Pour le meilleur Ep01 Ronald
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour le meilleur Ep01 Ronald
Pour le meilleur Ep01
Ronald
C'est dès le début de notre relation que Caro me parlait de soirée à trois. Je savais donc depuis toujours qu'elle avait été volage. Elle me racontait même un soir qu'elle s'était faite enfilée par deux mecs à la fois, un par devant, un par derrière. Mais elle rajoutait toutefois.
– Par derrière, c'était celui qui en avait une petite. Par devant j'aime les grosse queue.
Moi j'en avais une petite, bon quand je dis petite, je ne suis pas ridicule non plus mais c'est vrai que quinze centimètres avec un diamètre qui n'en dépassait pas quatre. Ça ne lui faisait pas peur. Enfin c'est ce qu'elle me disait, pourtant je n'ai jamais eu le droit de passer par derrière.
Mais avant notre mariage, nous avons à plusieurs reprises fait des soirées sexe à trois. Elle avait beaucoup de succès. Le plus souvent il y avait une femme et trois hommes, avec moi bien sûr mais pas toujours. C'est vrai que tout le monde avait tendance à m'oublier.
Je regardais, sans pouvoir participer, alors plus tard dans le nuit je me branlais. Il ne me restait plus que cela. Elle était sexuellement comblée et s'endormait sans plus s'intéresser à moi. Je terminais donc la soirée en me masturbant, sinon je n'aurais jamais pu m'endormir.
Les mois qui ont suivi notre mariage furent les meilleurs mois de ma vie, j'avais le droit de lui faire l'amour tous les jours, puis presque tous les jours. Mais c'était normal, la passion restait là mais le quotidien ne nous laissait pas tout le temps libre.
Puis elle commençait à me taquiner à cause de ma petite bite, comme elle disait. Nous étions mariés depuis un peu plus de trois moi quand elle me proposait d'inviter une ses anciennes connaissances. Je n'osais refuser, on l'avait déjà fait dans le passé et je me disait que si elle prenait un amant, il valait sans doute mieux l'avoir à l’œil.
C'était un grand mec baraqué, il faisait deux épaules de plus que moi en largeur, une de chaque côté et un peu plus d'une tête de plus, en hauteur. Elle avait invité son vieux copain, il s'appelait Ronald , au restaurant. Bien sur c'est moi qui payait. Il faut se dire que je gagnais très bien ma vie.
Puis on est rentré, pendant que je servais un apéritif, Caro se déshabillait, elle faisait ça bien. Elle prenait son temps, on devinait que dans le passé elle s'était entraînée.
Elle était magnifique, une silhouette fine, une poitrine généreuse mais pas trop, des cheveux long avec lesquels elle jouait. Ronald la regardait, et on sentais un malaise, à plusieurs reprises il réajustais son pantalon.
– Si tu as quelque chose qui te gêne, tu devrais le retirer ! Déclarait-elle.
Elle se tortillait en disant cela, on sentait que ça la chatouillait quelque part ou alors ça la grattouillait c'était un des deux. Ronald est resté comme à l'arrêt pendant quelques instant puis il me regardait. Je haussais les épaules.
– Tu ne voudrais mettre à l'aise notre invité ? Me demandait Caro.
– Heun'oui, je prépare un autre verre ?
– Mais non espèce de bourrique ! Me répondait-elle. Aide le à se déshabiller il sera plus à son aise.
– Ah OK !
– Met toi d'abord à poil, il se sentira moins seul.
– Ah OK !
Vous savez, j'avais un peu picolé et je ne me formalisait pas plus que ça. J'aime bien moi quand on est plusieurs sur ma femme. Il ne me fallait pas bien longtemps pour me retrouver à poil. Ronald regardait ça, il n'avait pas vraiment l'air convaincu.
Je m'approchais ensuite de lui mais je le sentais se contracter. Je n'insistais pas et je me retournais vers ma femme.
– Vas y toi, il n'a pas l'air convaincu avec moi.
Elle était entièrement nue. J'avais envie de la prendre dans mes bras et je ne m'en privais pas. Elle m'embrassait avec beaucoup de tendresse, c'est vrai que nous avions un invité. Puis elle s'approchait de notre hôte, se penchait sur lui et lui ouvrait sa chemise.
Avec elle, ça marchait tout de suite bien mieux. Là il se laissait faire. Elle le déshabillait rapidement et je pouvais contempler son corps, il était costaud, très musclé, et très bien monté. Quand j'ai vu sa bite j'ai frémi de peur. Je vous jure, c'était la plus grosse que je voyais et je reconnaissais bien les goûts de ma femme.
