Retrouvailles avec Léonie... (2ème partie)

Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Retrouvailles avec Léonie... (2ème partie)
Léonie vient de lâcher un soupir éloquent de plaisir. Ça veut tout dire.
- C'est si bon, tout ce que tu me fais, Benoit. Continue...
La jeune femme lâche un autre soupir. J'ai des frissons qui me prennent au corps et qui me le parcourent, mon corps. Comprenez-moi. Les lèvres de Léonie sont moulées sur les miennes. Moi ? Je ne peux pas m'empêcher de poser mes deux mains sur Léonie. La jeune femme est là, penchée sur moi et le haut de son corps est dénudé. Que puis-je faire d'autre ?
Si Léonie se comporte comme ça dans son appartement alors que nous ne sommes que tous les deux, il y a peu de place pour le doute. Ce n'est pas pour rien.
Je décide de tout débrancher dans ma tête. À l'instant-t, la réflexion n'a pas lieu d'être.
Léonie est là. Elle a le sourire aux lèvres. Elle a ses longs cheveux blonds vénitiens qui sont lâchés et qui volent au vent. Elle a les seins nus. Expliquez-moi, dès lors, comment il peut être possible d'avoir les yeux ailleurs... À mes yeux à moi, c'est clair, net, précis. Je ne vois que Léonie. Dans mon esprit, il n'y a que Léonie. Ça aussi, c'est clair, net, précis. Quelques années plus tard, les sensations reviennent.
Nous échangeons un baiser. Pas un mot n'est prononcé. Nous savourons nos retrouvailles. Nous réapprenons à être intimes. Je sens les lèvres de Léonie sur les miennes. Je ressens l'entrain que la jeune femme a lorsqu'elle m'embrasse. C'est moi ou... elle est... déchaînée ? Quand elle m'embrasse, je sens son buste qui se colle contre mon torse et ce, même si je suis sur le canapé et qu'elle, elle est penchée sur moi. Peu m'importe. Je débranche tout. Il n'y a que Léonie qui m'obsède.
Quand elle m'embrasse, quand elle a ses beaux seins qui se collent à moi, je ne peux pas m'empêcher d'effectuer un voyage dans le temps. Juste... le temps d'un instant, mon esprit s'évade.
Là. Je revois Léonie, la toute première fois où nous nous sommes vus, à l'Irish Pub. Blonde, les yeux bleus, habillée sexy mais sans en faire de trop. Gentille, professionnelle et tchatcheuse à la fois. Oui. Je crois bien, avec le recul, que j'ai eu un faible pour Léonie dès le départ.
Pour me trouver une occupation, une contenance somme toute relative, je tends la main vers la table basse du salon et je me saisis du verre que Léonie vient de me servir. Le verre au bord des lèvres, j'avale une gorgée de la boisson que Léonie m'a servi. J'ai beau être là, assis sur le canapé, chez Léonie parce que j'en ai envie... Et Léonie a beau m'exciter, qui plus est parce qu'elle a les seins nus... Je dois reconnaître que j'ai du mal à lâcher du lest... et à profiter de la tournure que les évènements de la soirée prennent.
Je peux compter sur Léonie... et sur son charme pour que je puisse faire abstraction de tout.
Ce soir, je retombe sous le charme de la jolie serveuse.
Je vois bien qu'elle fait tout pour que je succombe à son charme, une fois pour toutes. Elle sourit. Elle est à moitié vêtue. Elle, elle est complètement détendue. Elle joue alors, soudain, le tout pour le tout pour me faire plier... et me faire définitivement rompre.
Depuis tout à l'heure, Léonie est debout, penchée sur moi, le haut du corps dénudé. Tout à l'heure, elle s'est mise à me caresser la cuisse. Je sens sa main qui me touche. Je sens sa main parcourir ma peau malgré mon pantalon. Plus elle me caresse, plus sa main se rapproche de mon entrejambe, petit à petit.
Plus Léonie me touche, plus j'ai chaud. Plus Léonie me pelote, plus je bande. Soudain, Léonie interrompt ses caresses. Je la vois prendre place sur le canapé, à côté de moi. Je commence à sentir des frissons qui m'installent dans mon corps et qui le parcourent.
Les gestes de Léonie me mettent dans tous mes états. J'ai chaud. Je frissonne. J'ai la chair de poule. Je bande. Léonie a beau se contenter de me caresser comme ça... Je ne sais déjà plus à quel saint me vouer. Léonie est tellement jolie. Elle ne cesse pas d'être sexy. Son attitude parle pour elle : elle a envie de moi. Et moi, j'ai envie d'elle. Si fort.
