir.
Mais une fois dans la semaine, oui. Sans problème, et même quelquefois deux. C'est déjà bien.
On sortait, je le sortais, il était bien payé mais comme je vous le disais moi j'étais très bien payé. On nous voyait au restaurant, au cinéma, à des expositions, des spectacles.
Bref c'était une période de quiétude pour moi. Pour la première fois depuis longtemps je n'étais pas obligé de me faire défoncer le cul, pour la première fois depuis longtemps on me laissait tranquille.
Je me demande si je n'ai pas dit une connerie là !
Ce n'était plus ma femme qui décidait pour moi mais j'avais tout de même un doudou qui avait une bite grosse comme ma cuisse et me défonçait le cul régulièrement.
Mais c'est vrai que j'y avais pris goût. C'était sous l'influence de ma femme que j'avais découvert ce plaisir et maintenant je ne pouvais plus m'en passer. J'étais accro, et Damien était un rêve. Un rêve qui quelquefois pouvait devenir un cauchemar car c'était un démon monté comme un âne. Mais bon on ne peut pas avoir que des défauts.
Quand il venait me voir, semblant, ' J'ai vu de la lumière, je suis rentré !', avec un sourire innocent. Je vous jure que ces jours là, à part son sourire, il n'y avait rien d'innocent en lui.
Il apportait généralement une bonne bouteille de vin. On s'embrassait, il me faisait un câlin. Ensuite c'est moi qui décidais de la suite, il m'enculerait ou pas, c'est moi qui décidait.
Je lui retirais sa chemise, il me retirait la mienne. On se prenait dans les bras. Je sentais comme une tension au niveau de ma cage à bite, ce n'était pas désagréable, quelquefois c'était même très agréable.
Ma queue ne prenait pas plus de volume, la cage était mini, parfaitement ajustée mais mini. C'était la taille minimum. Je sentais toujours ma queue confinée, confortable mais confinée.
Je lui ouvrait son pantalon, et comme à chaque fois, je restais en admiration devant la bête. D'abord c'était une grosse masse qui pendait lourdement. Je la voyait devenir plus grosse et se relever, je passais ma langue sur son gland et je sentais sa queue frémir et grossir un peu plus encore.
Puis je prenais son gland dans ma bouche, et le caressait généreusement avec ma langue. Sa queue devenait énorme et prenait toute la place. Là je la léchais. Elle était bien trop grosse pour tenir dans ma bouche. Mais elle me plaisait comme ça.
J'étais fasciné. Je la caressais avec la main, je la masturbais, je la léchais. Elle se redressait devant mes yeux, elle était magnifique. Il était magnifique, je le voulais.
Ensuite je continuais à lui faire du bien en lui gobant les couilles. Je les massais avec douceur, je les léchais également, puis je les avalais et les massais avec ma langue. Sa queue ne pouvait pas entrer dans ma bouche mais ses couilles elles, entraient très bien.
Simplement dans les deux cas il fallait faire attention avec les dents.
Il était surexcité, il m'attrapait alors, me soulevait, me jetais sur le lit, il m'arrachait mes vêtements, il ne lui en restait plus beaucoup. En quelques instant il ne nous en restait plus du tout.
Il me tripotait les couilles, lui aussi prenait le temps de bien me faire monter mon désir. Il me gobait les couilles et en profitait pour déjà commencer à me lubrifier le cul, un peu de salive pour le début, et un doigt glissait rapidement. Déjà le plaisir montait. Un deuxième doigt suivait mais pour la suite il mettait une bonne dose de gel lubrifiant.
Bon, il faut ce qu'il faut !
Sa langue tournait autour de mes couilles, c'était toujours une situation effrayante, je m'effrayait toujours quand elle glissaient dans sa bouche. Une passait puis l'autre. Elles était plus grosse que les siennes et il avait plus de mal que moi.
Il avait une grosse bite et de petites couilles moi j'avais de grosses couilles et une bite … Bon ne parlons pas des trucs qui fâchent !
Avec deux doigts il me massait la prostate, le plaisir montait vite, et la panique disparaissait quand il ressortait mes couilles de sa bouche. Mais la suite déjà s'annonçait et c'est une autre panique qui montait.
Là je pouvais encore tout arrêter mais j'en avais pas envie. J'avais envie de sentir la masse de sa queue me pénétrer. Je connaissais ce plaisir, mais je paniquais toujours un peu.