Pour la première fois peut être je me suis vraiment demandé ce qu'on peut ressentir avec une queue pareil. Avec une queue pareil en soi, je veux dire … je savais que ma femme ne se la prendrait pas dans le cul mais rapidement l'idée de me la prendre dans mon cul a traversé mon esprit, rapidement je vous jure, quelques secondes c'est tout. Je bandais.
A côté de lui j'étais ridicule. Mois un nain, lui un géant. On faisait la paire. Sans s'inquiéter de mes réactions, ma femme se penchais et commençait à lui sucer la queue tout en le masturbant. Rapidement il bandait. Là ça pouvait faire peur, c'était pas pour les âmes sensible ça. Non je vous jure mais je ne sais pas pourquoi, pour le deuxième fois de toute ma vie et surtout de cette soirée. De nouveau je l'imaginais dans mon cul, j'en tremblais de peur.
Je me glissais dans le dos de ma femme et je la caressais, je glissais mes mains sur ses seins, sur son ventre et je l'embrassais dans le cou, un peu sur l'épaule aussi. Là j'étais à la première place pour apprécier sa technique. C'est vrai qu'elle suçait bien, je l'avais déjà vérifié.
Elle savait avaler ma queue en entier sans efforts apparents. Mais là c'était autre chose, celle de Ronald était énorme, surtout si on la comparait à la mienne. Je n'étais déjà pas particulièrement doté, face à lui j'avais l'air de rien. Là j'étais ridicule.
Je continuais à la caresser, mes mains descendaient dans les parties plus intimes de son corps. Entre ses cuisses, avec un infini douceur, mes doigts préparaient le passage. Je sentais son corps qui me disait ' Oui vas-y c'est bon !'.
Quand il y a trop de monde en général c'est pas moi qui suis aux commandes. Je reste le plus souvent témoin, parfois pendant toute la soirée. Mais là on était en petit nombre.
Je me relevais et prenant position, je me préparais à la pénétrer. Ne vous méprenez pas, même si j'étais dans son dos, même si c'étaient ses fesses que j'avais devant moi, je n'avais pas intérêt à passer par derrière.
Elle m'aurait retourné quelques baffes, retourné la tête avant de me l'arracher.
A part ça elle est très mignonne.
Je préférais donc me glisser dans sa chatte. C'est bien aussi remarquez. Je glissais rapidement mon ventre s'écrasait sur ses fesses et je l'entendais gémir de plaisir entre deux succions.
Ronald aussi gémissait de plaisir, rapidement il s'effondrait sur le dos. Je le voyais pencher la tête en arrière. Il ouvrait la bouche et râlait de plaisir.
Moi je la limais, elle appréciais, je la limais plus vite, plus fort. Mon ventre claquait contre ses fesses. Je me serait bien glissé là, entre ses fesses. Mais comment dire ? … Je tenais à la vie !
Elle se relevait, elle continuait à caresser à masturber notre ami Ronald.
Je la retenais contre moi, la position devenait moins confortable. Elle remuait et ma queue finissait par ressortir.
– Laisse, elle est trop petite pour cette position ! Me disait ma femme en se relevant.
Puis elle se retournait, je voyais son corps qu'elle me réservait. Je l'embrassais puis elle reculait, écartait les cuisses et s'empalait sur la queue de Ronald.
Je ne l'avait pas vu venir celle là. Oh elle ne l'enfilait pas par derrière. Là je ne vous cache pas que je n'aurais pas compris. C'était impressionnant. Sa chatte s'ouvrait et un pieu énorme y trouvait sa place, tout naturellement il s'installait. Elle se laissait tomber de tout son poids sur cette énorme bite.
Elle poussait un cris de plaisir ou d'effort, et sans attendre se balançait d'avant en arrière, elle basculait sur cette bite et je regardais ça. Je m'étais mis à genoux et j'étais à la bonne hauteur.
Par moment elle se soulevait et cette grosse queue ressortait puis elle se laissait retomber et je frissonnait de voir une telle scène, je frissonnait aussi à l'idée que ça pourrait être mon cul.
Puis elle écartait les jambes et se soulevait c'est Ronald qui avec force lui limait la chatte. Il faisait ça d'une manière bien plus virile que moi. C'est vrai qu'il était mieux équipé, bien mieux équipé.
Il secouait ma femme un peut dans tous les sens, je me relevais et me voyant en érection ma femme prenait ma queue dans sa bouche. J'adore quand elle me fait ça. Elle suce bien et semblait apprécier la taille, ma queue était plus petite et tenait complètement dans sa bouche. Je sentais sa langue qui la caressait avec force et ce quelque chose difficile à identifier au fond, sa glotte ou simplement le fond de sa gorge bien lisse, bien doux.
