Pour le meilleur Ep03 P'tit bite

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Pour le meilleur Ep03 P'tit bite Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour le meilleur Ep03 P'tit bite
Pour le meilleur Ep03
P'tit bite


Je restais un long moment dans la salle de bain, je laissais l'eau couler sur mon corps. Il me fallait un moment pour me détendre totalement et retrouver mon souffle. Je le sentais encore en moi. Il n'y avait plus de douleur sauf si je rigolais.

Bon, je n'avais pas envie de rigoler et je ne rigolais pas mais je suis sûr que si j'avais rigolé, ça m'aurait fait mal. C'est vrai quoi, ça fait un mal de chien. Je ne comprenais pas comment j'avais pu éprouver du plaisir également. Pourtant du plaisir j'en avais éprouvé. J'avais joui deux fois et la deuxième c'était uniquement à cause de sa queue et elle était énorme …

Je me lavais le cul mais tout doucement, je n'osais pas y toucher. Je me passais un peu d'eau fraîche puis tiède. Tout doucement je me passais du savon et encore plus doucement je me glissait un doigt dans le cul.

Un immense plaisir m'envahissait alors, il n'y avait pas de douleur à ce contact, au contraire même cette caresses particulière m'apaisait. Je finissais par me rincer abondamment.

Je me sentais mieux, je me sentais bien quand je revenais. Ma femme était allongée sur le lit, allongé à côté d'elle il y avait Jonathan. Sa queue était toute molle, elle n'était pas comme ça quand je me l'étais prise dans le cul un peu plus tôt.

Je m'approchais, je ne bandais pas, j'étais calmé pour un moment. Ma femme me tendait le petit dispositif de chasteté de marque …

… Non mais vous avez vraiment cru que j'allais le dire ?

Je vous rappelle que j'ai un engagement avec la PK Compagnie qui comme chacun sait a été crée par Jeremy Brosso, ça vous dit quelque chose maintenant ? Si je parle d'une autre marque je vais être obligé de payé un dédit pour rupture de contrat et j'ai pas envie. A l'époque je n'avais spas encore de contrat, je ne connaissais pas encore la PK Compagnie, mais ce n'est plus le cas.

Pour en revenir à nos affaire, c'était un marque qui marchait bien, très confortable et surtout très sécurisé. Mais ça je ne le savais pas encore.

Bref, je prenais le petit dispositif et l'examinait longuement.

– Vas y ! M'encourageait ma femme.
– Vas y ! Continuait Jonathan, qu'on en finisse ! Tu vas voir on m'a garanti que c'était très confortable et puis. Tu as une p'tit bite !

Ils m'agaçaient tous à me dire tout le temps que j'avais une petite bite.

– Tu sais trésor, on ne parle jamais de p'tit ou de grosse bite à ceux qui portent un tel dispositif.

Je la regardais, puis agacé, je prenais une grande respiration. Sans montrer aucune hésitation je passais une couille puis l'autre. Je ne bandais toujours pas, sinon je n'aurais pas pu le faire, j'ai une p'tit bite mais il ne faut pas exagérer, je glissais ma queue dans l'anneau.

Il était petit, en fait il était parfaitement ajusté, il était parfaitement à ma taille. Je ne bandais toujours pas. Je prenais la cage, je la glissais sur ma queue, là encore ça passait juste, mais ça passait. J'étais étonné par ce que ça donnais. Ma femme me tendait la clé sur laquelle il y avait le cadenas. Je glissais le cadenas dans la petite fente prévue pour cela, verrouillais et lui rendait la clé.

C'était fini.

Je sentais un truc énorme sur mon sexe, il me semblait que c'était lourd alors qu'en fait ça ne faisait que quelques grammes. Il me semblait que c'était énorme mais le miroir me retournait une toute autre image. C'était en fait minuscule, ça se voyait à peine.

Mais quand on l'avait remarqué, on ne voyait plus que ça, de même que moi je ne sentais plus que ça. J'étais sonné, je n'avais pas encore récupéré depuis que j'avais pris sa grosse queue dans le cul.

Jonathan passait son bras autour du corps de ma femme, je voyais ses seins qui prenaient de la fermeté, ses tétons pointaient. Il la caressait avec ce qui semblait être une certaine force.

Elle penchait sa tête en arrière, déjà elle gémissait. C'était très différents, là elle n'en rajoutait pas. Ils étaient allongés sur leur côté gauche, elle devant, lui derrière. Elle soulevait sa jambe droite et la passait par dessus les siennes. Il la tirait vers lui.

Sa queue qui était très grosse, je venais d'en faire l'expérience et je savais de quoi il était capable, dépassait entre les cuisses de ma femme, juste en dessous de son sexe.

Elle refermait ses cuisses, il avançait et reculait. Sa queue disparaissait et revenait. Il bandait ferme, pour moi c'était fini pour le moment. Je l'entendais lui demander doucement.

– Je peux passer par derrière ?
– Non ! Tu es trop gros, pour ça tu peux prendre mon mari quand tu veux ! Lui il a une p'tit bite.

Elle ne me demandait pas mon avis, c'est gentil. Surtout qu'ils ne devaient plus me parler de ma petite bite. À cet instant je me suis demandé s'ils se moquaient de moi.

Ma femme tendait la mains vers moi et me faisait signe d'approcher. Je m'approchais. Dans son dos Jonathan continuait à la cajoler et à lui glisser sa queue entre les jambes. Elle apparaissait, elle ressortait. Ma femme gémissait déjà de plaisir mais c'était différent d'avec moi. Comme je vous le disais, elle n'en rajoutait pas, entre ses bras tout paraissait sincère.

