Retrouvailles avec Léonie (1ère partie)

Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Retrouvailles avec Léonie (1ère partie)
- Attends-moi à la fin de mon service...
À un moment donné, au cours de la soirée, Léonie a profité d'un répit éphémère pour m'adresser la parole. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle minaudait. Elle était douce. Elle me faisait du charme, c'était sûr...
Retour au bercail pour moi, si je puis dire, à Boulogne sur Mer. J'y ai vécu huit ans avant de revenir en Normandie, d'où je viens. Est-ce un accès de nostalgie qui m'a fait, ni une ni deux, prendre le taureau par les cornes et me faire prendre la décision d'acheter un billet de train ? Peut-être. Toujours est-il que me revoilà dans la ville où j'ai vécu de belles choses ces dernières années. J'ai réservé une chambre dans l'hôtel où j'ai travaillé une saison, il y a quelques années. Je n'ai pas conçu de programme en particulier. J'ai l'intention de me laisser emporter par le vent. Où ce vent va t-il me mener ? Peu m'importe. Ce que je sais, c'est que depuis que je suis revenu, je retrouve le plaisir d'arpenter les rues de Boulogne. Dès que je croise le chemin d'une connaissance, c'est tout autant un plaisir de m'arrêter, de discuter un peu avec elle avant de reprendre le cours de ma promenade. Et ce soir, j'ai voulu me rendre dans un lieu familier qui m'est cher : l'Irish Pub.
C'était le début de soirée. Nous sommes en plein coeur du printemps. Les jours se rallongent, petit à petit.
Après avoir longtemps parcouru la ville en long, en large, en travers, en diagonale, me voici sur la place principale de Boulogne sur Mer, la place Dalton. La place des bars et des restaurants comme on l'appelle plus communément, ici.
J'ai bifurqué sur la droite, dans la ruelle pavée étroite de la rue du Doyen. Il faisait beau. Le soleil était de la partie. Les terrasses étaient sorties. Toutes les conditions étaient réunies pour passer des bons moments, seul(e) ou accompagné(e), entre amis ou en amoureux. Moi, je me suis dirigé vers l'Irish Pub car c'était l'endroit où je voulais être à l'instant-t. J'avais hâte de voyager dans le temps, de passer un bon moment dans ce lieu où j'ai passé tant de soirées.
Il y avait un peu de monde qui était attablé en terrasse. Les gens discutaient, rigolaient autour d'un verre. Je n'ai pas reconnu de visage qui m'était familier, sur le coup. Je ne me faisais pas de soucis. Il faisait beau. Il faisait jour. CQFD : je verrais à coup sûr des connaissances à moi d'ici là. Ce n'était que partie remise. Il n'était pas question de perdre plus de temps. Non. Il était temps d'entrer à l'intérieur du pub. J'ai poussé la porte d'entrée. Instantanément, en un rien de temps, je me suis réimprégné des lieux. Ça a été comme si je n'étais jamais parti de Boulogne sur Mer. Des gens jouaient aux fléchettes. D'autres étaient attablés dans la salle, d'autres étaient encore accoudés au comptoir. Le dénominateur commun, c'est commander une consommation, prendre place, se détendre...et savourer le moment.
--------------
Je suis là, assis sur le beau canapé confortable en cuir blanc, dans le salon de Léonie. La jeune femme m'a servi un verre et m'a demandé de mettre à l'aise, le temps qu'elle se change et qu'elle porte une tenue plus... appropriée, elle m'a dit. Je suis assis sur le canapé, donc, et je patiente. Pour combien de temps Léonie en a t-elle donc?
Pour occuper le temps, je sirote le verre que Léonie m'a offert. Je regarde tout autour de moi. J'admire l'appartement de Léonie. C'est beau. C'est bien agencé. C'est bien meublé. C'est chatoyant, je trouve. Je suis persuadé qu'elle y est bien au quotidien, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds.
En parlant d'elle, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds...
