PREMIÈRES AMOURS 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PREMIÈRES AMOURS 01
PREMIÈRES AMOURS 01
Il y a peu je me serais damné pour être là ou je suis aujourd'hui. Mais finalement aujourd'hui, je ne suis plus si convaincu.
Elle s'était blottie contre moi, sa tête posée sur mon bras, je sentais son souffle contre mon épaule, ça me chatouillait un peu mais c'était agréable. Je sentais la douceur de sa joue contre ma peau. Je n'osais plus bouger, j'avais peur de la réveiller. Lisa, c'est ma copine, c'est la première fois que nous dormons ensemble. Enfin c'est surtout elle qui dort, moi je ne dors pas vraiment.
Je me sens un peu tendu. La douceur de sa peau, contre moi, cette douceur infini contre la dureté de ma cage de chasteté. La chaleur de son corps contre la froideur du métal autour de ma bite. La tendresse de son contacte contre la dureté de ce contacte contre la queue. Cette dureté sans pitié, implacable qui ne laisse aucun espoir de libération.
Au dessus de mon lit il y avait la photo d'une de mes idoles, je jeune champion Jérémy Brosso. Vous avez sans doute entendu parler de lui. C'est un champion de sport universitaire, il est en plus très beau gosse et il fait du mannequina. C'est aussi lui qui assure la promotion des ces dispositifs de chasteté dont on parle tant depuis deux ans.
J'en porte un depuis maintenant plusieurs mois.
Les filles, elles adorent ça. Elles adorent les garçons qui en portent un en permanence. C'est pour faire plaisir à ma copine que j'ai accepté d'en mettre un. Elle me le rend par sa tendresse, sa gentillesse. Elle est très attentionnée avec moi maintenant mais …
Enfin vous comprenez, j'ai juste dix huit ans … Je porte ce truc depuis trois mois … Je ne me suis pas branlé depuis trois mois … C'est pas cool ça … Surtout si on sais que je me branlais tous les jours !
…
Non c'est pas vrai, ça ne rend pas sourd !
Par contre ça soulage, ça détend. Et là j'en aurais bien besoin. La présence de ma copine contre moi ne me laissait pas de marbre. Depuis le premier baiser que nous avions échangé ce soir, je sentait ma cage à bite se refermer, comme si elle devenait de plus en plus petite. Au premier baiser ma queue avait commencé à prendre du volume, doucement au départ puis avec plus de force. Maintenant la pression était maximum, à la limite de la douleur. Mais à la limite seulement, c'était seulement très désagréable, vraiment très désagréable.
Ma queue poussait de toutes ses forces contre les parois de ma cage, l'anneau appuyait sous mes testicules et c'était certainement ça le plus désagréable. Pour le reste ça pouvait aller.
Lisa bougeait, j'entendais un léger murmure et son bras me caressait le corps depuis mon épaule jusqu'à mon dispositif de chasteté. Sa main se posait sur mes testicules, elle ne bougeait plus. Je n'osais plus bouger moi non plus. Dans ma cage la pression devenait subitement encore plus forte.
Je ne parvenais pas m'endormir, en plus comme j'étais allongé sur le dos, j'allais ronfler c'est sûr.
Vous savez les parents des jeunes fille de mon âge, leur pères surtout, sont très rassurés de savoir que le garçon que leur fille fréquente portent un dispositif de la marque PK. Ils sont sécurisés, et les garçons ne peuvent rien faire, de coquin en tout cas. On est obligé de rester sages !
Et moi je restais sage !
On avait fait un câlin, un gros câlin même.
Elle m'avait donné un baisé, je le lui avait rendu. Non pas que je ne voulais pas le garder … Mais je dis n'importe quoi là !
Elle m'avait donné un autre baiser. Je l'avais prise dans mes bras. On avait prévu depuis quelques temps de dormir ensemble et justement on était chez moi, dans ma chambre, mes parents étaient absents et … finalement … elle m'avait ouvert la chemise et m'avait couvert de baiser sur tout le torse.
C'est là que ma queue a commencé à protester, c'est là que je l'ai sentie devenir vraiment plus grosse vraiment plus dure. Puis elle a poussé contre les parois de ma cage, de toutes ses forces.
Dans ma tête c'était un peu la panique, Lisa faisait glisser ma chemise sur mes épaules puis sur mes bras, je me retrouvais torse nue. Elle semblait faire une pause. J'en profitais pour lui ouvris son corsage. Elle s'était habillée pour sortir ce soir là. Elle portait un soutient gorge très sexy en dentelles.
