Séjour estival coquin en Aveyron
Récit érotique écrit par Castajl1 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séjour estival coquin en Aveyron
Je me prénomme Sylvain, informaticien, célibataire bisexuel, 30 ans depuis un mois, 1,72m, 68Kg, cheveux châtains courts, légèrement musclé mais sans plus, je pratique la natation, le jogging régulièrement et suis adepte du naturisme.
Nous sommes en Juillet 2022, en Aveyron, mon pote de 31 ans qui se prénomme Julien a loué un gîte dans un petit bled perdu du département, il est ingénieur dans l’aéronautique et n’est pas trop gêné financièrement, il a donc assuré pour se louer une superbe petite maison fraîchement restaurée dans le plus pur style aveyronnais, un séjour et un salon modernes qui tranchent avec le style rustique de l’extérieur, cuisine américaine, deux belles chambres avec des lits XXL très cocooning avec chacune salle d’eau intégrée, et cerise sur le gâteau dans un petit terrain de 500m2 super bien entretenu et fleuri, une piscine bien exposée au pied de la terrasse ombragée.
Le terrain est clos et ceinturé d’une haie de thuyas de 1,50m, ce qui protège correctement d’éventuels regards indiscrets.
Julien est un beau mâle d’un mètre quatre-vingt, 69 Kg, le teint halé, brun bouclé aux cheveux mi-longs, super bien gaulé, de beaux pectoraux que je lui envie, lui aussi est bi et très porter sur le sexe.
Pour tout dire nous nous sommes rencontrés dans un club libertin au Cap d’Agde à l’été 2019, tous deux accompagnés à cette époque de belles créatures, moi une asiatique en vacances et lui une parisienne bien allumée. La soirée avait été chaude dans tous les sens du terme, et nous avions finis tous les quatre dans un salon en partouze totalement débridée, où j’avais pu découvrir ses dons d’amant bisexuel, ce dont je suis adepte depuis mon adolescence.
Cette soirée avait réellement été sous le signe du « No limit », les nanas s’étaient gouinées devant nous sans aucun tabou, nous n’en étions pas restés pour autant uniquement spectateurs, bien que j’adore me branler en matant deux nanas se faire l’amour, j’avais rapidement goûté à la queue de Julien, une manière plutôt sympa de faire connaissance, et rapidement les nanas nous sont tombées dessus pour déguster les plaisirs de l’hétérosexualité et des membres bien raides que nous leur proposions.
Depuis on se revoit assez souvent avec Julien, c’est ainsi qu’il m’a invité à passer une semaine dans sa location estivale.
Il m’avait appelé trois semaines auparavant en me demandant si une semaine ensemble avec une nana de 26 ans, chaude et sans tabou, à se partager tous les deux, m’intéressait.
Comment résister à une telle invitation ?
Elle se prénomme Carla, elle est espagnole, d’origine de Séville et travaille depuis 5 ans, à Toulouse dans la même boite que lui.
Le programme me convenait d’autant qu’elle lui avait donné son accord pour ce trio estival après m’avoir vu en photo en string de bain sur l’i-phone de Julien, une photo très suggestive je l’avoue, qu’il avait faite sur la plage de Biarritz lors d’une de nos escapades en célibataires en rut.
Elle lui a même répondu qu’elle avait hâte de découvrir plus en détail mon anatomie qui lui semblait prometteuse, petite cochonne !...
Julien m’a confirmé que c’était une vraie chienne au lit, infatigable et hyper gourmande, elle fait preuve de beaucoup d’imagination côté sexe m’a-t-il dit, elle est adepte des tenues hyper sexy et elle lui a confessé qu’elle s’éclatait un max dès lors qu’elle avait deux bites dans son lit… ou ailleurs… puisque les lieux insolites semblent fortement l’exciter.
Tous ces détails m’émoustillent et je n’avais qu’une hâte… Arriver rapidement au gîte… et surtout être en forme face à ce phénomène !
Mon récit ne mentionnera que quelques épisodes épiques de cette semaine d’escapade aveyronnaise, car je peux vous assurer qu’il m’a fallu, au retour, quelques jours pour me remettre de ces vacances érotico-gourmandes et mon récit serait trop long pour vous narrer tous les délires sexuels de notre trio !
Effectivement j’ai plus baisé en une semaine qu’en deux mois dits « normaux ».