J'entends des pas. Ces pas deviennent de plus en plus proches. De plus en plus proches, ces pas parviennent de plus en plus jusqu'à mes oreilles. Je reste sur le qui-vive. Soudain, c'est comme si je ne suis plus en mesure de me concentrer sur quoique ce soit. Et puis je comprends.
Léonie s'approche de moi. Elle a le sourire aux lèvres. Je suis sur le cul, moi. Elle est seins nus, comme si de rien n'était.
J'ose à peine imaginer quelle expression mon visage a. Je suis sur le cul. Je suis comme deux ronds de flan. Est-ce que c'est moi où bien Léonie est plus sexy que jamais ? Non. Je ne rêve pas. C'est ça. Elle l'est, plus sexy que jamais. J'en prends plein les yeux. Je dois avoir l'air d'un gosse qui salive devant ses cadeaux à Noël, avant de déchirer le papier qui les recouvre et de les découvrir. Eh bien... C'est précisément l'effet que Léonie me fait, ce soir.
Léonie voit la tête ahurie que je fais. Elle ne peut pas s'empêcher de rire. Là, c'est plutôt un tout petit rire coquin. Discret. Visualisez la scène.
Léonie a les seins nus.
Je suis planté là. Je suis comme deux ronds de flan. Il faut me comprendre, quoi!
Léonie m'a invité à prendre un verre chez elle, après son service.
De mon point de vue, c'était pour rattraper le temps perdu, se raconter ce que nos vies sont devenues, depuis.
- Tu es mignon, comme ça, Benoit.
Une nouvelle fois, Léonie émet son tout petit rire coquin. Elle est tellement belle, seins nus. Elle est charmante. Je suis incapable de faire quoique ce soit. C'est comme si je suis pétrifié. Je suis subjugué par le sex-appeal de Léonie. Comme à son habitude, elle capte l'attention sans faire le moindre effort.
Là, elle n'a qu'à braquer son regard dans le mien.
Elle n'a qu'à minauder.
Elle n'a qu'à bouger son corps.
Dès lors qu'elle fait tout ça, c'en est fait de moi. Et là, clairement, c'en est fait de moi.
Je n'ai d'yeux que pour Léonie. En même temps... Ce n'est pas possible qu'il en soit autrement.
- Eh bah alors, Benoit ?! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? C'est pas la première fois que je suis nue devant toi, quand même !
- Léonie... Je sais pas quoi dire. Tu es toujours aussi... Toujours aussi... Tu es toujours aussi belle.
Je suis époustouflé. En effet, Léonie est toujours aussi belle. Et elle est toujours aussi... sexy. C'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle.
- Et... toi! Be... noit! T'es toujours aussi mignon. Je me souviens bien de la fois où on a fait l'amour, toi et moi. J'en garde de bons souvenirs. Et là, j'ai... envie... de toi...
Il m'est impossible de porter mon regard ailleurs que sur Léonie. Elle est à croquer, décidément. Ce n'est juste pas possible qu'elle n'attire pas l'attention. Et c'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle. Je sais de quoi je parle.
Elle me plaît. Et là, elle ne me laisse très clairement pas de marbre.
Oui. J'ai envie de la jolie barmaid aux longs cheveux blonds.
À cause de Léonie, j'ai chaud.
J'ai de la chair de poule qui me couvre petit à petit le corps. Et pour couronner le tout, je bande. Léonie ne peut que la voir, cette bosse qui se dessine dans mon pantalon, prisonnière du caleçon que je porte.
Je bande pour Léonie. Et ce soir, je vais coucher avec elle.
Je suis bouche bée. Je suis incapable de prononcer un mot, d'émettre un son.
J'ai l'air d'un con, je sais.
Il faut me comprendre.
Léonie est une jolie nana. Elle est charmante. Et là, elle a décidé de se mettre seins nus. J'ai les yeux braqués sur sa belle poitrine ronde, dorée. Moi non plus, je n'ai jamais oublié cette nuit où nous avons couché ensemble. Ça, mais comment c'est possible d'oublier ces choses-là ? Et c'est tout autant impossible d'oublier quelqu'un comme Léonie. Là, c'est limite si je redécouvre Léonie.