Je passait délicatement un doigt sous un de ses seins, juste à la limite du tissus, sa peau était douce, très douce et je la sentais frémir. Toujours avec délicatesses je recommençais mais en glissant le bout de mon doigt sous l'étoffe. Elle se penchait vers moi et m'embrassait avec passion.
'' Ça s'ouvre par derrière !''
Elle me donnait carte blanche. Je la prenais alors dans mes bras et la serrait contre moi. Je prenais bien le temps de lui caresser le dos en lui donnant des baisers pleins de tendresse dans le cou tout en recherchant le sésame, le petit dispositif d'ouverture. C'était un petit crochet qui ne résistait pas bien longtemps. Elle se révélait alors torse nue elle aussi. Je pouvais enfin voir sa fine poitrine, ses deux seins menus et élégants. Comment ne pas y toucher ? Comment ne pas les caresser ? Je ne cherchais pas à résister et c'est avec douceur que j'y posais les mains.
Ils étaient fermes autant que doux. Ils se relevaient et devenaient plus fermes sous l'effet de mes caresses. J'y déposais quelques baisers et du bout de ma langue je lui chatouillais les tétons.
Lisa n'était pas si sage que je le croyais. Si pour moi c'était la première fois que je me retrouvais avec une fille, nue dans mon lit, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait avec un garçon dans cette situation. Elle avait plus d'expérience que moi !
Me repoussant en arrière elle s'allongeait sur moi. Je refermais mes bras sur elle. Ma queue protestait toujours et c'était la seule chose qui arrivait encore à me distraire des seins et de la peau de Lisa.
Elle couvrait mon corps de baisers en commençant par mes épaules, je ne pouvais que me laisser faire et la caresser. J'aurais certainement pu faire plus mais j'en avais pas envie. Quand elle arrivait à mon nombril elle ne ralentissait pas le mouvement, ouvrait mon pantalon et continuait plus bas.
Elle me massait les couilles, c'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans ce genre de situation je vous dis. Elle prenait mes mains et le posait sur ses seins en me regardant avec une petit sourire. A cet instant la seule chose que je sentais c'était la pression de ma queue contre ma cage à bite.
A mon tour je lui caressait tout le corps, je relevais le torse et l'embrassais également. Elle m'avait montré l'exemple et quand j'arrivais à son pantalon je faisais comme elle. Elle me laissait faire et quelques minutes plus tard nous nous retrouvions tous les deux entièrement nus sur mon lit.
Mon dispositif se relevait de toutes ses forces devant moi. Lisa s'en amusait.
Lisa : J'adore voir un mec comme ça moi !
Elle disait ça sans malice, enfin je suppose. Elle me caressait les couilles et s'amusait avec ma cage.
Moi : Tu sais j'ai fait un moulage avant de porter ce truc.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Ça m'a échappé. Elle me regardait alors avec un regard plein se surprise et de curiosité.
Lisa : Tu fais voir !
Comme c'était prévu que je mettes le dispositif, j'avais pris soin de me faire un moulage de ma bite. On trouve sur internet des kit pour faire ça facilement et le résultat était parfait. Je sortais le dispositif de sa cachette. Elle me l'arrachait des mains et l'examinait sous tous les angles.
Elle avait l'air fascinée.
Lisa : Tu as de la ficelle ?
Moi : Bein non sur moi là, non pas vraiment !
Lisa : Des lacets ?
Moi : Oui ça j'en ai.
Je me relevais, ma cage se relevait devant moi et Lisa regardait tout ça d'un air vicieux. Avant que j'ai le temps de réagir, elle passait un des lacets dans mon dos, faisait une boucle puis une autre autour de la base de ma bite en plastique, repassait le lacet derrière mes cuisses et … Je me retrouvais avec une copie de ma queue bien en place, bien relevée, elle était appuyée sur ma cage. J'en croyais pas mes yeux, j'avais un instant l'impression de voir ma bite à sa place …
En fait elle est toujours à sa place, je vous rassure, mais je ne peux plus m'en servir pour le moment c'est tout. Elle me tirait alors contre elle. Se collait contre moi, m'écrasait ses seins contre mon torse et glissait ma bite en plastique entre les cuisses.
Elle se masturbait contre ma queue en caoutchouc. Là j'avais la cervelle en feu.