Après avoir un peu galéré malgré l’aide de mon GPS, j’arrive donc au gîte perdu dans un lieu-dit éloigné de deux kilomètres du centre du village, le samedi vers 16h30 sous un soleil de plomb.
Julien est arrivé le matin même avec Carla, ils étaient partis ensemble de Toulouse.
Il m’accueille torse nu et en short court blanc et bien moulant, le contraste de son bronzage ressortait bien avec ce short immaculé, nous nous embrassons et je le félicite quant à sa tenue sexy et son corps bien foutu.
Il me répond aussitôt en riant :
- Ne te fous pas de moi… mon corps tu le connais dans tous les détails, mais attends tu n’as pas tout vu, coquin, je vais te présenter la belle andalouse…
Il s’éclipse dans la maison et revient une minute plus tard, accompagné de Carla, elle est en paréo rouge et ocre avec des fleurs exotiques, un haut de tee-shirt très court blanc qui lui moulait tout juste et parfaitement ses seins de taille honorable, pieds nus, un fessier généreusement rebondi, bien bronzée, elle s’approche et m’embrasse sans détour.
Avec un léger accent hispanique :
- Bonjour Sylvain, tu es aussi beau que sur la photo du portable de Julien, simplement un peu plus habillé ! Je suis contente de faire ta connaissance et à priori on ne devrait pas trop s’ennuyer tous les trois, me fit-elle avec un clin d’œil coquin.
Moi agréablement surpris par son commentaire enjoué :
- Bonjour Carla, merci, tu es très belle aussi, Julien ne s’est pas trompé, son choix me convient parfaitement !
Julien me répond :
- Ne me dis pas que tu doutais de mes choix féminins ? Mais n’oublies pas que Carla est pour nous deux, nous devons nous la partager pour la semaine, ne sois pas trop possessif Sylvain !
Carla répond sans attendre :
- Attention les mecs, je suis peut-être la seule nana ici mais je vous préviens, je ne suis pas venue ici uniquement pour la bronzette… Vous allez devoir assurer !
Sa réponse spontanée résumait bien l’attente qu’elle pouvait attendre de nous, elle m’avait l’air effectivement bien chaude la nénette et ça n’était pas pour me déplaire.
Carla s’approche à nouveau de moi, me déboutonne ma chemisette hawaïenne et me caresse le torse avec le dos de sa main, me passe la main dans les cheveux et termine sa course en me palpant les fesses au travers de mon bermuda :
- Pas mal, j’adore les mecs au petit cul.
Julien me donne un clin d’œil et m’invite à décharger mes bagages et prendre possession de ma chambre.
- Il n’y a que deux chambres, mais c’est suffisant pour nous trois !
- Je n’imaginais pas Carla dormir seule, lui dis-je en me marrant.
J’avais roulé depuis Paris et n’attendais qu’à prendre une bonne douche sous cette chaleur torride. Julien m’invita à passer dans la salle d’eau le temps de sortir une bonne bière fraîche que nous consommerons sur la terrasse.
Il n’y avait pas cinq minutes que j’étais sous la douche à l’italienne sous les jets tièdes de la pomme de douche que Carla fit irruption dans la salle d’eau et se mis à me mater sous tous les angles… Un peu surpris mais sans plus, je continuais à me savonner le corps en insistant sur mon cul qui semblait la ravir et bien sûr me savonnais l’entrejambes avec délicatesse et me décalottais le gland sans complexe afin d’assurer une hygiène parfaite.
Carla me tendit une grande serviette de bain en me disant :
- Je voulais voir la marchandise en détail… Et elle me convient parfaitement ! Ton bronzage intégral me ravit et aussi j’adore les sexes rasés de près… ton anatomie me plait beaucoup… Tout est parfait Sylvain.
Puis elle quitta la salle d’eau en chantonnant, satisfaite de ce qu’elle avait découvert.
J’enfilais un de mes mini-maillots de bain en lycra jaune, il faut dire que mes tenues estivales sont souvent minimalistes, c’est où à poil où avec des maillots ne cachant que le strict minimum, c’est mon côté « exhib » qui m’excite beaucoup. Je n’ai recours à un boxer ou short de bain que lorsque je suis en compagnie de gens très conventionnels et peu portés sur le quasi naturisme, autrement dit… pratiquement jamais !
Carla me découvrant avec ce bout de textile aux couleurs du soleil :
- Ouahhhh tu es choux, j’adore ton maillot, il te moule à la perfection… et ton petit cul est trop tentant… Mais là attention tu as interdiction de bander mon petit, sans ça la bébête va sortir !