Il me retournait sur le ventre, il m'écartait les cuisses et me lubrifiait généreusement. J'étais en apnée. Il s'allongeait ensuite sur mon dos et là je sentais son énorme queue qui glissait entre mes cuisses. Il commençait tout en douceur.
Il se relevait et se laissait retomber, sa queue glissait dans un sens ou dans l'autre. Jusque là tout allait bien, c'était entre mes cuisses que sa queue glissait. Avec deux doigts il me lubrifiait généreusement le cul.
Puis,il ne prévenait pas mais je le voyais venir. Il se soulevait, positionnait sa queue énorme et bien ferme. Je ressentais une pression sur toute la surface de mes fesses.
Il poussait.
Avec l'habitude mon anus ne résistait pas. Je le sentais qui se dilatait. C'était super agréable. J'aimais de plus en plus. Il continuait à pousser mon anus continuait à se dilater et je sentais son gland glisser dans mon cul.
Je sentais mon cul qui enveloppait son gland, il restait bien dilaté, et peu à peu le reste de sa queue glissait, lentement mais inexorablement. Il ne me faisait pas mal mais je paniquais, je paniquais toujours à ce moment. C'était le pied mais c'était terrible. Je me sentais tellement dilaté.
Il continuait à s'enfoncer toujours très lentement, il me laissait tout le temps qu'il me fallait pour le recevoir. Il glissait lentement et déjà je commençais à éprouver un très grand plaisir.
Il arrivait à fond, je le sentais dans mon ventre. Sa queue était longue et grosse, elle s'enfonçait loin et se faisait de la place, pour ce qui est de me dilater le cul et les entrailles, elle le faisait bien à fond.
Je me sentais totalement ouvert. Je me sentais bien mais ouvert.
Il commençait alors à me limer. Il ressortait et revenait.
Il n'oubliait pas de m'embrasser, je sentais ses lèvres sur le haut de mon dos, sur mes épaules, dans mon cou. Puis il se retirait.
Puis il revenait et de nouveau et de nouveau je sentais ses baisers. Il était à la fois tendre et ferme, doux et fort, violent même.
Il continuait en accélérant le mouvement, il entrait et ressortait de plus en plus vite. Il était très attentif à mes réactions et il retenait ses coups. Il y mettait une très grande douceur, s'il sentait qu'il allait trop vite, il se retenait.
Là j'en ai pris plein le cul mais j'ai aussi pris mon pied. Je finissait en gueulant de plaisir, il me limait le cul avec une certaine douceur, la violence, ce n'était que la taille de son organe. Sinon il n'était que douceur, que plaisir.
J'ai fini par jouir, l'orgasme qu'il me donnait durait dans le temps, c'était un plaisir intense de tout mon corps. Même ma bite me donnait du plaisir, j'avais l'impression de juter longuement, lentement. Je tremblais de plaisir, je ne contrôlais plus mes gestes, je respirais fort, mon cœur battait vite, très vite.
Je sentais son souffle dans mon cou, lui aussi respirait plus vite, plus fort. Et quand il a éjaculé, je l'ai senti il à poussé comme un cri lui aussi, avant de retomber de tout son poids.
On ne faisait pas ça tous les jours, c'était intense, et tous les jours, comme je vous le disais, je n'aurais pas survécu !
En général il restait dormir à la maison, ce n'était pas rare que l'un dorme chez l'autre après une soirée à faire l'amour.
Avec ma femmes les choses avançaient. On divorçait, les avocats avaient trouvé un accord. Elle me rachetait le crédit de l'appartement, pas de pension. Le divorce était consommé. Ma femme tenait parole, elle me donnait les trois clés qu'elle avait conservé.
C'est tout content que je retrouvais Damien le soir même. J'arrivais chez lui, je posais fièrement les clés sur la table de salon. Il les remarquait dès qu'il arrivait.
– Alors ça y est tu es divorcé ?
– Oui et bientôt je vais être libre.
– Cette situation me convenait très bien. Tu sais que moi je ne me fais pas enculer !
– Pas grave ça. J'aime bien ta bite, mais tu sais la mienne doit être toute petite.
Je prenais les clés et je tentais d'ouvrir mon dispositif. La clé n'entrait pas dans la serrure de la cage. J'insistais mais il n'y avait rien à faire.
Il prenait la clé l'examinait.
– Il me semble que ta femme t'a fait une mauvaise blague. Elle a limé les clés. Il n'y a plus les petites dents, elles ne marchent plus.
Ils les examinait attentivement toutes les trois.
