Quand mon fanrtasme devient réalité, chapitre 5

- Par l'auteur HDS Pascalou -
Récit érotique écrit par Pascalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand mon fanrtasme devient réalité, chapitre 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Quand mon fanrtasme devient réalité, chapitre 5
Le 02 septembre au matin, je pris le bus pour Poitiers afin de rejoindre la fac et ma chambre au crous. Je rentrais à La Souterraine que le week-end.
Isabelle allait à la même fac que moi. Nous faisons le trajet ensemble.

Chacun pris place dans sa chambre au crous et on devait se retrouver vers 13 heures au réfectoire
La présentation étant faite, tout le monde passe à table et retour dans les chambres pour ranger les valises et les affaires de classe. Quartier libre l’après midi pour ceux qui voulait visiter Poitiers.

Avec Isabelle, nous avons été visités la ville. Nous avons profités de cette belle après midi pour aller au parc se promener. Il faisait chaud ce jour la, Isabelle s’était habillé comme un jour d’été, elle avait mis un débardeur rouge avec un petit décolleté, une jupe noire et une paire de sandales noires à talons de 7 centimètres.

Nous avons achetés une glace chacun et on c’est assis sur un banc pour la manger. Mon regard allait automatiquement vers les pieds d’Isabelle. Elle avait des jambes magnifiques, toutes bronzées, et la voir ainsi avec sa jupe un peu relevé et ses sandales me faisait bander. Elle me dit :
-Isabelle : Elles sont belles mes jambes, ça fait 5 minutes que tu les regardes, et tu as même pas vu que ta glace avait coulait sur ton tee-shirt.
Je lui réponds que ce n’est pas ses jambes que je regarde, mais ses jolis pieds.
Elle me sourit et me dit :
-Isabelle : ah c’est ça qui t’intéresse. Tu aimes regarder les pieds des femmes .J’avais déjà remarqué que tu regardais souvent nos pieds à Chloé et moi quand on allait au lycée, maintenant je comprends mieux pourquoi. Et mes sandales noires, elle mette bien en valeur mes jolis pieds aux ongles vernis rouge vif.

Puis sans complexe elle me dit :
-Isabelle : il y a presque personne dans ce parc, si tu veux, je peux poser mes pieds sur tes jambes et tu pourras bien les admirer. Je suis sur que tu en a envie.
-Je n’osais pas trop dire non, j’étais excité rien qu’à savoir quelle allait mettre ses pieds sur mes jambes. Je lui dis doucement « oui, je veux bien ».

Elle se déplaça sur le banc, et viens pauser ses 2 pieds sur mes cuisses. Ils étaient magnifiques, ses ongles étaient superbes et mis en valeur avec la bride noire de la sandale. Puis elle souleva son pied droit et me dit
-Isabelle : allez, baise moi le pied, tu en meurs d’envie, n’est-ce pas ?

Je regarder de chaque coté pour voir si il y avait quelqu’un qui pouvait me voir, et je couvris son pied de baisers. C’était superbe, je bandais de plus en plus. Elle dut s’en rendre compte car avec son pied gauche, elle le déplaça jusqu'à mon entre cuisse et appuya avec son talon sur mon sexe qui explosa. Elle se mit à rire en voyant ma tête.
- Isabelle : éh bien William, c’est bien la 1ère fois que je fais jouir un homme avec mes pieds. Je ne pensais pas que ça exciterait autant que ça. Tu dois vraiment aimer ça pour que tu réagisses au quart de tour. J’aime quand tu me baise les pieds. Une prochaine fois, je veux que tu ailles plus loin avec mes pieds. A partir de maintenant, tu devras être disponible pour mes pieds sinon je dis tout a nos amis en rentrant ce week-end.

J’étais pris au piège, ce n’est pas facile d’affirmer son adoration pour les pieds de femmes. Ne voulant pas que mes amis l’apprenne et surtout Chloé, je choisi donc être disponible pour les pieds de d’Isabelle.

Le lendemain, je commençais les cours à la fac. On était 30 par classes, les cours étaient répartis sur 10 salles et on avait 8 professeurs différents. Il y avait une prof de maths qui s’appelé Claudine et qui avait un air sévère et n’hésitais pas à nous crier dessus quand on n’écoutait pas. Elle me fascinait. Je me disais quelle pourrait être une bonne dominatrice car elle avait déjà le physique et savait ce faire obéir.