Décidemment on ne se connaissait que depuis quelques heures seulement, mais elle était bien chaude la gamine, ses remarques coquines faisaient marrer Julien qui nous invitait à nous rapprocher de la table pour consommer une bonne bière et Coca pour notre espagnole avide de jouer avec nos castagnettes !
Le short blanc de Julien avait lui aussi attiré le regard de Carla, elle l’avait bien chauffé en lui disant qu’il était hyper sexy mais que ça faisait gay, effectivement ce short très court moulant son anatomie avec brio, le tissus légèrement transparent laissait deviner aisément un jock-strap noir dessous.
Pour sa part, Carla laissait son paréo s’ouvrir sur le côté sans trop de retenue, ce qui avait attiré nos regards de mec et constaté qu’elle ne portait rien dessous.
Tout en sirotant nos consommations, les discussions arrivent rapidement sur nos désirs mutuels, nos fantasmes, nos aventures coquines et nos envies de baise en trio bi.
Carla nous avoue qu’elle adore faire l’amour avec plusieurs nanas plutôt plus âgées qu’elle… mais pas que, elle est sex-addict avec les mecs, elle nous avoue être accro à la bite et aime la consommer sous toutes ses formes sans aucune restriction, avec un, deux partenaires ou en partouze, elle adore pratiquer le dogging en pleine nature dans des lieux de drague, sur la plage ou en club…. Bref une nympho totale et débridée.
Julien, lui, nous confirme qu’il adore baiser des nanas de tout âge, mais aussi baiser des mecs et se faire prendre le cul par une bonne queue, il est comme moi adepte des clubs libertins, il pratique des partouzes entre amis chez lui plusieurs fois l’année, son fantasme est de se faire goder par une nana en suçant des mecs.
Et moi… je confessais à mes deux partenaires que j’avais passé toute mon adolescence et jusqu’à 25 ans à me taper uniquement des mecs, que je ne fréquentais à l’époque que des saunas ou clubs gay, que j’étais plutôt passif mais pas que, puis à 26 ans au cours d’une soirée bien arrosée entre amis, j’ai tenté de me faire une belle asiatique qui m’a apporté un plaisir extraordinaire, nous sommes restés ensemble plusieurs mois, elle m’a finalement converti à l’hétérosexualité ou plus exactement à la bisexualité car j’ai conservé sans complexe le désir de me faire des mecs, et aujourd’hui je pratique les deux sexes sans aucun tabou.
Après toutes ses révélations intimes, nous n’avions plus de complexes et de cachotteries à nous faire, la semaine allait être chaude et prometteuse.
Carla après avoir bu son Coca vint s’asseoir entre nous deux et commença à nous caresser avec ses deux mains, puis nous embrassant à tour de rôle, elle dirigea chacune de ses mains sur nos cuisses, puis rapidement commença une palpation détaillée de nos entrejambes.
- Hummmm mes cochons vous semblez aimer ça !
Julien et moi tentons de lui faciliter le travail en écartant nos cuisses, le short serré de Julien commençait à le serrer, quant à moi, le lycra se tendait à vue d’œil, Carla tira sur le cordon pour libérer ma queue en me disant :
- Je te l’avais bien dit qu’il ne fallait pas que tu bandes petit salaud !
Carla se mis à rire et conseilla à Julien de virer son short trop déformé :
- Laisse-lui de la place à ta queue, elle ne demande qu'à prendre un peu de liberté !
Julien suivi rapidement ses conseils, il vira son short et l'on put voir son jock noir bien tendu, ses fesses bronzées très légèrement poilues sont superbes et un peu galbées comme je les aime, d’ailleurs je les ai caressées plus d’une fois.
Carla défit son paréo et se retrouva le minou à l'air, rasé de près et ses fesses couleur miel lisses et bien rebondies, avec son haut de tee-shirt couvrant tout juste sa poitrine et laissant apparaitre ses tétons pointus, c'était d'une beauté excitante, l'excitation pouvait se constater en matant nos entrejambes bien tendus.
Carla d'un air coquin et aguicheur nous lance :
- Ça vous excite bande de queutards, ça vous dit un abricot à sucer après votre petite mousse ?