– Normalement ça ne devrait pas les empêcher de pénétrer dans la serrure. Attend je vais examiner la cage.
Il examinait la cage et tentait de nouveau de faire rentrer la clé dans la serrure, mais ça résistait.
– Je pense que ta femme t'a fait deux mauvaises blague. Elle a aussi bloqué la serrure.
– Mais comment a-t-elle fait ça ? Demandais-je.
– C'est très simple, il suffit de faire couler quelques gouttes de super colle qui colle tout. Tu ne connais pas '' Ne soudez plus, collez ! ''
– Dans la serrure la colle durci et bloque tout le dispositif. Et on fait comment pour l'ouvrir.
– Bein c'est ça le problème, on ne peut pas !
Ça aurait du m'assommer, mais je ne réagissais pas tout de suite. J'avais le dispositif sur moi et je ne le retirerais jamais …
Elle m'avait bien fait une mauvaise blague. Heureusement pour moi j'avais fini par y prendre goût et j'étais habitué.
Nous sommes maintenant quelques années plus tard je le porte donc toujours ce dispositif, il est devenu une partie de moi-même. Je suis toujours en couple avec Damien, on habite ensemble maintenant et finalement tout se passe bien.
Il sait me donner du plaisir, et je lui en donne beaucoup. Je ne sais pas comment est ma queue maintenant, mais je suppose qu'il ne doit plus en rester grand chose.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je l'ai revu le petit Damien, je l'ai revu régulièrement. Toutefois je ne voulais pas précipiter les choses. Il m'accompagnait je jour ou j'allais chercher toutes mes affaire chez moi, enfin désormais ce serait chez ma femme. Il n'y avait personne, elle avait choisi de ne pas être là. Enfin j'étais surtout passé un jour ou elle travaillait.
Je préférais éviter une engueulade. Le soir elle me téléphonait.
– Alors c'est comme que tu veux voir les choses ? Et c'était qui le mec qui était avec toi ? Tu sais tu me déçois beaucoup? Moi qui pensais que je pouvais te faire confiance !
Elle m'a pris la tête pendant un long moment, moi qui avait précisément choisi de passer pendant son absence pour éviter ça. Je n'arrivais pas à en placer une.
Bref le lendemain elle faisait changer les serrures pour que je ne revienne plus sans prévenir. Je m'en moquais j'avais récupéré toutes mes affaires. Avec Damien tout allait bien, on se voyait désormais plusieurs fois par semaines. Oh il ne me défonçait pas le cul à chaque fois, je pense que je n'y aurais pas survécu.
Mais c'est qu'il était balaise, je voudrais vous y voir.
Mais une fois dans la semaine, oui. Sans problème, et même quelquefois deux. C'est déjà bien.
On sortait, je le sortais, il était bien payé mais comme je vous le disais moi j'étais très bien payé. On nous voyait au restaurant, au cinéma, à des expositions, des spectacles.
Bref c'était une période de quiétude pour moi. Pour la première fois depuis longtemps je n'étais pas obligé de me faire défoncer le cul, pour la première fois depuis longtemps on me laissait tranquille.
Je me demande si je n'ai pas dit une connerie là !
Ce n'était plus ma femme qui décidait pour moi mais j'avais tout de même un doudou qui avait une bite grosse comme ma cuisse et me défonçait le cul régulièrement.
Mais c'est vrai que j'y avais pris goût. C'était sous l'influence de ma femme que j'avais découvert ce plaisir et maintenant je ne pouvais plus m'en passer. J'étais accro, et Damien était un rêve. Un rêve qui quelquefois pouvait devenir un cauchemar car c'était un démon monté comme un âne. Mais bon on ne peut pas avoir que des défauts.
Quand il venait me voir, semblant, ' J'ai vu de la lumière, je suis rentré !', avec un sourire innocent. Je vous jure que ces jours là, à part son sourire, il n'y avait rien d'innocent en lui.
Il apportait généralement une bonne bouteille de vin. On s'embrassait, il me faisait un câlin. Ensuite c'est moi qui décidais de la suite, il m'enculerait ou pas, c'est moi qui décidait.
Je lui retirais sa chemise, il me retirait la mienne. On se prenait dans les bras. Je sentais comme une tension au niveau de ma cage à bite, ce n'était pas désagréable, quelquefois c'était même très agréable.
Ma queue ne prenait pas plus de volume, la cage était mini, parfaitement ajustée mais mini. C'était la taille minimum. Je sentais toujours ma queue confinée, confortable mais confinée.
