Rencontre ensoleillée I
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre ensoleillée I
Le weekend s’annonçait agréable. L’hôtel était peu peuplé et quelques rayons d’un soleil encore timide flirtaient avec les plis des draps crème de mon lit double. Leur chaleur caressait ma peau dénudée et je me laissais bercer par cette sensation rassurante. J’étais arrivé le soir précédent. La fin de la période inter semestrielle de la fac s’était annoncée difficile et je souhaitais prendre quelques jours pour moi. Je me levais tranquillement, prenant une douche brûlante. Puis, une fois habillé, je me suis dirigé vers la terrasse de l’hôtel, mon ordinateur portable et un café noir en main, m’installant à une table ensoleillée. J’étais alors seul.
Au bout d’une demie heure j’entends derrière moi la porte vitrée s’ouvrir. Une jeune femme, peut-être quelques années de plus que moi, s’installe à deux tables de la mienne. Grande et élégante, elle est habillée simplement mais avec goût. Un pantalon en toile blanche laisse passer la lumière croissante de la journée débutante. La silhouette de ses cuisses ne me laisse en rien indifférent. Mon regard remonte, se portant sur un beau visage aux traits fins, bercé par des mèches brunes qui viennent ensuite chatouiller la peau dénudée de ses épaules. Elle croise mon regard, sourit, puis se plonge dans la lecture du journal qu’elle a amené avec elle. Mon café est terminé depuis longtemps mais je reste. Cette créature à seulement quelques mètres de moi m’a déjà ensorcelée. Je fais mine de travailler, me laissant aller à des regards volés. Plus je la contemple et plus j’ai du mal à rester discret.
Ce jeu risqué continue encore trois quarts d’heure. C’est alors que cette belle brune repli son journal, se lève et quitte sa table. Je baisse rapidement le regard vers mon écran. Elle passe derrière moi mais je n’entends pas la porte s’ouvrir. Après quelques instants de silence je me retourne. Derrière moi, le sourire aux lèvres, se tient cette déesse.
« C’est curieux, tu arrives à bosser avec un écran noir ? »
J’étais tellement pris par son charme que je n’ai même pas remarqué mon ordinateur se mettre en veille. Pris, je souris.
« Je laisse la batterie se recharger… »
« Sans doute. »
Elle sourit toujours. Sa voix est douce, calme. A ma grande surprise, elle tire une chaise et s’assoit à ma table.
« La mienne n’était plus au soleil. »
« Pas besoin d’explications. »
Elle bascule la tête légèrement vers la gauche et ses cheveux balaient d’un mouvement léger sa peau blanche crème. Je remarque que celle-ci est parsemée d’une myriade de grains de beauté. Ses joues arborent ce même tattoo subtile. Elle semble m’étudier.
« Journaliste. »
« Pardon ? »
Elle rit, « J’essaye de deviner ce que tu fais. Et tu m’as l’air d’un journaliste. Débutant certes, mais je pense avoir raison. »
« Ah oui et pourquoi ça ? »
« Tu aimes observer, épier même. J’ai tort ? » Son sourire est devenu presque coquin à présent, provocateur.
« Ah je vois. » Je ris nerveusement, « Ecoute, je contemplais simplement une belle vue. »
Elle rit ouvertement, « Ca marche ça comme phrase d’accroche ? »
« Je ne sais pas, c’est la première fois que je m’en sers. »
« Mmm. Donc envoyé spécial ou paparazzi ? »
Cette fois mon rire est légitime, « Ni l’un ni l’autre, étudiant. »
« Ah bon ? Je te croyais plus âgé. » Elle semble un peu déçu.
Anxieux de continuer la conversation, sentant qu’elle risque de partir, j’enchéri, « Dernière année de droit. Pourquoi, tu me donnais quel âge ? »
« Le bon. » Elle me sourit à nouveau, énigmatique, « Et moi, tu me donnes quel âge ? »
« Le même. »
« Ha ! C’est bien une réponse d’avocat ça. »
« Juriste. Je dois encore passer le barreau après cette année. Et toi, que fais tu dans la vie ? »
« Que tu es sérieux ! » Son rire, tout comme sa voix est doux mais taquin, « Architecte. »
« D’extérieur ou d’intérieur ? »
« Architecte. »
« Oui mais - »
« Je t’arrête tout de suite. Si tu souhaites avoir une chance de voir ma chambre, tu dois savoir que cette question est d’une haute hérésie ! »
Je ne suis pas sûr de l’avoir bien entendu.
