Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 4 la punition

- Par l'auteur HDS Pascalou -
Récit érotique écrit par Pascalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 4 la punition Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 4 la punition
Judith continua à me parler en anglais, je ne comprenais pas tout mais dans l’ensemble j’étais capable de me le traduire en français.
Judith regarda devant moi mes copies, et elle me dit :

-Judith: Je t’ai posé soixante questions sur tes courts que tu as étudiés en classe et revue avec Chloé. Il y a douze erreurs et quatre sans réponse, soit seize sur soixante.
Ca fait beaucoup, surtout que tu avais largement le temps pour répondre, tu avais les cours chez toi et tu pouvais les revoir avant d’y répondre. Qu’as-tu à dire pour ta défense.
Rien maitresse, je n’ai pas d’excuse.

Judith : Bien, je te remercie de ta franchise et j’y tiendrais compte pour ton châtiment.
Je me demandais qu’est-ce qui va m’arriver.

-Judith : Tu vas recevoir une punition d’une dominatrice anglaise, je te promets que tu vas t’en souvenir. Pour commencer, tu vas me lécher les cuissardes du talon jusqu’en haut, je ne veux plus voir un seul brin de poussière dessus y compris sur la semelle. Tu mettras les talons dans ta bouche et tu les suceras lentement comme si tu voulais les téter.
Je commandais mon léchage de cuissardes par les talons que j’enfoncés dans la bouche. Puis les semelles qui étaient sales, elle avait du aller dans le jardin avant et entre le talon et la semelle, il y avait un peu de terre et de l’herbe. Les talons étaient impressionnants. Pour finir, il fallait que lèche les cuissardes jusqu’en haut soit sur une hauteur de soixante centimètre environ. A la fin j’avais la langue un peu râpeuse.

-Judith : Je voie que tu y prends gout, maintenant tu vas me retirer mes cuissardes le plus doucement possibles et les poser sur l’étagère. Tu vas sentir mes bas et tu vas les baisés jusqu’au genou. Tu sens cette bonne odeur hein, je les ai porté samedi soir pour danser, c’est bon n’est-ce pas !
J’étais tellement fasciné et impressionné par Judith que j’en ai oublié de lui répondre.
Je reçu deux paires de gifles et elle me dit :

-Judith : La prochaine fois que tu ne me répons pas, je double les gifles et ainsi de suite.
Oui maitresse.
Je sentais ses bas, ils avaient une odeur de pieds et de transpiration, et je lui baisais les pieds jusqu’aux genoux.

-Judith : Ca suffit pour l’instant. Maintenant je vais te dire ta punition.
Tu m’écriras 20 fois les réponses aux questions dont tu n’as pas été capable de répondre correctement, en anglais et en français bien sur, et comme je suis bonne en calcul mental, je vais te dire que tu vas écrire 640 lignes et je t’assure qu’après ça, tu te souviendras des réponses pendant plusieurs années.
Mais c’est n’importe quoi, six cent quarante lignes, ça fait trente deux copie.
Elle me regarda sévèrement. Elle descend de l’étagère. Elle m’attrape les cheveux, les tirent en arrière et me donna quatre bonne paires de gifles. J’avais les joues en feu et je sentis une larme au coin de l’œil. Elle me dit :

-Judith : On ne contredit pas sa maitresse, on dit oui maitresse. La prochaine fois ce sera huit paires de gifles.
-Oui maitresse.
-Je vis Chloé s’approcher de l’étagère, elle y déposa un paquet de feuille ainsi qu’un stylo. J’étais toujours attaché par le cou et à genoux devant cette étagère qui faisait office de bureau. Judith me dit :

-Judith : Je te libèrerais uniquement quand tu auras fini ta punition. N’oublie pas de numéro les lignes de un à six cent quarante. Il est 10 heures 50. Tu as une bonne partie de la journée devant toi. A mon avis tu vas en avoir jusqu'à 16 ou 17 heures. Je t’avais dit que tu allais recevoir une punition exemplaire qu’un professeur d’anglais doit donner à un élève qui ne fait rien de ce qu’on lui demande. Ne t’inquiète pas pour ton repas du midi, il fait partis lui aussi de la punition. Tu auras le menu spécial Judith et Chloé.
Et elles se mettent à rigoler toutes les deux. Une vraie complicité mère/fille.
Je ne savais pas l’heure qu’il était car je n’avais plus ma montre et n’avais aucun repère car il y avait aucune fenêtre dans la pièce. J’avais écrit trois cent quatre vingt huit lignes et je commencé à avoir faim et surtout soif. J’avais encore le gout des bas odorant de Judith.