Je savoure chaque regard. Chaque son. Chaque émotion.
Une part de moi est prise au dépourvu. Je l'admets. Néanmoins, il y a aussi une facette de moi qui a envie de Léonie. Car oui, j'ai envie de faire l'amour, ce soir. Il n'y a pas de doute là-dessus.
Nous allons coucher ensemble.
Si Léonie m'a invité, ce n'est ni pour enfiler des perles, ni pour causer chiffons et torchons. Et si elle est seins nus, là, sous mes yeux, c'est tout sauf par hasard.
- Détends-toi, Benoit. J'ai envie de toi, ici, ce soir. J'ai envie de toi depuis que mes yeux se sont posés sur toi, à l'Irish, tout à l'heure. Et toi, là, tu as envie de moi, toi aussi. Me mens pas. Je te vois bander...
Léonie minaude.
Ça veut tout dire.
C'est pour elle que je bande. J'ai envie d'elle.
Mon petit doigt me dit que c'est chaud bouillant, au plus profond d'elle. Je ne parviens définitivement pas à porter mon regard ailleurs que sur Léonie. C'est de la faute de cette jolie serveuse, quoi! Comprenez-moi ! Elle est belle. Elle a les seins qui sont libres de tout tissu.
Elle me sourit. Et c'est on-ne-peut-plus clair qu'elle a envie de moi.
Léonie se décide alors à combler la distance qui nous sépare. Ses seins ronds aux petites aréoles roses s'agitent lorsqu'elle marche. Mes yeux se focalisent alors sur le mouvement de cette poitrine qui ballotte. Léonie a de beaux seins, décidément. L'expression de mon regard est sans équivoque. Je suis persuadé que dans l'esprit de Léonie, ça ne fait pas l'ombre d'un doute. Elle sait qu'ils me plaisent, ses seins, et que je les trouve à mon goût. Nous nous connaissons plus... intimement, depuis cette nuit où nous avons fait l'amour il y a quelques années. Et pour jouer carte sur table... Ça m'arrive de penser à cette nuit passée avec Léonie. Certes, j'ai fait du chemin, depuis. Et c'est le cas de Léonie, aussi. Là, je les vois, les yeux de la jeune femme. Ils sont braqués droit sur moi.
Je suis la proie de Léonie.
Qu'elle fasse de moi ce qu'elle veut.
L'idée n'est pas pour me déplaire. Au contraire !
Je décide de rentrer dans le jeu de la jeune femme.
- Toi non plus, alors, ne me mens pas, Léonie. Je le vois, ton regard. Tu as autant envie de moi que moi, j'ai envie de toi.
Pour toute réponse, Léonie continue d'avancer dans ma direction.
Léonie s'est assise sur mes genoux. Elle a l'une de ses mains qui est posée sur ma cuisse et qui me la caresse.
Nous nous embrassons.
J'ai des frissons qui me prennent au corps et qui, limite, me mettent des décharges électriques tant les baisers sont agréables et que les sensations que je ressens sont intenses. Ces frissons me font trembler. Léonie me rend fébrile. Mais je suis bien, en sa compagnie.
Je réapprends à me familiariser avec le corps de Léonie. J'y vais à tâtons, à vrai dire. Je veux redécouvrir ce qui lui plaît, ce qui la fait vibrer, ce qui lui fait de l'effet, ce qui lui donne du plaisir. J'y prends goût. Et... J'y prends du plaisir.
Je touche Léonie du bout des doigts. Je savoure la douceur de sa peau. Je focalise plus particulièrement mon attention sur les yeux de Léonie, sur le langage corporel de la jeune femme, sur les bruits qui émanent de ses lèvres.
- C'est si bon, tout ce que tu me fais, Benoit. Continue...
C'est le moment que Léonie choisit pour lâcher un soupir éloquent de plaisir...
