Retrospective en 20 heures
Récit érotique écrit par Bourgeoise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Retrospective en 20 heures
On m’a toujours dit dans mon milieu qu’il fallait rester vierge jusqu’au mariage, et malgré toutes mes aventures nombreuses, mais surtout discrètes, j’ai pu garder cette petite membrane intacte pour offrir fièrement cette fleur à mon mari. Et lui-même, n’a jouis de ma faveur qu’après le mariage. Dès mon plus jeune age, la sodomie fut mon alternative, ou mon issue de secours.
Dans un groupe de 8, ou je m’étais retrouvée avec 3 autres filles de bonnes familles et 4 jeunes garçons, j’avais acquis la maîtrise de la fellation et le plaisir des cunnilingus. J’en étais sortie sans problème et me suis mariée relativement assez tôt à 28 ans.
En bonne maîtresse de maison, j’ai refoulé mes anciennes habitudes dans un passé que je devais enterrer pour toujours. A trente ans j’étais maman et me voulais femmes sérieuse et idéale. 4 ans plus tard, cette image de petite salope refait surface en moi.
Une après-midi, en revenant du bain maure, et ayant très soif, je me suis adressée à un ouvrier de bâtiment à l’entrée d’une villa en construction pour demander de l’eau et c’est en croisant son regard que tout ce passé renait… quand il entra pour m’en ramener, j’ai pensé m’enfuir, mais j’ai hésité… et j’avais vraiment soif. A son retour, il me tend un verre de thé en souriant et dit : « pas mieux qu’un bon thé après le bain, n’est ce pas ?»
Dans sa main gauche, il tenait une petit chaise pliante qu’il installa à l’intérieur tout près du portail, m’invitant à m’asseoir.
« non, merci, je ne suis plus très loin, j’habite tout près….
- Je sais madame Z…, ce qui tout en me surprenant, me rassure…, je prend donc le thé assise sur la petite chaise alors qu’il m’explique avoir travaillé pour mon mari dans une villa en témoignant de tout son respect… et son admiration… j’étais donc plus confiante…
Puis trois amis à lui arrivèrent bruyamment avec des rires laissant deviner l’effet des joints sur leur état. Ils entrèrent très vite dans le batiment. Alors que je voulais partir, il tourna une clef dans a serrure du portail et les suivit à l’intérieur me laissant face au portail fermé… mon Dieu, j’étais prisonnière de quatre ados que je n’ai jamais vus… que faire ? je me suis mise dans un sal pétrin… je décide de jouer grand et pense les engueuler… je me dirige vers leur bruit pour leur faire la leçon, mais surprise, ils sont tous sans pantalon ni culotte et je ressors en vitesse dans leur rires insupportables.
Une bonne heure s’écoule avant que mon serveur de thé ne fasse son apparition avec le même rictus que les autres… cette fois il ne me respecte plus du tout et ses mains qui ne m’avaient pas encore touchée me tripotent partout, assez maladroitement.
- tu vas rester ici, passer la nuit dans le jardin ? entre avec nous tu seras au chaud, et tu vas t’amuser…
- tu disais respecter mon mari, pourtant
- oui, il se tape une si bonne femme, toutes les nuits…pourquoi pas moi une fois…
- tu veux me souiller, faire de moi une pute ?
- personne ne saura, c’est promis
- fais moi sortir, le prix que tu veux
- le prix c’est toi, ce soir
Je le supplie, le caresse, l’embrasse, et prend même son sexe en main, et l’interroge du regard
- tu en prends 4 dans le petit trou et tu seras libre… réfléchis et viens, nous t’attendons dedans… sinon tu peux crier et on dira beaucoup de bien de toi dans le quartier… imagine et réfléchis… ce disant, il me laissa froidement et rentra… je le suivi de suite pour en finir au plus tôt. Mais il me prit par le bras et me demanda de retirer ma robe pour pouvoir rentrer avec sans la salir, puis m’obligea à me dénuder entièrement puis me mena vers ses amis sans culotte qui se mirent à applaudir tous ensemble alors que lui-même, dans une sorte d’euphorie, fouetta mes fesse avec son sexe. Me serrant toujours le bras, il me demanda de saluer ses amis par des baise-mains. Chacun en profit pour me gratifier d’une caresse qui lui sera propre. Le premier me caresse délicatement le visage, le second mon cou et ma nuque, le troisième me pince les seins. Enfin, le négociateur me prend par les cheveux et embrasse ma bouche avec fougue. Puis il explique l’accord passé avec moi et les trois autres n’ont pas d’objection.