J’avais une grosse envie d’aller aux toilettes depuis longtemps mais j’étais seul dans cette pièce depuis un bon moment.
-J’entendis la porte s’ouvrir et le bruit des talons qui avançaient vers moi .Je n’étais pas au bout de mes surprises. Judith et Chloé se positionnent de chaque coté de moi. Elle s était changé toute les deux. Judith était vêtue d’une robe légère bleue ultra courte, des bas résilles et portait des bottes à lacets très sales et pleine de poussières avec talon de 6 centimètres. Elle était très sexy avec sa robe.
Chloé avait mis un tee-shirt rouge, une mini jupe imitation léopard et des mini bas qui avait bien vécu avec plusieurs auréoles et filés à plusieurs endroit, ainsi qu’une paire de sandale à talon de 6 centimètre qui devait avoir plusieurs fais des centaines de kilomètres vu leur état.
Je les regarde l’une après l’autre et je leurs demande la permission d’aller aux toilettes. Judith me dit :

-Judith : il est hors de question que tu sortes de cette pièce avant la fin de ta punition.
Chloé alla chercher une grande bouteille vide et elle me dit :

-Chloé : tu vas pisser dedans et tu la reboucheras ensuite. Tu la poseras sur l’étagère et j’irai la jeter. Attention je ne veux pas voir de gouttes de pipi sur le sol sinon tu le lècheras.
-Elles avaient tout prévu, Judith desserre un peu la chaine afin de pouvoir faire pipi et me laisse seul pendant environ 5 minutes afin de vider ma vessie. J’essayais de lever légèrement les genoux car il me faisait mal. Je pensais pouvoir aller aux toilettes et me dégourdir les jambes, mais elles avaient tout prévu. Elles avaient bien préparé leur domination, avaient aménagé spécialement cette pièce pour ma punition.

La porte s’ouvris, le bruit des talons sur le carrelage et Judith resserre la chaine et monte sur l’étagère et s’assois sur les coussins. Je regardais les bottes de très près et elles étaient vraiment sales. Chloé déposa une assiette sur l’étagère et Judith mis ses pieds dessus. Chloé me regarde et me dit :

-Chloé : Il est midi 30, tu vas arrêter ta punition et passer à table. Tu auras droit au menu spécial de l’élève puni. Regarde ton assiette, c’est l’entrée, Admire ses bottes à lacets, comme est sont belles et très sales, ha ha ha, regarde les semelles et les talons, Ce n’est pas très joli hein, on voit bien l’usure hein, et tu va voir l’intérieur, pleine de traces de transpiration accumulée depuis des années. Tu as de la chance, c’est les bottes préférées de ma mère, je les ai toujours vu depuis que je suis toute petite, elles ont au moins 10 ans et elle les a souvent porté. Ma mère voulait les jeter depuis longtemps, mais elle attendait une occasion pour les mettre une dernière fois. Tu seras le dernier privilégié à pouvoir les admirer. Tu vas les lécher entièrement et je veux quelle brille après le passage de ta langue. Je ne veux plus voir ne serait-ce qu’une petite poussière sur les bottes sinon tu recommence tout. Tu m’as bien compris ?
Oui maitresse.

-Je commence mon léchage par la semelle, c’est l’endroit le plus dégoutant et le talon il est vraiment sale avec un reste de terre collé et poussiéreux. Ma langue devient vite râpeuse. Je termine par le dessus de la botte et je remonte jusqu’en haut en passant bien ma langue sous les lacets. Une fois terminé, je passe à l’autre botte. Je n’avais aucune idée du temps que j’avais mis pour les lécher. J’avais très soif et je leurs dit.

