Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 3
Récit érotique écrit par Pascalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 3
Je passais le diplôme à la fin de l’année, je n’étais pas très à l’aise en anglais car je suis tombé en oral sur la littérature anglaise, Chloé m’avait bien fait réviser les cours et j’avais hâte de connaître ma note.
Le verdict tomba un jeudi matin, on cherche chacun notre nom. On l’avait tous eu, c’était la joie collective.
Le lendemain, on nous donna le résultat de toutes les notes, j’avais eu 9,5 en anglais. Je n’avais pas fait attention à Chloé, elle s’était mise derrière moi et avait regardé mes notes. Je sentis son regard sur moi et elle me pinça le bas du dos.
Sur le chemin du retour, elle me dit de passer par chez elle car elle avait une information à me dire. A peine rentré chez elle, elle me regarda sévèrement et me gifla
je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part, je me sentais vraiment humilié. Je recevais ma première gifle. Elle me dit
-Chloé : tu n’as rien compris à mes cours, j’ai fait tout mon possible pour que tu réussisses. Cette note que tu as eue me fait mal au cœur après toutes les heures que je t’ai consacré. Je prends ça pour un échec. Tu es nul, nul, nul. Tu es juste bon à me nettoyer mes bottes cavalières, elles sont sales et pleine de boue. Je rentrais seulement de ma leçon d’équitation et j’au eu juste le temps pour récupérer mes notes.
Elle était folle de rage. Je lui dis que j’étais désolé, je connaissais par cœur les réponses mais devant la prof, j’étais devenu muet, rien ne sortait… et je lui dis toutes les réponses aux questions que la prof m’avait données. Elle me dit :
-Chloé : Je veux rien savoir, lèche mes bottes, je ne veux plus voir de saletés dessus et sur les semelles et talons.
je me mis à genoux à ses pieds et je léchais ses bottes pendant presque 3O minutes, c’était écœurant cette boue.
A la fin du nettoyage, elle se calma et me dit
-Chloé : Je veux biens te croire, je sais que tu es timide. Maintenant il va falloir que tu garde les bases apprise avec moi pendant les vacances sinon à ta rentrée , tu auras tout perdu et moi je ne serais plus la pour t’aider.
Elle me dit quelle partait trois semaines en vacances et elle ne voulait pas que je perde ce que j’avais appris.
Elle allait demander à sa mère de me donner deux devoirs par semaine ayant un rapport avec les cours de cette année. Elle me les déposerait dans la boite aux lettres et j’en ferais de même avec les réponses.
J’ai bien reçu les six contrôles dans ma boite et je les ai rendus dans la sienne.
Je savais que j’avais fait quelques erreurs mais rien de grave.
Sa mère la tenait au courant au fur et à mesure quelle recevait mes réponses. Chloé rentra de vacances au bout de trois semaines et pris connaissance de mes devoirs.
Elle savait qu’il me resté une semaine avant mon départ de vacances et à mon retour j’allais directement à la fac de Poitiers.
Au vus de mes réponses aux contrôles, elle a demandé à sa mère si elle pouvait aménager son ancienne salle de jeux situé au sous sol de la maison afin d’en faire une salle de punition pour William, qui apparemment n’avait pas réussi la moitié de ses devoirs de vacances. Elle avait énormément pris de son temps à lui expliquer les cours et avait même demandé à sa mère de prendre le relais pendant son absence.
Elle avait même dit à sa mère notre secret à tout les deux. Sa mère n’était pas trop surprise, elle se doutait de quelques choses comme ca, depuis quelle achetait des chaussures à talons et des vêtements sexy de couleurs noires. Sa mère approuva tout ce quelle disait. Elles emménagèrent la salle du sous sol.
Au fond de la salle il y avait un renfoncement de 1 mètre sur 1 mètre 20. Ils y installèrent une grande étagère assez épaisse à une hauteur de 1 mètre et une deuxième à 50 centimètres au dessus de l’autre. Elles y déposèrent deux coussins sur celle-ci afin de pouvoir s’assoir à deux dessus et la grande étagère du dessous servirait de repose pieds pour Chloé et Judith et de bureau pour moi. Pour compléter le tout, elles fixèrent deus anneaux au mur de chaque coté de l’étagère. Pour rendre l’endroit plus intime, elles installèrent deux paravent devant les étagères et installèrent un spot qui éclairé la grande étagère.
Elle avait été très complice pour leur vengeance et moi je ne me doutais de rien.