Bien sure, je garde l’air humiliée et contrainte de tromper mon mari. Avant d’entamer mes sodomies, l’un d’entre eux fait couler su shampoing sur ma fente avant de le faire glisser dans mon petit trou en me doigtant un peu. Il me met debout faisant basculer ma poitrine vers le bas en tenant mes hanches. Pendant qu’il me lime, deux autres me tiennent les bras pour éviter ma chute. L’opération fut renouvelée quatre fois, avec changement des rôles, ponctué à chaque fois par un jey de sperme dans mes entrailles sans que je ne connaisse le moindre orgasme. Dans mon rôle de sainte nitouche je ne pouvais dire que j’en voulais plus. Mon accord était alors conclus et pour les provoquer un peu, je dis fermement que je pouvais rentrer puisque j’avais honoré mes engagements.
Nue devant les quatre jeunes hommes, je sentis le ridicule de ma situation quand ils se mirent tous ensembles à discuter de la bonification à me donner et d’une surprise.
Le négociateur me pris à nouveau par le bras qu’il leva comme celui d’un vainqueur me demandant de sourire à tous et j’ai souris timidement en baissant la tête. Il tira sur mes cheveux pour la faire relever et me demanda un beau sourire en gardant mes cheveux en main. N’obtenant pas ce qu’il voulait, il me secoua en disant : « mieux que ça, madame, pour que nous puissions garder bon souvenir »… j’ai fait de mon mieux, mais il n’était pas satisfait et me chatouilla au niveau du cou, puis au niveau de mon aisselle… « Voilà ton beau sourire, embrasse-moi en le gardant »… je lui fis une bise avec le sourire, alors qu’il sembla en exiger une deuxième sur l’autre joue sans tourner sa tête. Je fus donc obligée de me retrouver dans un face à face avec lui qui me serra les hanches pour assurer le parallélisme de nos corps. Sitôt collée à son corps je senti l’érection moyenne de son jeune membre. Son genoux entre les miens me signifia des les écarter et ajustant mon menton sur son épaule, il me chuchota dans l’oreille de garder le sourire pour ses potes. Quand l’un d’eux prit le shampoing et s’approcha de nous, j’ai pensé un instant qu’il allait enculer son pote comme il me l’avait fait en début de soirée… illusion perverse. Il demanda au premier de tourner pour lui offrir mon petit trou. L’autre fit un quart de tour et j’étais prise et offerte. Le shampoing fut versé sur mon dos, puis étalé jusqu’à lubrifier la fente. C’est alors que je senti mon premier spasme de la soirée.
Un troisième voyou ramena un débris de miroir et le plaça de sorte que je puisse mieux ce qui m’arrive. Il mis ses yeux aux niveau des miens pour s’assurer de la position du miroir. Enfin il me demanda si la vue était parfaite exigeant une réponse claire. Comme je n’ai fait qu’un signe de tête il me pinça le cou et mon amant d’en face me dit : c’est une vu parfaite mon chéri, tu es un amour. Après des erreurs, des pincées et des coups, il m’embrassa fougueusement et je répondis de même alors que mon petit trou était investi, et que j’atteignais mon premier orgasme que je ne peut plus cacher. Mon premier amant se retira, me laissa ruisseler un temps, me sécha et se remit à peloter mes seins et me pénétra brutalement avant d’accorder son rythme avec celui de son ami. J’avais l‘impression d’être dans un nuage de plaisir qui serait bloqué dans une forêt de perversion. J’étais dans un état que je n’ose décrire, ne sachant même plus ce que j’étais. Quand ils jouirent tous les deux au fond de moi je croyais avoir fondu de l’intérieur. Quand mon amant de derrière se détacha de nous j’eus l’impression que quelque chose manquait et quand l’autre en fit de même je me suis sentie abandonnée. Mais ils me prirent dans leurs bras chacun d’un côté me racontant des obscénités que j’ai du apprécié sur le coup. Quand je leur ai demandé de l’eau, je fus vite servie et ce n’est qu’après avoir avalé tout le verre que je réalise une différence… « tu as mis la vie ici, et tu as demandé de l’eau, je t’ai donné de l’eau de vie »… le second me tendit un paquet de … light m’expliquant que c’était les miennes. J’en fumai une sans me soucier de ma nudité.
