Rendez-vous coquin dans la garrigue. Premier chapitre.

- Par l'auteur HDS Sofie34fr -
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Auteur femme.
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Récit libertin : Rendez-vous coquin dans la garrigue. Premier chapitre. Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rendez-vous coquin dans la garrigue. Premier chapitre.
Une nouvelle histoire qui prend jour en parallèle de celle que j'ai commencée il y a peu sur ce site.
Elle existe grâce à un auteur bien connu "Le matou Libertin" qui m'a encouragée et accompagnée dans ma création.
Il m'a très gentiment proposé d'écrire une autre histoire à quatre mains.
Voici le premier chapitre de cette nouvelle histoire, qui j'espère, vous plaira.
J'attends vos commentaires.
Sofie
Marie/SofieLa journée s’annonce belle.
Paul, mon mari est photographe. Il passe beaucoup de temps à travailler ses photos sur son ordi. Il s’agit le plus souvent de photos de moi. Je ne sais combien de photos il doit avoir, mais il n’en a jamais assez.
Nous sommes très libres. Paul n’est pas jaloux. Au contraire il m’encourage à avoir des relations adultérines. C’est un « cochon » candauliste qui ne m’oublie pas pour autant. Il adore me voir faire l’amour avec un autre partenaire.
Pourquoi pas… Cela me permet de lui faire plaisir, et surtout, de me faire plaisir. Il ne m’a pas été facile de me lâcher, de faire l’amour avec un autre homme. Je n’ai pas été éduquée dans cet esprit. Il a fallu que j’attende ma cinquantaine épanouie pour m’offrir un plaisir interdit jusque-là.
Si Paul n’est pas présent pendant mes escapades, il exige que je lui raconte tout, avec force détails. Ça l’excite et me fait aussitôt l’amour.
Finalement cela ne peut pas faire de mal que de se faire du bien.
Gérard, notre ami et, accessoirement mon amant, m’a envoyé un sms pour me demander si j’étais libre pour un pique-nique.
Je me doute pourquoi.
Le coquin veut me baiser !!!! Et, je ne suis pas contre. C’est un bel étalon qui sait prendre son temps pour me donner du plaisir. Je dois le retrouver dans la garrigue, près du relais. Il se charge de tout.
Je préviens Paul que je vais m’absenter pour retrouver Gérard. Un large sourire illumine son visage et me serre fort dans ses bras, puis m’accompagne jusqu’à la voiture.
Avant de démarrer, il me fait baisser la vitre pour me demander si je vais le retrouver au coin habituel… Ce que je lui confirme avec un grand sourire coquin.

GérardJ’ai rencontré Marie l’an passé quand j’étais en séjour naturiste sur la côté languedocienne.
Je déambulais tranquillement parmi les badauds en suivant du regard une jolie brune qui marchait devant moi… Le roulis de ses hanches un peu larges m’inspirait et je pensais que cela serait bien agréable de faire connaissance… et plus si affinités (comme il est de coutume de dire…).

Soudain, le haut talon d’une de ses chaussures a cassé et je me suis précipité au secours de cette femme qui avait manqué de tomber…De fil en aiguille, nous avons bavardé à la terrasse d’un café et lié connaissance : en fait, la jolie brune dont je suivais les déhanchements, était une quinqua aux cheveux mi longs, aux yeux noisette dans un visage rieur… Elle avait ce qu’il faut aux bons endroits, une poitrine avantageuse et des hanches, je l’ai dit, un peu larges.

Quand je lui ai fait les compliments sur sa silhouette, elle m’a répondu qu’elle trouvait ses hanches trop larges mais que cela était survenu après la grossesse de ses quatre enfants !
Donc… elle était mariée… et visiblement pas farouche pour me confier des détails intimes alors que nous nous étions rencontrés incidemment moins de dix minutes auparavant !
J’ai laissé cette inconnue à la terrasse du café pour aller chercher ma voiture et je l’ai retrouvée sur le trottoir de la Place de la Comédie : Elle m’avait attendu alors qu’elle aurait très bien pu disparaître.

Marie habitait un peu en dehors de la ville dans un mas perdu au milieu de la garrigue.
Sur le chemin du retour, elle m’a fait arrêter dans un chemin creux dans les vignes en disant qu’elle devait me remercier de ma gentillesse.
Et c’est là qu’elle m’a fait une fellation d’anthologie en buvant mon sperme jusqu’à la dernière goutte.