Le mardi, après son retour de vacances, Chloé me demanda si je pouvais passer la voir à neuf heures et que je resterais pour manger avec elle. Elle voulait me montrer mes erreurs et qu’on les corrige ensemble.
je m’arrêtais à la boulangerie qui se trouvait sur la route, y acheta trois gâteaux et une bouteille de cidre afin de remercier Judith pour leurs devoirs.
A 09 heures précise, je sonnais à la porte de la maison. Chloé vient m’ouvrir la porte. Elle était habillé normalement, un ensemble body jupe bleu ainsi qu’une paire de sandale noire a gros talon de 8 centimètres, ce n’étais plus ma maitresse.
Je lui donnai les gâteaux et je lui dis que c’était pour remercier Judith pour les devoirs. Elle les posa sur la table de la cuisine. Elle sourit et me dit :
-Chloé : moi aussi, j’ai une surprise. Tu vas retirer ta montre et tu vas mettre ce bandeau autour des yeux et je te guiderais dans la maison.
-Je me laissai faire. Elle me prit la main et je la suivi. On descendit des escaliers, on était au sous sol, j’y suis déjà venu plusieurs fois avec la bande. Elle ouvre une porte, je suppose la salle de jeux et me dit de me mettre à genoux et de ne pas bouger jusqu’à son retour.
-au bout de quelques minutes, j’entendis la porte s’ouvrir, ses talons qui faisaient clac, clac, clac sur le carrelage et je senti quelques chose autour du cou, une chainette je pense, et en la tendant, ma tête se rabat sur le bureau et je n’avais pas beaucoup de liberté pour la bouger. J’entendis quelques choses qu’on déplier, puis je pense que Chloé a du monter sur le bureau. Tout à coup, il me semble sentir un peu de chaleur dans le cou et je commencer à voir de la lumière. Elle avait allumé un spot au dessus de moi. Je me demandais ce que Chloé me préparait.
- le calme régnait dans la pièce, je n’aimais pas trop ca. Puis on me retira le bandeau des yeux et la…Croyait moi, je me suis retrouvé devant une paire de bottes noire brillante à talons fins de 11 centimètres. Ouah, la vue des bottes étaient magnifique. Je voulais lever un peu la tête pour savoir si c’était des bottes ou des cuissardes mais j’entendis une voie me dire :
-Judith : on garde la tête baissé esclave, tu attends mes ordres et je ne les redirais pas une seconde fois.
-Je sentis qu’on m’appuyer sur ma tête par derrières et on me la place sur la table.
-Ce n’était pas la voix de Chloé, et je me demandais qui se trouvais devant moi et je pense que c’est Chloé qui est derrières moi. Je ne les pas entendu rentrer ou marcher dans la salle. On me dit :
-Judith : Admire mes cuissardes, regarde les biens.
-Elles se trouvaient à dix centimètres de mes yeux. J’admirer ses cuissardes et je sentais mon sexe se durcir dans mon pantalon. Il me semblait reconnaitre la voie de Judith. J’avais honte de me trouver à genoux devant cette belle femme. Elle devait avoir entre 40 et 45 ans. Elle était très charmante et toujours bien habillé. Tout ce qui ce dit par la suite était exclusivement en anglais. La voie me dit :
-Judith : Alors, comme ça on n’apprend pas ses leçons, on se permet de ne pas tenir comptes des consignes et des remarques. ..On répond « oui maitresse »
-Moi : timidement le lui répondis, heu, si.
Une paire de gifle magistrale s’abatis sur mes joues.
-Judith : On dit « oui maitresse »
-Moi : Oui maitresse
-Judith : Tu n’est qu’un menteur, un bon à rien, lève la tête et regarde moi.
-Je levis doucement la tête, mon cou était attaché par une chainette et elle était accroché à sur les deux murs. Mon regard longea les cuissardes à talon fin de 11 centimètres, les quelques centimètres de ses bas noir avec une couture au dos (on apercevait les jarretelles), la mini jupe en cuir noir ajourée sur les cuisses, et pour terminer un corset cuir noir. Je remontais encore un peu et je découvrir son beau visage avec de beaux yeux bleu qui me fusiller du regard, on lisait sur son visage une expression de haine. Elle avait des cheveux châtain foncé et sur la tête une casquette en cuir. Je me trouvais bien devant Judith la mère de Chloé.
-Une vraie tenue de dominatrice avec tout ce qui faut à l’intérieur. Son corset de cuir laissait apparaitre une poitrine généreuse.
-Je sentais mon zizi au bord de l’explosion et j’essayais de le maitriser.