Je me lâchais et là je lui limait la bouche. J'étais content de moi et en plus, Ronald ne pouvait pas faire ça lui. Il était trop gros. C'est dans des situation comme celles là que je me disait qu'une petite bite, c'est mieux.
Ronald s'énervait sur ma femme. Elle gémissait comme jamais, enfin jamais avec moi. Mais je n'étais pas seul, et le monsieur, l'autre monsieur avait l'outillage de professionnel que moi je n'avais pas.
Je jutais dans la bouche de ma femme, je jutais un peu vite peut être. Elle a tourné tête et ne s'est pris qu'une giclée dans la bouche. J'ai bien pensé qu'elle serait en colère mais heureusement que Ronald était là, elle continuait à gémir.
Je n'y étais plus pour rien, elle criait même encore plus fort. Je m'en suis bien un peu inquiété mais c'est vrai qu'elle n'avait plus rien dans la bouche. Elle remuait, se soulevait et se laissait retomber de plus en plus vite, et Ronald se soulevait quand elle se laissait retomber et se laissait retomber quand elle se soulevait.
Ses seins se balançaient lourdement et je pouvais voir la bite de Ronald bien ferme, bien grosse qui ressortait, revenait, qui glissait avec force et semblait tout fracasser quand ma femme se la prenait bien à fond.
Mais elle ne faiblissait pas le petite, Ronald gémissait fort, j'ai pensé un moment qu'il devait jouir, ma femme aussi gémissait fort et là je savais qu'elle jouissait.
Ils continuaient pendant encore un long moment, un liquide blanc et épais finissait par suinter, là je sentais qu'ils se calmaient. Encore quelques cris, puis Caro se soulevait, se retirait.
La queue de Ronald toujours de grosse taille retombait sur sa cuisse, Caro me regardait, me souriait et passait dans la salle de bain. Rolnald la suivait, ils revenaient un peu plus tard.
Ronald était toujours aussi sexy, sa queue pendait lourdement entre ses cuisses. C'est lui que je regardais à ce moment, c'est lui que je trouvais sexy, c'est lui qui m'attirait.
Je trouvais ça un peu étrange, mais je me disais que, entre homme on compare et c'est normal.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ronald
C'est dès le début de notre relation que Caro me parlait de soirée à trois. Je savais donc depuis toujours qu'elle avait été volage. Elle me racontait même un soir qu'elle s'était faite enfilée par deux mecs à la fois, un par devant, un par derrière. Mais elle rajoutait toutefois.
– Par derrière, c'était celui qui en avait une petite. Par devant j'aime les grosse queue.
Moi j'en avais une petite, bon quand je dis petite, je ne suis pas ridicule non plus mais c'est vrai que quinze centimètres avec un diamètre qui n'en dépassait pas quatre. Ça ne lui faisait pas peur. Enfin c'est ce qu'elle me disait, pourtant je n'ai jamais eu le droit de passer par derrière.
Mais avant notre mariage, nous avons à plusieurs reprises fait des soirées sexe à trois. Elle avait beaucoup de succès. Le plus souvent il y avait une femme et trois hommes, avec moi bien sûr mais pas toujours. C'est vrai que tout le monde avait tendance à m'oublier.
Je regardais, sans pouvoir participer, alors plus tard dans le nuit je me branlais. Il ne me restait plus que cela. Elle était sexuellement comblée et s'endormait sans plus s'intéresser à moi. Je terminais donc la soirée en me masturbant, sinon je n'aurais jamais pu m'endormir.
Les mois qui ont suivi notre mariage furent les meilleurs mois de ma vie, j'avais le droit de lui faire l'amour tous les jours, puis presque tous les jours. Mais c'était normal, la passion restait là mais le quotidien ne nous laissait pas tout le temps libre.
Puis elle commençait à me taquiner à cause de ma petite bite, comme elle disait. Nous étions mariés depuis un peu plus de trois moi quand elle me proposait d'inviter une ses anciennes connaissances. Je n'osais refuser, on l'avait déjà fait dans le passé et je me disait que si elle prenait un amant, il valait sans doute mieux l'avoir à l’œil.
C'était un grand mec baraqué, il faisait deux épaules de plus que moi en largeur, une de chaque côté et un peu plus d'une tête de plus, en hauteur. Elle avait invité son vieux copain, il s'appelait Ronald , au restaurant. Bien sur c'est moi qui payait. Il faut se dire que je gagnais très bien ma vie.
Puis on est rentré, pendant que je servais un apéritif, Caro se déshabillait, elle faisait ça bien. Elle prenait son temps, on devinait que dans le passé elle s'était entraînée.