Avant que je ne comprenne tout ce qui se passait, elle me repoussait contre mon lit, je retombais sur le dos les bras en croix. C'était génial, un instant encore je voyais ma queue bander, comme quelques mois avant, quand j'étais encore … Quand je pouvais encore me branler librement.
Elle s'allongeait sur moi, je ne comprenais pas vraiment ou elle voulait en venir mais c'était cool. Je sentais de nouveau la douceur de son corps, de sa peau. Elle se masturbait en frottant son entre-jambe sur mon ventre. J'étais en transe, ma queue hurlait à la mort, mon cœur allait exploser.
Lisa : C'est la première fois que tu te retrouves ainsi avec une fille.
Je faisais oui de la tête.
Lisa : Ce n'était pas une question !
Je souriais mais en fait, je ne savait plus trop quoi faire.
Sans prévenir elle soulevait le bassin et s'empalait sur ma bite en plastique … Je manquais d'air !
Elle se penchait de nouveau sur moi et m'embrassait en laissant ses seins me caresser le torse. Elle relevait également son bassin le rabaissait, je voyais ma bite s'enfoncer en elle et en ressortir.
Lisa : Suis le mouvement, soulève ton bassin comme moi, et suis le rythme.
Sans réfléchir, sans penser à rien, sans rien ressentir je m'exécutais. Sans rien ressentir, c'était ça le pire, je ne ressentait rien, cette bite était morte, froide et morte … C'est vrai qu'elle était en plastique aussi et c'était terriblement frustrant. Je lui caressais la poitrine, je lui caressais tout le corps. Elle se tortillait avec plaisir entre mes doigts, ça c'était génial.
Elle me guidait, me disait ce que je devais faire. Elle me disait quelles caresses elle voulait, quels baisers elle souhaitait. Je m'exécutais ! J'avais la tête en feu, je n'étais plus qu'un automate pour son plaisir. Je voulais lui demander mais je connaissais déjà la réponse, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans les bras d'un garçon et elle n'était plus vierge.
Dans ma tête c'était la folie, je me disais que j'allais apprendre ce qui plaît aux filles, ce qui lui plaît et que le jour ou je serait libre, le jour ou …
Par dessus tout j'aurais voulu retirer mon dispositif, je ne ressentais rien sinon ma queue qui poussait contre les limites de ma cage. Je regardais le bas de mon ventre et c'était la folie, je voyais ma queue entrer et sortir du sexe de ma copine.
Elle se laissait tomber sur le côté et m'entraînait avec elle, elle me guidait et je me retrouvais au dessus d'elle dans une position plus conventionnelle. Elle passait ses jambes dans mon dos et m'invitait à continuer le mouvement. Je me lâchais. J'avançais et reculais le bassin en suivant le rythme qu'elle m'imposait. Je ne réfléchissais plus, dans ma tête il n'y avait plus rien, mon cœur battait fort et ma respiration était totalement irrégulière.
Elle se tordait entre mes bras, elle gémissait puis criait de plus en plus fort. Je l'ai senti trembler entre mes bras, je l'ai vu faire des grimaces, son visage se déformait sous l'effet du plaisir. Je l'ai entendu hurler puis retomber sur le dos en me criant de tout arrêter. Elle avait joui, elle avait pris son pied, elle … Moi je n'avais rien senti sauf les barreaux de ma cage.
J'étais essoufflé, impressionné, étonné, je ne m'attendait pas à ça de sa part. Elle m'avait utilisé comme un sex-toy, je n'avais servi qu'à son plaisir.
J'étais en sueur, je m'effondrais à côté d'elle, je la regardais, elle me souriait. On ne disait plus rien. On ne bougeait plus.
Plus tard, bien plus tard, je la prenais dans mes bras. Elle retirait mon gode, je me dégageais des lacets, elle se glissait contre moi, tout contre, tirais la couette sur nous, me donnait un baiser sur le torse et se laissait aller, elle s'endormait.
Elle avait l'air d'un ange, c'était un démon qui cachait bien son jeux mais elle avait l'air d'un ange.
Je me sentais frustré comme jamais, je m'attendais à ce que la première fois, ma première fois ça soit autre chose. Je m'attendais à en obtenir un vrai plaisir, un autre plaisir, là, je me sentais surtout frustré. Il manquait quelque chose. Depuis trois mois je vivais dans la frustration, mais là, la frustration avait dépassé tout ce que je pouvais imaginer. Une toute petite chose en moi me disait d'être heureux mais une toute petite chose seulement. Pour le reste ce n'était que … Frustration !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Il y a peu je me serais damné pour être là ou je suis aujourd'hui. Mais finalement aujourd'hui, je ne suis plus si convaincu.
