Pour le meilleur Ep02 Jonathan

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour le meilleur Ep02 Jonathan Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour le meilleur Ep02 Jonathan
Pour le meilleur Ep02
Jonathan


Les mois passaient, notre mariage marchait toujours, mais elle s'amusait à me faire remarquer que j'avais une petite bite. Elle ne me trompait pas vraiment, elle me présentait toujours ses amants avant. Le plus souvent je participais. Le plus souvent personne ne faisait vraiment attention à moi. Mais j'étais là.

Je pouvais regarder, et de plus en plus, je me rendais compte que c'était le mec ou les mecs qui baisaient ma femme que je regardais. Comme le plus souvent je n'avais pas le droit d'intervenir, je me branlais. Je sais ma femme n'aimait pas mais on fait ce qu'on peut.

C'est vrai quoi je ne suis pas de marbre et c'est pas parce que j'ai une petite bite. Vous savez on a autant de plaisir avec une petite bite qu'avec une grosse. Oui bien sûr ça ne fait pas le même effet au partenaire mais pour le mec c'est pareil. Enfin je suppose.

En fait on ne peut pas vraiment vérifier, soit on en a une grosse soit on en a une petite et c'est comme ça, on ne peut rien y faire. Et comme on ne peut pas changer …

En tout cas, c'est vrai que moi qui en avais une petite mais ça ne me dérangeait pas.

Avec le temps elle ne cessait de me rappeler que j'avais une petite bite. Elle en voulait une grosse me disait-elle. Elle les choisissait sur pied, ça devenait clair, je ne l'intéressait plus. C'est vrai qu'avec le temps elle ne m’intéressait plus autant. C'étaient ses amants qui m'intéressaient. Moi aussi je voulais une grosse bite et plus elle avait d'amant, plus j'en voyais et plus j'avais envie de m'en prendre une dans le cul.

Vingt trois centimètres de long sur six … Ça vous paraît raisonnable pour débuter. Je dois vous dire que ce Jonathan m'avait complètement retourné la tête. Je le voyais limer ma femme pendant des heures, des jours et plus encore, mais pas tout le même jour.

Celui-là il est resté longtemps, je le voyais régulièrement, il s'amusait de moi, mais il était sexy et virile.

C'est lui qui m'a fait ce petit cadeau.

Un soir il était passé, un soir comme de nombreux autres soirs. Il avait discuté avec ma femme, j'étais juste à côté mais personne ne faisait attention à moi, sauf quand il fallait remplir les verres ou qu'il n'y avait plus de cacahuètes.

Sa voix était douce et suave, forte mais douce, bien posée, il avait une voix bien masculine. Je ne sais pas ce qu'il racontait, j'étais trop occupé à le regarder.

Il était bien carrée, je devinais la douceur des ses mains au moment ou il caressait les seins de ma femme. Oui je sais, ce n'est pas du tout à ça que j'aurais dû penser à ce moment mais bon. On fait ce qu'on peut.

Un court instant j'ai pensé lui sauter dessus, chasser la bonne femme et l'embrasser . Mais je me suis retenu et j'ai juste servi un verre. Si j'avais fait ça, vous imaginez bien que je ne serais plus là pour le raconter et ma veuve serait certainement encore en train de gueuler après moi. Elle m'aurait dévissé la tête. Elle est comme ça.

Mais à part ça elle est très mignonne …

C'est elle qui me demandait de venir juste à côté d'elle.

– Mon chéri, Jonathan t'a amené un petit cadeau.

Elle avait ce petit air vicieux, comme si elle connaissait le contenu de la petite boite.

Je m'interrogeais, c'était quoi, il n'y avait aucune raison qu'il me donne un cadeau.

– Mais ouvre le ! Me disait-elle.
– Mais c'est quoi et c'est à quel titre ? Demandais-je.
– C'est pour te remercier parce que tu le laisses me baiser comme tu ne saurais faire !

Là c'était pas vraiment un réponse qui me faisait plaisir …

Finalement je l'ouvrais. Vous avez bien sûr deviné de quoi il s'agissait. C'était une cage à bite d'un modèle très connu mais dont je tairais le non car j'ai un contrat d'exclusivité avec la PK Compagnie comme vous savez. Sinon il faudrait que je paye un dédommagement et là, j'ai pas envie !

À cette époque je n'en avais encore jamais porté mais je reconnaissais le dispositif au premier coup d’œil. Je regardait ma femme qui répondait à mon regard par un sourire aguicheur. Je regardais Jonathan, il me répondait par un sourire et rajoutait.

– Je me suis dit que comme tu as une petite bite … Puis il terminait par son sourire le plus idiot.
– Oui mais … Heu … Enfin …

Ils se regardaient et Jonathan rajoutait. On pourrait lui permettre de …

– Oui ! Je pense aussi ! Lui répondait ma femme, puis se retournant vers moi. On pensait te laisser me baiser. Je suis habitué à mieux mais pour une fois …

Là j'étais sonné, ma femme m'autorisait à avoir exceptionnellement des relations sexuelles avec elle avant de me faire mettre une cage à bite, de grande marque certes, mais une cage à bite tout de même.

J'étais sonné. Sans attendre plus longtemps ma femme se relevait et commençait à se déshabiller. Ce strip-tease m'était destiné, ça faisait longtemps, mais je dois dire que j'ai apprécié. Elle m'a fait la totale, elle dansait, se trémoussait, elle lançait régulièrement un regard à Jonathan que cette situation amusait au moins autant que moi.