Elle était magnifique, une silhouette fine, une poitrine généreuse mais pas trop, des cheveux long avec lesquels elle jouait. Ronald la regardait, et on sentais un malaise, à plusieurs reprises il réajustais son pantalon.
– Si tu as quelque chose qui te gêne, tu devrais le retirer ! Déclarait-elle.
Elle se tortillait en disant cela, on sentait que ça la chatouillait quelque part ou alors ça la grattouillait c'était un des deux. Ronald est resté comme à l'arrêt pendant quelques instant puis il me regardait. Je haussais les épaules.
– Tu ne voudrais mettre à l'aise notre invité ? Me demandait Caro.
– Heun'oui, je prépare un autre verre ?
– Mais non espèce de bourrique ! Me répondait-elle. Aide le à se déshabiller il sera plus à son aise.
– Ah OK !
– Met toi d'abord à poil, il se sentira moins seul.
– Ah OK !
Vous savez, j'avais un peu picolé et je ne me formalisait pas plus que ça. J'aime bien moi quand on est plusieurs sur ma femme. Il ne me fallait pas bien longtemps pour me retrouver à poil. Ronald regardait ça, il n'avait pas vraiment l'air convaincu.
Je m'approchais ensuite de lui mais je le sentais se contracter. Je n'insistais pas et je me retournais vers ma femme.
– Vas y toi, il n'a pas l'air convaincu avec moi.
Elle était entièrement nue. J'avais envie de la prendre dans mes bras et je ne m'en privais pas. Elle m'embrassait avec beaucoup de tendresse, c'est vrai que nous avions un invité. Puis elle s'approchait de notre hôte, se penchait sur lui et lui ouvrait sa chemise.
Avec elle, ça marchait tout de suite bien mieux. Là il se laissait faire. Elle le déshabillait rapidement et je pouvais contempler son corps, il était costaud, très musclé, et très bien monté. Quand j'ai vu sa bite j'ai frémi de peur. Je vous jure, c'était la plus grosse que je voyais et je reconnaissais bien les goûts de ma femme.
Pour la première fois peut être je me suis vraiment demandé ce qu'on peut ressentir avec une queue pareil. Avec une queue pareil en soi, je veux dire … je savais que ma femme ne se la prendrait pas dans le cul mais rapidement l'idée de me la prendre dans mon cul a traversé mon esprit, rapidement je vous jure, quelques secondes c'est tout. Je bandais.
A côté de lui j'étais ridicule. Mois un nain, lui un géant. On faisait la paire. Sans s'inquiéter de mes réactions, ma femme se penchais et commençait à lui sucer la queue tout en le masturbant. Rapidement il bandait. Là ça pouvait faire peur, c'était pas pour les âmes sensible ça. Non je vous jure mais je ne sais pas pourquoi, pour le deuxième fois de toute ma vie et surtout de cette soirée. De nouveau je l'imaginais dans mon cul, j'en tremblais de peur.
Je me glissais dans le dos de ma femme et je la caressais, je glissais mes mains sur ses seins, sur son ventre et je l'embrassais dans le cou, un peu sur l'épaule aussi. Là j'étais à la première place pour apprécier sa technique. C'est vrai qu'elle suçait bien, je l'avais déjà vérifié.
Elle savait avaler ma queue en entier sans efforts apparents. Mais là c'était autre chose, celle de Ronald était énorme, surtout si on la comparait à la mienne. Je n'étais déjà pas particulièrement doté, face à lui j'avais l'air de rien. Là j'étais ridicule.
Je continuais à la caresser, mes mains descendaient dans les parties plus intimes de son corps. Entre ses cuisses, avec un infini douceur, mes doigts préparaient le passage. Je sentais son corps qui me disait ' Oui vas-y c'est bon !'.
Quand il y a trop de monde en général c'est pas moi qui suis aux commandes. Je reste le plus souvent témoin, parfois pendant toute la soirée. Mais là on était en petit nombre.
Je me relevais et prenant position, je me préparais à la pénétrer. Ne vous méprenez pas, même si j'étais dans son dos, même si c'étaient ses fesses que j'avais devant moi, je n'avais pas intérêt à passer par derrière.
Elle m'aurait retourné quelques baffes, retourné la tête avant de me l'arracher.
A part ça elle est très mignonne.
Je préférais donc me glisser dans sa chatte. C'est bien aussi remarquez. Je glissais rapidement mon ventre s'écrasait sur ses fesses et je l'entendais gémir de plaisir entre deux succions.
Ronald aussi gémissait de plaisir, rapidement il s'effondrait sur le dos. Je le voyais pencher la tête en arrière. Il ouvrait la bouche et râlait de plaisir.