Elle s'était blottie contre moi, sa tête posée sur mon bras, je sentais son souffle contre mon épaule, ça me chatouillait un peu mais c'était agréable. Je sentais la douceur de sa joue contre ma peau. Je n'osais plus bouger, j'avais peur de la réveiller. Lisa, c'est ma copine, c'est la première fois que nous dormons ensemble. Enfin c'est surtout elle qui dort, moi je ne dors pas vraiment.
Je me sens un peu tendu. La douceur de sa peau, contre moi, cette douceur infini contre la dureté de ma cage de chasteté. La chaleur de son corps contre la froideur du métal autour de ma bite. La tendresse de son contacte contre la dureté de ce contacte contre la queue. Cette dureté sans pitié, implacable qui ne laisse aucun espoir de libération.
Au dessus de mon lit il y avait la photo d'une de mes idoles, je jeune champion Jérémy Brosso. Vous avez sans doute entendu parler de lui. C'est un champion de sport universitaire, il est en plus très beau gosse et il fait du mannequina. C'est aussi lui qui assure la promotion des ces dispositifs de chasteté dont on parle tant depuis deux ans.
J'en porte un depuis maintenant plusieurs mois.
Les filles, elles adorent ça. Elles adorent les garçons qui en portent un en permanence. C'est pour faire plaisir à ma copine que j'ai accepté d'en mettre un. Elle me le rend par sa tendresse, sa gentillesse. Elle est très attentionnée avec moi maintenant mais …
Enfin vous comprenez, j'ai juste dix huit ans … Je porte ce truc depuis trois mois … Je ne me suis pas branlé depuis trois mois … C'est pas cool ça … Surtout si on sais que je me branlais tous les jours !
…
Non c'est pas vrai, ça ne rend pas sourd !
Par contre ça soulage, ça détend. Et là j'en aurais bien besoin. La présence de ma copine contre moi ne me laissait pas de marbre. Depuis le premier baiser que nous avions échangé ce soir, je sentait ma cage à bite se refermer, comme si elle devenait de plus en plus petite. Au premier baiser ma queue avait commencé à prendre du volume, doucement au départ puis avec plus de force. Maintenant la pression était maximum, à la limite de la douleur. Mais à la limite seulement, c'était seulement très désagréable, vraiment très désagréable.
Ma queue poussait de toutes ses forces contre les parois de ma cage, l'anneau appuyait sous mes testicules et c'était certainement ça le plus désagréable. Pour le reste ça pouvait aller.
Lisa bougeait, j'entendais un léger murmure et son bras me caressait le corps depuis mon épaule jusqu'à mon dispositif de chasteté. Sa main se posait sur mes testicules, elle ne bougeait plus. Je n'osais plus bouger moi non plus. Dans ma cage la pression devenait subitement encore plus forte.
Je ne parvenais pas m'endormir, en plus comme j'étais allongé sur le dos, j'allais ronfler c'est sûr.
Vous savez les parents des jeunes fille de mon âge, leur pères surtout, sont très rassurés de savoir que le garçon que leur fille fréquente portent un dispositif de la marque PK. Ils sont sécurisés, et les garçons ne peuvent rien faire, de coquin en tout cas. On est obligé de rester sages !
Et moi je restais sage !
On avait fait un câlin, un gros câlin même.
Elle m'avait donné un baisé, je le lui avait rendu. Non pas que je ne voulais pas le garder … Mais je dis n'importe quoi là !
Elle m'avait donné un autre baiser. Je l'avais prise dans mes bras. On avait prévu depuis quelques temps de dormir ensemble et justement on était chez moi, dans ma chambre, mes parents étaient absents et … finalement … elle m'avait ouvert la chemise et m'avait couvert de baiser sur tout le torse.
C'est là que ma queue a commencé à protester, c'est là que je l'ai sentie devenir vraiment plus grosse vraiment plus dure. Puis elle a poussé contre les parois de ma cage, de toutes ses forces.
Dans ma tête c'était un peu la panique, Lisa faisait glisser ma chemise sur mes épaules puis sur mes bras, je me retrouvais torse nue. Elle semblait faire une pause. J'en profitais pour lui ouvris son corsage. Elle s'était habillée pour sortir ce soir là. Elle portait un soutient gorge très sexy en dentelles.