J’ai revu Marie à plusieurs reprises au cours de mes deux semaines de séjour et j’en ai fait ma maîtresse… Nous nous retrouvions sur une des plages puis après quelques temps nous nous esquivions pour faire l’amour dans un coin discret au milieu des roseaux ou, lorsqu’elle ne pouvait pas aller jusqu’à la plage, elle m’avait indiqué un cabanon de vignerons pas très loin de chez elle...

En ce début de printemps, j’ai voulu profiter d’un weekend prolongé pour descendre à Montpellier pour rencontrer un entrepreneur qui doit effectuer des travaux dans le studio que je compte mettre en vente.

Marie avait répondu favorablement à mon SMS. Je devais la retrouver à notre lieu habituel de rencontre dans la garrigue…J’étais impatient de la retrouver… à plus de cinquante ans, je n’aurais pas su trouver de maîtresse aussi ardente… avide de baisers, de caresses et de jouissances diverses. Mais aussi, une femme totalement libérée des tabous et disant que son mari l’encourageait à avoir des amants…
Marie/SofieJ’étais impatiente de retrouver Gérard. Il n’est pas avare de baisers, de caresses et toujours prompt à me faire jouir de toutes les manières possibles. A chaque rencontre, il innove et me fait découvrir un orgasme différent. J’adore baiser avec lui.

Un jour Paul m’avait proposé d’inviter Gérard à la maison afin de faire connaissance car si il baisait sa femme, il devait être un homme intéressant à fréquenter. C’est comme cela qu’ils sont devenus amis. Mais, c’est une autre histoire que je vous raconterai peut être un jour….

Je suis rapidement arrivée à notre petit coin à nous où nous avons si souvent fait l’amour. J’étais toute excitée et je dois avouer, toute mouillée à l’idée de retrouver mon coquin. La voiture de Gérard était déjà là. Je me suis garée à côté de sa voiture de location et je suis rapidement sortie de mon véhicule. J’ai vérifié mon maquillage. Un petit coup de rouge à lèvres. J’ai défroissé ma petite robe courte que je portais sans sous-vêtements, bien évidemment, et j’étais prête…
Je n’étais pas encore tout à fait arrivée à notre point de rencontre que j’aperçus Gérard. Il était lumineux !!!! Je fis les derniers mètres en courant, laissant volontairement virevolter ma robe pour dévoiler mes jambes et mes fesses nues. Gérard m’attrapa au vol, me serra dans ses bras forts et puissants et me souleva, ses mains plaquées sur mes fesses nues. Il m’embrassa puissamment en nous faisant tourner. J’étais déjà perdue, enivrée par son charme et sa virilité.

Une fois nos retrouvailles entamées, il me présenta notre petit coin de paradis, un coin perdu au milieu de la garrigue, que les senteurs de thym et de romarin finissaient de rendre magique. Il avait étalé une nappe rouge et blanche et disposé quelques provisions avec une bouteille de champagne bien fraîche, prête à déguster…
GérardNos voitures sont garées dans ce chemin creux qui l’an passé nous avait accueillis lorsque nous avions fait connaissance. Nous savions trouver dans un repli de terrain une cabane en pierres sèches qui servait d’abri aux ouvriers travaillant dans les vignes et, accessoirement aux randonneurs, surpris par une malencontreuse averse. Devant, il y avait un petit terreplein herbeux sur lequel j’avais disposé une nappe rouge et blanche et les provisions pour notre pique-nique…
Mais aujourd’hui… il fait un soleil radieux et la Tramontane ne souffle pas… et j’attends Marie avec impatience. A-t-elle réussi à échapper à son mari dont j’ai fait connaissance… et qui me semble être un fameux coquin !

OUI… Elle est là, elle sort de sa voiture et fait virevolter sa courte robe pour me montrer que dessous, elle est nue… Quand je disais qu’elle était une femme totalement libérée des tabous qui brident la société, je ne me trompais pas…
Nos retrouvailles après tous ces longs mois sont particulièrement chaudes… Dès que Marie est dans mes bras, je l’enserre et la presse contre mon torse puis je laisse glisser mes mains pour relever sa courte robe et empaumer ses fesses nues. Waouh… que c’est bon… Caresses, baisers mouillés se suivent et Marie se met à genoux devant moi pour aller chercher mon ’service trois pièces’ dans mon pantalon… Bien évidemment je suis nu aussi… Quand je vais à un tel rendez-vous, j’évite les complications inutiles qu’un slip, aussi mini soit-il, peut constituer !

