Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 6 - histoire érotique

Les 3années en fac passèrent assez rapidement car j’étais souvent aux pieds d’Isabelle et un soir, elle me demanda que je me vienne la retrouver discrètement dans sa chambre après 21heures
Vers 21heures, je frappais doucement à sa porte, elle m’ouvrit. Elle était en robe violette assez courte et avait mis ses bottes noires à talon de 6 centimètres. Elle me demanda de me mettre nu et à genoux devant ses bottes.

Elle les portait depuis plus d’un mois et elle était assez sale. Elle me dit :
-Isabelle : Tu vas me nettoyer mes bottes avec ta langue, je veux les voir briller et je ne veux plus voir aucune trace de saleté dans les rayures de mes semelles. Ensuite tu me les retireras et tu me sentiras mes bonnes chaussettes que j’ai mis toute la semaine rien que pour toi et voir ta tête quand tu les mettras dans ta bouche et que tu auras bien ce gout de rance et de transpiration des pieds. Je veux un travail soigné sinon tu recommence, on a toute la nuit si il le faut.

J’ai passais presqu’une heure à lécher ses bottes, elles étaient vraiment sale. Puis j’ai retirais ses chaussettes et je les ai sentis. Quelle odeur, ca puer des pieds, c’était comme une odeur de camembert. Ensuite j’ai pris mon courage à 2 mains et je les ai mis dans la bouche. Bah, quel gout atroce de transpiration et de rassie. Ca m’écœurait. Elle était satisfaite de mon travail et me laissa libre d’aller me coucher.

Je voyais aussi de temps en temps et discrètement Claudine chez elle. Notre relation était comme prof /élève ou disons plutôt dominante /dominé. Nous nous étions mis d’accord sur notre relation. Elle devait s’habiller toujours en lingerie sexy avec des chaussures ou des bottes à talons, elle me donner des ordres et moi je devais les exécuter sans aucun commentaires. J’avais fixé mes limites à afin de ne pas déborder trop sur la souffrance que je pourrais ressentir. A chaque visite à son domicile, je devais inventer une bêtise faite et elle était la pour me corriger avec ses pieds.

-J’adorer notre relation, elle était très satisfaite de moi, j’exécutais tout ses ordres avec un grand plaisir et souvent je me rendais compte en la regardant, quelle aussi avait autant de plaisir que moi. Elle aimait me dominer avec ses pieds ou ses chaussures à talons. Nous n’avons jamais franchie le cap de coucher ensemble. Notre relation était purement sur une domination fétichiste, jamais de bisou sur la bouche ou de toucher avec les mains. Une fois elle a fait une exception à la relation que nous avions convenu entre nous.

Je me rendis chez elle un matin vers 11heures, elle m’accueillait en robe courte bleu strié rouge et avait des escarpins rouges avec des talons de 10 centimètres. Elle me fit entrait dans la salle à manger et je vis qu’elle avait invité une autre femme. Elle me présenta sa voisine Angélique. Elle était habillé en robe courte noire avec des escarpins noir à bouts ouvert et avec des talons de 10 centimètres .Elle me dit que sa voisine lui avait dit un jour quelle adorait qu’on s’occupe de ses jolis pieds et quelle savait être très reconnaissante avec les hommes qui étaient en admiration devant ses pieds et qui savait lui procurer du plaisir rien qu’en léchant ses pieds.

-La vue de ses 2 paires d’escarpins me fascinait. Je ne m’étais jamais occuper de femmes à la fois. Claudine me dit :
-Claudine : Aujourd’hui, c’est un peu particulier, Angélique est triste et je me suis dit que la seule chose qui pourrait lui rendre son sourire était de lui faire plaisir. Elle m’avait dit quelle adorer avoir des hommes à ses pieds et qu’ils les lui lèchent. J’ai pensé que cela devrait te plaire de nous avoir toutes les 2 et que tu serais content de t’occuper de nos 4 pieds. Qu’en penses-tu ?