Effectivement son abricot était superbement excitant, un "Mont de Vénus" parfait, lisse et bien bombé.... Carla s'approcha de Julien qui était assis, elle approcha sa chatte à hauteur de la bouche de mon pote qui ne résista pas longtemps à lui lécher le sexe lisse comme une peu de bébé, trop beau, trop bon, sa langue chercheuse s'enfonçait dans la fente qui s'ouvrait comme une invitation à la pénétration humide de cette langue masculine, la séance de suce et de léchouilles dura au moins vingt-cinq minutes, Carla gémissait par petits cris étouffés, les lèvres de son clitoris excité ressortaient bien maintenant, humides elles trahissaient son excitation, la langue de Julien était maintenant accompagnée de son index qui lui titillait la chatte par des va et viens et des mouvements circulaires...
Moi j'avais fait tomber le maillot de bain, mon gland était bien humide, cette vision de la langue de mon pote dans ce clito en feu me faisait bien mouiller, je les regardais tout en me branlant lentement, ma queue droite comme un « i » quel beau spectacle érotique sous la tonnelle de cette terrasse, la forte chaleur ambiante excitant tous nos sens...
Cette séance se termina par des roulages de pelles entre nous trois, nos langues s'entremêlaient, la saveur de la chatte mouillée et excitée de Carla étant toujours présente sur celle de Julien qui nous la transmettait par sa salive... Hummm !
Nous décidâmes de terminer nos étreintes en plongeant dans la piscine qui annonçait entre 28°C et 30°C. Cette première journée me plaisait beaucoup !
C’est donc tous les trois à poil que nous décidions de nous faire un barbecue pour finir cette première soirée de trio désinhibé.
Inutile de dire combien ce dîner fut accompagné d’attouchements coquins voire limite incorrects, chacun se doigtant outrageusement entre deux grignotages.
Ce trio me plaisait décidemment bien, il y a longtemps que je ne m’étais senti aussi libre, aussi relax, aussi naturel, nous plaisantons sur nos corps respectifs, sur nos culs, sur nos membres virils, sur nos couilles, sur la chatte de Carla, tout était prétexte à la discussion débridée, à l’humour parfois sarcastique, pervers et aux gestes de tendresse érotico-coquins… Bref plus de tabous entre nous.
A minuit, nous décidons de prendre la direction de la chambre, Carla la première couchée sur le grand lit nous dit :
- Allez les mecs, montrez-moi de quoi vous êtes capables, ce soir je suis votre jouet, amusez-vous !
Nous n’avons pas attendons pour entreprendre nos ébats, Julien s’est calé entre ses cuisses pour lui lécher à nouveau la chatte et moi j’entreprends de lui lécher et titiller les seins bien gonflés et bien pointus, puis nos queues bien bandées de chaque côté de sa bouche elle se mit à nous sucer à tour de rôle en gorges profondes, c’est une vraie goulue la salope, elle engouffre nos bites à la limite de se faire vomir, elle est vraiment addict du zob, j’en ai rarement vues d’aussi accro, ses assauts buccaux nous allument un max mais nous maîtrisons nos pulsions afin de ne pas lui juter en bouche.
Puis elle nous dit :
- Maintenant je veux vous voir vous sucer mutuellement les mecs, je veux découvrir vos dons de pédés bande de pervers et si je suis satisfaite vous pourrez ensuite me baiser à votre aise !
Aussitôt je me mis en devoir de sucer les 19 cm de Julien qui ne débandait plus, comme moi, depuis près d’une heure, ce salaud s’est laissé sucer en râlant assez fort, j’engloutissais sa queue tout en lui palpant les couilles légèrement poilues, elles étaient pleines et compactes :
- Je vais te les vider mon pote, lui-dis-je entre deux fellations.
Carla se masturbait en se délectant de nos ébats entre mecs, elle prit quelques photos pour son album personnel :
- Vas-y Sylvain, dit-elle, vide-lui les couilles, il est chargé à mort, fais-lui cracher sa semence et toi Julien largue-lui ta purée sur le visage, j’adore voir et même recevoir des faciales, je me délecte de sperme chaud et dégoulinant sur mes joues, arrose-le, il n’attend que ça ce petit pédé.