« Visiter ta chambre ? »
« Ben oui. Ah ! Excuses moi, tu ne me matais pas enfaite, tu cherchais simplement la marque de ce magnifique sarouel. Je comprends mieux. »
« Ah mais pas du tout ! Je… je – »
« Tu ? » Elle me regarde toujours avec ce même regard – curieux, coquin et provocateur à la fois.
« J’ai très envi de toi. »
Je n’ai pu empêcher cette phrase de sortir. Je cherche à présent à m’enfouir dans le silence, certain que ma chance est foutue. Cependant, je vois son sourire prendre lentement de l’ampleur.
« Ben voilà, enfin un juriste honnête ! »
Sur ce elle se lève et quitte la table. Voilà, j’ai tout raté. La porte s’ouvre et j’entends de nouveau sa voix.
« Ben alors, tu viens ? »
Mon cœur fait faux bon mais je me précipite pour la suivre, oubliant presque mon ordinateur.
Sa chambre est plus vaste que la mienne. A présent le soleil n’a plus rien de sa timidité matinale, inondant la pièce d’une lumière dorée. Elle m’avait devancé dans le couloir, laissant la porte de sa chambre ouverte. Mes yeux se portent sur le lit, où je découvre une vision sublime d’une femme nue, allongée sur le ventre. Mon regard cour le long de son dos, lui aussi parsemé de milliers de grains roux, puis je découvre ses fesses lisses et bombées. Elle tourne sa tête vers moi,
« Ferme la porte. »
Me retournant de nouveau vers le lit, après m’être assuré que la porte était bien fermée à clef, je sens monter en moi une excitation débordante. Mon jean devient bien trop serré. Je déguste une nouvelle fois la vue de sa ses reins dénudés, le teint doux de sa peau. J’ai chaud. Je me déshabille rapidement. Elle a de nouveau le regard tourné vers moi. Elle m’observe avec un petit sourire. Je me dis que ce genre de chose n’arrive jamais, on se croirait dans un film. Peut-être suis-je en train de rêver. Raison de plus pour en profiter.
Nu, enfin, je monte sur le lit, puis m’allonge à ses côtés. Je n’ose la toucher, j’ai peur de briser le sort. C’est elle qui, se plaçant sur le côté, se colle à moi. Nos peaux se confondent, la mienne plus claire. Ces cheveux frôlent mon visage. Je sens mon sexe se caler dans le creux de ses reins, raide. Elle est si chaude, brûlante presque. Sa nuque est découverte. Enhardi par ce premier contact, je place un baiser sur la peau de son cou. Elle sourit. Je remonte jusqu’à la ligne de sa mâchoire, laissant le bout de ma langue courir le long de sa peau. Elle a une odeur subtile. Un petit goût amer trahi son parfum. J’ai tellement envi de cette femme.
Elle se frotte à moi à présent, mon gland se décalottant contre ses fesses. Je ne peux empêcher une fine trainée de liquide argenté s’échapper et s’étaler contre elle.
« Alors, excité on dirait ? » , elle a tourné la tête vers mon visage,
Je ne réponds pas et en profite pour déposer un autre baiser, cette fois sur le coin de sa bouche. Puis nos lèvres se rencontrent, puis nos langues. Nous nous embrassons longuement. Je sens sa main se glisser entre nos deux corps et se saisir tendrement de mon sexe qu’elle calle entre ces cuisses, contre sa vulve. De nouveau elle se frotte à moi. Alors que mon gland écarte ses lèvres je ses un liquide chaud s’y coller – elle est trempée. Sans prévenir, elle fait pression avec sa main et en un instant sublime je suis en elle. Je m’enfonce sans difficulté, venant coller la peau de mon pubis contre celle de ses fesses. Les premiers vas et viens sont doux, accompagnés du basculement de son bassin. Ma main droite explore la courbure de ses seins fermes, puis la ligne de son ventre, pour enfin venir accompagner la pénétration de caresses sur son clitoris enflé. Elle soupire lourdement. J’ai moi même du mal à contenir mon excitation. Nos ébats prennent de l’élan. J’ai du mal à bouger dans cette position donc je fais pression sur le côté droit de son dos, la poussant contre le lit, sur le ventre. Je ne décolle pas mon bassin du sien cependant, restant profondément en elle. Je me soulève à l’aide de mes bras, me poussant plus fort au fond de son ventre. Les coups de reins reprennent. A présent elle laisse échapper de petits gémissements. Nous avons commencé par faire l’amour et maintenant nous baisons. Le claquement de ma peau contre la sienne est fort et répété. Une de mes mains lui caresse le creux de la nuque, le dos, les fesses. Ses gémissements se font plus forts, plus réguliers. Elle retient sa respiration, sa jouissance forte et longue. Puis c’est à mon tour. Je me lâche en elle, emplissant sa paroi d’un jet fort et chaud.