Je regardais les pieds d’Angélique, ils étaient superbes et j’adorais ses escarpins qui laissaient entrevoir ses jolis orteils. Je lui dis « oui maitresse », je ne sais pas pourquoi j’ai dit le mot maitresse, mais je pense que la vue des 4 escarpins me perturbait.
-Claudine : Très bien, nous allons bien nous entendre tout les 3. Nous serons tes maitresses comme tu nous as dit et toi tu seras notre valet de pieds. En tant que tel, tu devras répondre oui maitresse à chaque ordre qu’on te dira. Ta place sera sous la table et interdiction d’en sortir sans notre ordre. Pendant notre repas, tu lécheras nos escarpins, tu commenceras par ceux d’Angélique, quand tu auras fini les 4, tu nous demanderas la permission pour qu’on croisse les jambes et tu lécheras nos semelles et nos talons. Idem pour l’autre pied. Ensuite, tu devras une nouvelle fois nous demander la permission pour retirer nos escarpins et bien nous lécher les pieds, et encore plus que d’habitude ceux d’Angélique. Je veux quelle prenne du plaisir et pourquoi pas la faire jouir, c’est bien compris valet de pieds ?
Je lui répondis oui maitresse.

Je me mettais à 4 pattes et je suis allé sous la table entre les pieds d’Angélique et de Claudine. J’ai commencé par lécher les escarpins noirs d’Angélique comme convenu, j’en profitais aussi pour passer ma langue sur ses jolis orteils qui dépassaient de ses chaussures. Je me retournais et j’en faisais autant avec les escarpins rouge de Claudine. A la fin, je leur ai demandé de croiser leurs jambes afin de lécher leurs semelles toujours en commençant par Angélique puis Claudine. Pendant tous ce temps, elles discutaient et avait commencés à prendre leur repas. J’entendais de temps en temps Angélique dire à Claudine quelle adorait le léchage de ses escarpins et quelle avait aimait ma langue sur le bout de ses orteils.

Je leur demandais une autre permission pour leur retirer leurs escarpins. Je me plaçais devant les escarpins noirs d’Angélique, je lui soulevais la jambe très doucement et je lui retirais son 1er escarpin très délicatement et très doucement afin de découvrir petit à petit ses jolis pieds. J’ai commençais par lui lécher les orteils, ils étaient vernis rouge vif, je les prenais un par un et les sucer plusieurs fois puis je passais ma langue entre ses orteils. C’était un vrai régal, ils sentaient bon, je continuais par la plante des pieds et je terminais par le talon. Je l’entendais quelques fois gémir et accentuer son pied pour qu’il soit plus près de ma langue. Puis passage au 2ème pied avec la même délicatesse et le même léchage. Elle gémissait de plus en plus, je l’entendais dire à Claudine que je l’excitais trop, c’était trop bon, elle ne pouvait plus rien avaler car elle voulait profiter au maximum de son plaisir.

Je suis resté presqu’une heure à lécher ses jolis pieds, je n’ai jamais fait de léchage de pieds aussi long, mais ses pieds me fascinais tellement que j’ai demandais à Claudine si c’était possible de recommencer à lécher les pieds d’Angélique après m’être occuper des siens. Elle était d’accord car elle avait vu Angélique se tortiller de plaisir sur sa chaise mais il ne fallait que je bâcle son léchage de pieds. A son tour maintenant de profiter de ma langue. Elle subit le même traitement de pieds qu’Angélique et elle aussi pousser des soupirs de plaisir. Dès la fin de son léchage, je me remis donc vers Angélique et je recommencer la même prestation que tout à l’heure. L’émotion était devenue trop forte pour elle, elle glissa sa main sous sa robe noire et de ma position, quelle avait baissé son jolis string noir et se caressera l’entre jambe. Elle gémissait de plus en plus et je l’entendis jouir.

Elle recula sa chaise et me pris par la tête, puis me la plaça devant son sexe tout mouillé et me demanda de lui lécher sa cyprine. Ha que c’était bon, je remontais bien ma langue jusqu’au clitoris et de redescendais le maximum possible dans cette position. Elle se tortillait de plus en plus sous les pressions de ma langue et je sentais couler encore un peu de cyprine, je découvris un nouveau plaisir très gustatif.

-Claudine était ravie de ma prestation faite à Angélique, elle ne l’avait jamais vu prendre autant de plaisir. Elle me dit plus tard, pendant qu’Angélique allait aux toilettes, quelle avait été un peu frustrée de voir son amie très excitée car j’avais passé beaucoup plus de temps avec les pieds d’Angélique qu’avec les siens, mais elle me l’avait demandais depuis le début.
-Je me suis à table avec eux, il devait être vers 15heures. J’avais passé presque 4 heures sous la table aux pieds de ses dames