Quelle famille 5 - histoire érotique

Jean un peu dubitatif, se pince les lèvres, puis décide de monter dans sa chambre. Sa femme le regarde, elle n'est pas très rassurée, elle regrette même de c'être laisser emporter par ce délire incestueux. Jean la regarde, puis arrache les draps. Justine se recroqueville, elle sait que jean lorsqu'il est en collére est une bête avec une force incroyable. Il la regarde trembler dans sa chemise de nuit. Soudain il lui dit sans élever la voix :

-Alors comment que c'était avec notre fille raconte !

C'est en béguant que Justine commence à narrer son écart incestueux. Plus le minutes passent plus Justine se détend. jean lui dit en souriant :

-Ca te chauffe de raconter, je te vois t'agiter, je suis sûre que tu mouilles, branle-toi prendant que tu me donnes les détails vas-y, vas-y branle-toi !

Justine surprise par cette demande, remonte doucement sa chemise de nuit et ouvre timidement les cuisses. Comme elle ne porte pas de sous vêtements pour dormir. Elle a un accès facile à sa vulve, elle pose sa main dessus. Elle regarde son mari, qui ne cesse de lui sourit, il constate que les poils pubien sont rêches par le sperme seché.
Les yeux de Justine, se mettent à briller, elle commence doucement à se masturber tout en reprenant son récit. la tension monte d'un cran dans son corps, sa main saisit son clito comme il est devenu énorme il est aisé de le branler. Justine l'agite, mais quelques fois la tension est telle, qu elle doit cesser de raconter son récit, pour se branler sauvagement. jean très souriant, retire ses vêtements sa queue est dressée comme un mât.

Sa femme ne raconte plus, elle grimace en se masturbant férocement. Soudain, elle se cambre fortement et jouit en poussant un long gémissement. Un flot jaillit de son puits d'amour en humidifiant le lit. jean dit en souriant :

-Eh bien toi ma salope, quand tu t'y mets, tu ne fais pas semblant !

Il lui prend la main et l'entraine avec lui vers la chambre de Louna. Justine comprend ou veut en venir son mari, elle à un petit pincement au cœur. Jean ouvre la porte, sa fille est sur son lit la lumière est allumée, elle semble les attendre.
Sa courte nuisette transparente lui arrive à mi-cuisses. Au travers du fin tissu on apercoit, à peine voilée une petite toison brune. la pointe de ses mamelons appuie sur le tissu comme pour le forer. Louna regarde la verge dressée de son papa, qui oscille à chaqcun de ses pas, elle la trouve énorme. Sa maman un peu honteuse baise la tête en disant :

-Tu es surprise de nous voir ma chérie !

Louna ne quitte pas des yeux le manche de chair planté sur le bas-ventre de son papa. Elle dit avec quelques trèmolos dans la voix :

-Je me doute pour quelles raisons vous êtes là, vu la forme de papa !


Son papa s'assoit sur le bord du lit, sa maman de l'autre côtè. jean regarde sa femme et discrètement, lui fait un signe. Timidement Justine pose ses mains sur les cuisses dénudées de sa fille et lentement les passent sous la nuisette. Un gros frisson parcours le corps de Louna, les mains moites de sa maman progressent sous le tissu et butent contre les aines. jean remonte délicatement la nuisette sur le haut des cuisses de sa fille, il regarde longuement la jeune vulve en ravalant sa salive. Doucement Louna ouvre les jambes en exposant aux voyeurs son fruit qui n'est plus défendu.

Les doigts maladroits de sa maman caressent sa fente, deux s'insèrent entre les grandes lèvres et partent à la recherche du bouton magique. Louna se raidit lorsque que les intrus saisissent sa petite boule encore endormit. Avec une douceur extrême sa maman commence un petit branlage pour faire grossir d'avantage la petite protubérance de chair. La papa a les yeux qui jettent des éclairs. Il regarde en déglutissant bruyamment les doigts mal-habiles de sa femme agiter doucement le clito. Louna commence à geindre, elle agite son bassin en serrant les dents.

Sa chatte suinte de plus en plus. Mécaniquement sa maman accélére la masturbation, les gémissemnts de sa fille devient plus bruyants. Elle se tend comme un pont en poussant un hurlement de jouissance terrible. Jean lui dit :

-Bouffe-lui la chatte ma chérie, fais-là encore jouir cette petite salope !

Justine retire sa chemise de nuit et prend place entre les cuisses ouvertes de sa fille. Elle plaque sa bouche sur la source intarissable et en aspire le plus de jus possible. Le clito à doublé de volume, sa maman le happe, et le suce comme un bonbon acidulé. Louna croit mourir de plaisir la bouche de sa maman qui s'active sur son fruit juteux, la fait geindre comme une bête agonisante. Soudain Louna se cambre et explose pour la seconde fois. jean repousse sa femme, il veut lui aussi goûter au fruit. Il pose sa bouche sur la fente ruisselante et enfonce sa langue dans la gaine brûlante. Louna gémit en agitant son bassin comme une forcenée. Une nouvelle jouissance la fait hurler de plaisir.

la papa amant se redresse sa queue laisse échapper par son méat, quelques gouttes de sueurs. Il frotte un petit instant sa bite contre la fente très humide et pousse. Louna se cabre, elle serre les dents en grimaçant. Il est vrai que la bite de son papa est imposante. Lentement elle s'enfonce de plus en plus loin dans son ventre. Louna croit que son papa va l'ouvrir en deux. Mais la gaine en ce distandant naturellement, enveloppe bien le manche qui la fore, en faisant disparaitre peu à peu la douleur. louna et maintenant prête à subir les assauts de la bite énorme de son papa. C'est avec méthode, que Jean commence le va-et-vient.


