Scène de chambre - histoire érotique

La lumière du soleil couchant donne à sa chambre une teinte orangée et chaleureuse. Alors qu’elle se tient, face à son miroir, elle s’accorde une minute pour détailler son corps nu. Ses doigts remontent le long de sa jambe droite, elle ferme un peu les yeux et savoure la douceur de sa peau frémissante à ce contact. Elle frôle sa hanche et continue son cheminement sur son ventre. Un frisson de plaisir remonte le long de son dos, elle le laisse s’épanouir et se transformer en chair de poule sur ses bras. Ses seins se redressent, ses tétons durcissent brièvement sous l’effet de ses doigts qui s’y arrêtent un instant avant de glisser dans son cou, sur sa clavicule et de redescendre très lentement sur son plexus. Elle ouvre les yeux et elle le voit. Il se tient dans l’embrasure de la porte, dans le plus simple appareil, ne perdant pas une miette du spectacle qu’elle lui offre. A travers le reflet du miroir, leurs yeux se trouvent, ils s’arriment l’un à l’autre. Joueuse, elle continue l’exploration de son anatomie, ne le quittant pas du regard. Avec malice, elle porte sa main droite à sa bouche, entrouvre ses lèvres et suçote distraitement son majeur. De son doigt, elle caresse ses lèvres, penche un peu la tête en arrière et pousse un soupir suggestif. A ce qu’elle peut en voir, son petit manège semble efficace. De sa main gauche, elle titille son téton qui durcit furieusement et pointe son reflet.

Elle le voit se déplacer et la rejoindre. Il passe sa main sur son ventre, descend sur sa cuisse, en caresse l’intérieur et elle sent un échauffement dans son bas ventre. Légères, ses mains vagabondent sur son corps, sa peau frémit à leur passage. Ses seins se gonflent, elle sent son clitoris se tendre en réponse au sexe de son partenaire dressé contre sa fesse. Elle s’en saisit et commence un va et vient lascif qui arrache à l'homme un grognement de plaisir. Il pose ses lèvres dans son cou, juste sous son oreille et y dépose une myriade de baisers. Sa langue titille son lobe, elle gémit et tandis qu’il continue de l’embrasser, il glisse sa main sur son sexe et d’un doigt, il effleure son clitoris. Elle se cambre, elle voudrait ruer mais elle se soumet au délice de ses caresses.

Elle fait la moue quand il l’abandonne pour lui faire face mais se laisse inviter à s’asseoir sur le bord du lit. Elle tressaille en le voyant s’agenouiller devant elle, imaginant déjà le plaisir qu’il s’apprête à lui offrir. Il s’accorde quelques minutes pour se rassasier de ce corps qu’il n’a de cesse de désirer. Ses clavicules saillantes et bien dessinées, ses seins ronds et lourds, son ventre souple, ses hanches voluptueuses, son sexe qui n’a plus de secret pour lui mais encore plein de promesses, ses jambes veloutées.

N’y tenant plus, il l’embrasse doucement, lèche ses lèvres avec gourmandises, happe son souffle qui se fait court, il frotte son nez dans son cou, se délecte de son odeur. De sa langue, il agace ses tétons, les suce goulûment, les mordille. Elle se mord les lèvres, cherchant à retenir la vague qui déferle. Plus il descend, plus sa respiration à elle se fait saccadée. Elle ne rend pas les armes mais il gagne du terrain quand il la bascule en arrière et écarte ses jambes. Elle sent sa barbe sur ses cuisses, alors que de sa langue il caresse ses lèvres, délicatement. Elle pose son pied droit sur l’épaule de son partenaire, et comme s’il attendait ce signal, il se fait plus entreprenant. Il lèche avidement son clitoris, l’aspire, le relâche puis recommence.

Il sent qu’elle lâche prise, elle cherche à se soustraire à sa langue mais change d'avis, ouvre un peu plus ses cuisses et vient au contact de sa bouche. Enhardi, il glisse doucement un doigt en elle et lui arrache un petit cri qui durcit un peu plus son érection. Il va et vient doucement tout en continuant à promener sa langue sur le sexe chaud et mouillé de sa compagne. Elle relève la tête, et lui adresse un regard fiévreux, lui intimant de continuer, mais il tient à la faire languir et retire son doigt. Il se redresse, prenant appui sur le bord lit et s'introduit dans sa bouche. Leur langue se trouvent, se caressent, elle goute à son propre parfum sur ses lèvres à lui.

Il saisit son érection, plus dure que jamais et vient frotter son gland contre son clitoris humide. Elle pousse un petit cri de plaisir et lui mord la lèvre inférieure. Tout son corps n’attend que lui. Elle voudrait le sentir en elle mais il n’en a pas encore fini avec elle, et continue à frotter son membre sur son intimité, fait mine de vouloir la pénétrer puis se retire et recommence. Elle tremble de désir et dans un souffle, le supplie de la prendre. Un petit sourire satisfait se dessine sur son visage, qu’est-ce qu’elle est excitante quand elle réclame.

Doucement, il entre en elle. Elle est mouillée à souhait, chaude et bien glissante. Il râle de plaisir, elle vient se coller contre lui, le bassin remonté. L’invitation est claire. Il entame un mouvement de balancement, d’abord délicat mais ne peut réfréner longtemps son envie et accélère le rythme. Chaque coup de pilon, la fait gémir, il n’en est que plus excité. D’un geste vif, il se retire et la retourne sur le ventre. Pas besoin de la guider, elle a compris. A quatre pattes, elle lui offre une vue imprenable sur ses fesses, et l’invite à reprendre en se frottant sur son chibre. Il a le gout du labeur et ne se fait pas prier pour continuer. Il saisit sa longue tresse, la contraignant à se cambrer un peu plus quand il s’enfonce en elle de nouveau. Une claque sur les fesses lui arrache un cri de plaisir. Il pense avec un sourire que les voisins sont peut-être à table et redouble d’intensité.

Elle se contorsionne et passe sa main sous entrejambe pour saisir ses bourses, les masser, les serrer et sens qu’il s’en délecte. D’un doigt, il caresse l’entrée de son anus sans cesser de remuer en elle. Puis, quand son corps l’y autorise, il fourre un doigt, puis deux et alors qu’elle semble basculer vers un état porche de l’extase, y dirige son membre et entre en elle par une autre voie, délicatement d’abord. Centimètre par centimètre, il s’enfonce délicieusement puis recommence à bouger en rythme. Elle, se caresse le clitoris que l’excitation reste à son paroxysme pousse des gémissements qui le font durcir encore un peu plus. Ils sont à l’unisson, elle prête à jouir et lui prêt à exploser.

Quand elle se laisse tomber sur le ventre, vaincue par l’orgasme, il se retire pour éjaculer sur ses fesses dans un grognement satisfait et lance une dernière claque sur ses fesses rougies avant de déposer un baiser dans son cou et de s'allonger à ses côtés.