Il était évident qu’elle prenait son pied à assister à cette fellation entre mecs, en tant que suceuse experte elle aurait aimé prendre ma place, mais moi je n’avais pas l’intention de lui laisser la queue de Julien, je suis un très bon suceur et me délecte d’avoir un membre viril en bouche, Julien gémissait de plaisir et moi je lui faisait des gorges profondes, je le sentais venir, j’avais envie qu’il m’éjacule en pleine figure… c’est mon kiffe, je n’ai pas eu à attendre très longtemps, dès que je me mis à lui doigter la rosette en profondeur, je senti son jet de foutre m’inonder la gorge, je me suis retiré et ce cochon continuait de me cracher son sperme chaud dans les yeux, sur le nez, sur les joues… c’est alors que Clara vint prendre sa tige en furie et l’engouffra en bouche pour avaler les derniers jets et lui nettoyer le gland à grands coups de langue et en continuant de la branler jusqu’à la dernière goutte.
Une fois essuyée elle nous dit :
- Vous vous comportez vraiment comme deux belles salopes et j’adore ça ! C’est beau deux mecs qui se pompent, prochaine fois j’aimerai que ce soient vos deux lances qui me crachent leurs jus sur mon corps et je vous obligerai à me lécher jusqu’à la dernière larme de sperme petits vicelards !
Après lui avoir promis qu’elle aurait sa récompense, nous prenons une bonne douche ensemble. Ensuite nous nous sommes endormis enlacés tous les trois nus comme des vers dans ce lit immense, bien adapté aux ébats à plusieurs, la baie vitrée ouverte car la température restait élevée. Vers quatre heures du matin, je fus réveillé par des petits gémissements… en ouvrant l’œil je vis Carla se faire prendre en levrette par Julien sur le tapis de la chambre, il la limait à grands coups de reins et ses testicules venaient claquer sur les fesses de la belle hispanique :
- Ça va les jeunes… Je ne vous dérange pas ? leur dis-je.
Carla en pleins cris de plaisirs et Julien en plein vas et viens me répondent :
- Non, non, tu peux dormir tranquille, dans cinq minutes on te rejoint.
Inutile de dire que le réveil fut tardif et ce régime de baise nocturne fut par alternance le quotidien de nos nuits durant toute la semaine ! Parfois en duo, parfois le trio.
Les petits-déjeuners se prenaient sur la terrasse où à poil ou en string, Carla adorait sucer le miel lorsqu’on enduisait nos queues de ce nectar… Une vraie butineuse la nénette !
Nous adorions prendre nos bains de soleil sur les transats entre deux plongeons. Un après-midi Carla décida de faire un jeu sur la pelouse :
- Je vais enduire vos queues de crème de masturbation et je vais vous branler en même temps tous les deux et le premier qui largue la purée paiera le resto ce soir !
La règle était simple et nous acceptâmes sans sourciller, c’est un exercice un peu périlleux pour moi car j’ai parfois tendance à manquer de résistance à l’éjaculation lorsque je suis bien excité… On verra bien !
Nous nous installâmes de chaque côté de notre bourreau des cœurs, elle nous tartine sa crème épaisse histoire d’exciter nos tiges et nos glands, top c’est parti !
Au départ elle y va doucement, tout va bien, la crème devient plus fluide par le mouvement, elle nous chauffe la queue… Une petite musique jazzy se diffusait de son enceinte nomade… le bonheur, nous, impassibles les bras le long de nos corps allongés avec interdiction de bouger, dix minutes de branle extra, puis le rythme augmente un peu, nos regards amusés se croisent et Carla continue de nous astiquer en nous traitant de tous les noms d’oiseaux histoire de nous exciter et nous humilier un peu plus : Mauviettes, pédés, salopes, putes, branleurs de mes deux, enculés, bons à rien, tapette… nos glands étaient violacés et totalement décalottés… à peine vingt minutes s’étaient passées que Julien commençait sérieusement à se tortiller dans tous les sens, puis trente seconde plus tard dans un gémissement de mâle en rut, une succession de jets de sperme jaillissent de son gland pour s’écraser sur sa cuisse… et moi curieusement j’avais tenu… mais à peine une minute après mon pote je larguais la sauce en émettant un rugissement bien masculin, mon sperme s’était étalé sur mon ventre jusqu’au thorax après plusieurs jets puissants.