Les allers et retours du membre dans son ventre font couiner Louna de plaisir, elle voudrait que cela s'arrête jamais. Elle s'accroche à son amant en gémissant de plus en plus fortement. Sa maman, lui malaxe les seins au travers de la nuisette. Elle lui étire les mamelons, les roule entre ses doigts, les presse fortement. Pour Louna, c'est le nirvana, elle est sur une autre planête. Sa maman qui lui triture les seins, et la bite de son papa qui voyage dans son ventre la font plâner de bonheur. Elle ressent une décharge éléctricle lui traverser le ventre. Elle se cabre une jouissance monstrueuse la fait hurler. jean accélére, le pilonnage, il grogne comme un fauve en envoyant son sperme dans le ventre de sa fille.

Jean après avoir donner encore quelques estocades, se retire du ventre brûlant de sa fille, et offre à la bouche magique de sa femme, sa queue gluante. La coquine suce et tète pour faire un nettoyage complet du membre qui ne baisse pas la tête. Louna haletante dit en regardant son papa :

-Papa, je veux que tu me fasses se que mon cousin Ken a fait à maman !

Jean sursaute, et demande :

-Et qu'est-ce que Ken a fait à maman ?

Louna répond :

-Il l'a prise par derrière !

Jean regarde sa femme en souriant et lui demande :

-Ah le bougre de neveu t'a enculer, mais tu ne te refuses rien ma salope !

Il demande à sa fille de placer sous ses reins un gros oreiller et de replier ses jambes sur son ventre. Une fois la position prise, Jean dit à sa femme :

-Ma chérie, assouplit-lui la rondelle avant que je fasse monter aux rideaux notre petite salope !

Justine salive abondamment l'anus de sa fille, y enfonce jusqu'à trois doigts pour dilater la gaine étroite. Elle ramone doucement l'anneau qui doucement se détend. Elle plaque sa bouche sur le muscle rectal et enfonce sa langue le plus qu'elle peut. Louna défaille la langue de sa maman la fait geindre de plaisir. Soudain, Justine délaisse l'anus et lui aspire le clito, elle suce et tète comme une affamée, sa fille est sur le bord de l'explosion. les contractions de son vagin le prouvent. Rapidement la maman vorace ré-enfonce sa langue dans l'anus et le fouille comme une sauvage. Une jouissance terrible fait hurler Louna. Enfin, Justine laisse la place à son mari.

Il appuie sa verge contre l'anus palpitant, s'accroche aux hanches et pousse. Louna pousse un cri qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main. Louna croit recevoir un coup d'épée dans les entrailles. Lentement la verge paternelle s'enfonce dans son rectum, en la faisant grimacer. Louna souffle comme un dragon. La bite de son papa s'enfonce si profondement dans son fondement que Louna croit qu'il veut la traverser. Enfin la bite termine sa course dans la gaine très étroite. justine voit les grimaces de sa fille, elle lui saisit le clito qui est encore gonflé, et commence à le branler.


Pendant qu'elle branle la boule magique, son mari se met en action. Il commence un va-et-vient qui fait geindre Louna, plus les minutes passent, plus la douleur s'estampe, Louna commence à s'habituer au manche qui lui dilate le rectum. La vitesse augmente, Louna geint plus fort. Bien accroché à sa proie Jean démonte sa fille comme un soudard. Sa bite entre et ressort du cul très sollicité, en prenant de plus en plus de vitesse.

La maman consciencieuse, tout en branlant le clito le presse fréquemment. L'enculage vigoureux, plus les pressions sur le clito, ont un effet presque immédiat. Louna se tend comme un arc et jouit du cul encore plus fortement qu'avec son cousin Ken. Elle se tortille en gémissant, Jean la défonce avec rage. Il grogne en donnant des coups de reins dévastateurs, La bite coulisse dans le rectum en raclant fortement les muqueuses. C'est en poussant un hurlement que Louna jouit pour la seconde fois du cul.

Jean, ressort entiérement sa bite du cul de sa fille, et la replante violemment jusqu'aux couilles. Louna se cabre et, contre toute attente jouit encore une fois. jean serre les dents, il donne des coups de bélier comme pour éclater le cul de sa fille. Enfin, il se raidit et remplit l'intestin de sa fille avec sa semence épaisse. Elle ne cesse de gémir, elle agite toujours sa croupe.
Jean, retire son pieu gluant du cul de sa fille et l'approche de ses lèvres, c'est en tremblant que Louna le saisit et gobe le gland qu'elle vient de décalotter. Les succions sont terribles, le papa amant ne resiste pas longtemps au traitement spécial, comme pour remercier sa fille de le sucer si bien, il lui offre sa semence.

Louna avale sans rechigner le sperme de son papa. Elle le regarde en souriant et lui dit :

-Hum comme ton jus est bon papa j'en veux encore !

Elle reprend en bouche le gland et se re-met à le sucer férocement, devant les yeux luisant de sa maman. Elle ne cesse de sucer, que lorsqu'elle reçoit sa récompense.