Bref, Marie commence une fellation baveuse qui fait dresser rapidement mon sexe qui va jusqu’au fond de sa gorge… car après quelques allers-retours, elle m’avale entièrement dans une gorge profonde qui achève mon excitation…
Décidément, Marie est une maîtresse dont on ne se lasse pas… Un corps généreux avec des formes un peu opulentes mais très agréables (comme pour moi, l’âge est là…) un appétit sexuel sans commune mesure avec des femmes plus jeunes… et une inventivité sans borne.

N’est-ce pas elle qui a suggéré ce lieu de rencontre que nous connaissons déjà pour l’avoir fréquenté deux fois l’an passé ???

Aussi délicieuse que soit sa bouche, je m‘arrache à l’appétit glouton de Marie… Je ne veux pas me vider ainsi ! Je la relève et j’ouvre le haut de sa robe qui cache deux beaux fruits bien murs dont j’agace les tétons du bout de mes ongles pour les faire dresser au milieu de l’aréole.

Ses baisers redoublent… Ses lèvres s’écrasent sur les miennes, la langue de Marie force ma bouche et nous nous livrons à une bataille humide alors que nos langues se livrent un ballet sensuel…
La robe ne tarde pas à tomber, s’étalant aux pieds de Marie dans une sorte de corolle blanche dont elle émerge, splendidement nue…
Je me débarrasse rapidement de mon pantalon et de ma chemisette et je suis face à Marie, dans la même nudité qu’elle !

Qui peut nous surprendre dans ce lieu caché aux regards indiscrets… Personne ne travaille encore dans les vignes… à moins de connaître l’existence de ce cabanon, nous sommes tranquilles !

Entièrement nus tous les deux, nous nous installons côte à côte près de la nappe… J’ouvre la bouteille de champagne qui est au frais dans un emballage ad-hoc et nous trinquons à notre rencontre… Tout en buvant, nous picorons dans les différents plats et sans être pressés par le temps, nous arrivons au dessert : des fraises – les premières gariguettes – et une bombe de crème chatilly…
Malencontreusement, en agitant la bombe de crème, j’ai appuyé sur le bouton de vidange et deux giclées vont s’écraser entre les seins de Marie.

Nous éclatons de rire et je lui dis :- Imagine que ce soit mon sperme qui t’ait inondée de la sorte !

Marie/SofieJe reconnais bien là mon Gérard, si galant avec un don de l’organisation sans pareil. Son petit coin d’amour était magnifique… Mais je n’étais pas là que pour ça. Il y avait autre chose qui m’intéressait en premier lieu : son « service trois pièces » !!!!

Je tombais à genoux pour m’approcher de sa virilité dont je pouvais deviner, sans équivoque, ses contours à travers un léger pantalon. Une queue que j’extirpe facilement de son vêtement car Gérard, le coquin, n’avait pas mis de slip pour davantage de praticité. Je pris en main son sexe déjà gonflé, mais qui ne demandait qu’à grossir encore. Je commençais à en lécher le gland avec gourmandise, avant de l’avaler dans une fellation bien baveuse et profonde. Je vouais une adoration à cette queue qui m’avait déjà donnée tant de plaisirs et de jouissances. Je sentais sa bite gonfler de désir dans ma gorge. Gérard ne bougeait plus. Il me laissait le pomper à mon rythme. Son gland était maintenant énorme et je ne pouvais plus le gâter comme j’aurais aimée.

Gérard se libéra de ma bouche et me souleva pour m’embrasser à pleine bouche. Sa salive se mélangeait à la mienne pleine de l’odeur de son sexe…
Il me regarda avec un grand sourire et défit quelques boutons de ma robe pour titiller mes tétons durcis par mon désir envahissant. Ma robe blanche légère ne résista pas aux doigts coquins de Gérard et finit rapidement à mes pieds. Je me retrouvais ainsi nue devant ses yeux gourmands. Un grand frisson me traversa le corps.