-Je n’avais jamais vu une dominatrice avant Judith. Jamais je n’aurais pensé à elle
Le verdict tomba un jeudi matin, on cherche chacun notre nom. On l’avait tous eu, c’était la joie collective.
Le lendemain, on nous donna le résultat de toutes les notes, j’avais eu 9,5 en anglais. Je n’avais pas fait attention à Chloé, elle s’était mise derrière moi et avait regardé mes notes. Je sentis son regard sur moi et elle me pinça le bas du dos.
Sur le chemin du retour, elle me dit de passer par chez elle car elle avait une information à me dire. A peine rentré chez elle, elle me regarda sévèrement et me gifla
je ne m’attendais pas à cette réaction de sa part, je me sentais vraiment humilié. Je recevais ma première gifle. Elle me dit
-Chloé : tu n’as rien compris à mes cours, j’ai fait tout mon possible pour que tu réussisses. Cette note que tu as eue me fait mal au cœur après toutes les heures que je t’ai consacré. Je prends ça pour un échec. Tu es nul, nul, nul. Tu es juste bon à me nettoyer mes bottes cavalières, elles sont sales et pleine de boue. Je rentrais seulement de ma leçon d’équitation et j’au eu juste le temps pour récupérer mes notes.
Elle était folle de rage. Je lui dis que j’étais désolé, je connaissais par cœur les réponses mais devant la prof, j’étais devenu muet, rien ne sortait… et je lui dis toutes les réponses aux questions que la prof m’avait données. Elle me dit :
-Chloé : Je veux rien savoir, lèche mes bottes, je ne veux plus voir de saletés dessus et sur les semelles et talons.
je me mis à genoux à ses pieds et je léchais ses bottes pendant presque 3O minutes, c’était écœurant cette boue.
A la fin du nettoyage, elle se calma et me dit
-Chloé : Je veux biens te croire, je sais que tu es timide. Maintenant il va falloir que tu garde les bases apprise avec moi pendant les vacances sinon à ta rentrée , tu auras tout perdu et moi je ne serais plus la pour t’aider.
Elle me dit quelle partait trois semaines en vacances et elle ne voulait pas que je perde ce que j’avais appris.
Elle allait demander à sa mère de me donner deux devoirs par semaine ayant un rapport avec les cours de cette année. Elle me les déposerait dans la boite aux lettres et j’en ferais de même avec les réponses.
J’ai bien reçu les six contrôles dans ma boite et je les ai rendus dans la sienne.
Je savais que j’avais fait quelques erreurs mais rien de grave.
Sa mère la tenait au courant au fur et à mesure quelle recevait mes réponses. Chloé rentra de vacances au bout de trois semaines et pris connaissance de mes devoirs.
Elle savait qu’il me resté une semaine avant mon départ de vacances et à mon retour j’allais directement à la fac de Poitiers.
Au vus de mes réponses aux contrôles, elle a demandé à sa mère si elle pouvait aménager son ancienne salle de jeux situé au sous sol de la maison afin d’en faire une salle de punition pour William, qui apparemment n’avait pas réussi la moitié de ses devoirs de vacances. Elle avait énormément pris de son temps à lui expliquer les cours et avait même demandé à sa mère de prendre le relais pendant son absence.
Elle avait même dit à sa mère notre secret à tout les deux. Sa mère n’était pas trop surprise, elle se doutait de quelques choses comme ca, depuis quelle achetait des chaussures à talons et des vêtements sexy de couleurs noires. Sa mère approuva tout ce quelle disait. Elles emménagèrent la salle du sous sol.
Au fond de la salle il y avait un renfoncement de 1 mètre sur 1 mètre 20. Ils y installèrent une grande étagère assez épaisse à une hauteur de 1 mètre et une deuxième à 50 centimètres au dessus de l’autre. Elles y déposèrent deux coussins sur celle-ci afin de pouvoir s’assoir à deux dessus et la grande étagère du dessous servirait de repose pieds pour Chloé et Judith et de bureau pour moi. Pour compléter le tout, elles fixèrent deus anneaux au mur de chaque coté de l’étagère. Pour rendre l’endroit plus intime, elles installèrent deux paravent devant les étagères et installèrent un spot qui éclairé la grande étagère.
Elle avait été très complice pour leur vengeance et moi je ne me doutais de rien.