À un moment donné, au cours de la soirée, Léonie a profité d'un répit éphémère pour m'adresser la parole. Elle avait le sourire aux lèvres. Elle minaudait. Elle était douce. Elle me faisait du charme, c'était sûr...
Retour au bercail pour moi, si je puis dire, à Boulogne sur Mer. J'y ai vécu huit ans avant de revenir en Normandie, d'où je viens. Est-ce un accès de nostalgie qui m'a fait, ni une ni deux, prendre le taureau par les cornes et me faire prendre la décision d'acheter un billet de train ? Peut-être. Toujours est-il que me revoilà dans la ville où j'ai vécu de belles choses ces dernières années. J'ai réservé une chambre dans l'hôtel où j'ai travaillé une saison, il y a quelques années. Je n'ai pas conçu de programme en particulier. J'ai l'intention de me laisser emporter par le vent. Où ce vent va t-il me mener ? Peu m'importe. Ce que je sais, c'est que depuis que je suis revenu, je retrouve le plaisir d'arpenter les rues de Boulogne. Dès que je croise le chemin d'une connaissance, c'est tout autant un plaisir de m'arrêter, de discuter un peu avec elle avant de reprendre le cours de ma promenade. Et ce soir, j'ai voulu me rendre dans un lieu familier qui m'est cher : l'Irish Pub.
C'était le début de soirée. Nous sommes en plein coeur du printemps. Les jours se rallongent, petit à petit.
Après avoir longtemps parcouru la ville en long, en large, en travers, en diagonale, me voici sur la place principale de Boulogne sur Mer, la place Dalton. La place des bars et des restaurants comme on l'appelle plus communément, ici.
J'ai bifurqué sur la droite, dans la ruelle pavée étroite de la rue du Doyen. Il faisait beau. Le soleil était de la partie. Les terrasses étaient sorties. Toutes les conditions étaient réunies pour passer des bons moments, seul(e) ou accompagné(e), entre amis ou en amoureux. Moi, je me suis dirigé vers l'Irish Pub car c'était l'endroit où je voulais être à l'instant-t. J'avais hâte de voyager dans le temps, de passer un bon moment dans ce lieu où j'ai passé tant de soirées.
Il y avait un peu de monde qui était attablé en terrasse. Les gens discutaient, rigolaient autour d'un verre. Je n'ai pas reconnu de visage qui m'était familier, sur le coup. Je ne me faisais pas de soucis. Il faisait beau. Il faisait jour. CQFD : je verrais à coup sûr des connaissances à moi d'ici là. Ce n'était que partie remise. Il n'était pas question de perdre plus de temps. Non. Il était temps d'entrer à l'intérieur du pub. J'ai poussé la porte d'entrée. Instantanément, en un rien de temps, je me suis réimprégné des lieux. Ça a été comme si je n'étais jamais parti de Boulogne sur Mer. Des gens jouaient aux fléchettes. D'autres étaient attablés dans la salle, d'autres étaient encore accoudés au comptoir. Le dénominateur commun, c'est commander une consommation, prendre place, se détendre...et savourer le moment.
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Je suis là, assis sur le beau canapé confortable en cuir blanc, dans le salon de Léonie. La jeune femme m'a servi un verre et m'a demandé de mettre à l'aise, le temps qu'elle se change et qu'elle porte une tenue plus... appropriée, elle m'a dit. Je suis assis sur le canapé, donc, et je patiente. Pour combien de temps Léonie en a t-elle donc?
Pour occuper le temps, je sirote le verre que Léonie m'a offert. Je regarde tout autour de moi. J'admire l'appartement de Léonie. C'est beau. C'est bien agencé. C'est bien meublé. C'est chatoyant, je trouve. Je suis persuadé qu'elle y est bien au quotidien, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds.
En parlant d'elle, la jolie serveuse aux longs cheveux blonds...