C'est là que j'ai compris que juste avant, dans mes bras, elle en rajoutait, elle surjouait.

Mais comment j'aurais pu savoir, elle n'avait plus l'habitude de venir prendre du plaisir dans mes bras.

Elle bougeait son bassin d'avant en arrière. J'approchais. Elle m'attrapait les couilles et me les écrasait dans le creux de sa main. Je tentais de me dégager mais elle ne lâchait rien. Je commençais à gémir sous la douleur, elle ne me lâchait que pour laisser Jonathan me saisir les couilles à son tour.

Ça les amusait.

Mais c'est qu'il me faisait mal le con. Il y allait plus fort et plus direct que ma femme. Il me faisait vraiment mal mais plus je tentais de me dégager, plus il m'écrasait les couilles.

– Occupe toi donc un peu plus de moi ! Lui demandait ma femme.

Il ne lui fallait pas une seconde pour qu'il m'oublie et ne se consacre plus qu'à ma femme. Il la serrait dans ses bras, il la caressait, il se relevait. Avec une douceur incroyable il laissait ma femme retomber et l'accompagnait pour qu'elle s'installe confortablement sur le dos.

Il la caressait un peu partout. Il la couvrait de baiser, très délicatement il commençait par ses seins et s'attardait longuement sur son sexe, il reprenait de nouveau en recommençant par ses seins.

A chaque fois qu'il arrivait à sa vulve il y glissait un doigt.

Au bout d'un moment elle était là, à se tortiller. Il lui glissait plusieurs doigt dans le vagin et doucement, étape par étape il prenait position.

Il prenait position au dessus d'elle, il s'appuyait sur ses bras pour ne pas l'écraser et je voyais son énorme queue s'approcher du sexe de ma femme. Elle écartait les cuisse s’apprêtant à le recevoir . Une dernière caresse sur le haut de ses cuisses, il en profitait pour ouvrir le passage et glissait son énorme sexe dans cette ouverture, là ou je m'étais glissé peu avant.

Elle criait de plaisir, là encore ce n'était pas encore les mêmes cris qu'avec moi. Là c'était sérieux.

Je les avais déjà vu faire mais là, j'étais aux première loges, j'étais juste à côté d'eux. Là je pouvais les toucher, et je les touchais.

Je caressais les couilles de Jonathan, il me laissait faire. Je le sentais qui s'enfonçait ou se retirait du sexe de ma femme. Là je commençais à bander de nouveau mais cette fois ci, je sentais une étreinte tout autour de ma bite, un anneau trop étroit autour de la base de mon sexe. Je ne parvenais pas à bander mais je sentais une pression incroyable autour de ma bite.

Ce n'était pas douloureux, mais c'était stimulant, excitant, je bandais encore plus. Et plus je bandais plus je sentais l'excitation monter. Là je ne me calmais plus.

Jonathan s'agitait, il entrait, ressortait et limait ma femme avec force, il y allait vite, ou lentement. Il changeait sans cesse passant de l'un à l'autre. Il la limait avec régularité, avec une grande amplitude ou des mouvements rapide et courts.

Ma femme suivait comme elle pouvait, il avait une très grosse bite.

Elle en prenait plain la chatte, elle gueulait, elle gigotait, elle ne se retenait plus. Ses grimaces étaient sérieuses, elle ne faisait pas comme avec moi, là elle dégustait .

Moi aussi je dégustais mais d'une toute autre manière. Mon entre jambe devenait douloureuse. Le dispositif de chasteté devenait diabolique. C'était terrible.

C'était horrible, ma queue hurlait, je bandais mais je désespérais.

C'est à cet instant que j'ai compris que je ne sortirais peut être jamais de ce dispositif.

Bon je veux bien reconnaître que là je dramatisais la situation, mon dispositif était en plastique et donc il ne me faudrait pas beaucoup de travail pour l'ouvrir. Mais en attendant j'étais prisonnier et je dégustais.

Ma queue était totalement étranglée par ce dispositif, mon cœur battait vite et fort.

Jonathan continuait à limer ma femme, il râlait, elle gémissait puis ils faisaient le contraire.

Les coups devenaient violents, vraiment violents. C'est sans doute à ce moment qu'il a éjaculé. Il s'est mis à hurler, elle en a fait de même.

Je caressais les fesses de Jonathan, il tremblait, je le sentais bien. Il donnait des coups de bite violents contre ma femme, elle le tirait vers elle et quelques instants plus tard, ils s'effondraient totalement l'un sur l'autre.

Puis le calme revenait, Jonathan se relevait en premier, ma femme le suivait dans la salle de bain. Ils ne s'occupaient plus de moi. Il prenaient une douche, se savonnaient l'un l'autre, je les suivais mais j'étais devenus invisible.

Quand ils en sont sortis de la douche, pendant qu'ils s'essuyaient, Jonathan me lançait.

– Quand tu auras fini de mater toi, tu pourrais nous préparer à boire !

Je les regardais, je sortais de la salle de bain en reculant puis je préparais à boire.

Ils avaient l'air détendus. L'énorme queue de Jonathan pendouillait lourdement, elle était toujours lourde mais il ne bandait plus.

Moi si ! Et ma queue ne parvenait pas à se calmer. Elle restait sous pression pendant encore un long moment. Ils ont bu, ils ont discuté, ils on fini par s'endormir et moi je restais là à les regarder. Je ne parvenais pas m'endormir avant un long moment. Ils dormaient déjà quand j'ai réussi à me calmer.

Quand je me suis réveillé, il faisait grand jour, ma femme et son amant avaient disparu. J'étais seul à la maison !


A suivre



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