Un matin, elle arriva un peu en retard car sa voiture n’avait pas voulu démarrer. Peut-être pour moi une occasion de faire sa connaissance en lui proposant mon aide. Elle me fascinait et avait de jolis pieds que j’avais souvent pu admirer pendant les cours. A la fin du cours, j’ai attendu que tout le monde sorte de la classe et je suis allé la voir. Je lui ai dit que je m’y connaissais en mécanique et que si elle était d’accord, je pourrais peut être faire démarrer sa voiture car mon père m’avait appris quelques rudiments. Elle accepta mon aide et me donna son adresse.

En fin de journée, je me rendis à son domicile. Elle m’ouvrit la porte du garage et me montra sa voiture. Elle avait changé de vêtements en rentrant du lycée. Elle était habillée en robe bleu ciel avec une lanière autour du cou et avait des escarpins blancs neuf à bouts ouvert et brides derrière la cheville avec des talons de 8 centimètres.

Je la contemplais, son corps magnifique, ses cheveux noir rayonnants qui lui arrivaient à mi dos. Elle avait mis ses lunettes de soleil. Je lui demandais ou était les outils et la clef de contact. En attendant que je répare sa voiture, elle s’installa sur un banc devant le garage et corrigeais des copies. Elle avait les jambes croisées et son pied gauche ne touchait pas le sol. Son escarpin commençait à glisser et d’un petit mouvement elle le remit en place. Mon regard était attirait par cet escarpin. J’ai Fait express de lancer la clé de 1O vers ses pieds pour les admirer de plus près. Avec ses bouts ouverts,
ils laissaient apparaître ses mignons orteils.

Elle avait remarquée que j’avais fait express de lancer la clef vers ses pieds, elle en profita pour voir jusqu’ou j’irai pour les admirer. Elle se déchaussa, d'abord le talon puis tout le pied gauche. Elle fit toutes sortes de mouvements, très érotiques, avec ses pieds et je sentais monter en moi l'envie d'aller sentir ses mignons pieds enfermés dans ses escarpins de cuir neuf. Je suivais ses mouvements de pieds avec mes yeux.

Au bout d’un moment, elle prit son air sévère et elle me dit :
-Claudine : Tu t’occuperas de mes pieds après avoir réparer ma voiture, compris ?
Je retournais sous le capot réparer les branchements de la batterie car ils étaient oxydés par l’acide. Je mis le contact et la voiture démarra. J’étais content de moi.
-Claudine : Merci William, tu m’as fait économiser tu temps et de l’argent. Alors comme ça mes pieds t’intéressent ?
Je lui répondis que j’étais en admiration devant ses jolis pieds. Elle me dit de m’approcher d’elle et pour me remercier, elle m’offrait ses pieds. J’étais ému d’entendre ça de ma prof de math.

Je m'assis à se pieds et commença par lui déposer des baisers sur ses jolis escarpins et sur les orteils vernis bleu ciel comme sa robe qui en sortaient. Puis je m’allongeais sous ses pieds, je commençais à lui lécher ses semelles et ensuite ses talons de 8 centimètres que j’enfonçais entièrement dans ma bouche et faisait un va et viens. Je l’entendais dire
-C’est bon William, retire mes chaussures et lèche moi les pieds. J’adore voir un homme qui me lèche les pieds.

-Je lui retirais délicatement ses jolies chaussures. J'étais au comble de l'excitation. Je commençais par lui caresser les pieds de la plante au talon. Elle aimait ça car lorsque j’ai levais la tête, je vis que Claudine s’était allongée sur le banc, une main au niveau de son sexe, et se léchais les babines... je n'en revenais pas. Elle appréciait ! J'accentuais mes caresses et elle commença à gémir. Je commence à lui lécher les talons, la plante des pieds et ensuite j’ouvris grand ma bouche et j'enfonçais ma tête dans le creux de ses pieds, faisais courir ma langue entre ses orteils et me délectais du divin parfum des ses petons, mi cuir mi transpiration. J’ai levais la tête une autre fois J’avais une vue sous sa robe et je vis quelle se caressait avec de plus en plus d'ardeur. Je la sentais prêt de l'orgasme. Je me mis à lui lécher plus rapidement ses orteils comme quand on suce une tétine, effet garantit ! Elle commença à jouir Et je vis qu'une petite tache se formait sur sa jolie culottes rouge, la ou sa main avait caressé son sexe. Je bandais très fort et je voyais pour la 1ère fois une femme jouir. Quel plaisir.