-Judith : Tu va bientôt boire mais avant tu vas me retirer mes bottes très doucement et tu vas bien regarder à l’intérieur et tu vas les sentir.
J’ouvre la fermeture éclair et la descend, je lui retire sa botte doucement, je regarde à l’intérieur la semelle toute jauni par la transpiration et je la sens, quelle odeur, ça sent le cochon. Je fis de même avec l’autre botte. Une fois terminé, Chloé remonte la fermeture éclair d’une botte, verse de l’eau à l’intérieur et me dit en rigolant:

-Chloé : Monsieur est servi, boit maintenant.
J’avait tellement soif que je prends la botte, la porte à ma bouche et boit d’un seul trait le contenu. L’eau n’avait pas eu le temps de s’imprégner du gout de la semelle. Je pose la botte sur l’étagère. Chloé prend alors la 2ème botte et y verse de l’eau et me dit que c’est pour plus tard quand elle aura bien infusé, tu vas gouter les bonnes odeurs de pieds de ma mère et elles se mettent à rigoler toutes les 2.

-Judith : Après l’entrée, voici le plat de résistance. Tu as me lécher les pieds avec mes bas résilles, je les ai porté tous le week-end rien que pour ton plaisir de les dégustés, mais avant je veux que tu les sentes, je veux t’entendre respirer fort afin que tu profite un maximum de la bonne odeur des pieds de ta maitresse.
Je commence à sentir les pieds quand une odeur aigre me monte au nez, je recule légèrement la tête et elle en profite pour me forcé à ouvrir la bouche et y mettre ses 2 pieds dedans. Quel gout atroce, je sens comme un gout de vomi m’envahir tellement le gout est très fort. Elle s’amusait avec ses pieds dans ma bouche, elle les rentrait et sortait en allant toujours plus profond dans ma gorge. Elle s’arrêta et je me mis alors à les sentir et à les lécher.

-Chloé : Maintenant que tu as fini le plat de résistance, tu vas boire cette bonne infusion pour te rincer la bouche.
Elle prit la botte et m’ordonna de tout boire. Elle avait pris le gout aigre de la transpiration et elle sentait mauvais. Je bus tout car je voulais retirer le gout de ses pieds dans ma bouche. Judith descendit de l’étagère et c’est Chloé qui la remplaça. Elle posa une assiette avec un gâteau que j’avais apporté ce matin. Elle l’écrasa avec ses sandales et me dit :

-Chloé : Et pour finir le bon repas, voila ton dessert. Tu va manger le gâteau avec mes chaussures, lèche bien les semelles, tu devrais avoir le gout du gâteau mais aussi celui de mes vielles semelles sales, prend le temps de bien dégustant car après les semelles, tu me retireras mes sandales, tu lècheras les belles traces de sueur sur la semelle intérieure, et tu finiras le gâteau en te servant de mes sandales comme cuillère.
Je lèche bien les semelles, défait les sandales et mange le gâteau. Une fois terminé, elle retire ses mi bas, les mets sous mon nez et me demande de respirer fort, elle est enroule très fin et me les coincent dans les trous de nez afin de bien les respirer, elle me tient la bouche fermé. Son odeur de pieds est forte, j’essaye de bouger la tête mais elle me la tient fermement avec ses mains.
-Le calvaire du repas prit fin. Quelle horreur, je ne savais pas combien de temps cela avait duré, ma langue était très râpeuse et me faisait mal. J’étais toujours à genoux, plus de notion de temps, mon dos me faisait mal et je sentais plus mes pieds tellement j’avais mal aux articulations. Chloé descendis de l’étagère et me remis devant moi les feuilles et le stylo afin que je termine ma punition. Elles sortirent de la pièce et me revoilà seul à mon triste sort.