« tu as aimé ce qu tu nous a fait ? »
Et sans trop réfléchir je réponds par l’affirmative et les deux autres seraient ‘obligés’ de subir le même sort. Du coup, je me sens renforcée pour subir 3 autres doubles pénétrations et quatre fellations jusqu’au petit matin ou je me laisse choir toute nue dans leurs bras.
A 8 heures du matin on me réveille, rhabille et raccompagne jusque devant chez moi ou la bonne leur fait la bise a chacun et les fait entrer pour un café déjà près a cette heure un dimanche.
Elle les pressa de partir et me conduit dans la salle de bain ou ma baignoire est déjà pleine et m’aide à y pénétrer avec une tendresse anormale.
Ramenant mes cigarettes, elle en allume deux sans la moindre gène et me tend une serviette pour sécher ma droite et me tend la tige allumée.
- Tu fais la bise à ces voyous ?
- Tu es raccompagnée par eux le matin, ma chère madame, sans parler de la nuit… mais vous reveniez du bain, j’en témoigne…
Je baisse la tête humiliée en repensant à toute cette aventure alors qu’elle m’explique que beaucoup de femmes ont eu la même aventure et que beaucoup y retournent de leur plein gré.
- De toutes, madame, je suis la pire. Je suis celle qu’ils utilisent quand ils veulent une entremetteuse sous la menace de briser ma réputation aux yeux de tous et surtout de mon père et de la tribu.
Elle me proposa une seconde cigarette allumée au préalable par ses soins, me la mit entre les lèvres et caressa doucement mon visage, mon cou et mes seins avant de me relever pour des caresses plus intimes et plus délicates qui me firent jouir sans un premier temps, puis pleurer en sanglots.
Marjana me rinça, m’essuya et me mit au lit versant quelques larmes d’émotions avant de me couvrir et déposer un doux baiser sur mon front.
Ce qu’elle ne sut jamais, c’est q’en l’espace de 20 heures, j’avais vu défiler une rétrospective de toute mon évolution sexuelle de la fellation à la sodomie et le plaisir homosexuel féminin. J’avais aussi goûté la double pénétration et à l’alcool.
Dans un groupe de 8, ou je m’étais retrouvée avec 3 autres filles de bonnes familles et 4 jeunes garçons, j’avais acquis la maîtrise de la fellation et le plaisir des cunnilingus. J’en étais sortie sans problème et me suis mariée relativement assez tôt à 28 ans.
En bonne maîtresse de maison, j’ai refoulé mes anciennes habitudes dans un passé que je devais enterrer pour toujours. A trente ans j’étais maman et me voulais femmes sérieuse et idéale. 4 ans plus tard, cette image de petite salope refait surface en moi.
Une après-midi, en revenant du bain maure, et ayant très soif, je me suis adressée à un ouvrier de bâtiment à l’entrée d’une villa en construction pour demander de l’eau et c’est en croisant son regard que tout ce passé renait… quand il entra pour m’en ramener, j’ai pensé m’enfuir, mais j’ai hésité… et j’avais vraiment soif. A son retour, il me tend un verre de thé en souriant et dit : « pas mieux qu’un bon thé après le bain, n’est ce pas ?»
Dans sa main gauche, il tenait une petit chaise pliante qu’il installa à l’intérieur tout près du portail, m’invitant à m’asseoir.
« non, merci, je ne suis plus très loin, j’habite tout près….
- Je sais madame Z…, ce qui tout en me surprenant, me rassure…, je prend donc le thé assise sur la petite chaise alors qu’il m’explique avoir travaillé pour mon mari dans une villa en témoignant de tout son respect… et son admiration… j’étais donc plus confiante…
Puis trois amis à lui arrivèrent bruyamment avec des rires laissant deviner l’effet des joints sur leur état. Ils entrèrent très vite dans le batiment. Alors que je voulais partir, il tourna une clef dans a serrure du portail et les suivit à l’intérieur me laissant face au portail fermé… mon Dieu, j’étais prisonnière de quatre ados que je n’ai jamais vus… que faire ? je me suis mise dans un sal pétrin… je décide de jouer grand et pense les engueuler… je me dirige vers leur bruit pour leur faire la leçon, mais surprise, ils sont tous sans pantalon ni culotte et je ressors en vitesse dans leur rires insupportables.