Je lui ouvrait son pantalon, et comme à chaque fois, je restais en admiration devant la bête. D'abord c'était une grosse masse qui pendait lourdement. Je la voyait devenir plus grosse et se relever, je passais ma langue sur son gland et je sentais sa queue frémir et grossir un peu plus encore.
Puis je prenais son gland dans ma bouche, et le caressait généreusement avec ma langue. Sa queue devenait énorme et prenait toute la place. Là je la léchais. Elle était bien trop grosse pour tenir dans ma bouche. Mais elle me plaisait comme ça.
J'étais fasciné. Je la caressais avec la main, je la masturbais, je la léchais. Elle se redressait devant mes yeux, elle était magnifique. Il était magnifique, je le voulais.
Ensuite je continuais à lui faire du bien en lui gobant les couilles. Je les massais avec douceur, je les léchais également, puis je les avalais et les massais avec ma langue. Sa queue ne pouvait pas entrer dans ma bouche mais ses couilles elles, entraient très bien.
Simplement dans les deux cas il fallait faire attention avec les dents.
Il était surexcité, il m'attrapait alors, me soulevait, me jetais sur le lit, il m'arrachait mes vêtements, il ne lui en restait plus beaucoup. En quelques instant il ne nous en restait plus du tout.
Il me tripotait les couilles, lui aussi prenait le temps de bien me faire monter mon désir. Il me gobait les couilles et en profitait pour déjà commencer à me lubrifier le cul, un peu de salive pour le début, et un doigt glissait rapidement. Déjà le plaisir montait. Un deuxième doigt suivait mais pour la suite il mettait une bonne dose de gel lubrifiant.
Bon, il faut ce qu'il faut !
Sa langue tournait autour de mes couilles, c'était toujours une situation effrayante, je m'effrayait toujours quand elle glissaient dans sa bouche. Une passait puis l'autre. Elles était plus grosse que les siennes et il avait plus de mal que moi.
Il avait une grosse bite et de petites couilles moi j'avais de grosses couilles et une bite … Bon ne parlons pas des trucs qui fâchent !
Avec deux doigts il me massait la prostate, le plaisir montait vite, et la panique disparaissait quand il ressortait mes couilles de sa bouche. Mais la suite déjà s'annonçait et c'est une autre panique qui montait.
Là je pouvais encore tout arrêter mais j'en avais pas envie. J'avais envie de sentir la masse de sa queue me pénétrer. Je connaissais ce plaisir, mais je paniquais toujours un peu.
Il me retournait sur le ventre, il m'écartait les cuisses et me lubrifiait généreusement. J'étais en apnée. Il s'allongeait ensuite sur mon dos et là je sentais son énorme queue qui glissait entre mes cuisses. Il commençait tout en douceur.
Il se relevait et se laissait retomber, sa queue glissait dans un sens ou dans l'autre. Jusque là tout allait bien, c'était entre mes cuisses que sa queue glissait. Avec deux doigts il me lubrifiait généreusement le cul.
Puis,il ne prévenait pas mais je le voyais venir. Il se soulevait, positionnait sa queue énorme et bien ferme. Je ressentais une pression sur toute la surface de mes fesses.
Il poussait.
Avec l'habitude mon anus ne résistait pas. Je le sentais qui se dilatait. C'était super agréable. J'aimais de plus en plus. Il continuait à pousser mon anus continuait à se dilater et je sentais son gland glisser dans mon cul.
Je sentais mon cul qui enveloppait son gland, il restait bien dilaté, et peu à peu le reste de sa queue glissait, lentement mais inexorablement. Il ne me faisait pas mal mais je paniquais, je paniquais toujours à ce moment. C'était le pied mais c'était terrible. Je me sentais tellement dilaté.
Il continuait à s'enfoncer toujours très lentement, il me laissait tout le temps qu'il me fallait pour le recevoir. Il glissait lentement et déjà je commençais à éprouver un très grand plaisir.
Il arrivait à fond, je le sentais dans mon ventre. Sa queue était longue et grosse, elle s'enfonçait loin et se faisait de la place, pour ce qui est de me dilater le cul et les entrailles, elle le faisait bien à fond.
Je me sentais totalement ouvert. Je me sentais bien mais ouvert.
Il commençait alors à me limer. Il ressortait et revenait.
Il n'oubliait pas de m'embrasser, je sentais ses lèvres sur le haut de mon dos, sur mes épaules, dans mon cou. Puis il se retirait.