Elle se releva en peu dans les vaps. Elle était en transe. Elle me regarda, lança sa chevelure en arrière, sourit et me dis :
-Claudine : Jamais un homme m’a procurer autant de plaisir en me léchant mes pieds, tu as été superbe, regarde je suis toute mouillée d’excitation.
Elle retira sa culotte, elle était trempée au niveau de sexe. Elle sentit sa propre odeur de jouissance et me demanda d’ouvrir ma bouche. Je le fis et elle y mit sa culotte trempée. Quel bon gout de jouissance, j’aspirais bien fort ce précieux liquide qui était imprégné sur son slip. J’étais toujours à ses pieds, elle profita que j’étais occupé avec sa culotte pour me masturber avec ses pieds. Après quelques va et vient, je jouis dans mon slip et je bandais tellement fort, que du sperme est sortis de mon pantalon. Elle le remarqua et rigola.

Je me relevais, le lui ai demandé ou se trouver les toilettes pour me nettoyer. Je ne pouvais pas rentrer comme ça au crous. Avant de sortir de chez elle, elle m'embrassa et me dit :
-Claudine : C’est bien la 1ère fois que j’invite un de mes élèves chez moi. Je n’ai pas eu à le regretter. Non seulement tu m’as réparé ma voiture, mais en plus je n'ai jamais pris autant de plaisir avec un autre homme que toi, merci. On se reverra bientôt.

Je sortis de chez Claudine. Quel moment fantastique je viens de passer, je vais pour réparer la voiture de ma prof de maths et je me retrouve avec une offrande de jolis pieds.
Mon adoration pour les chaussures et pieds de femmes venait d’amplifier.
Je ne savais plus trop comment me comporter à mon prochain cours de maths. J’aurais toujours la vision et le gout de ses pieds.

Arrivé devant l’internat, je trouvais Isabelle devant l’entrée. Elle m’attendait pour le repas du soir et avait besoin de mes services ensuite.
Après toutes ses émotions, j’avais déjà oublié que je lui étais redevable. Elle me demanda ou j’étais car elle m’attendait depuis plus d’une heure. Comme elle insistait, je lui mentis en lui disant que j’étais à la bibliothèque. Elle ne devait surtout pas savoir mon aventure avec la prof de maths. Elle me donna rendez vous après le repas, devant la grille de secours qui se trouvait derrières le bureau des profs et de l’administration. Il y avait un renfoncement de 2 mètres et personne ne pouvait nous voir

Je me rendis vers 20heures devant la grille. Elle arriva après moi et c’étais vite changer après le repas du soir .Elle avait mis son ensemble cuir blouson et short noir avec ses cuissardes en jeans troué à bout ouvert et avec des talons fin de 8 centimètres.

-Je l’ai trouvé super sexy et très dominatrice avec son ensemble cuir et ses cuissardes à talons. Elle me dit de la suivre dans le renfoncement. Il y avait une chaise et un cendrier, c’était le coin des pauses cigarettes des profs. Elle s’assit sur la chaise et me dit :
-Isabelle : Tu vas payer cher le fait de m’avoir fait attendre plus d’une heure.
Elle prit son regard sévère, me tira par une oreille et me dit :
-Isabelle : Regarde moi bien, d’après toi, pourquoi cet ensemble cuir et ses cuissardes.
Je lui répondis en lui disant que je la trouvais très sexy et dominatrice. Elle me regarda froidement dans les yeux et me dit :
-Isabelle : C’est exactement ça, je vais t’excité et te faire souffrir avec mes pieds.

Elle souriait, je n’aimais pas trop ça car c’étais une amie. Elle me tira les cheveux en avant et me mis à genoux devant ses cuissardes. Je remarquais tout de suite le vernis, ou plutôt les vernis qu’Isabelle avait mis à ses pieds. Sur chaque orteils elle avait appliqué un vernis de couleur différent ce qui faisait penser à un arc-en-ciel et lui embellissez encore plus ses orteils. Je n’avais jamais vu ses cuissardes en jeans. Elle devait les mettre rarement.

Elle m’imposa de lui lécher entièrement ses cuissardes en jeans afin que ma langue devienne râpeuse et me fasse souffrir au contact du jean un peu rugueux. Je commençais à lécher la 2ème cuissarde que ma langue me faisait déjà mal. J’avais déjà léché les escarpins et les pieds de Claudine en fin d‘après midi et me revoilà en train de lécher des cuissardes. C’est avec une souffrance que terminais mon léchage, enfin je croyais avoir terminé car elle me demanda d’ouvrir la bouche et vis que ma langue ne saigner pas encore. Elle était devenue même un peu sadique et voulait abuser de son pouvoir de dominatrice. Elle me dit :
-Isabelle : Tu as la langue rouge et rugueuse mais mois je veux la voir saigner. Tu vas t’allonger sur le sol et me lécher mes semelles et mes talons.