Je passait délicatement un doigt sous un de ses seins, juste à la limite du tissus, sa peau était douce, très douce et je la sentais frémir. Toujours avec délicatesses je recommençais mais en glissant le bout de mon doigt sous l'étoffe. Elle se penchait vers moi et m'embrassait avec passion.
'' Ça s'ouvre par derrière !''
Elle me donnait carte blanche. Je la prenais alors dans mes bras et la serrait contre moi. Je prenais bien le temps de lui caresser le dos en lui donnant des baisers pleins de tendresse dans le cou tout en recherchant le sésame, le petit dispositif d'ouverture. C'était un petit crochet qui ne résistait pas bien longtemps. Elle se révélait alors torse nue elle aussi. Je pouvais enfin voir sa fine poitrine, ses deux seins menus et élégants. Comment ne pas y toucher ? Comment ne pas les caresser ? Je ne cherchais pas à résister et c'est avec douceur que j'y posais les mains.
Ils étaient fermes autant que doux. Ils se relevaient et devenaient plus fermes sous l'effet de mes caresses. J'y déposais quelques baisers et du bout de ma langue je lui chatouillais les tétons.
Lisa n'était pas si sage que je le croyais. Si pour moi c'était la première fois que je me retrouvais avec une fille, nue dans mon lit, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait avec un garçon dans cette situation. Elle avait plus d'expérience que moi !
Me repoussant en arrière elle s'allongeait sur moi. Je refermais mes bras sur elle. Ma queue protestait toujours et c'était la seule chose qui arrivait encore à me distraire des seins et de la peau de Lisa.
Elle couvrait mon corps de baisers en commençant par mes épaules, je ne pouvais que me laisser faire et la caresser. J'aurais certainement pu faire plus mais j'en avais pas envie. Quand elle arrivait à mon nombril elle ne ralentissait pas le mouvement, ouvrait mon pantalon et continuait plus bas.
Elle me massait les couilles, c'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans ce genre de situation je vous dis. Elle prenait mes mains et le posait sur ses seins en me regardant avec une petit sourire. A cet instant la seule chose que je sentais c'était la pression de ma queue contre ma cage à bite.
A mon tour je lui caressait tout le corps, je relevais le torse et l'embrassais également. Elle m'avait montré l'exemple et quand j'arrivais à son pantalon je faisais comme elle. Elle me laissait faire et quelques minutes plus tard nous nous retrouvions tous les deux entièrement nus sur mon lit.
Mon dispositif se relevait de toutes ses forces devant moi. Lisa s'en amusait.
Lisa : J'adore voir un mec comme ça moi !
Elle disait ça sans malice, enfin je suppose. Elle me caressait les couilles et s'amusait avec ma cage.
Moi : Tu sais j'ai fait un moulage avant de porter ce truc.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Ça m'a échappé. Elle me regardait alors avec un regard plein se surprise et de curiosité.
Lisa : Tu fais voir !
Comme c'était prévu que je mettes le dispositif, j'avais pris soin de me faire un moulage de ma bite. On trouve sur internet des kit pour faire ça facilement et le résultat était parfait. Je sortais le dispositif de sa cachette. Elle me l'arrachait des mains et l'examinait sous tous les angles.
Elle avait l'air fascinée.
Lisa : Tu as de la ficelle ?
Moi : Bein non sur moi là, non pas vraiment !
Lisa : Des lacets ?
Moi : Oui ça j'en ai.
Je me relevais, ma cage se relevait devant moi et Lisa regardait tout ça d'un air vicieux. Avant que j'ai le temps de réagir, elle passait un des lacets dans mon dos, faisait une boucle puis une autre autour de la base de ma bite en plastique, repassait le lacet derrière mes cuisses et … Je me retrouvais avec une copie de ma queue bien en place, bien relevée, elle était appuyée sur ma cage. J'en croyais pas mes yeux, j'avais un instant l'impression de voir ma bite à sa place …
En fait elle est toujours à sa place, je vous rassure, mais je ne peux plus m'en servir pour le moment c'est tout. Elle me tirait alors contre elle. Se collait contre moi, m'écrasait ses seins contre mon torse et glissait ma bite en plastique entre les cuisses.
Elle se masturbait contre ma queue en caoutchouc. Là j'avais la cervelle en feu.
