Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 7

- Par l'auteur HDS Pascalou -
Récit érotique écrit par Pascalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 7 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
Tags : Pieds
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Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 7
Je rentrais un week-end sur deux seulement à La Souterraine. Je profitais des beaux jours pour sortir, me distraire, aller au cinéma et boire quelques verres au bar.
J’avais envie de passer un week-end chez Séverine qui était seule ces jours la. Elle était une fanatique des bottes. Elle en possédait plusieurs paires, il était d'ailleurs assez rare de ne pas la voir bottée. Non seulement elle possédait une collection magnifique, avec des bottes de toutes sortes, allant de la botte cavalière à la divine cuissarde à talon, mais c'était sa manière de les porter qui me faisait fantasmer. En effet, belle femme au regard dur, un air de dominatrice et un ton pète sec qui faisait froid dans le dos quand elle vous criez dessus, elle avait le corps d'une déesse. Elle avait des formes que beaucoup de femmes pouvaient lui envier, ses jambes étaient fermes et musclées ainsi que ses fesses.

Je me rendis un vendredi soir chez elle. Elle n’était pas encore rentrée de son travail. 3O minutes plus tard, je la voie arriver fatiguée de sa semaine. Elle me fit rentrer chez elle. Elle me dit :
Séverine : Dure journée, je suis fatiguée.je crois que je vais enlever mes bottes car je n'en peux plus.
Elle était vêtue d'un pull noir, d’une jupe noire ainsi que des superbes cuissardes à talons fins de 15 centimètres qui lui arrivaient à mi cuisse, ce qui ne me laissait pas indifférent. Elle me dit :
Séverine : je crois que toute seule je vais avoir du mal à les enlever, aides-moi, s’il te plait.
Elle retire son pull et sa jupe et je la voie en body noir en cuir avec des bas, elle leva sa jambe vers moi, me présentant sa divine botte. C'était magique. J’attrapais sa jambe, posa délicatement mes mains sur son mollet botté, voulant savourer cet instant au maximum, puis je tirais la botte vers moi. En forçant un peu ma tante pu extraire son pied. Soudain, elle me lança un terrible regard noir et me dit :
Séverine : Regarde ta braguette,
Je baissais mon regard, et là ce fut le drame. Le problème c'est que la braguette de mon jeans n'a que deux boutons et est assez large, ainsi il arrive souvent par mégarde, que mon pénis dépasse du slip, mais très rarement car je fais toujours attention. Mais ce jour-là non seulement mon pénis dépasse du slip et en plus j'étais en érection. Rien qu’a regarder ses cuissardes et à lui retirer de ses pieds et ainsi pu voir ses jolis pieds avec ses jolis ongles vernis noir à travers des bas à coutures au dos. Elle me dit :
Séverine : Ce sont mes bottes qui te font autant d'effet ?
Je lui dis d'une voix gênée, que je suis vraiment désolé, je m’excuse. Elle prit son air sévère et me dit e haussant le ton :
Séverine : Ferme-là, je n'en veux pas de tes excuses.
Je commençais à paniquer et je lui dis, s'il te plaît, je ferais n'importe quoi pour me faire pardonner mais pitié, ne dit rien.
Elle eu soudain un sourire narquois et me dit :
Séverine : Très bien, il y a peut-être un moyen que je garde le silence. Tout d'abord, remet moi ma botte.
Elle tendit son pied droit et je m'empressais de la lui remettre.

Elle éclata d'un rire sadique. Elle me dit de l’attendre à genoux dans l’entrée. Elle partit dans sa chambre se changer. Elle revient vers moi et elle avait mis une robe corset en cuir noir ultra courte et avais remis ses cuissardes. Houa, une vrai dominatrice. Elle me dit :
Séverine : Alors comme ça elle te plaise mes bottes. Et bien tu sais quoi, tu vas les lécher, lèches mes bottes esclave, ça fait longtemps que je n'avais pas eu un larbin, je vais bien m'amuser avec toi.
Je ne savais plus quoi penser, le fait de lui lécher ses cuissardes, d'être à son service, c'était quelque part la réalisation de mes fantasmes, et je dois dire que j'étais aux anges. J’avais souvent envie de lui lécher ses bottes quand elle venait à la maison et j’adorais son air sévère.
J’allais commencer à passais ma langue sur ses magnifiques cuissardes à talon de 15 centimètre, avec le plus de ferveur possible lorsqu’elle me dit :
Séverine : J'allais oubliais, dit-elle en me toisant du regard, un esclave, c'est nu. Je ne t'autorise pas à porter des vêtements. Enlève-moi tout ses habits.
Je me déshabillais devant elle et lorsque je suis nu, elle me passe une laisse d’esclave autour de mon cou. L'excitation montait encore plus, je bandais comme jamais. Je me trouvais pour la 1ère fois nu devant une femme dominatrice. Elle me dit :
Séverine : Bien, voyons voir un peu ça, pour commencer tu vas t’allonger sur le dos et tu vas satisfaire tous mes plaisir, est-ce clair, dit-elle sèchement.
Je répondis Oui maîtresse Séverine, tout ce que vous voulez maîtresse Séverine.
Cuissardes noires à talon de 15 centimètres de maitresse Séverine

