Sacrée soirée

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Sacrée soirée Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sacrée soirée
Rappel important :
Tous nos rapports ont été réalisé sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Pour des raisons ďéconomie de temps, je n'ai pas pris la peine de préciser que tous les acteurs masculins ont respecté le port de Mon seigneur CONDOM moi y compris car il n'est pas présent que pour nous protéger du SIDA et MST, mais aussi de protéger la partenaire de ma vie, de tomber enceinte.
Les seules fois où je n'ai pas eu à porter ce manteau en plastique, étaient lors de la conception de nos 2 enfants. Et bien sûr je ne l'ai plus utilisé le préservatif avec MA FEMME quand elle a eu sa ménopause.
Dernier point : il va sans dire, que même maintenant lors de nos parties de baises, Mr CONDOM est là.
P.S : si je mettais bout à bout tous les préservatifs qui ont recouvert mon zob, ils auraient fait le tour de la terre :))


UNE SOIRÉE AU RESTO


Nous sommes tous les deux dans un grand restaurant de la région parisienne.

La salle est comble et nous sommes dans un coin.

— Tu te sens prête à relever un défi coquin ?

Après 2-3 minutes de réflexion :

— D'accord, me fait-elle les yeux brillants.

On vient juste de nous servir notre plat d'entrée. Une agréable salade composée à base de foie gras de cresson et de canard.

— Tu es prête à jouer le jeu ? Que je lui demande.
— J'en suis toute excitée... Je mouille déjà me dit-elle en parlant avec une petite voix.
— Je veux que tu ailles aux toilettes et que tu retires ta culotte... Tu reviendras à table et je veux que ce gros porc qui est à côté... Tu l'allumes en t'arrangeant pour qu'il voit que tu es nue sous ta jupe !
— Wouah... Il va faire une crise cardiaque le pauve... D'autant plus qu'il n'arrête pas de me mâter !!
— Je l'avais remarqué d'où cette idée de défi... Alors tu te lèves et je t'attends…

Sans rien dire de plus Caline pose sa serviette sur la table, se leve et là elle marque un point, car en passant près de lui, elle s'arrange pour croiser le regard du bonhomme à la table voisine qui est entrain de dîner avec sa femme, toute aussi grosse que lui. Celui-ci suit de son regard discret passer ma meuf.
Caline se dirige vers l'escalier qui descend... À ce que nous nommons poétiquement en Arabe "Bitt Errahaa"... "Errahaa" en arabe veut dire "repos"ou "soulagement"... Donc Caline descend vers la chambre des soulagements.
Voilà qu'elle disparait dans les bas fonds du restaurant et je ne peux m'empêcher de regarder le gros homme qui replonge ses yeux dans son assiette après avoir dégusté une gorgée d'un vin. Sa femme est silencieuse et semble tout aussi absorbée par son assiette que son époux !

Caline revient quelques minutes après et en repassant devant la table du gros bonhomme, elle le regarda droit dans les yeux avec son plus charmant sourire. Celui-ci tout émoustillé lui répond par un signe de tête et un semblant de sourire qui échappe à l'attention de sa femme. Il en profita pour s'essuyer la bouche en même temps quelque peu intimidée par le sourire que lui faisait cette belle femme blonde.

— Alors ? Que je lui demande.
— Hummm… J’ai vraiment la côte… !!
— Tu en doutais ? Sérieusement... Tu es nue sous ta robe ?

Elle me tendit sa serviette

— Regardes ! Dit-elle

Je prends la serviette et je tombe sur son string blanc qui s'essuie les babines. Je le prends et le porte à mon nez afin de sentir l'odeur de cette chatte qui fait fantasmer les hommes et surtout ce gros...
Je range, le micro-tissu dans la poche de veste. Maintenant il me faut tout observer et faire comme si je n’étais au courant de rien.

Je jette des coups d’œil au couple d’à côté, le gros bonhomme est juste en face de Caline. À deux reprises je le surprends entrain de jeter, lui aussi des coups d’œil à Caline tout en dégustant son plat.
Cette dernière, en bonne coquine, joue aussi le jeu. Se dégageant sur le coté de la table, pour que la nappe ne puisse pas obstruer le regard libidineux de ce pervers, pour croiser et décroiser les jambes.

— Ahki arabbi (parles en arabe)! Que j'invite Caline.

Parler plusieurs langues est un avantage et une richesse intellectuelle importante. Perso je parle cinq langues : l'arabe, le français et anglais (que parle Caline aussi), l'italien et l'allemand.
Donc j'avais demandé à ma petite princesse de poursuivre la conversation en arabe pour être certain que ma "victime" ne puisse rien capter.