J'entends des pas. Ces pas deviennent de plus en plus proches. De plus en plus proches, ces pas parviennent de plus en plus jusqu'à mes oreilles. Je reste sur le qui-vive. Soudain, c'est comme si je ne suis plus en mesure de me concentrer sur quoique ce soit. Et puis je comprends.
Léonie s'approche de moi. Elle a le sourire aux lèvres. Je suis sur le cul, moi. Elle est seins nus, comme si de rien n'était.
J'ose à peine imaginer quelle expression mon visage a. Je suis sur le cul. Je suis comme deux ronds de flan. Est-ce que c'est moi où bien Léonie est plus sexy que jamais ? Non. Je ne rêve pas. C'est ça. Elle l'est, plus sexy que jamais. J'en prends plein les yeux. Je dois avoir l'air d'un gosse qui salive devant ses cadeaux à Noël, avant de déchirer le papier qui les recouvre et de les découvrir. Eh bien... C'est précisément l'effet que Léonie me fait, ce soir.
Léonie voit la tête ahurie que je fais. Elle ne peut pas s'empêcher de rire. Là, c'est plutôt un tout petit rire coquin. Discret. Visualisez la scène.
Léonie a les seins nus.
Je suis planté là. Je suis comme deux ronds de flan. Il faut me comprendre, quoi!
Léonie m'a invité à prendre un verre chez elle, après son service.
De mon point de vue, c'était pour rattraper le temps perdu, se raconter ce que nos vies sont devenues, depuis.
- Tu es mignon, comme ça, Benoit.
Une nouvelle fois, Léonie émet son tout petit rire coquin. Elle est tellement belle, seins nus. Elle est charmante. Je suis incapable de faire quoique ce soit. C'est comme si je suis pétrifié. Je suis subjugué par le sex-appeal de Léonie. Comme à son habitude, elle capte l'attention sans faire le moindre effort.
Là, elle n'a qu'à braquer son regard dans le mien.
Elle n'a qu'à minauder.
Elle n'a qu'à bouger son corps.
Dès lors qu'elle fait tout ça, c'en est fait de moi. Et là, clairement, c'en est fait de moi.
Je n'ai d'yeux que pour Léonie. En même temps... Ce n'est pas possible qu'il en soit autrement.
- Eh bah alors, Benoit ?! Qu'est-ce qu'il t'arrive ? C'est pas la première fois que je suis nue devant toi, quand même !
- Léonie... Je sais pas quoi dire. Tu es toujours aussi... Toujours aussi... Tu es toujours aussi belle.
Je suis époustouflé. En effet, Léonie est toujours aussi belle. Et elle est toujours aussi... sexy. C'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle.
- Et... toi! Be... noit! T'es toujours aussi mignon. Je me souviens bien de la fois où on a fait l'amour, toi et moi. J'en garde de bons souvenirs. Et là, j'ai... envie... de toi...
Il m'est impossible de porter mon regard ailleurs que sur Léonie. Elle est à croquer, décidément. Ce n'est juste pas possible qu'elle n'attire pas l'attention. Et c'est tout simplement impossible de ne pas avoir envie d'elle. Je sais de quoi je parle.
Elle me plaît. Et là, elle ne me laisse très clairement pas de marbre.
Oui. J'ai envie de la jolie barmaid aux longs cheveux blonds.
À cause de Léonie, j'ai chaud.
J'ai de la chair de poule qui me couvre petit à petit le corps. Et pour couronner le tout, je bande. Léonie ne peut que la voir, cette bosse qui se dessine dans mon pantalon, prisonnière du caleçon que je porte.
Je bande pour Léonie. Et ce soir, je vais coucher avec elle.
Je suis bouche bée. Je suis incapable de prononcer un mot, d'émettre un son.
J'ai l'air d'un con, je sais.
Il faut me comprendre.
Léonie est une jolie nana. Elle est charmante. Et là, elle a décidé de se mettre seins nus. J'ai les yeux braqués sur sa belle poitrine ronde, dorée. Moi non plus, je n'ai jamais oublié cette nuit où nous avons couché ensemble. Ça, mais comment c'est possible d'oublier ces choses-là ? Et c'est tout autant impossible d'oublier quelqu'un comme Léonie. Là, c'est limite si je redécouvre Léonie.