Moi je la limais, elle appréciais, je la limais plus vite, plus fort. Mon ventre claquait contre ses fesses. Je me serait bien glissé là, entre ses fesses. Mais comment dire ? … Je tenais à la vie !
Elle se relevait, elle continuait à caresser à masturber notre ami Ronald.
Je la retenais contre moi, la position devenait moins confortable. Elle remuait et ma queue finissait par ressortir.
– Laisse, elle est trop petite pour cette position ! Me disait ma femme en se relevant.
Puis elle se retournait, je voyais son corps qu'elle me réservait. Je l'embrassais puis elle reculait, écartait les cuisses et s'empalait sur la queue de Ronald.
Je ne l'avait pas vu venir celle là. Oh elle ne l'enfilait pas par derrière. Là je ne vous cache pas que je n'aurais pas compris. C'était impressionnant. Sa chatte s'ouvrait et un pieu énorme y trouvait sa place, tout naturellement il s'installait. Elle se laissait tomber de tout son poids sur cette énorme bite.
Elle poussait un cris de plaisir ou d'effort, et sans attendre se balançait d'avant en arrière, elle basculait sur cette bite et je regardais ça. Je m'étais mis à genoux et j'étais à la bonne hauteur.
Par moment elle se soulevait et cette grosse queue ressortait puis elle se laissait retomber et je frissonnait de voir une telle scène, je frissonnait aussi à l'idée que ça pourrait être mon cul.
Puis elle écartait les jambes et se soulevait c'est Ronald qui avec force lui limait la chatte. Il faisait ça d'une manière bien plus virile que moi. C'est vrai qu'il était mieux équipé, bien mieux équipé.
Il secouait ma femme un peut dans tous les sens, je me relevais et me voyant en érection ma femme prenait ma queue dans sa bouche. J'adore quand elle me fait ça. Elle suce bien et semblait apprécier la taille, ma queue était plus petite et tenait complètement dans sa bouche. Je sentais sa langue qui la caressait avec force et ce quelque chose difficile à identifier au fond, sa glotte ou simplement le fond de sa gorge bien lisse, bien doux.
Je me lâchais et là je lui limait la bouche. J'étais content de moi et en plus, Ronald ne pouvait pas faire ça lui. Il était trop gros. C'est dans des situation comme celles là que je me disait qu'une petite bite, c'est mieux.
Ronald s'énervait sur ma femme. Elle gémissait comme jamais, enfin jamais avec moi. Mais je n'étais pas seul, et le monsieur, l'autre monsieur avait l'outillage de professionnel que moi je n'avais pas.
Je jutais dans la bouche de ma femme, je jutais un peu vite peut être. Elle a tourné tête et ne s'est pris qu'une giclée dans la bouche. J'ai bien pensé qu'elle serait en colère mais heureusement que Ronald était là, elle continuait à gémir.
Je n'y étais plus pour rien, elle criait même encore plus fort. Je m'en suis bien un peu inquiété mais c'est vrai qu'elle n'avait plus rien dans la bouche. Elle remuait, se soulevait et se laissait retomber de plus en plus vite, et Ronald se soulevait quand elle se laissait retomber et se laissait retomber quand elle se soulevait.
Ses seins se balançaient lourdement et je pouvais voir la bite de Ronald bien ferme, bien grosse qui ressortait, revenait, qui glissait avec force et semblait tout fracasser quand ma femme se la prenait bien à fond.
Mais elle ne faiblissait pas le petite, Ronald gémissait fort, j'ai pensé un moment qu'il devait jouir, ma femme aussi gémissait fort et là je savais qu'elle jouissait.
Ils continuaient pendant encore un long moment, un liquide blanc et épais finissait par suinter, là je sentais qu'ils se calmaient. Encore quelques cris, puis Caro se soulevait, se retirait.
La queue de Ronald toujours de grosse taille retombait sur sa cuisse, Caro me regardait, me souriait et passait dans la salle de bain. Rolnald la suivait, ils revenaient un peu plus tard.
Ronald était toujours aussi sexy, sa queue pendait lourdement entre ses cuisses. C'est lui que je regardais à ce moment, c'est lui que je trouvais sexy, c'est lui qui m'attirait.
Je trouvais ça un peu étrange, mais je me disais que, entre homme on compare et c'est normal.
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle arrive la suite, elle arrive, il y a au total 4 épisodes ...
la suite
Belle histoire je suis un peu dans le même cas avec mon p’tit membre … ma femme par contre n’est pas du tout branché sexe alors je vais voir ailleurs … 😃 … bonne baise à vous