— Il fait quoi là notre cochon ?
— Il est tout rouge !
— Il a capter que tu n'as pas de culotte ?
— Et comment ! Il en a même faillit avaler de travers ! Hihihi... Me dit ma princesse.
— Alors chauffe-le comme tu sais bien le faire !
— Tu aurais pu me choisir un plus bel étalon !!! Me dit-elle
— Il n'y aurai pas eu de défi à ce moment là !
— J’ai un peu honte de ce que je suis entrain de faire…
— Mais tu es toute excitée !
— Ouiiii....
— Alors.... Tu dois assumer !! Que je lui glisse en français dans le texte, avant de rajouter - Tu t’arranges pour que ta jupe remonte un peu, tu te tournes un peu et tu croises et décroises tes jambes…T’inquiètes pas, il m’arrête pas de te regarder, à voir la façon avec la quelle il te bouffe des yeux, il y peu de risque qu'il s'en aperçoive pas !
— C’est la première fois que je fais cela… Tu es fou !
— Oui je sais... Mais le plus fou de nous, c'est toi !
— Why ?
— Car tu acceptes de jouer le jeu de mon fantasme !

Je vois que Caline devient toute rouge et qu'elle est entrain de se poser des questions, alors pour ne pas faire tomber la "pression" (oui je sais... Je suis un grand...), je lui dis :

— Bois un verre de ce bon vin cela va te donner du courage !

Elle s’exécute et je la vois glisser ses mains sous la table afin de remonter sa jupe. Caline a une paire de jambes magnifiquement bien dessinés et comme je le lui ai "exigé" (bien gentiment, il va sans dire, avec des mots doux) il y a un bout de temps, qu'elle n'a plus le droit, que de porter des jupes ou des robes quand on est de sortie ensemble.

Le gros homme replonge régulièrement le nez dans son assiette et d’où je suis, je peux l’observer sans qu’il puisse croiser mon regard. À priori les sourires de Caline ne l’ont pas laissé indifférent.

— Il n’arrête pas de me regarder ! Me dit elle.
— Tu n'étonne... Décroches lui tes sourires… Ceux qui font fondre les hommes !
— Idiot... Il est laid ce mec !
— Allez... Exécutions !
— Wouah... J’ai le cœur qui bat à 150 !
— Moi aussi… Et... "Zebbi bech ifatak sorweli" (mon zob va percer mon futaie) !
— Tu es excité à ce point "ya halouf" (cochon)?

Sans plus attendre Caline s’arrange pour croiser ses jambes, laissant apparaître le dessus supérieur de ses cuisses. Visiblement d’où il est, le gros homme, ne peut pas rester indifférent à cette vue exceptionnelle (que j'imagine).

— Ça marche ! Il en avale de travers. Me dit Caline en rigolant.
— Écartes tes jambes au max !

Caline se penche sur sa droite, comme si elle allait ramasser quelque chose tombée, ce qui l'oblige à écarter le compas de ses jambes. Après 10 - 20 ou 30 secondes, elle se redresse sur son siège. Il était évident que depuis sa place, le gros bonhomme peut voir le sexe fraîchement épilée de Caline sans difficulté. Un sexe admirable décorée de magnifique lèvres roses. Je suis fou de son sexe, elle a une petite chatte adorable.

— Tu crois qu’il s'est bien rincé les yeux ? Me demande-t-elle.
— Lèves tes yeux dans ses yeux et fais lui un grand sourire si tu veux une réponse ! Que je lui suggère.

Après avoir avalé deux bouchés de son plat, Caline lève les yeux vers notre victime, tout sourire. L'effet de ce mouvement ne se fait pas attendre. Le bonhomme lui adresse aussi un petit rictus coquin avec un clin d'œil. Le bonhomme semble prêt à exploser. J'imagine bien que son sexe allait exploser, car cela aura été le même cas pour moi. Et J'imagine les efforts qu'il doit déployer pour que sa femme ne s’aperçoive de rien.

— Il mate le salaud grave là !
— Laisses faire, mais attention si sa femme se retourne qu’elle ne pique une crise !
— C’est dégeux ce sentiment... Je me sens fouillée dans tous les coins de ma chatte !
— Et ça ne t'excite pas ? Pourtant tu aimes bien que je te fouille le "kiss" (chatte) de mes doigts !
— Oui... Et non ! Des doigts oui... Des yeux non !
— L'exhibition c'est ça... Être excité d'être vu ! Restes tranquille et continue à manger sans croiser les jambes.