Une bonne heure s’écoule avant que mon serveur de thé ne fasse son apparition avec le même rictus que les autres… cette fois il ne me respecte plus du tout et ses mains qui ne m’avaient pas encore touchée me tripotent partout, assez maladroitement.
- tu vas rester ici, passer la nuit dans le jardin ? entre avec nous tu seras au chaud, et tu vas t’amuser…
- tu disais respecter mon mari, pourtant
- oui, il se tape une si bonne femme, toutes les nuits…pourquoi pas moi une fois…
- tu veux me souiller, faire de moi une pute ?
- personne ne saura, c’est promis
- fais moi sortir, le prix que tu veux
- le prix c’est toi, ce soir
Je le supplie, le caresse, l’embrasse, et prend même son sexe en main, et l’interroge du regard
- tu en prends 4 dans le petit trou et tu seras libre… réfléchis et viens, nous t’attendons dedans… sinon tu peux crier et on dira beaucoup de bien de toi dans le quartier… imagine et réfléchis… ce disant, il me laissa froidement et rentra… je le suivi de suite pour en finir au plus tôt. Mais il me prit par le bras et me demanda de retirer ma robe pour pouvoir rentrer avec sans la salir, puis m’obligea à me dénuder entièrement puis me mena vers ses amis sans culotte qui se mirent à applaudir tous ensemble alors que lui-même, dans une sorte d’euphorie, fouetta mes fesse avec son sexe. Me serrant toujours le bras, il me demanda de saluer ses amis par des baise-mains. Chacun en profit pour me gratifier d’une caresse qui lui sera propre. Le premier me caresse délicatement le visage, le second mon cou et ma nuque, le troisième me pince les seins. Enfin, le négociateur me prend par les cheveux et embrasse ma bouche avec fougue. Puis il explique l’accord passé avec moi et les trois autres n’ont pas d’objection.
Bien sure, je garde l’air humiliée et contrainte de tromper mon mari. Avant d’entamer mes sodomies, l’un d’entre eux fait couler su shampoing sur ma fente avant de le faire glisser dans mon petit trou en me doigtant un peu. Il me met debout faisant basculer ma poitrine vers le bas en tenant mes hanches. Pendant qu’il me lime, deux autres me tiennent les bras pour éviter ma chute. L’opération fut renouvelée quatre fois, avec changement des rôles, ponctué à chaque fois par un jey de sperme dans mes entrailles sans que je ne connaisse le moindre orgasme. Dans mon rôle de sainte nitouche je ne pouvais dire que j’en voulais plus. Mon accord était alors conclus et pour les provoquer un peu, je dis fermement que je pouvais rentrer puisque j’avais honoré mes engagements.
Nue devant les quatre jeunes hommes, je sentis le ridicule de ma situation quand ils se mirent tous ensembles à discuter de la bonification à me donner et d’une surprise.
Le négociateur me pris à nouveau par le bras qu’il leva comme celui d’un vainqueur me demandant de sourire à tous et j’ai souris timidement en baissant la tête. Il tira sur mes cheveux pour la faire relever et me demanda un beau sourire en gardant mes cheveux en main. N’obtenant pas ce qu’il voulait, il me secoua en disant : « mieux que ça, madame, pour que nous puissions garder bon souvenir »… j’ai fait de mon mieux, mais il n’était pas satisfait et me chatouilla au niveau du cou, puis au niveau de mon aisselle… « Voilà ton beau sourire, embrasse-moi en le gardant »… je lui fis une bise avec le sourire, alors qu’il sembla en exiger une deuxième sur l’autre joue sans tourner sa tête. Je fus donc obligée de me retrouver dans un face à face avec lui qui me serra les hanches pour assurer le parallélisme de nos corps. Sitôt collée à son corps je senti l’érection moyenne de son jeune membre. Son genoux entre les miens me signifia des les écarter et ajustant mon menton sur son épaule, il me chuchota dans l’oreille de garder le sourire pour ses potes. Quand l’un d’eux prit le shampoing et s’approcha de nous, j’ai pensé un instant qu’il allait enculer son pote comme il me l’avait fait en début de soirée… illusion perverse. Il demanda au premier de tourner pour lui offrir mon petit trou. L’autre fit un quart de tour et j’étais prise et offerte. Le shampoing fut versé sur mon dos, puis étalé jusqu’à lubrifier la fente. C’est alors que je senti mon premier spasme de la soirée.