Je savoure chaque regard. Chaque son. Chaque émotion.
Une part de moi est prise au dépourvu. Je l'admets. Néanmoins, il y a aussi une facette de moi qui a envie de Léonie. Car oui, j'ai envie de faire l'amour, ce soir. Il n'y a pas de doute là-dessus.
Nous allons coucher ensemble.
Si Léonie m'a invité, ce n'est ni pour enfiler des perles, ni pour causer chiffons et torchons. Et si elle est seins nus, là, sous mes yeux, c'est tout sauf par hasard.
- Détends-toi, Benoit. J'ai envie de toi, ici, ce soir. J'ai envie de toi depuis que mes yeux se sont posés sur toi, à l'Irish, tout à l'heure. Et toi, là, tu as envie de moi, toi aussi. Me mens pas. Je te vois bander...
Léonie minaude.
Ça veut tout dire.
C'est pour elle que je bande. J'ai envie d'elle.
Mon petit doigt me dit que c'est chaud bouillant, au plus profond d'elle. Je ne parviens définitivement pas à porter mon regard ailleurs que sur Léonie. C'est de la faute de cette jolie serveuse, quoi! Comprenez-moi ! Elle est belle. Elle a les seins qui sont libres de tout tissu.
Elle me sourit. Et c'est on-ne-peut-plus clair qu'elle a envie de moi.
Léonie se décide alors à combler la distance qui nous sépare. Ses seins ronds aux petites aréoles roses s'agitent lorsqu'elle marche. Mes yeux se focalisent alors sur le mouvement de cette poitrine qui ballotte. Léonie a de beaux seins, décidément. L'expression de mon regard est sans équivoque. Je suis persuadé que dans l'esprit de Léonie, ça ne fait pas l'ombre d'un doute. Elle sait qu'ils me plaisent, ses seins, et que je les trouve à mon goût. Nous nous connaissons plus... intimement, depuis cette nuit où nous avons fait l'amour il y a quelques années. Et pour jouer carte sur table... Ça m'arrive de penser à cette nuit passée avec Léonie. Certes, j'ai fait du chemin, depuis. Et c'est le cas de Léonie, aussi. Là, je les vois, les yeux de la jeune femme. Ils sont braqués droit sur moi.
Je suis la proie de Léonie.
Qu'elle fasse de moi ce qu'elle veut.
L'idée n'est pas pour me déplaire. Au contraire !
Je décide de rentrer dans le jeu de la jeune femme.
- Toi non plus, alors, ne me mens pas, Léonie. Je le vois, ton regard. Tu as autant envie de moi que moi, j'ai envie de toi.
Pour toute réponse, Léonie continue d'avancer dans ma direction.
Léonie s'est assise sur mes genoux. Elle a l'une de ses mains qui est posée sur ma cuisse et qui me la caresse.
Nous nous embrassons.
J'ai des frissons qui me prennent au corps et qui, limite, me mettent des décharges électriques tant les baisers sont agréables et que les sensations que je ressens sont intenses. Ces frissons me font trembler. Léonie me rend fébrile. Mais je suis bien, en sa compagnie.
Je réapprends à me familiariser avec le corps de Léonie. J'y vais à tâtons, à vrai dire. Je veux redécouvrir ce qui lui plaît, ce qui la fait vibrer, ce qui lui fait de l'effet, ce qui lui donne du plaisir. J'y prends goût. Et... J'y prends du plaisir.
Je touche Léonie du bout des doigts. Je savoure la douceur de sa peau. Je focalise plus particulièrement mon attention sur les yeux de Léonie, sur le langage corporel de la jeune femme, sur les bruits qui émanent de ses lèvres.
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C'est le moment que Léonie choisit pour lâcher un soupir éloquent de plaisir...
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