Le mardi, après son retour de vacances, Chloé me demanda si je pouvais passer la voir à neuf heures et que je resterais pour manger avec elle. Elle voulait me montrer mes erreurs et qu’on les corrige ensemble.
je m’arrêtais à la boulangerie qui se trouvait sur la route, y acheta trois gâteaux et une bouteille de cidre afin de remercier Judith pour leurs devoirs.
A 09 heures précise, je sonnais à la porte de la maison. Chloé vient m’ouvrir la porte. Elle était habillé normalement, un ensemble body jupe bleu ainsi qu’une paire de sandale noire a gros talon de 8 centimètres, ce n’étais plus ma maitresse.
Je lui donnai les gâteaux et je lui dis que c’était pour remercier Judith pour les devoirs. Elle les posa sur la table de la cuisine. Elle sourit et me dit :
-Chloé : moi aussi, j’ai une surprise. Tu vas retirer ta montre et tu vas mettre ce bandeau autour des yeux et je te guiderais dans la maison.
-Je me laissai faire. Elle me prit la main et je la suivi. On descendit des escaliers, on était au sous sol, j’y suis déjà venu plusieurs fois avec la bande. Elle ouvre une porte, je suppose la salle de jeux et me dit de me mettre à genoux et de ne pas bouger jusqu’à son retour.
-au bout de quelques minutes, j’entendis la porte s’ouvrir, ses talons qui faisaient clac, clac, clac sur le carrelage et je senti quelques chose autour du cou, une chainette je pense, et en la tendant, ma tête se rabat sur le bureau et je n’avais pas beaucoup de liberté pour la bouger. J’entendis quelques choses qu’on déplier, puis je pense que Chloé a du monter sur le bureau. Tout à coup, il me semble sentir un peu de chaleur dans le cou et je commencer à voir de la lumière. Elle avait allumé un spot au dessus de moi. Je me demandais ce que Chloé me préparait.
- le calme régnait dans la pièce, je n’aimais pas trop ca. Puis on me retira le bandeau des yeux et la…Croyait moi, je me suis retrouvé devant une paire de bottes noire brillante à talons fins de 11 centimètres. Ouah, la vue des bottes étaient magnifique. Je voulais lever un peu la tête pour savoir si c’était des bottes ou des cuissardes mais j’entendis une voie me dire :
-Judith : on garde la tête baissé esclave, tu attends mes ordres et je ne les redirais pas une seconde fois.
-Je sentis qu’on m’appuyer sur ma tête par derrières et on me la place sur la table.
-Ce n’était pas la voix de Chloé, et je me demandais qui se trouvais devant moi et je pense que c’est Chloé qui est derrières moi. Je ne les pas entendu rentrer ou marcher dans la salle. On me dit :
-Judith : Admire mes cuissardes, regarde les biens.
-Elles se trouvaient à dix centimètres de mes yeux. J’admirer ses cuissardes et je sentais mon sexe se durcir dans mon pantalon. Il me semblait reconnaitre la voie de Judith. J’avais honte de me trouver à genoux devant cette belle femme. Elle devait avoir entre 40 et 45 ans. Elle était très charmante et toujours bien habillé. Tout ce qui ce dit par la suite était exclusivement en anglais. La voie me dit :
-Judith : Alors, comme ça on n’apprend pas ses leçons, on se permet de ne pas tenir comptes des consignes et des remarques. ..On répond « oui maitresse »
-Moi : timidement le lui répondis, heu, si.
Une paire de gifle magistrale s’abatis sur mes joues.
-Judith : On dit « oui maitresse »
-Moi : Oui maitresse
-Judith : Tu n’est qu’un menteur, un bon à rien, lève la tête et regarde moi.
-Je levis doucement la tête, mon cou était attaché par une chainette et elle était accroché à sur les deux murs. Mon regard longea les cuissardes à talon fin de 11 centimètres, les quelques centimètres de ses bas noir avec une couture au dos (on apercevait les jarretelles), la mini jupe en cuir noir ajourée sur les cuisses, et pour terminer un corset cuir noir. Je remontais encore un peu et je découvrir son beau visage avec de beaux yeux bleu qui me fusiller du regard, on lisait sur son visage une expression de haine. Elle avait des cheveux châtain foncé et sur la tête une casquette en cuir. Je me trouvais bien devant Judith la mère de Chloé.
-Une vraie tenue de dominatrice avec tout ce qui faut à l’intérieur. Son corset de cuir laissait apparaitre une poitrine généreuse.
-Je sentais mon zizi au bord de l’explosion et j’essayais de le maitriser.
-Je n’avais jamais vu une dominatrice avant Judith. Jamais je n’aurais pensé à elle
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