Prenons notre pied - histoire érotique

Elle pendouille devant moi, basculant de gauche à droite, longue, épaisse. J’ouvre la bouche. J’ai hâte. Je veux la sentir contre mon palet, grossissante, se raidissant. J’ai l’impression d’être une jeune fille, à l’attente de sa première fois. J’essaye de l’attraper entre mes lèvres mais il se dérobe d’un coup de bassin. Je le supplie des yeux. Il sourit.

Enfin, il s’avance, me fait signe de me baisser d’avantage. Il se positionne au-dessus de moi, et, lentement, fait descendre son sexe entre mes lèvres. Ravi, je l’accueil. Je tête longuement. Elle durcit progressivement. Mon dieu mais elle est énorme ! Un frisson traverse mon corps nu. Et c’est parti, j’entame une longue fellation. Je lui avais promis. Cela fait des semaines que nous flirtons d’abord sur un site de rencontres, puis en cam.

Elle est délicieuse, enfin réelle et entre mes lèvres. De plus en plus profond à présent, il me baise la bouche. Ses deux mains viennent me soutenir la tête. Les miennes sont à mes côtés. J’ai envi de me masturber, de jouir pleinement de ce moment. Ma main droite se saisit de mon petit sexe tandis que l’autre vient malaxer les boules de mon amant. Elles sont grosses, parfaitement lisses entre mes doigts. Quelques minutes plus tard et je m’en régale également, les prenant tour à tour dans ma bouche, pendant que la verge repose contre mon visage. Elle fait tout du long – du menton à la ligne de mes cheveux coupés courts.

Il me reprend la tête en main, l’éloigne, vise avec son membre entre ses doigts, et jouit une première fois, son foutre s’étalant sur mon visage. Comblé, je souris.

Nous nous dirigeons sur le lit. J’entame une série de caresses tendres, jouant de mes mains et ma bouche, le long de sa verge. Elle dé durcit un instant avant de reprendre sa raideur au bout de quelques minutes à peine. Il se lève, me retourne et me pousse contre le lit, sur le dos. Je le regarde tandis qu’il m’écarte les cuisses, puis prend un tube de lubrifiant de la table de chevet. Il me tend le tube. Souriant, je l’ouvre, et en fait couler sur son gland qui m’est tendu, me relevant légèrement pour faciliter la tâche. Je l’étale presque amoureusement, sentant ma propre érection en anticipation. Pas un mot n’est échangé, pas besoin.

Je m’allonge de nouveau sur le dos. J’admire mon amant tandis qu’il se positionne, m’écartant un peu plus les cuisses. Il est debout au bord du lit, sa verge en main. Je sens le gland se coller à mon anus. Il s’arrête un instant. J’ai envie qu’il me prenne ! Puis enfin, il fait pression. Son gland entre lentement. Puis c’est bon, il est passé et je sens mon amant progressivement m’emplir. Je me dilate également. Je gémis – à la fois un peu crispé par la douleur mais également pris par les premières vagues de plaisir. Il reste immobile un moment, son sexe de moitié en moi. Il est puissant devant moi. Je me sans vulnérable, ce qui est d’autant plus excitant. Il contrôle tout.

Un coup de rein lance le rythme. Je repose ma tête en arrière, me laissant aller. Sa queue entre au plus profond en moi, je sens son bassin venir se coller à mes fesses. Mes jambes sont écartées, en l’air. Il me les tient. Je regarde vers le bas. Ma peau imberbe se colle à la sienne. Nous sommes inondés du soleil d’été. Je prends de plus en plus de plaisir, lui aussi. Je me remets à me masturber. Je jouis presque immédiatement, mon sperme s’étalant sur mon ventre. Les coups de reins sont forts et rapides à présent, accompagnés de grognements et de mes gémissements plus aigues. Il s’allonge entre mes cuisses. Mes mains viennent se poser sur ses fesses, l’encourageant. Encore et encore il me butine.

Il s’arrête, haletant. Je sens sa verge encore enserrée par ma paroi. Nous restons collés quelques instants. Puis il se relève et sors de moi. Il me prend par le bassin et me retourne, me soulève. Je suis prostré devant lui, offrant mon cul dont il se saisit à nouveau. Il me rapproche du bord. Je sens sa queue de nouveau se caller entre mes cuisses.

« Baise moi, s’il te plait. » Je prononce les premières paroles en presque une demie heure.

Je n’ai pas à attendre. Son gland entre sans résistance cette fois. Il n’attend pas non plus avant de relancer les vas et viens. Sa peau claque contre la mienne, ses boules entre mes fesses. Je mets une main en arrière, passant sous moi, pour les prendre entre mes doigts. Je malaxe lentement tandis qu’il prend son pied. II ne tarde pas à me pousser contre les draps, se collant de nouveau contre moi. Je ressers les cuisses, augmentant la sensation de sa queue se faufilant en moi. Quelques minutes plus tard et il se retire encore. Un, deux trois coups de main et je sens son foutre chaud se déverser sur mes fesses. Il fait tomber les dernières goutes en tapotant son sexe contre ma peau.

« Reste là, je reviens. » Sa voix est grave. J’exécute, tournant la tête pour le voir quitter mon champ de vision. Il revient quelques instants plus tard… un gode plug anal à la main. Je souris. Il s’approche à nouveau. J’écarte un peu les cuisses pour lui faciliter l’accès. Il n’hésite pas, me l’enfonçant d’un coup lent mais ferme. Pas le même calibre que sa verge mais tout de même suffisant pour me combler. Je me relève. Mon amant me prend par la main et me dirige vers la salle de bain.

La douche est chaude, d’autant plus que nous sommes collés. Je le savonne longuement, m’attardant sur le bas de son ventre. Une fois sortis, j’enfile juste un string que j’ai apporté. Le plug tient toujours. Lui reste nu. Nous nous dirigeons vers le salon. Il s’installe dans un fauteuil et prend le journal. En réalité ce moment nous l’avons déjà vécu… en fantasmant sur le net. Alors que sa figure est dissimulée par le journal, je m’agenouille entre ses cuisses. Délicatement je prends de nouveau son membre en bouche. La fellation est lente est délibérée cette fois. Il met un peu plus de temps à durcir, mais je m’applique. Je prends ses boules en bouche, une à une, puis à deux. De temps en temps il baisse le journal pour m’observer. Ce moment dure tellement que je commence à avoir une crampe à la mâchoire, alors je continue avec mes mains, me reposant la bouche.

Après ce qui me semble être une éternité, il pose le journal. Son regard est sérieux, intense, et plein de désire. Je sais ce qu’il veut. Je me lève, me retourne et enlève le plug d’une main, écartant par la même occasion la bretelle du string. Puis, lentement, prenant appuis sur les accoudoirs du fauteuil, tandis qu’il tient son sexe en position, je descends sur ce beau phallus. Encore une fois il entre sans résistance en moi. Je continu jusqu’à sentir son bassin se coller à mes fesses une nouvelle fois. Puis commence une nouvelle dance, menée par moi cette fois, de haut en bas. Comme pour la fellation, j’y vais lentement, prenant mon plaisir, et donnant le sien. Je jouis de nouveau, cette fois dans la main de mon amant, m’ayant généreusement caressé. Il s’ensuit sur moi et continu de prendre son pied tandis que j’alterne le rythme. J’accélère, Je le sens se raidir, retenir son souffle. Un jet chaud se projette en moi en quatre, cinq, six à-coups. Je souris, j’ai satisfait cet homme.