Puceau Ep02 On la sent passer

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Puceau Ep02 On la sent passer Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Puceau Ep02 On la sent passer
Puceau Ep02
On la sent passer


Il me faisait signe d'approcher et se redressait. Il me glissait une mains entre les cuisses et doucement la remontait jusqu'à mes couilles, il me les caressait avec douceur.

– C'est la première fois ? Demandais-je.
– Que … ?
– Que tu tripotes les couilles d'un mec !
– Heu, oui, c'est la première fois … Et en plus il y a ce truc.

Il me tâtait la cage, et me tripotait franchement les couilles. Un sourire se dessinait sur ses lèvres et sa queue commençait à se redresser. Elle se redressait sur son ventre, ne s'étalait plus sur sa cuisse.

Elle était toujours aussi grosse, toujours aussi belle et plus peut être encore. Ma queue se contractait et je regardait la sienne qui en faisait autant.

– On dirait qu'il y a de la pression la dedans ! Me faisait-il remarquer.
– Je te raconte pas !
– Si vas-y raconte … Rajoutait-il, a ce moment il me tripotait vraiment les couilles. Il me les massait, me les malaxais.

Je me tortillais, ce n'était pas vraiment agréable mais je le laissais faire. Il y avait en effet une pression terrible dans ma cage à bite, ça c'était agréable. J'aime bien sentir cette pression autour de ma queue, le matin surtout. Là on était le soir mais c'est pareil. Le soir aussi j'aime bien sentir ce confinement autour de ma queue.

Quand je viens de sucer une queue ou que je fais un câlin, je bande dans ma cage, la pression augmente et la frustration également. La pression est intense et quand on me tripote les couilles, je bande.

Il me massait les couilles maintenant, il me les écrasait dans sa main. Pas trop fort, il ne voulait pas me faire mal, il ressentait la pression de ma queue dans sa cage.

– Je ne savais même pas que je genre de truc existait. Me disait-il en se lâchant un peu.
– Tout le monde en porte maintenant.
– Tout le monde certainement pas, je n'ai jamais rencontré un mec qui en porte un avant ce soir.
– Tu n'avais jamais touché un mec avant ce soir …

Il marquait une petite hésitation.

– Oui peut-être mais j'y crois pas ! A mon avis tu es un cas.
– Oh ! Et ça t'inquiète ? Lui demandais-je.
– Nonnnnnn ! Tu es un psychopathe mais ça ne me dérange pas tant que je me fait pas enculer.

Au moins il prenait bien les choses. C'est vrai qu'il avait de la suite dans les idées. Il bandait ferme maintenant. Sa queue se relevait dans toute sa splendeur.

Il me saisissait les couilles avec force et me tirait vers lui, on s'était installé sur le canapé, mes pieds heurtait la base avant du canapé et je tombais dessus. Il me rattrapait et je me retrouvais dans ses bras, il me lâchait les couilles.

Il me caressait, je lui rendais chacune de ses caresses. Mes mains s'attardaient sur ses couilles et sa sublime queue, ses mains s'attardaient principalement sur mes fesses.

J'ai toujours du gel sur moi, il faut savoir rester prévoyant. Je le sortais de la poche de mon pantalon. Il me regardait faire et comprenait tout de suite à quoi ça servait.

Il s'emparait du tube et en déposait une grosse goutte sur mon anus et sans attendre y glissait un doigt.

– Et ça tu aimes ?
– Tu devrais essayer !
– Non ça c'est pas pour moi.
– Et pourquoi tu aimerais peut ête.
– Non moi je suis un mec.
– Et moi je suis quoi ?

Il semblait réfléchir un instant …

– Un psychopathe !
– C'est sympa !
– Met toi en position.

Je ne le faisais pas répéter, je me mettais à quatre pattes sur le fauteuil, juste en face de lui. Il se relevait, sa queue se dressait avec force, elle était énorme et déjà je commençais à m'en inquiéter.

Comment serait-il, virile ça c'est sûr, mais serait-il violent ?

C'est toujours un instant d'inquiétude, d'une inquiétude excitante, quand on va se faire enculer par un nouveau partenaire. Surtout s'il était bien membré, et c'était son cas. Il était exceptionnellement bien membré. J'avais eu tout le loisir de la voir de près. Sa queue faisait un peu plus de vingt centimètres sur pas loin de six de circonférence.

Elle avait de très belles proportion, comme je les aime, elle était bien droite, bien raide couronnée par un gland magnifique, un peu plus large que le corps de cette bite.

Il continuait à me lubrifier le cul et y rentrait un doigt puis deux puis finalement trois.

Il prenait position et appuyait son gland sur mon anus.

– Tu es sûr ? Me demandait-il.

Cette question me rassurait, il serait tendre, je préférais. Non pas que je n'aime pas me faire défoncer le cul mais avec un engin pareil je préférais de la tendresse. Je sentais une pression sur mon cul et je m'en inquiétais. Il poussait doucement à ce moment et ça me rassurait un peu.

– Pourquoi tu me demande, bien sûr que je suis sûr.
– Ton cul est tout petit et ma queue est grosse. Tu es sûr que ça va passer.
– J'aime bien les grosses queue, mais vas y doucement.
– Ok, si tu le dit.
– Il faut surtout bien lubrifier !
– Là ça devrait aller !