Un troisième voyou ramena un débris de miroir et le plaça de sorte que je puisse mieux ce qui m’arrive. Il mis ses yeux aux niveau des miens pour s’assurer de la position du miroir. Enfin il me demanda si la vue était parfaite exigeant une réponse claire. Comme je n’ai fait qu’un signe de tête il me pinça le cou et mon amant d’en face me dit : c’est une vu parfaite mon chéri, tu es un amour. Après des erreurs, des pincées et des coups, il m’embrassa fougueusement et je répondis de même alors que mon petit trou était investi, et que j’atteignais mon premier orgasme que je ne peut plus cacher. Mon premier amant se retira, me laissa ruisseler un temps, me sécha et se remit à peloter mes seins et me pénétra brutalement avant d’accorder son rythme avec celui de son ami. J’avais l‘impression d’être dans un nuage de plaisir qui serait bloqué dans une forêt de perversion. J’étais dans un état que je n’ose décrire, ne sachant même plus ce que j’étais. Quand ils jouirent tous les deux au fond de moi je croyais avoir fondu de l’intérieur. Quand mon amant de derrière se détacha de nous j’eus l’impression que quelque chose manquait et quand l’autre en fit de même je me suis sentie abandonnée. Mais ils me prirent dans leurs bras chacun d’un côté me racontant des obscénités que j’ai du apprécié sur le coup. Quand je leur ai demandé de l’eau, je fus vite servie et ce n’est qu’après avoir avalé tout le verre que je réalise une différence… « tu as mis la vie ici, et tu as demandé de l’eau, je t’ai donné de l’eau de vie »… le second me tendit un paquet de … light m’expliquant que c’était les miennes. J’en fumai une sans me soucier de ma nudité.
« tu as aimé ce qu tu nous a fait ? »
Et sans trop réfléchir je réponds par l’affirmative et les deux autres seraient ‘obligés’ de subir le même sort. Du coup, je me sens renforcée pour subir 3 autres doubles pénétrations et quatre fellations jusqu’au petit matin ou je me laisse choir toute nue dans leurs bras.
A 8 heures du matin on me réveille, rhabille et raccompagne jusque devant chez moi ou la bonne leur fait la bise a chacun et les fait entrer pour un café déjà près a cette heure un dimanche.
Elle les pressa de partir et me conduit dans la salle de bain ou ma baignoire est déjà pleine et m’aide à y pénétrer avec une tendresse anormale.
Ramenant mes cigarettes, elle en allume deux sans la moindre gène et me tend une serviette pour sécher ma droite et me tend la tige allumée.
- Tu fais la bise à ces voyous ?
- Tu es raccompagnée par eux le matin, ma chère madame, sans parler de la nuit… mais vous reveniez du bain, j’en témoigne…
Je baisse la tête humiliée en repensant à toute cette aventure alors qu’elle m’explique que beaucoup de femmes ont eu la même aventure et que beaucoup y retournent de leur plein gré.
- De toutes, madame, je suis la pire. Je suis celle qu’ils utilisent quand ils veulent une entremetteuse sous la menace de briser ma réputation aux yeux de tous et surtout de mon père et de la tribu.
Elle me proposa une seconde cigarette allumée au préalable par ses soins, me la mit entre les lèvres et caressa doucement mon visage, mon cou et mes seins avant de me relever pour des caresses plus intimes et plus délicates qui me firent jouir sans un premier temps, puis pleurer en sanglots.
Marjana me rinça, m’essuya et me mit au lit versant quelques larmes d’émotions avant de me couvrir et déposer un doux baiser sur mon front.
Ce qu’elle ne sut jamais, c’est q’en l’espace de 20 heures, j’avais vu défiler une rétrospective de toute mon évolution sexuelle de la fellation à la sodomie et le plaisir homosexuel féminin. J’avais aussi goûté la double pénétration et à l’alcool.
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