La situation change lorsque sa femme ayant certainement une envie pressante se lève pour aller aux toilettes. Aussitôt, le mari prend une position dans laquelle il a une qualité de spectacle affolante de ce qui s’offre à lui à moins de deux mètres.
La femme s’éloigne vers le fond de la salle

— Maintenant écartes un peu plus les cuisses et chauffes le à mort !
— Tu veux qu'il me saute dessus ?
— Ici dans ce resto ? Laisse moi rire !
— Que va-t-il dire de moi ?
— Il dira que tu es une cochonne qui aime être coquine... Et je m’en moque royalement, on ne le connaît pas ce mec, et j'te parie qu'il ne va pas tarder à aller se branler si tu le chauffe bien !

Caline me fait oui de la tête, s'expose aux yeux de ce gros voyeur en écartant un peu plus les cuisses, offrant la splendeur de sa jolie moule toute lisse.
A ce moment-là, le gros bonhomme se tourne pour voir ce que je fais. Comme si de rien n'était, je plonge mes yeux dans la carte restée sur la table afin de lui laisser la certitude que je n’ai pas repérer leurs manège. Rassuré, du coin de l'œil, que je ne le voyais pas lorgner sur le bas ventre de ma petite princesse il fait ce que j’attendais le moins, tomber sa serviette par terre volontairement.Ce fut l’occasion pour lui de se pencher et de mieux apprécier le sexe de ma cochonne. Celle-ci à présent a passé le cap du trac et elle sait que le gros mec est dans un état d’excitation extrême. Il a, lui aussi deviner que Caline lui est une cochonne qui aime offrir son corps aux yeux des inconnus.

— Je mouille grave, mon cœur… J’en peux plus j’ai envie de jouir tellement je suis excitée. J'ai envie que ce gros porc me viole !
— Là ça devient très hard ma belle ! Que je lui dis.

Je comprends à ce moment là, l’émoi du personnage qui se sent frustré lorsqu'il voit sa femme revenir des toilettes et qu'il doit laisser tomber les plaisirs que ses yeux étaient entrain d'accumuler.
La femme reprend sa place face à son époux qui a le rouge aux joues et qui transpire comme le porc qu'il est. Un serveur s’approche d’eux avec une carte des menus afin qu'ils choisissent leurs dessert.

— Combien tu paries qu’il va se lever pour aller aux toilettes ? Demande ai-je en riant.
— Tu crois qu’il va aller se branler ?
— S’il ne le fait pas c’est que tu ne lui as fait aucun effet !

En effet après avoir choisi son dessert, le mec tire de sa poche un gros cigare et prononce quelques mots à sa femme, certainement pour lui dire qu’il allait fumer.

— S’il se lève et qu’il va aux toilettes…Tu le suis deux minutes après !!!
— Tu es fou Hamed… Non ! Je ne veux pas !
— Tu t’es engagée à relever mon défi chérie !
— Et que veux tu que je fasse aux toilettes ?
— Tu me raconteras... Hihihi !

À peine cet échange fini, voilà que le bonhomme se lève de son siège en remettant en place son pantalon sur son gros ventre et armé de son cigare jette un regard lourd sur Caline. Je baisse les yeux vers mon assiette afin de ne pas croiser son regard. Caline lui lance à nouveau un sourire le regardant s’éloigner.

— Il va se branler tu crois ? Tu as vu son poids ? Il fait 3 fois le mien ! Il ne m’inspire rien de bon !
— C’est notre jeu ! Tu vas te lever et aller toi aussi aux toilettes…Tu le vois descendre ?
— Oui... Et il vient de me faire un geste de la tête !
— Laisses le descendre et dans une minute tu te lèves et tu y vas !
— Mais qu’est ce que je vais faire en bas… Il va me sauter dessus !
— Peut-être bien que oui, peut-être bien que non... C’est un restaurant chic ici tu as oublié ? Allez vas-y maintenant.

De par l'endroit où, la grosse femme, de notre bonhomme, est assise, elle ne peut voir ma coquine qui se lève. Caline se penche vers moi et me murmure :

— J’ai la trouille... Mais je te le jure... Tu vas me le payer !
— J'attends ton défi ! Que je lui dis en souriant de tous mes dents.
— Tu ne perds rien à attendre... Ma vengeance sera terrible ! Qu'elle jette en s’éloignant.

Je regarde ma montre, qui m'indique qu'il est 21h17 précis. Je la vois quelques instants après descendre l’escalier qui mène à la chambre des "soulagements".
21h46, Caline est de nouveau assise à notre table.
Ce qui suivit c’est Caline qui me l’a raconté :

"— En descendant les escaliers, je vois le gros bonhomme en train d'attendre entre les toilettes des femmes et celles des hommes. Il suit mes pas qui descendent les marches. Je suis morte de trouille car je l'avais volontairement excité et je ne sais pas quelle pourait être sa réaction. Je fais semblant de vouloir aller vers les toilettes des dames et lui demande toute intimidée :

— Excusez moi, puis-je passer ?
— Vous a-t-on déjà dit que vous êtes belle ? Me dit-il.
— Merci... Vous permettez ! Lui lance ai-je, en lui faisant comprendre que je voulais passer pour aller dans l’espace réservé aux femmes.