-Je m’allonge et elle pose un pied sur ma bouche pour que je lui lèche. Elle appuie bien sur la semelle pour bien usé ma langue, puis viens le tour du talon de 8 centimètres quelle m’enfonça dans la gorge et fit une rotation avec son pied à l’intérieur de ma bouche. Je sentais le sang coulait au fond de ma gorge. Elle fit de même avec son autre cuissarde et vérifia les dégâts à l’intérieur de ma bouche. Ca l’excité de me voir souffrir allongé sous ses pieds.
Elle était contente du résultat et me le dit :
-Isabelle : Je t’avais bien dit que tu allais le payer cher, ha ha ha. Maintenant tu vas me retirer mes cuissardes et tu vas me lécher les pieds en commençant par mes jolis orteils que j’ai spécialement vernis de plusieurs couleurs pour mieux te faire bander. Passe bien ta langue à travers mes orteils pour que tu goutes bien mes odeurs de transpiration car depuis que je suis partis de chez moi, je ne me suis jamais laver les pieds, c’est une exclusivité rien que pour toi

-Je léchai donc ses jolis orteils. Bon le gout n’était pas trop mauvais et j’y prenais même du plaisir ce qui me faisait oublier le gout du sang dans ma gorge. La suite du léchage était douloureux car ma langue ne supportais plus aucun contact, elle était en feu. Elle se mit à rire en me voyant reculer ma bouche à chaque léchage. Puis elle me demanda de lui remettre ses cuissardes et de m’allonger encore sur le dos. Elle sortit une laisse de chien quelle me passa autour du cou et me dit :
-Isabelle : Maintenant, je vais te faire souffrir et jouir en même temps avec mes pieds.
Elle se tenait à mon cou avec la laisse et monta sur mon ventre. Quelle douleurs, ses talons s’enfonçaient en moi et me griffait jusqu'à saigner. Elle se retira et se mis à coté de moi. Elle posa son pied sur mon sexe, appuya fort et m’écrasa les testicules. Je poussais un petit cri de douleur, elle rigola. Elle se rassoie et commence à me branler avec ses bottes et afin que je ne jouisse pas trop vite, elle appuya de temps en temps sur mes testicules. A ce rythme la, il m’a fallu pas mal de temps pour jouir car la douleur me faisait débander. Elle y prenait du plaisir à me torturer de la sorte. Puis bien sur, j’éjaculai dans mon slip. Mon pantalon était usé au niveau de mon sexe à force de le frotter avec ses semelles. Et voila enfin le retour dans ma chambre que j’avais quitté ce matin sans penser une seconde ce qui allait ce passer cette journée.

En retirant mon pantalon, je remarquais qu’il y avait quelque chose dans une poche. Claudine y avait mis sa petite culotte mouillée, comme un trophée. Je la sortis et la sentis encore. Il y avait plus beaucoup d’odeur car je l’avais bien nettoyée avec ma bouche. Je la gardais précieusement dans mon placard et je la mettrais dans la boite avec les bottes et les bas de Judith dans ma chambre. Encore un trophée de plus.

La bouche me brulait en me lavant les dents et seulement le contact avec l’eau froide me faisait du bien. Je n’arrivais pas à m’endormir ce soir la. La journée avait été intense et je n’arrivais pas à effacer de ma mémoire les pieds de Claudine dans ma bouche et de la voir jouir devant moi.
Le lendemain, j’avais cours de math l’après midi avec Claudine. Je rentrais en classe dans les 1er et me mis face à son bureau afin de mieux l’admirer. Elle rentra dans la salle et s’assis derrière son bureau. Elle avait mis un bustier blanc, une jupe en cuir avec une fermeture à lacet et une jolie paire de sandales bleu et noire avec talons fin de 10 centimètres.

Le cours se passa normalement mais moi j’avais remarquais son petit jeu de pied, elle les balançait et de temps en temps ses escarpins tombaient sur le sol. Elle interrogea plusieurs élèves à la fin de son cours et n’hésitez pas à leur crier dessus s’il ne répondait pas correctement. J’enviais ses élèves, me faire disputer par Claudine aurait été un plaisir pour moi.

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