Avant que je ne comprenne tout ce qui se passait, elle me repoussait contre mon lit, je retombais sur le dos les bras en croix. C'était génial, un instant encore je voyais ma queue bander, comme quelques mois avant, quand j'étais encore … Quand je pouvais encore me branler librement.
Elle s'allongeait sur moi, je ne comprenais pas vraiment ou elle voulait en venir mais c'était cool. Je sentais de nouveau la douceur de son corps, de sa peau. Elle se masturbait en frottant son entre-jambe sur mon ventre. J'étais en transe, ma queue hurlait à la mort, mon cœur allait exploser.
Lisa : C'est la première fois que tu te retrouves ainsi avec une fille.
Je faisais oui de la tête.
Lisa : Ce n'était pas une question !
Je souriais mais en fait, je ne savait plus trop quoi faire.
Sans prévenir elle soulevait le bassin et s'empalait sur ma bite en plastique … Je manquais d'air !
Elle se penchait de nouveau sur moi et m'embrassait en laissant ses seins me caresser le torse. Elle relevait également son bassin le rabaissait, je voyais ma bite s'enfoncer en elle et en ressortir.
Lisa : Suis le mouvement, soulève ton bassin comme moi, et suis le rythme.
Sans réfléchir, sans penser à rien, sans rien ressentir je m'exécutais. Sans rien ressentir, c'était ça le pire, je ne ressentait rien, cette bite était morte, froide et morte … C'est vrai qu'elle était en plastique aussi et c'était terriblement frustrant. Je lui caressais la poitrine, je lui caressais tout le corps. Elle se tortillait avec plaisir entre mes doigts, ça c'était génial.
Elle me guidait, me disait ce que je devais faire. Elle me disait quelles caresses elle voulait, quels baisers elle souhaitait. Je m'exécutais ! J'avais la tête en feu, je n'étais plus qu'un automate pour son plaisir. Je voulais lui demander mais je connaissais déjà la réponse, ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans les bras d'un garçon et elle n'était plus vierge.
Dans ma tête c'était la folie, je me disais que j'allais apprendre ce qui plaît aux filles, ce qui lui plaît et que le jour ou je serait libre, le jour ou …
Par dessus tout j'aurais voulu retirer mon dispositif, je ne ressentais rien sinon ma queue qui poussait contre les limites de ma cage. Je regardais le bas de mon ventre et c'était la folie, je voyais ma queue entrer et sortir du sexe de ma copine.
Elle se laissait tomber sur le côté et m'entraînait avec elle, elle me guidait et je me retrouvais au dessus d'elle dans une position plus conventionnelle. Elle passait ses jambes dans mon dos et m'invitait à continuer le mouvement. Je me lâchais. J'avançais et reculais le bassin en suivant le rythme qu'elle m'imposait. Je ne réfléchissais plus, dans ma tête il n'y avait plus rien, mon cœur battait fort et ma respiration était totalement irrégulière.
Elle se tordait entre mes bras, elle gémissait puis criait de plus en plus fort. Je l'ai senti trembler entre mes bras, je l'ai vu faire des grimaces, son visage se déformait sous l'effet du plaisir. Je l'ai entendu hurler puis retomber sur le dos en me criant de tout arrêter. Elle avait joui, elle avait pris son pied, elle … Moi je n'avais rien senti sauf les barreaux de ma cage.
J'étais essoufflé, impressionné, étonné, je ne m'attendait pas à ça de sa part. Elle m'avait utilisé comme un sex-toy, je n'avais servi qu'à son plaisir.
J'étais en sueur, je m'effondrais à côté d'elle, je la regardais, elle me souriait. On ne disait plus rien. On ne bougeait plus.
Plus tard, bien plus tard, je la prenais dans mes bras. Elle retirait mon gode, je me dégageais des lacets, elle se glissait contre moi, tout contre, tirais la couette sur nous, me donnait un baiser sur le torse et se laissait aller, elle s'endormait.
Elle avait l'air d'un ange, c'était un démon qui cachait bien son jeux mais elle avait l'air d'un ange.
Je me sentais frustré comme jamais, je m'attendais à ce que la première fois, ma première fois ça soit autre chose. Je m'attendais à en obtenir un vrai plaisir, un autre plaisir, là, je me sentais surtout frustré. Il manquait quelque chose. Depuis trois mois je vivais dans la frustration, mais là, la frustration avait dépassé tout ce que je pouvais imaginer. Une toute petite chose en moi me disait d'être heureux mais une toute petite chose seulement. Pour le reste ce n'était que … Frustration !
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