-De temps en tant, Judith venait voir ou j’en étais dans ma punition, puis elle resta dans la pièce quand elle vit que j’étais à la ligne 634 sur 640. Elle resta à coté de moi pour la 640ème et dernière ligne de ma punition. J’avais 2 ampoules aux doigts à force de tenir le stylo. Judith regarda toute les pages que je venais d’écrire. Elle me regarde et souris. Elle vit ma souffrance et ma fatigue dans mon regard. J’étais à bout de force, je ne savais pas quelle heure il était.
Elle va fermer la porte à clef et elle me dit de rester encore un peu à genoux, me détache la chaine, me la retire du cou. Elle enlève les 2 étagères et les poses sur le sol. Elle prend une chaise et la pose devant moi. Tout en croisant et décroisant les jambes elle me regarde droit dans les yeux et me dit quelle est satisfaite de ma punition et que j’en garderais un souvenir pendant des années.
Malgré mes douleurs, mon regard n’avais cessé d’admirer ses jambes pendant quelle regardait mes lignes. Elle était très sexy et elle m’avait beaucoup excité quand elle croisées et décroisés ses jambes. Elle avait retiré ses bas résilles et ses bottes à lacets, en échange, elle avait mis des escarpins rouges à talon de 12 centimètres et s’amusait aussi à les balancer légèrement et à les laisser tombés 2fois.
-Elle avait fait express de jouer avec ses jambes, ses pieds et ses escarpins à talon car elle se doutait que ça allait m’excité. Elle me dit :

-Judith : D’après toi, pourquoi j’ai fermé la porte à clef ?
je ne sais pas Maitresse
Elle se leva, s’approcha de moi, je bandais au maximum tellement elle m’avait envoutée avec sa tenue sexy, ses superbes jambes, et ses jeux de pieds. Je ne ressentais plus la douleur pour l’instant. C’était la 1ère fois que je me retrouvais seul enfermé dans une pièce avec une charmante femme très sexy et avec une allure de maitresse. Mon état d’excitation était au maximum, je n’avais jamais ressenti cet état auparavant. Je ne savais plus quoi penser d’elle. Je l’avais souvent vu chez Chloé ou croisé dans la rue, mais jamais je n’aurais imaginé la voir dans ce rôle quelle avait aujourd’hui. C’était une femme très élégante, souriante, et toujours avec de belles tenues vestimentaires.
-Elle me regarde dans les yeux et souris, en même temps elle descend mon pantalon, constate dans quelle état j’étais, mon sexe dépassé du slip tellement il était long et gros, j’étais au porte de la jouissance. Elle me dit :

-Judith : Tu es un bon valet de pieds, je viens de le constater et Chloé m’avait dit que tu étais en adoration devant ses pieds. Tu as bien travaillé aujourd’hui, il est 17heures 30 et tu es resté 8 heures 30 à genoux à exécuter nos ordres et nos désirs. Tu es la 1èreet tu resteras la seule personne a m’avoir eu comme maitresse dominatrice. Ce sera la seule et unique fois que je tiendrais se rôle ; je les fais pour Chloé afin de combler sa soif de vengeance envers toi. Je n’étais pas à l’aise en te donnant des ordres, des gifles, en t’obligeant à lécher mes bottes sales, mes bas, mes pieds. Cela a été difficile pour moi de porter plusieurs jours des bas et des chaussures pour qu’elle s’imprègne bien de l’odeur de mes pieds. J’ai constaté aussi que tu prenais du plaisir à effectué certaines punitions. Cette journée va se terminer pour nous mais avant je veux te laisser un autre souvenir.

Elle s’appuya au dos de la chaise, elle lève ses pieds et les posent de chaque coté de mon sexe en érection, elle fait un va et viens avec ses pieds sur mon sexe, je ne peux résister longtemps à ce bonheur inespéré, j’explose et je jouis sur ses pieds mais elle ne s’arrête pas de suite et continu un peu. Je soupire fort, je suis au paradis. Je n’ai jamais connu une telle jouissance. Une fois terminé, elle regarde ses pieds plein de sperme et je vois quelle aussi a pris du plaisir à me faire jouir avec ses pieds.