Le soir, Julien, le perdant de l’épreuve, nous a emmené dans un restaurant vraiment super sympa au centre du village, avec ambiance musicale, la terrasse était pleine, nous avons passé une excellente soirée, à boire, à rire, Carla qui aime s’exhiber n’avait pas mis de culotte sous sa mini-jupe de jean’s… quand je dis mini, c’était clairement ras la moule, inutile de dire combien les regards des estivants ou des serveurs étaient orientés, aussi bien les mecs que les nanas ce sont égarés sur son entrejambe de chienne en chaleur. Certains n’hésitant pas à faire une photo avec leur smartphone et dans ce cas-là, Carla facilitait la prise de vue en écartant avantageusement les cuisses. Il est clair que son clito est aujourd’hui dans plusieurs portables ! Nous avons pu confirmer son côté exhibitionniste débridée. Son attitude de pute en chaleur a plutôt contribué à partager cette soirée dans une ambiance super conviviale… Un client, la quarantaine passée, un peu allumé, lui a même glissé un doigt dans la chatte lorsqu’elle l’a frôlé avec insistance, elle s’en est amusée et lui a léché le doigt !
Tous les deux, en rentrant à pied au gîte, l’alcool aidant, nous l’avons doigtée profondément chacun notre tour et cette chienne, trop excitée par nos attouchements intimes, profonds et répétés, s’est laissée baiser par Julien dans une ruelle sur le muret d’une maison secondaire, lui le bermuda à ses pieds et elle la chatte à l’air et la jupe remontée jusqu’à la poitrine… moi imperturbable je regardais si personne ne pointait son nez.
En ce qui me concerne ce soir-là, excité de les avoir vu baiser comme des bêtes dans la rue, j’ai attendu d’être sous la douche avec elle, pour la prendre de derrière, elle m’avait en effet supplié de lui prendre le trou en me disant que je baisais bien le cul des mecs et que par conséquent je devais l’enculer elle aussi !
Cette logique étant imparable… je me suis exécuté sans sourciller, j’ai pu constater que par ce trou là aussi c’était une vraie salope, ses cris ont alerté Julien, ce paparazzi de mes deux, qui s’est précipité avec l’appareil photo de Carla pour nous prendre sous tous les angles ! Ma sodomie terminée, c’est lui qui m’a nettoyé à genoux le gland avec sa langue, alors que le cul de Carla continuait de dégouliner de mon sperme blanc et épais.
Le mercredi midi nous avions commandé des pizzas, nous nous étions levés très tardivement car après un bain de minuit dans la piscine la veille, bain qui s’était terminé par une orgie sur la pelouse vers 03h00 du matin ! A cette occasion Carla avait bénéficié d’une double pénétration après nous avoir godé l’un après l’autre avec un engin de sa collection de 25x5,5 cm ! Sa valise n’était pas très grande mais elle avait pris soin de laisser de la place pour ses godes et ses accessoires favoris cette petite cochonne.
Je disais donc que nous avions fait une grâce matinée ce mercredi et nous sommes levés vers 10h avec nos culs encore endoloris par le gros gabarit qu’elle nous avait enfoncé jusqu’aux entrailles durant de longues minutes, j’aime qu’on honore mon cul… mais là, la grosseur et la longueur du gode malgré le gel largement étalé m’a dézingué le trou. Julien était comme moi et en se levant il m’a dit :
- On a beau être gourmand et vicelard, mais là c’était trop !... Et de plus manipulé par une nana aussi perverse que Carla, c’était de la furie !
Carla rigolait d’entendre nos commentaires et nos plaintes et nous balança :
- Je vous avais prévenus les mecs, je ne suis pas venue ici uniquement pour me faire sauter, et ce que je vous ai enfilé cette nuit, je me l’enfile aussi de temps en temps, c’est autre chose que vos quéquettes de pédés ! (Nouvelle humiliation).
Donc… Je vais y arriver, nous étions tous les trois le cul à l’air et portions uniquement nos tee-shirts, j’adore être dans cette tenue, la bite à l’air. J’avais entrepris de passer un coup de jet d’eau sur les pavés bordant la piscine, Julien après avoir essuyé la vaisselle, nettoyait la table de la terrasse et Carla s’affairait dans la salle d’eau.
Nous avions commandé des pizzas pour 13h30, il était treize heure vingt passé… Nous ne l’avions pas vu arriver, voici notre livreur de pizza chargé de ses trois boites, un minet blond d’environ vingt ans, cheveux assez longs, en débardeur orange, bermuda rouge… Il nous découvre, Julien et moi la queue à l’air en train de bosser, on le vit surpris et surtout gêné :
- Oh pardon messieurs, j’aurai dû sonner, je suis désolé, je viens livrer votre commande.