Puis il revenait et de nouveau et de nouveau je sentais ses baisers. Il était à la fois tendre et ferme, doux et fort, violent même.
Il continuait en accélérant le mouvement, il entrait et ressortait de plus en plus vite. Il était très attentif à mes réactions et il retenait ses coups. Il y mettait une très grande douceur, s'il sentait qu'il allait trop vite, il se retenait.
Là j'en ai pris plein le cul mais j'ai aussi pris mon pied. Je finissait en gueulant de plaisir, il me limait le cul avec une certaine douceur, la violence, ce n'était que la taille de son organe. Sinon il n'était que douceur, que plaisir.
J'ai fini par jouir, l'orgasme qu'il me donnait durait dans le temps, c'était un plaisir intense de tout mon corps. Même ma bite me donnait du plaisir, j'avais l'impression de juter longuement, lentement. Je tremblais de plaisir, je ne contrôlais plus mes gestes, je respirais fort, mon cœur battait vite, très vite.
Je sentais son souffle dans mon cou, lui aussi respirait plus vite, plus fort. Et quand il a éjaculé, je l'ai senti il à poussé comme un cri lui aussi, avant de retomber de tout son poids.
On ne faisait pas ça tous les jours, c'était intense, et tous les jours, comme je vous le disais, je n'aurais pas survécu !
En général il restait dormir à la maison, ce n'était pas rare que l'un dorme chez l'autre après une soirée à faire l'amour.
Avec ma femmes les choses avançaient. On divorçait, les avocats avaient trouvé un accord. Elle me rachetait le crédit de l'appartement, pas de pension. Le divorce était consommé. Ma femme tenait parole, elle me donnait les trois clés qu'elle avait conservé.
C'est tout content que je retrouvais Damien le soir même. J'arrivais chez lui, je posais fièrement les clés sur la table de salon. Il les remarquait dès qu'il arrivait.
– Alors ça y est tu es divorcé ?
– Oui et bientôt je vais être libre.
– Cette situation me convenait très bien. Tu sais que moi je ne me fais pas enculer !
– Pas grave ça. J'aime bien ta bite, mais tu sais la mienne doit être toute petite.
Je prenais les clés et je tentais d'ouvrir mon dispositif. La clé n'entrait pas dans la serrure de la cage. J'insistais mais il n'y avait rien à faire.
Il prenait la clé l'examinait.
– Il me semble que ta femme t'a fait une mauvaise blague. Elle a limé les clés. Il n'y a plus les petites dents, elles ne marchent plus.
Ils les examinait attentivement toutes les trois.
– Normalement ça ne devrait pas les empêcher de pénétrer dans la serrure. Attend je vais examiner la cage.
Il examinait la cage et tentait de nouveau de faire rentrer la clé dans la serrure, mais ça résistait.
– Je pense que ta femme t'a fait deux mauvaises blague. Elle a aussi bloqué la serrure.
– Mais comment a-t-elle fait ça ? Demandais-je.
– C'est très simple, il suffit de faire couler quelques gouttes de super colle qui colle tout. Tu ne connais pas '' Ne soudez plus, collez ! ''
– Dans la serrure la colle durci et bloque tout le dispositif. Et on fait comment pour l'ouvrir.
– Bein c'est ça le problème, on ne peut pas !
Ça aurait du m'assommer, mais je ne réagissais pas tout de suite. J'avais le dispositif sur moi et je ne le retirerais jamais …
Elle m'avait bien fait une mauvaise blague. Heureusement pour moi j'avais fini par y prendre goût et j'étais habitué.
Nous sommes maintenant quelques années plus tard je le porte donc toujours ce dispositif, il est devenu une partie de moi-même. Je suis toujours en couple avec Damien, on habite ensemble maintenant et finalement tout se passe bien.
Il sait me donner du plaisir, et je lui en donne beaucoup. Je ne sais pas comment est ma queue maintenant, mais je suppose qu'il ne doit plus en rester grand chose.
Fin
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui c’est sûr. J’espère que vous allez prendre la suite de Bob 65 dans le même style. 🤩
J’ai adooore leur complicité.
La chipie
J’ai adooore leur complicité.
La chipie
Bien sûr mais comme cette histoire est un peu fétichiste, ce serait bien moins drôle si le disais ...
Il doit bien y avoir 1 moyen de faire sauter le dispositif.
La femme est d’un égoïsme sans limite.
La femme est d’un égoïsme sans limite.