Il poussait un peu plus, je sentais la pression qui devenait plus forte, bien plus forte. Je relevais la tête et commençais vraiment à m'angoisser, il poussait doucement, me saisissait part les hanches fermement et sans prévenir appuyait soudainement très fort. Mon cul n'a pas résisté, il s'est dilaté et sa queue s'est enfoncé rapidement avec violence. Ce n'était pas sans douleur, j'ai d'abord râlé puis j'ai voulu crier mais il posait sa main pour me faire taire.

J'avais l'impression qu'il me déchirait les entrailles. Heureusement moi je n'étais plus du tout puceau du cul. Là je n'aurais peut être pas survécu. Rigolez pas, c'était une arme de destruction massive qu'il portait et il n'en contrôlait pas totalement les effets.

Je ne pouvais plus respirer, sa queue glissait sur toute sa longueur et son ventre s'écrasait sur mes fesses. Là il ne bougeait plus.

– Et béh, j'aurais pas cru !
– Aaaaaah !
– Tu sais que tu es étroit toi ?
– HHHHH .
– Ça va toi ?

Il n'écoutait pas la réponse, je râlais et je tentais d'articuler quelques mots mais lui passait à autre chose et me donnait des coups de bassin contre mes fesses. Je râlais, c'était la douleur, mon cul allait exploser, sous la pression. Je sentais sa présence jusqu'au milieu de mon ventre.

Il se retirait, je me sentais mieux, mais il revenait à la charge quelques secondes plus tard. Puis il continuait il me limait le cul. Moi je râlais. La douleur passait, le plaisir ne se manifestait pas encore.

Il se penchait sur moi, passait un bras sous le mien et me saisissait, il me redressait, sa main sur ma gorge. Je me retrouvais debout sur la pointe des pieds, devant lui qui avait sa queue bien plantée dans mon cul, j'avais du mal à respirer. C'était violent, j'étais comme empalé sur sa queue, et elle était longue et large.

Je ne parvenais qu'à pousser de petits gémissements essoufflés. Il me retenait d'une main, avec l'autre il me tripotait les couilles et là aussi il me faisait un peu mal. Il me tenait serré très fortement contre lui, par moment mes pieds ne touchaient plus le sol. C'était comme le supplice du pal.

C'était un truc de fou, à ce moment, j'avais surtout envie que tout s'arrête.

Il me laissait retomber, me saisissait par le hanche et me limait le cul, il commençait tout doucement, je retrouvais un peu de souffle. Il enfonçait sa queue jusqu'au fond de mes entrailles donnait un coup de bassin puis avec une certaine fluidité ressortait presque totalement. Par moment il déposait une grosse goutte de gel et reprenait.

Je gémissait mais la douleur avait totalement disparu. Un certain plaisir naissait. Il accélérait, je relevais la tête et râlait .

– Ça va ? Me demandait-il.

Je tentais de lui répondre en bafouillant des sons inintelligibles. Mais de toutes façons, il n'écoutait pas la réponse.

Il me limait le cul avec détermination et légèreté. Sa queue bien que très grosse glissait facilement maintenant. À chaque mouvement il me massait longuement l'anus et m'écrasait la prostate.

Un certain plaisir apparaissait.

Il continuait lentement, il avait le temps, longuement, il n'était pas pressé. Il était concentré. Peu à peu ce massage répété me donnait un plaisir qui montait depuis le milieux de mon ventre, depuis le font de mes entrailles. C'est un plaisir intense qui se répandait dans tout mon corps puis dans mes membres, je me mettais à trembler sans rien pouvoir contrôler.

– Ça va ? Me demandait de nouveau mon partenaire, toujours sans écouter ma réponse.

Là je braillais mais je pense qu'on faisait la différence entre les cris de douleurs et les cris de plaisir comme c'était le cas à ce moment.

Il accélérait son mouvement, le plaisir montait jusqu'au niveau de l'orgasme mais pas l'orgasme d'une seconde, d'un instant. C'était un orgasme qui durait dans le temps. Tout mon corps tremblait, tout mon corps jouissait. J'éjaculais, je jouissais aussi avec mon sexe. Je jutais longuement dans un plaisir infini.

Il se laissait retomber sur moi et m'écrasait mollement de tout son poids. Il continuait à me buriner le cul. C'est quand il hurlait de plaisir que je comprenais qu'il jouissait lui aussi. Moi je jouissais toujours.

C'est le genre de truc à ne pas recommencer tous les jours au risque de ne pas vivre vieux. Le cœur ne tiendrait pas bien longtemps.

Un dernier coup de bassin contre mes fesses puis il ne bougeait plus.

Un peu plus tard il se retirait et se laissait tomber sur le tapis. Je roulais moi aussi sur le tapis et nous nous retrouvions allongés sur le dos, l'un à côté de l'autre.

– Et bien ! S'exclamait-il. C'était quelque chose.
– Je trouve aussi.
– Tu as aimé ?
– On recommence quand tu veux .
– En attendant moi je ne suis plus puceau. Me disait-il avec un sourire amusé.
– Tu crois ?
– Enfin, il te faut quoi ?
– Non moi je ne suis plus puceau, et depuis longtemps même, mais toi, tu es toujours puceau du cul .

Je le regardait, il haussait les épaules.

– Pfff ! M'en fou, je ne suis plus vraiment puceau et là ça me suffit !


Fin de l'épisode


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