Léonie est assise sur le canapé, et la caresse de sa main sur mon entrejambe se fait plus... ferme. Plus... gourmande, à vrai dire. La belle serveuse sait ce qu'elle veut, et elle est décidée. C'est moi qu'elle veut, et elle n'en fait qu'à sa tête. Léonie ne regarde pas un instant sa main, les gestes qu'elle fait. C'est moi qu'elle prend entre quatre yeux.
- Ne bouge pas, Benoit. Laisse-moi faire. Ferme les yeux. Juste... pense à moi... et à ce que je te fais...
La voix de Léonie est douce. La jeune femme ne force pas sur son organe lorsqu'elle me parle. C'est intime, ses mots, ses paroles qu'elle m'adresse. C'est moi, l'objet de son désir, ce soir. C'est de moi dont elle a envie, ce soir.
C'est ainsi que je pousse une inspiration. L'instant d'après, j'expulse l'air de ma bouche. Comme si c'était une recette miracle, l'effet est immédiat.
Je sens que mes muscles se relâchent, que mon corps est plus léger. Ainsi donc, Léonie aurait des pouvoirs magiques ? Si c'est le cas, j'accepte volontiers qu'elle me jette des sorts pour qu'elle maintienne sous son charme. En y réfléchissant, c'est... tentant.
Je me fie à Léonie. J'ai les yeux fermés. Je me concentre sur les sensations et stimuli que je ressens. Je sens la main de Léonie qui me touche et qui me caresse...
Je sens le souffle chaud de Léonie lorsqu'elle respire toute contre moi. J'entends la voix de la jeune femme qui me murmure des choses... sensuelles à l'oreille. Ce que je ressens, ici, à l'instant-t ? C'est comme si j'étais sous hypnose. Léonie s'en donne à cœur joie, de son côté, j'ai l'impression. Je suis sa proie. Je n'ai aucune échappatoire. Les yeux fermés, je me laisse toucher... peloter... caresser. Léonie en profite allègement, à ce que je sens. C'est moi ou Léonie est plus sensuelle, plus sexy que jamais ? Bon d'accord... Elle a toujours été très jolie. Et elle a toujours mis un point d'honneur à être la plus coquette possible. Léonie me plaît depuis la seconde où je l'ai vue. Pendant un long moment, elle a nourri mes fantasmes. Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à elle ? Combien d'orgasmes ai-je eu en m'imaginant que c'est elle qui me les procurait ? Combien d'éjaculations ont eu lieu et qu'à chaque fois, c'était Léonie qui me faisait jouir ?
Léonie est l'une des plus belles femmes que j'ai connu de toute ma vie.
Et puis... Il y a eu... Cette nuit-là, il y a quelques années. Comment oublier cette nuit où j'ai fait l'amour avec Léonie ? J'en garde un très beau souvenir, encore aujourd'hui. Léonie fait partie de ces personnes que l'on rencontre un jour et qui prennent une place particulière, à jamais, dans notre cœur.
Je n'ai pas de bandeau sur les yeux qui me prive de la vue. Soit. C'est tout comme. Si Léonie m'a demandé de les fermer, mes yeux, c'est qu'il y a une raison. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avoir les yeux fermés me permet de porter une attention particulière à ce que Léonie me dit, à ce que Léonie me fait. Les sensations sont ainsi décuplées. Mes sens, eux, sont exacerbés. Léonie est géniale dans le comportement qu'elle a. Plus je l'entends, plus je la sens et plus j'apprends à me détendre. Je n'en oublie pas pour autant pourquoi je suis ici, ce soir. Léonie me fait de l'effet. Peut-être même... Plus que jamais.
J'ai chaud. J'ai le cœur qui bat à toute vitesse. Et pour couronner le tout... Je bande. Cette fois, c'est sûr: si Léonie ne me fait pas le moindre effet, si je n'ai pas envie d'elle tout d'un coup, je ne comprends plus rien. Léonie, elle, poursuit ce qu'elle a commencé. À mes yeux, ce sont des préliminaires à part entière. Et Léonie s'y prend si bien. Si bien que je lâche du lest et que je me sens sur la même longueur d'onde qu'elle.
- Comment tu te sens, Benoit ?
La voix de Léonie est plus forte. Elle ne me murmure plus à l'oreille. Pour autant, son organe est toujours aussi agréable à entendre.
- Léonie... Je me sens... Je me sens... Je me sens bien. Tu as des pouvoirs magiques ou quoi ?