Moi, aussitôt et sans faire la moindre remarque sur notre tenue estivale et minimaliste d’exhibitionniste :
- Pas de soucis, on vous attendait, donnez-les-moi et dites-moi combien je vous dois ?
Notre blondinet qui ne quittait pas ma queue des yeux, et très gêné me dit en balbutiant tout bas :
- Euh… 45,80 € s’il vous plait.
Je prends les boites et file dans la cuisine, pendant ce temps Julien vient discuter avec lui, il lui pose quelques questions, sur son âge, son prénom, s’il s’agit d’un emploi d’été, s’il y avait beaucoup de boulot cet été…. Et notre livreur répondait tout en matant le service trois pièces de Julien, il semblait très perturbé, il le fut encore plus lorsque Carla est arrivée dans la même tenue, l’abricot à l’air, les cheveux tous trempés et son plug anal « diamant » bien enfoncé dans le cul (moi aussi il m’arrive d’en porter un, c’est excitant) :
- Oh mon Dieu, quel beau garçon vous êtes, je ne savais pas que les aveyronnais étaient aussi sexy, et elle lui caresse ses épaules bronzées.
- Merci mademoiselle, dit-il, c’est trop gentil, mais je suis désolé, je vois que je dérange, j’aurai dû sonner, je regrette, la prochaine fois je vous promet je respecterai votre intimité !
Carla en rigolant :
- S’excuser de quoi beau gosse, au contraire, ça fait plaisir de voir de beaux minets comme toi nous rendre visite, on vit à poil ici, et tu n’as pas du tout violé notre intimité je t’assure… Tu as d’autres clients à livrer ?
Lui ne sachant trop quoi dire autour de ces sexes à l’air libre :
- Non, vous êtes les derniers, ensuite je rentre et ne reprendrai mon service qu’à 18h30.
L’andalouse toujours aussi aguicheuse, avec une idée coquine :
- Super, alors tu peux bien rester quelques instants avec nous, tu veux piquer une tête dans la piscine ? Il fait si chaud, tu es en sueur, ça nous ferait plaisir…
Notre blondinet un peu perdu et surpris par la proposition de Carla, bafouille et dit :
- Oui, je veux bien mais je n’ai pas de maillot de bain, je suis désolé.
Carla le prend par le cou et lui dit :
- Pas de soucis, comme je te l’ai dit : ici on vit à poil, tu vois on a juste le tee-shirt à virer et on est prêt, comment te prénommes-tu ?
- Jérémy mademoiselle, non mais je peux nager en slip, j’ai un boxer.
- Et puis quoi encore, non, non pas de boxer ici, et elle joint le geste à la parole, elle lui enlève le débardeur, lui dégrafe le bermuda, et lui tire vers le bas son boxer Calvin Klein gris souris…
- Whouahhhh, quel beau minet, et bien monté jeune homme ! Lui-lança-elle.
Jérémy, tout penaud, décontenancé de se retrouver à poil au milieu de ces étrangers, sa bite recourbée de 14cm et sa paire de couilles peu poilues et bien pendantes qu’il essaie maladroitement de dissimuler avec ses mains…
- Allez, viens Jérémy, ne soit pas complexé, on va se baquer tous les quatre , tu es superbe à poil et tu vas pouvoir te rafraichir, un peu de jeunesse avec nous ça ne va pas faire de mal !
Après dix minutes de nage hésitante, nu comme un ver, notre blondinet s’amusa comme un fou avec nous, nous nous sommes baignés jusqu’à 16h oubliant de grignoter nos pizzas… Elles attendront le soir.
A un moment, Jérémy fut surpris de me voir assis sur le bord de la piscine et découvrir Carla venir me sucer longuement, puis ce fut le tour de Julien de s’asseoir sur le bord du bassin et là, la surprise de notre livreur fut totale en me découvrant venir tailler une pipe dans l’entrejambes de mon pote…
Carla interpelle notre voyeur Jérémy :
- Ne t’inquiète pas, c’est la coutume entre nous, nous sommes libertins et bisexuels, ça te dit de te faire sucer par l’un d’entre nous ?
Jérémy totalement affolé par cette proposition inattendue et grotesque :
- Qui moi ? Euhhh, non, non pas du tout, je vais partir maintenant…
Clara se rapproche de lui, lui caresse ses longs cheveux blonds trempés, réfléchit c’est une proposition sympa, personne ne le saura et tu te seras fait plaisir, tu es quoi hétéro, bi, gay ?