Secoués par des relents de plaisir, nous restons collés encore de longs instants. Je sens que nous ne quitterons pas la chambre de la journée.
Au bout d’une demie heure j’entends derrière moi la porte vitrée s’ouvrir. Une jeune femme, peut-être quelques années de plus que moi, s’installe à deux tables de la mienne. Grande et élégante, elle est habillée simplement mais avec goût. Un pantalon en toile blanche laisse passer la lumière croissante de la journée débutante. La silhouette de ses cuisses ne me laisse en rien indifférent. Mon regard remonte, se portant sur un beau visage aux traits fins, bercé par des mèches brunes qui viennent ensuite chatouiller la peau dénudée de ses épaules. Elle croise mon regard, sourit, puis se plonge dans la lecture du journal qu’elle a amené avec elle. Mon café est terminé depuis longtemps mais je reste. Cette créature à seulement quelques mètres de moi m’a déjà ensorcelée. Je fais mine de travailler, me laissant aller à des regards volés. Plus je la contemple et plus j’ai du mal à rester discret.
Ce jeu risqué continue encore trois quarts d’heure. C’est alors que cette belle brune repli son journal, se lève et quitte sa table. Je baisse rapidement le regard vers mon écran. Elle passe derrière moi mais je n’entends pas la porte s’ouvrir. Après quelques instants de silence je me retourne. Derrière moi, le sourire aux lèvres, se tient cette déesse.
« C’est curieux, tu arrives à bosser avec un écran noir ? »
J’étais tellement pris par son charme que je n’ai même pas remarqué mon ordinateur se mettre en veille. Pris, je souris.
« Je laisse la batterie se recharger… »
« Sans doute. »
Elle sourit toujours. Sa voix est douce, calme. A ma grande surprise, elle tire une chaise et s’assoit à ma table.
« La mienne n’était plus au soleil. »
« Pas besoin d’explications. »
Elle bascule la tête légèrement vers la gauche et ses cheveux balaient d’un mouvement léger sa peau blanche crème. Je remarque que celle-ci est parsemée d’une myriade de grains de beauté. Ses joues arborent ce même tattoo subtile. Elle semble m’étudier.
« Journaliste. »
« Pardon ? »
Elle rit, « J’essaye de deviner ce que tu fais. Et tu m’as l’air d’un journaliste. Débutant certes, mais je pense avoir raison. »
« Ah oui et pourquoi ça ? »
« Tu aimes observer, épier même. J’ai tort ? » Son sourire est devenu presque coquin à présent, provocateur.
« Ah je vois. » Je ris nerveusement, « Ecoute, je contemplais simplement une belle vue. »
Elle rit ouvertement, « Ca marche ça comme phrase d’accroche ? »
« Je ne sais pas, c’est la première fois que je m’en sers. »
« Mmm. Donc envoyé spécial ou paparazzi ? »
Cette fois mon rire est légitime, « Ni l’un ni l’autre, étudiant. »
« Ah bon ? Je te croyais plus âgé. » Elle semble un peu déçu.
Anxieux de continuer la conversation, sentant qu’elle risque de partir, j’enchéri, « Dernière année de droit. Pourquoi, tu me donnais quel âge ? »
« Le bon. » Elle me sourit à nouveau, énigmatique, « Et moi, tu me donnes quel âge ? »
« Le même. »
« Ha ! C’est bien une réponse d’avocat ça. »
« Juriste. Je dois encore passer le barreau après cette année. Et toi, que fais tu dans la vie ? »
« Que tu es sérieux ! » Son rire, tout comme sa voix est doux mais taquin, « Architecte. »
« D’extérieur ou d’intérieur ? »
« Architecte. »
« Oui mais - »
« Je t’arrête tout de suite. Si tu souhaites avoir une chance de voir ma chambre, tu dois savoir que cette question est d’une haute hérésie ! »
Je ne suis pas sûr de l’avoir bien entendu.
« Visiter ta chambre ? »
« Ben oui. Ah ! Excuses moi, tu ne me matais pas enfaite, tu cherchais simplement la marque de ce magnifique sarouel. Je comprends mieux. »
« Ah mais pas du tout ! Je… je – »
« Tu ? » Elle me regarde toujours avec ce même regard – curieux, coquin et provocateur à la fois.