- Mmmh... Peut-être... Et ça te fait quoi, ce que je te fais ? J'ai besoin de savoir, Benoit.
- Ta bouche contre mon oreille... Tes mains sur mon corps... Ça m'aide à me détendre. Ça me fait du bien, Léonie. Ça fait... que je suis en phase avec toi.
- Et si tu les rouvrais, tes yeux, à présent, Benoit ?
"Et si tu les rouvrais, tes yeux, à présent, Benoit ?"
La voix de Léonie rend cette phrase... sexy.
- Prends tout ton temps s'il le faut, Benoit. On est pas à cinq minutes près. Le plus important, c'est qu'au moment où tes yeux vont se rouvrir, tu me voies... et que tu aies plus que jamais envie de moi.
Mon... dieu! Je suis plus que jamais sous le charme de la jolie barmaid de l'Irish Pub. Et... Elle n'a pas de soucis à se faire. J'ai envie d'elle. Très... envie d'elle.
Elle a ses beaux seins ronds nus. Ils sont dorés par le soleil car la belle aime être topless lorsqu'elle va au bord de la mer. Elle use de ce grain de voix caressant qui lui est propre. L'effet est inéluctable sur moi.
C'est alors que je sens que Léonie me prend les deux mains dans les siennes. Les mains de Léonie sont douces. Elles sont chaudes. Je prends instantanément un coup de chaud. Ainsi, Léonie me transmet un peu de sa chaleur.
La sensation se diffuse dans mon corps. C'est tellement agréable que j'en ai des frissons. C'est intense, ce que je ressens. Tellement intense... que j'en tremble. J'en viens même à ne plus trop contrôler les mouvements de mon corps.
Mes mains sont toujours dans celles de Léonie.
Soudain, je sens quelque chose de doux, de tiède, de moelleux, de rebondi. Rond.
- Tu peux rouvrir les yeux, Benoit.
Je rouvre les yeux. Mes pupilles se réhabituent à la lumière. Elle est tamisée, dans le salon de Léonie.
En parlant de Léonie... Elle se tient à côté de moi, sur le canapé. Elle me regarde.
Je la regarde. Puis un détail retient mon attention. Mes mains sont toujours dans les siennes. Elles ne sont pas posées n'importe où...
Léonie sait que ses seins me plaisent...
- C'est si bon, tout ce que tu me fais, Benoit. Continue...
La jeune femme lâche un autre soupir. J'ai des frissons qui me prennent au corps et qui me le parcourent, mon corps. Comprenez-moi. Les lèvres de Léonie sont moulées sur les miennes. Moi ? Je ne peux pas m'empêcher de poser mes deux mains sur Léonie. La jeune femme est là, penchée sur moi et le haut de son corps est dénudé. Que puis-je faire d'autre ?
Si Léonie se comporte comme ça dans son appartement alors que nous ne sommes que tous les deux, il y a peu de place pour le doute. Ce n'est pas pour rien.
Je décide de tout débrancher dans ma tête. À l'instant-t, la réflexion n'a pas lieu d'être.
Léonie est là. Elle a le sourire aux lèvres. Elle a ses longs cheveux blonds vénitiens qui sont lâchés et qui volent au vent. Elle a les seins nus. Expliquez-moi, dès lors, comment il peut être possible d'avoir les yeux ailleurs... À mes yeux à moi, c'est clair, net, précis. Je ne vois que Léonie. Dans mon esprit, il n'y a que Léonie. Ça aussi, c'est clair, net, précis. Quelques années plus tard, les sensations reviennent.
Nous échangeons un baiser. Pas un mot n'est prononcé. Nous savourons nos retrouvailles. Nous réapprenons à être intimes. Je sens les lèvres de Léonie sur les miennes. Je ressens l'entrain que la jeune femme a lorsqu'elle m'embrasse. C'est moi ou... elle est... déchaînée ? Quand elle m'embrasse, je sens son buste qui se colle contre mon torse et ce, même si je suis sur le canapé et qu'elle, elle est penchée sur moi. Peu m'importe. Je débranche tout. Il n'y a que Léonie qui m'obsède.
Quand elle m'embrasse, quand elle a ses beaux seins qui se collent à moi, je ne peux pas m'empêcher d'effectuer un voyage dans le temps. Juste... le temps d'un instant, mon esprit s'évade.