À ce moment-là, il me saisit par le bras.

— Tu m’as montré ta chatte tout à l’heure… Maintenant je veux la voir de plus près et la toucher !
— Pour qui me prenez vous Monsieur... Lâchez moi s’il vous plait ! Dis-je doucement.

Je n’ai pas eu le temps de me détacher de sa poigne que'il me tire de toutes ses forces dans la cabine réservé aux handicapés.
Me faut-il crier au risque de déclencher un scandale ou continuer le jeu ?
Je n’ai pas le temps de réfléchir, que déjà il soulève ma jupe dévoilant à sa vue mon sexe humode.

— Montes la dessus dit il en abattant le couvercle des toilettes.

Me forçant toujours de sa main je grimpe sur l’abattant toute tremblante d’émotion. L’homme fixaait mon abricot et, je suppose qu'il a pu apercevoir que j'étais toute excitée à ce moment là. N’y tenant plus il me caresse le ventre et sa main glisse entre les cuisses.

— Restes comme tu es... J'vais te bouffer la moule ! Me dit-il.

Je sens alors sa grosse tête se plaquer contre mon entrejambe et avant de comprendre ce que je suis entrain de vivre, de subir, je sens une langue humide écarter les lèvres de mon sexe.
Et le plus bizarre dans cette histoire, c'est que cela n'a fait qu'augmenter mon excitation.
Imagine toi : moi debout, sur la cuvette des toilettes, mes mains cherchant où s'agriper pour ne pas tomber, entrain de me faire un cunni par un gros bonhomme que j'ne connais ni d'Éve ni d'Adan et le pire dans tout ça, c'est que j'ai kiffé qu’il me lèche... Tellement j'ai kiffé, que j'n’ai pas senti qu’il a mis son doigt dans l’cul.

— Et alors ? Lui ai-je demandé.
— Alors ? J'me suis accroché à sa tête pour ne pas me fracasser quand ma première jouissance est arrivée !
— Wahhh... Parfois j'me dis que j'aurais bien voulu être une femme pour vivre de tels plaisirs ! Lui dis-je.
— C'est pour ça que j'partage avec toi se que tu m'as fait découvrir... Mais n'empêche... Tu vas me le payer cher !
— Et après ? Que je lui demande, tout excité par cette révélation.
— Après ? Ce fut moins drôle !
— Pourquoi cela ?
— Il m’a fait descendre du siège, il m’a prit ma main et l’a posée sur sa braguette ! Il bandait comme un bœuf…J’ai senti une énorme bosse sous son gros ventre, et a commencé à transpirer de partout…
Il a, alors, ouvert sa braguette et a sorti son sexe... Un zob... pas très long, mais énorme, assez gros et tordu !
Il m’a pris ma main et l’a posé sur son sexe pour que j'le branle.
— Tu étais excitée ?
— Même si l'mec n'est pas top de chez top, tu sais très bien, depuis le temps qu'on est ensemble, que la vue d’un sexe m’excite toujours même s'il est en plastique ! Bref,
Comme il ne doit pas s'absenter bien car sa meuf l'attend ce fut le moment que je redoutais le plus !
— Comment cela ?
— Il a pris son sexe et il m’a dit «suces salope !»... J'ai failli vomir tellement son sexe sentait l’urine.. Mais comme je suis une bonne salope, je me suis lâché tellement j’étais excitée, je l’ai sucé, presque à m’étouffer jusqu'à le faire cracher son lait de porc... Que j'ai... A... V... A... L... E... R
— Quel goût il a son sperme ?
— Dommage que notre mec soit parti, j'te l'aurais fait gouter, mais il a un goût un plus... Sucré que le tien... Hihihi !
— Tu as aimé ?
— Oui... Non... Peut-être !!!
— Tu sais... Vous êtes restés plus de vingt minutes ! Je sautais sur mon siège tellement j'avais peur... J'me demandais si j'ne devais pas aller te chercher !
— Et sa femme ? Elle ne s’est aperçu de rien ?
— Non la grosse a mangé tranquillement son dessert tout en discutant au téléphone, elle n'a pas vraiment vu le temps passer ! "




Ainsi fut réalisé son défi... Je savais que Caline aime les situations particulières à nos jeux de sexe... Cela donne dans un couple toujours beaucoup de piment


À suivre...

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Texte coquin : Sacrée soirée
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