« J’ai très envi de toi. »
Je n’ai pu empêcher cette phrase de sortir. Je cherche à présent à m’enfouir dans le silence, certain que ma chance est foutue. Cependant, je vois son sourire prendre lentement de l’ampleur.
« Ben voilà, enfin un juriste honnête ! »
Sur ce elle se lève et quitte la table. Voilà, j’ai tout raté. La porte s’ouvre et j’entends de nouveau sa voix.
« Ben alors, tu viens ? »
Mon cœur fait faux bon mais je me précipite pour la suivre, oubliant presque mon ordinateur.
Sa chambre est plus vaste que la mienne. A présent le soleil n’a plus rien de sa timidité matinale, inondant la pièce d’une lumière dorée. Elle m’avait devancé dans le couloir, laissant la porte de sa chambre ouverte. Mes yeux se portent sur le lit, où je découvre une vision sublime d’une femme nue, allongée sur le ventre. Mon regard cour le long de son dos, lui aussi parsemé de milliers de grains roux, puis je découvre ses fesses lisses et bombées. Elle tourne sa tête vers moi,
« Ferme la porte. »
Me retournant de nouveau vers le lit, après m’être assuré que la porte était bien fermée à clef, je sens monter en moi une excitation débordante. Mon jean devient bien trop serré. Je déguste une nouvelle fois la vue de sa ses reins dénudés, le teint doux de sa peau. J’ai chaud. Je me déshabille rapidement. Elle a de nouveau le regard tourné vers moi. Elle m’observe avec un petit sourire. Je me dis que ce genre de chose n’arrive jamais, on se croirait dans un film. Peut-être suis-je en train de rêver. Raison de plus pour en profiter.
Nu, enfin, je monte sur le lit, puis m’allonge à ses côtés. Je n’ose la toucher, j’ai peur de briser le sort. C’est elle qui, se plaçant sur le côté, se colle à moi. Nos peaux se confondent, la mienne plus claire. Ces cheveux frôlent mon visage. Je sens mon sexe se caler dans le creux de ses reins, raide. Elle est si chaude, brûlante presque. Sa nuque est découverte. Enhardi par ce premier contact, je place un baiser sur la peau de son cou. Elle sourit. Je remonte jusqu’à la ligne de sa mâchoire, laissant le bout de ma langue courir le long de sa peau. Elle a une odeur subtile. Un petit goût amer trahi son parfum. J’ai tellement envi de cette femme.
Elle se frotte à moi à présent, mon gland se décalottant contre ses fesses. Je ne peux empêcher une fine trainée de liquide argenté s’échapper et s’étaler contre elle.
« Alors, excité on dirait ? » , elle a tourné la tête vers mon visage,
Je ne réponds pas et en profite pour déposer un autre baiser, cette fois sur le coin de sa bouche. Puis nos lèvres se rencontrent, puis nos langues. Nous nous embrassons longuement. Je sens sa main se glisser entre nos deux corps et se saisir tendrement de mon sexe qu’elle calle entre ces cuisses, contre sa vulve. De nouveau elle se frotte à moi. Alors que mon gland écarte ses lèvres je ses un liquide chaud s’y coller – elle est trempée. Sans prévenir, elle fait pression avec sa main et en un instant sublime je suis en elle. Je m’enfonce sans difficulté, venant coller la peau de mon pubis contre celle de ses fesses. Les premiers vas et viens sont doux, accompagnés du basculement de son bassin. Ma main droite explore la courbure de ses seins fermes, puis la ligne de son ventre, pour enfin venir accompagner la pénétration de caresses sur son clitoris enflé. Elle soupire lourdement. J’ai moi même du mal à contenir mon excitation. Nos ébats prennent de l’élan. J’ai du mal à bouger dans cette position donc je fais pression sur le côté droit de son dos, la poussant contre le lit, sur le ventre. Je ne décolle pas mon bassin du sien cependant, restant profondément en elle. Je me soulève à l’aide de mes bras, me poussant plus fort au fond de son ventre. Les coups de reins reprennent. A présent elle laisse échapper de petits gémissements. Nous avons commencé par faire l’amour et maintenant nous baisons. Le claquement de ma peau contre la sienne est fort et répété. Une de mes mains lui caresse le creux de la nuque, le dos, les fesses. Ses gémissements se font plus forts, plus réguliers. Elle retient sa respiration, sa jouissance forte et longue. Puis c’est à mon tour. Je me lâche en elle, emplissant sa paroi d’un jet fort et chaud.
Secoués par des relents de plaisir, nous restons collés encore de longs instants. Je sens que nous ne quitterons pas la chambre de la journée.
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