Elle prend des mouchoirs en papier, m’en donne pour que je m’essuie et en fait de même sur se pieds. Une fois terminé, elle remet ses escarpins, et avant d’aller ouvrir la porte me dit :
-Judith : Tout ce qui c’est passé aujourd’hui doit rester secret, nous sommes tous les 3 garant de ce secret. De toute façon, qui pourrait te croire si tu disais qu’on t’avait enfermé et fait subir les pires humiliations. Tout le monde nous connait et même toi tu n’aurais jamais crut cela possible. Une dernière chose, Chloé ne doit jamais savoir ce que je viens de te faire, c’était notre plaisir à tout les 2, j’en avais très envie après t’avoir fait souffrir et je n’aurais jamais pensé à faire jouir un homme avec mes pieds. Tu peux remonter ton pantalon et te lever si tu le peux, après on ira à la cuisine pour gouter aux bonnes gaufres que Chloé à préparer.
Je remonte mon pantalon et j’essaye de me lever. Impossible seul après 8heures 30 à genoux, mes articulations étaient bloquées. Judith appelle Chloé pour m’aider à me relever. Elle me porte jusqu’au fauteuil de la salle, elle m’apporte sur un plateau un chocolat chaud avec 2 gaufres, de la chantilly et de la confiture. Pendant que je dévore car j’avais une faim de loup, Judith va chercher une pommade quelle me passe sur mes genoux longuement afin quelle pénètre en profondeur. Je ressens les effets de la pommade une trentaine de minutes après. En rigolant, Chloé me dit :

-Chloé : Maintenant, c’est nous qui sommes à tes petits soins, à te chouchouter comme un enfant.
A la fin de sa phrase, elle me prend le plateau que j’avais dévoré et me fait une bise sur la joue et me dit que je l’ai bien mérité.
Elles ne pensaient pas que ca aurait duré si longtemps mais comme elle m’avait prévenu de ce châtiment et de cette punitions de 640 lignes, elle ne pouvait plus faire marche arrière car elles n’avaient qu’une seule parole et elles respectaient ce quelles disaient.
Au bout d’une heure, mes genoux allaient mieux, j’avais moins mal, j’avais bien gouté et je ne leur en voulais pas trop de m’avoir fait souffrir à ce point car j’avais aussi connu des plaisirs que je ne soupçonnais pas.

A 18heures30, après avoir passé 9h30 chez eux, j’étais un peu fatigué d’être rester longtemps dans une position pas très confortable, je me levais du fauteuil et je dis « au revoir » à Chloé, je m’avance dans le couloir pour dire au revoir à Judith. Elle s’était changé avant que son mari rentre du travail, elle me donna une boite en carton en me disant que je devais l’ouvrir uniquement quand je serais seul dans ma chambre, elle me regarda et me déposa un long bisou sur la bouche. Je rougis. Elle m’ouvrit la porte et je rentrais chez moi, ému d’avoir eu un bisou sur la bouche, c’était le 1er.
En rentrant chez moi vers 19heures, mes parents n’étaient pas encore rentrés. Je monte dans ma chambre, j’ouvre la boite et la, surprise. Elle contenait ses vieilles bottes à lacets, ses bas résilles, les sandales et les mi bas de Chloé. J’étais aux anges, mes instruments de supplice et de plaisir étaient la dans ma chambre. C’était comme si j’avais gagné un trophée. J’ai bien rangés la boite afin que mes parents ne la voient pas et je les gardais de nombreuses années en souvenir de ce jour mémorable.

Il m’arriva plusieurs fois de les croiser dans la rue ou de rendre visite à Chloé, elle faisait comme si rien ne s’était passé entre nous et moi aussi. Mon dernier souvenir d’elle avant de reprendre les cours, c’était de l’admirer dans son salon lorsque elle regardé la télé bien assise dans son fauteuil avec une belle vue sur ses magnifiques jambes.

C’est ainsi que se termina mes vacances.

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