Là. Je revois Léonie, la toute première fois où nous nous sommes vus, à l'Irish Pub. Blonde, les yeux bleus, habillée sexy mais sans en faire de trop. Gentille, professionnelle et tchatcheuse à la fois. Oui. Je crois bien, avec le recul, que j'ai eu un faible pour Léonie dès le départ.
Pour me trouver une occupation, une contenance somme toute relative, je tends la main vers la table basse du salon et je me saisis du verre que Léonie vient de me servir. Le verre au bord des lèvres, j'avale une gorgée de la boisson que Léonie m'a servi. J'ai beau être là, assis sur le canapé, chez Léonie parce que j'en ai envie... Et Léonie a beau m'exciter, qui plus est parce qu'elle a les seins nus... Je dois reconnaître que j'ai du mal à lâcher du lest... et à profiter de la tournure que les évènements de la soirée prennent.
Je peux compter sur Léonie... et sur son charme pour que je puisse faire abstraction de tout.
Ce soir, je retombe sous le charme de la jolie serveuse.
Je vois bien qu'elle fait tout pour que je succombe à son charme, une fois pour toutes. Elle sourit. Elle est à moitié vêtue. Elle, elle est complètement détendue. Elle joue alors, soudain, le tout pour le tout pour me faire plier... et me faire définitivement rompre.
Depuis tout à l'heure, Léonie est debout, penchée sur moi, le haut du corps dénudé. Tout à l'heure, elle s'est mise à me caresser la cuisse. Je sens sa main qui me touche. Je sens sa main parcourir ma peau malgré mon pantalon. Plus elle me caresse, plus sa main se rapproche de mon entrejambe, petit à petit.
Plus Léonie me touche, plus j'ai chaud. Plus Léonie me pelote, plus je bande. Soudain, Léonie interrompt ses caresses. Je la vois prendre place sur le canapé, à côté de moi. Je commence à sentir des frissons qui m'installent dans mon corps et qui le parcourent.
Les gestes de Léonie me mettent dans tous mes états. J'ai chaud. Je frissonne. J'ai la chair de poule. Je bande. Léonie a beau se contenter de me caresser comme ça... Je ne sais déjà plus à quel saint me vouer. Léonie est tellement jolie. Elle ne cesse pas d'être sexy. Son attitude parle pour elle : elle a envie de moi. Et moi, j'ai envie d'elle. Si fort.
Léonie est assise sur le canapé, et la caresse de sa main sur mon entrejambe se fait plus... ferme. Plus... gourmande, à vrai dire. La belle serveuse sait ce qu'elle veut, et elle est décidée. C'est moi qu'elle veut, et elle n'en fait qu'à sa tête. Léonie ne regarde pas un instant sa main, les gestes qu'elle fait. C'est moi qu'elle prend entre quatre yeux.
- Ne bouge pas, Benoit. Laisse-moi faire. Ferme les yeux. Juste... pense à moi... et à ce que je te fais...
La voix de Léonie est douce. La jeune femme ne force pas sur son organe lorsqu'elle me parle. C'est intime, ses mots, ses paroles qu'elle m'adresse. C'est moi, l'objet de son désir, ce soir. C'est de moi dont elle a envie, ce soir.
C'est ainsi que je pousse une inspiration. L'instant d'après, j'expulse l'air de ma bouche. Comme si c'était une recette miracle, l'effet est immédiat.
Je sens que mes muscles se relâchent, que mon corps est plus léger. Ainsi donc, Léonie aurait des pouvoirs magiques ? Si c'est le cas, j'accepte volontiers qu'elle me jette des sorts pour qu'elle maintienne sous son charme. En y réfléchissant, c'est... tentant.
Je me fie à Léonie. J'ai les yeux fermés. Je me concentre sur les sensations et stimuli que je ressens. Je sens la main de Léonie qui me touche et qui me caresse...
Je sens le souffle chaud de Léonie lorsqu'elle respire toute contre moi. J'entends la voix de la jeune femme qui me murmure des choses... sensuelles à l'oreille. Ce que je ressens, ici, à l'instant-t ? C'est comme si j'étais sous hypnose. Léonie s'en donne à cœur joie, de son côté, j'ai l'impression. Je suis sa proie. Je n'ai aucune échappatoire. Les yeux fermés, je me laisse toucher... peloter... caresser. Léonie en profite allègement, à ce que je sens. C'est moi ou Léonie est plus sensuelle, plus sexy que jamais ? Bon d'accord... Elle a toujours été très jolie. Et elle a toujours mis un point d'honneur à être la plus coquette possible. Léonie me plaît depuis la seconde où je l'ai vue. Pendant un long moment, elle a nourri mes fantasmes. Combien de fois me suis-je masturbé en pensant à elle ? Combien d'orgasmes ai-je eu en m'imaginant que c'est elle qui me les procurait ? Combien d'éjaculations ont eu lieu et qu'à chaque fois, c'était Léonie qui me faisait jouir ?