Elle soupesa mes testicules du bout de sa cuissarde et me dit de mettre mes mains dans le dos. Je fis comme elle me demanda, puis elle posa son pied botté juste devant ma bouche et appuya un peu fort pour me faire comprendre quelle était la maitresse et que je devais lui obéir sous peine de souffrance. Elle tira sur la laisse et me dit :
Séverine : Esclave! Je t'ordonne de lécher mes cuissardes et entièrement, je veux voir constamment ta langue collée à ma cuissarde et prend bien soin de me nettoyer mes semelles et mes talons, ils sont sale après avoir marché toute la journée. Je veux les voir aussi propre que quand elles étaient neuve, est-ce clair esclave.
Je répondis oui maitresse Séverine. Je commençais par les semelles, elle était sale mais je commençais à avoir de l’expérience et je savais comment m’y prendre pour les rendre bien propre. Puis au tour des talons et enfin les longues tiges de ses cuissardes qui lui arrivaient à mi cuisse.

Séverine : Bien, maintenant je t'ordonne de faire l'amour à mes cuissardes.
Je lui répondis que je ne comprenais pas ce quelle entendait par faire l'amour à mes cuissardes, elle me dit :
Séverine : Je veux que tu baise ses cuissardes comme si elle était une maîtresse que tu devais satisfaire, met ton zizi entre mes cuissardes et frottes-toi avec.
Je mis mon zizi entre ses cuissardes, et je donnais des mouvements de bassins afin que mon pénis frotte contre ses cuissardes, tout cela sans utiliser mes mains. C'était un pur bonheur, j'étais au pied de ma tante, nu, à me masturber avec ses cuissardes, et tout cela sous son regard méprisant. J'étais d'ailleurs tellement excité qu'il ne me fallut pas beaucoup de temps avant d'en arriver au bout. Je lui dis, ho maîtresse Séverine je sens que je vais jouir, et je déversais mon sperme blanc sur ses cuissardes noire. Je ne pouvais plus me retenir. Elle me donna 2 belles paires de gifles bien cinglantes et mes joues étaient en feu et elle me dit :
Séverine : Je ne t’ai pas donné l’autorisation de jouir sur mes cuissarde, je vais te faire comprendre une fois pour toute, ce qui t’attend lorsque tu prends une décision sans mon aval.
Elle me demanda de lécher mon propre sperme sur ses cuissardes y compris les gouttes sur le sol. Puis je devais me mettre à genou devant elle, mettre les mains derrière le dos, la regarder droit dans les yeux, elle avait son regard de dominatrice très sévère et un air narquois. Elle leva sa cuissarde droite et me flanqua un bon coup de pied dans les couilles. Haaaa, une douleur atroce, elle avait bien visé, en plein dans le mille. J’allais me courber sous la douleur mais elle me tira fort sur la laisse afin que je reste droit et me donna un 2ème coup de pieds avec sa cuissarde gauche encore plus fort que la droite. J’avais tellement mal que j’ai poussé un cri de douleur. Je me suis allongé sur le sol et me tortiller dans tous les sens. Je voyais quelle riait de me voir me tortiller comme ca sous la douleur. J’avais bien compris la leçon et jamais plus je ne le referais. Elle me dit :
Séverine : Que cela te serve de leçon, je te garantis que tu vas t’en souvenir, tu dois bien souffrir, mais je n’ai pas encre fini ave toi, tu es l'esclave de mes cuissardes, et je tiens à ce que mes petits plaisirs continuent .Maintenant que tu as gouté à la puissance des mes coups de pieds, tu va ensuite tester la force de mes jambes. Ouvre la bouche.

Je restais allongé, encore tout endolorie par ces coup de pieds dans les couilles, elle introduit le bout de ses cuissardes dans ma bouche et appuya de toute ses forces afin quelle y rentre au maximum. J’avais très mal, la pression était forte et j’avais l’impression d’avoir la tête cloué au sol par sa cuissarde.
Il commençait à être tard, elle arrêta sa prestation et on se mit à table car on avait tout les 2 faim. Après le repas, elle s’assoit sur le canapé, et me dit :
Séverine : je t’ai prévu un 2ème dessert. Tu vas me lécher mes escarpins et mes jambes jusqu’aux genoux pendant que je regarde le film et attention à toi si tu regardes même quelques secondes la télé.

Je me mis à 4 pattes devant ses pieds et j’ai léché pendant presque 2 heures ses escarpins et ses jambes. A la fin du film, elle se donna l’ordre d’aller me coucher.
Le week-end se déroula normalement. Je partis de chez elle le dimanche soir. Rien d’autre ne s’était passé entre nous. Cette seule séance de domination m’avait fait accepter que j’aime être un esclave de ses cuissardes ainsi que de ses rares escarpins. Avant de sortir de chez elle, je lui avais demandé quelle me montre sa collection de bottes. Il y en avait 38 paires différentes, aussi belle les unes que les autres et très propre, elle les bichonnait bien. Cette séance de domination était gravée dans ma mémoire, je garder un mauvais souvenir du traitement infligé par ses cuissardes.

Les avis des lecteurs

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Histoire Erotique
J'espère qu'il y aura une suite avec tante SÉVERINE, car à mon avis de toutes vos histoires c'est celle là la plus intéressante. Il faut explorer votre côté soumis et vous aurez des révélations de votre réelle identité. Je vous laisse mon mail.



Texte coquin : Quand mon fantasme devient réalité, chapitre 7
Histoire sexe : Une rose rouge
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