Aussitôt Gérard se déshabilla et nous nous retrouvâmes nus tous les deux. Gérard me fit signe de m’asseoir sur la nappe et ouvrit la bouteille de champagne. Une « coupette » bien fraîche était la bienvenue.

Nous trinquâmes à nos retrouvailles.
Gérard me décrivit le menu qu’il avait préparé à mon intention. Un pique-nique gourmand. Il me fit goûter chaque produit qu’il avait tout particulièrement sélectionné sur le marché ce matin : une tomate cerise, un morceau de fougasse aux anchois, du houmous pioché avec un gressin, un petit morceau de Manchego, du jambon Serrano, des petites billes de melon et des fraises, les premières gariguettes…Pour accompagner celles-ci, il avait prévu de la crème chantilly. Une délicieuse crème artisanale en bombe.

Malencontreusement, en agitant la bombe, Gérard fit une fausse ( ?) manipulation et une giclée de chantilly vint m’éclabousser les seins…
Gérard me suggéra avec un regard malicieux que cela pouvait être une giclée de sperme…
Je n’eus pas besoin de beaucoup d’imagination pour voir à quoi il faisait allusion. Aussitôt, je recueillis la crème avec mes doigts et fis glisser ceux-ci dans ma bouche en les léchant avec gourmandise et en fixant Gérard dans les yeux… Le pauvre, je voyais bien qu’il n’en pouvait plus. Son sexe était tendu…
Dis, mon cœur joli, aimerais-tu finir de nettoyer mes seins avec ta langue… ? Gérard ne se fit pas prier. Mais, auparavant, il me renvoya une giclée de chantilly sur le corps.

Nous avons oublié les fraises….

Gérard.
Nous nous étions assez amusés.
Désormais, je suis maître de la manœuvre….
J’ai bien visé avec ce dernier jet de chantilly…Les seins sont nappés de cette crème blanche qui tranche sur la peau halée de Marie…J’aime le contraste… mais c’est d’autre chose dont j’ai envie… je couche Marie sur une couverture étendue là : elle nous attend !

Je me mets au-dessus de ma maîtresse et de ma bouche gourmande, je lape la crème sans oublier d’aspirer les tétons qui se dressent insolemment au milieu des seins ronds, généreux et encore très fermes.

Je relève la tête et je lis l’impatience de Marie dans ses yeux…
Mon sexe bandé à mort pend sous mon corps… J’agis avec patience, retardant le moment où je vais pénétrer le sexe de Marie, qui, je le sais est déjà nimbé de cyprine…
Je prends lentement l’ascendant sur ce corps qui n’attend que ça !
Ma bouche prend possession de ce sexe qui s’ouvre sans contrainte…J’agace le clitoris et glisse ma langue entre les lèvres intimes puis je me redresse…
Je musarde quelques instants du bout de mon sexe entre les lèvres intimes de celui de Marie, agaçant à nouveau le clitoris qui est dardé hors de son capuchon… (je m’occuperai de lui un peu plus tard) et lentement j’entre dans ce puits d’amour chaud et humide qui s’ouvre à ma pénétration…
Mon gland hyper tendu par l’excitation ouvre facilement sa voie et bientôt nous ne faisons plus qu’un, nos bassins collés l’un à l’autre, sexe mâle dans le sexe féminin…
Dans les yeux noisette de Marie, je lis comme un message silencieux : « qu’est-ce que tu attends ? »Et je commence à lui faire l’amour…Mon sexe va et vient dans sa conque, lentement pour que ma maîtresse me sente bien… puis j’accélère mes mouvements…
Marie/SofieLa langue, les mains, le sexe de Gérard me bouleversent. Je ne sais plus où j’en suis. Je ne suis plus qu’un sexe entre les mains de mon amant qui peut en jouer, en jouir comme bon lui semble. Je m’abandonne les yeux fermés. C’est trop délicieux.

Alors que l’espace d’un instant, j’ouvre les yeux, j’aperçois un homme qui nous observe… Après un instant de crainte, je me mets à sourire. C’est Paul, le coquin candauliste qui est venu pour mater et filmer nos ébats… Je referme les yeux tranquille et sereine, pour repartir en voyage avec Gérard qui fait monter lentement mon plaisir…

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