Léonie est l'une des plus belles femmes que j'ai connu de toute ma vie.
Et puis... Il y a eu... Cette nuit-là, il y a quelques années. Comment oublier cette nuit où j'ai fait l'amour avec Léonie ? J'en garde un très beau souvenir, encore aujourd'hui. Léonie fait partie de ces personnes que l'on rencontre un jour et qui prennent une place particulière, à jamais, dans notre cœur.
Je n'ai pas de bandeau sur les yeux qui me prive de la vue. Soit. C'est tout comme. Si Léonie m'a demandé de les fermer, mes yeux, c'est qu'il y a une raison. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'avoir les yeux fermés me permet de porter une attention particulière à ce que Léonie me dit, à ce que Léonie me fait. Les sensations sont ainsi décuplées. Mes sens, eux, sont exacerbés. Léonie est géniale dans le comportement qu'elle a. Plus je l'entends, plus je la sens et plus j'apprends à me détendre. Je n'en oublie pas pour autant pourquoi je suis ici, ce soir. Léonie me fait de l'effet. Peut-être même... Plus que jamais.
J'ai chaud. J'ai le cœur qui bat à toute vitesse. Et pour couronner le tout... Je bande. Cette fois, c'est sûr: si Léonie ne me fait pas le moindre effet, si je n'ai pas envie d'elle tout d'un coup, je ne comprends plus rien. Léonie, elle, poursuit ce qu'elle a commencé. À mes yeux, ce sont des préliminaires à part entière. Et Léonie s'y prend si bien. Si bien que je lâche du lest et que je me sens sur la même longueur d'onde qu'elle.
- Comment tu te sens, Benoit ?
La voix de Léonie est plus forte. Elle ne me murmure plus à l'oreille. Pour autant, son organe est toujours aussi agréable à entendre.
- Léonie... Je me sens... Je me sens... Je me sens bien. Tu as des pouvoirs magiques ou quoi ?
- Mmmh... Peut-être... Et ça te fait quoi, ce que je te fais ? J'ai besoin de savoir, Benoit.
- Ta bouche contre mon oreille... Tes mains sur mon corps... Ça m'aide à me détendre. Ça me fait du bien, Léonie. Ça fait... que je suis en phase avec toi.
- Et si tu les rouvrais, tes yeux, à présent, Benoit ?
"Et si tu les rouvrais, tes yeux, à présent, Benoit ?"
La voix de Léonie rend cette phrase... sexy.
- Prends tout ton temps s'il le faut, Benoit. On est pas à cinq minutes près. Le plus important, c'est qu'au moment où tes yeux vont se rouvrir, tu me voies... et que tu aies plus que jamais envie de moi.
Mon... dieu! Je suis plus que jamais sous le charme de la jolie barmaid de l'Irish Pub. Et... Elle n'a pas de soucis à se faire. J'ai envie d'elle. Très... envie d'elle.
Elle a ses beaux seins ronds nus. Ils sont dorés par le soleil car la belle aime être topless lorsqu'elle va au bord de la mer. Elle use de ce grain de voix caressant qui lui est propre. L'effet est inéluctable sur moi.
C'est alors que je sens que Léonie me prend les deux mains dans les siennes. Les mains de Léonie sont douces. Elles sont chaudes. Je prends instantanément un coup de chaud. Ainsi, Léonie me transmet un peu de sa chaleur.
La sensation se diffuse dans mon corps. C'est tellement agréable que j'en ai des frissons. C'est intense, ce que je ressens. Tellement intense... que j'en tremble. J'en viens même à ne plus trop contrôler les mouvements de mon corps.
Mes mains sont toujours dans celles de Léonie.
Soudain, je sens quelque chose de doux, de tiède, de moelleux, de rebondi. Rond.
- Tu peux rouvrir les yeux, Benoit.
Je rouvre les yeux. Mes pupilles se réhabituent à la lumière. Elle est tamisée, dans le salon de Léonie.
En parlant de Léonie... Elle se tient à côté de moi, sur le canapé. Elle me regarde.
Je la regarde. Puis un détail retient mon attention. Mes mains sont toujours dans les siennes. Elles ne sont pas posées n'importe où...
Léonie sait que ses seins me plaisent...
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