Quand le dernier morceau de vêtement de ma femme tombait sur le sol, je remarquais que Jonathan bandait. Moi aussi remarquez mais il y avait quelques bons centimètre qui nous séparait et rendaient sa réaction plus spectaculaire que la mienne.

Ma femme se penchait alors sur moi et ouvrait ma chemise, j'avalais ma salive. Bein oui quoi, j'avais plus l'habitude. Jonathan rigolait.

Elle continuait à me déshabiller la chemise, le pantalon, je me levais pour lui rendre la chose plus facile et mon pantalon tombait rapidement sur mes chevilles.

Ma queue se redressait du haut de ses quinze centimètres.

– Tu m'avais dit une fois que quinze centimètres ne te feraient pas peur dans le cul.
– N'en demande pas trop ! Me répondait-elle en me caressant la queue.
– Quinze ? S'étonnait Jonathan. J'aurais bien dit deux de moins.

Là j'ai pas trouvé ça flatteur du tout, était-il nécessaire de bien le faire remarquer.

Ma femme me caressait le corps, elle se penchait sur moi et m'embrassait. Je sentais ses seins s'écraser sur mon torse. Je sentais ses mains glisser sur mon dos. Je sentais une troisième main sur mes fesses.

Ma femme me tirait vers elle, je m'allongeais sur elle en prenant bien soin de ne pas l'écraser. Je la pénétrais ? Ça faisait longtemps mais ça faisait plaisir aussi. Après tout c'était bien ma femme !

Elle s'est lâchée, je ne la reconnaissais plus, elle n'avait jamais été aussi femme avec moi, j'avais une petite bite. Je n'avais pas remarqué que Jonathan s'était déshabillé lui aussi. C'est quand il m'a caressé le dos que je l'ai vu. Il bandait et c'était très spectaculaire.

Elle avait décidé de me faire jouir, elle me retenait en refermant ses jambes dans mon dos, elle me serrait contre elle et ma queue s'enfonçait totalement. Elle grimaçait, elle gémissait, elle gémissait fort même, elle se tortillait, elle en faisait trop mais je m'en moquais. Moi je prenais mon pied, ça m'arrivait si rarement.

Puis il y avait cette main sur mes fesses, ce n'était pas celle de ma femme.

Nous glissions l'un contre l'autre, nous nous caressions tous les trois. Il y avait en effet toujours cette troisième main sur mes reins ou sur mes fesses. Je finissais par la trouver très agréable finalement, cette troisième main.

Je me glissais en elle, je me retirais, je me retenais, je la retenais. Je l'embrassais. Je profitais de ma femme comme jamais elle ne m'avait laisser faire avant.

Elle se cambrait, elle en faisait toujours trop, son corps se raidissait, elle criait et j'étais sensé croire que c'était de plaisir. Mais elle en faisait trop ce n'était plus crédible. Je comprenais bien que je ne la faisait pas jouir, je comprenais bien que je ne lui faisait plus rien, j'avais une petite bite.

Mais je vous jure qu'à ce moment je m'en moquais, petite ou grosse la bite donne toujours autant de plaisir. Je me retenais, je faisais durer mais c'était plus difficile de me retenir, jusqu'au moment ou je jouissais.

Là c'est moi qui criait, je me redressais et je lui donnais des coups de bassin violents, vraiment violent. Elle hurlait, elle en faisait toujours trop. Je me noyais dans ses yeux puis …

A ce moment j'ai ressenti une intense douleur, Jonathan venait de me défoncer le cul. Son bassin appuyait contre mes fesses, j'étais comme paralysé par la douleur. Il n'avait pas prévenu l'animal. Il s'était super bien lubrifié pendant qu'on ne pensait plus à lui.

Il m'avait caressé le corps, les fesses et je ne faisais plus attention à lui jusqu'à ce moment. C'est dans un mouvement rapide qu'il s'était allongé sur nous, il avait bien visé et il avait poussé fort, très fort.

Un instant j'ai cru que j'allais déchirer. Puis après une douleur intense c'était un plaisir tout aussi intense qui suivait et se rajoutais à la douleur. C'était terrifiant et merveilleux.

Je m'écroulais sur ma femme, en gémissant, je ne pouvais presque plus parler, je ne tentais même pas de le repousser, ma femme me regardait elle avait un regard étrange, un peu vicieux, un peu sadique, un peu ravi, un peu … Je ne sais pas … Un peu victorieuse !

Je devais faire une drôle de tête, elle semblait s'en amuser. Ce plaisir, cette douleur ne faisait plus qu'un et même si j'avais peur, je voulais que ça ne cesse jamais.

Jonathan se retirait, lentement, il me faisait gueuler. Puis il revenait bien à fond, toujours lentement. Il recommençait encore et encore, je pleurais, je pleurais et je gémissait mais j'en redemandais encore et encore.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais il n'a pas été trop dur avec moi, il a fait court. Il s'est retiré et j'ai joui de nouveau. De nouveau j'ai éjaculé, de nouveau le plaisir m'a envahi. Alors qu'il s'éloignait ver la salle de bain je le sentais encore en moi.

Je tremblais, je pleurais, je n'avais jamais ressenti rien de pareil. J'avais mal au cul, mais j'étais bien. Je repensais à ce qui venait de se passer et j'étais mal. Dans ma tête c'était un très gros désordre.

Je me rendais vers la de bain, en route je croisait Jonathan, il me souriait, me caressait rapidement le ventre jusqu'à mon sexe.

– Alors p'tit bite, ça va ?

Je continuais ma route, je le sentais encore en moi. Je ne bandais plus du tout, là c'est vrai que j'avais une petite bite.


A suivre



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