- Moi euhhh hétéro, j’ai une copine, répond Jérémy… Euh… si vous me promettez que personne ne le saura, alors oui je veux bien essayer avec vous… je n’ai pas l’habitude de ça…
- Ah ben voilà, c’est super, je te promets que ce qui se passe ici restera ici, sors du bain et vas t’asseoir sur le transat, je vais te combler beau blond, lui dit-elle enchantée.
Jérémy va s’asseoir sur le transat, sa queue à demi-molle le trahissait un peu quant à son désir de se faire pomper, Carla arrive, la chatte dégoulinante, elle se positionne à genoux et commence son opération de fellation coquine, nous, nous mattons l’action du bord du bassin et très amusés par la situation.
Rapidement Jérémy se mit à se dandiner sur le transat, Carla lui pompait le dard goulument en lui massant les couilles et en le doigtant, notre livreur bandait comme un taureau, il gémissait de plaisir, Carla lui roulait des pelles en lui caressant ses cheveux trempés, le blondinet lança un dernier cri avant d’éjaculer par grands jets sur les épaules de Carla, et notre andalouse s’empresse de lui lécher le corps et d’avaler le sperme du jeunot… Quel spectacle, un vrai régal !
Nous n’avons pu nous retenir de les applaudir !
Il était l’heure pour le jeune livreur de prendre congés, il remercia chaleureusement Carla :
- Merci Carla, c’était trop bon, tu es une sacrée suceuse autrement plus experte que ma copine, elle n’aime pas sucer et par conséquent elle ne sait pas me donner le plaisir et la jouissance que tu m’as offerte, j’aimerais tellement recommencer mais tu m’as dit que vous partiez dimanche après-midi… C’est trop con !
- Merci à toi Jérémy, il y a longtemps que je n’avais pas avalé du sperme de jeunot, le tien est sucré et abondant, moi aussi j’aurai aimé t’offrir encore du plaisir, reviens nous voir vendredi si tu peux te libérer à la même heure, ça nous laisse du temps pour nous amuser ensemble.
- Ouahhh super, c’est promis, je prends tout de suite votre commande pour ce vendredi pour ma dernière livraison vers 13h30 et c’est promis aussi… Je viens sans maillot de bain ! Dit-il en rigolant.
C’est ainsi qu’après s’être séché notre jeune livreur est reparti tout guilleret et les couilles totalement vidées !
Deux jours plus tard, le vendredi, on entend la sonnette du portillon, cette fois il avait sonné… on se retrouve Julien à poil, moi en string ficelle rose bonbon qui n’enveloppait que mon anatomie et pas plus, et Clara les seins à l’air et son string filet noir transparent, Jérémy se dessapa sans tarder après avoir posé les pizzas sur la table de la terrasse, cette fois-ci le coquin il n’avait rien sous son short noir large qui devait permettre de voir sa queue s’il s’accroupissait les jambes écartées.
Cette fois-ci nous grignotons quelques parts de pizzas avant de se baigner, et nos discussions toujours orientées nous apprennent que le peu d’expérience que Jérémy a connu avec des mecs, c’est sous la douche en colo où il a branlé quelques potes lors d’un pari : A qui larguerai sa purée le premier ! Et il rajouta :
- Mais j’ai un peu honte de l’avouer, mais j’aimerai bien recommencer avec Sylvain et Julien et surtout j’aimerai bien vous sucer car je n’ai jamais sucé un mec et c’est l’un de mes fantasmes, j’y pense même en suçant le clitoris de Léa ma copine…
Je prends la parole aussitôt,
- Écoute Jérémy ton fantasme va être exaucé dans quelques instants, moi tu me fais kiffer, j’adore les relations avec des jeunes mecs, tu vas pouvoir me foutre la gaule, me branler, me sucer et me faire cracher mon nectar.
- Et moi donc, tu n’en auras pas un, mais deux mâles sous la main et dans la bouche mon pote, réponds Julien.
Clara réagissant violement :
- Oh les mecs, c’est quoi cette proposition de pédés ? Et moi vous imaginez peut-être que je vais aller faire la sieste ? Sûrement pas, je m’occuperai de vos petits culs à tous les trois et je ferai des photos en gros plan de vos ébats, je te promets Jérémy, jamais on ne verra ton visage, nous trierons les photos ensemble après vos ébats entre mecs.
Je passe sur les détails de ce deuxième après-midi avec notre jeunot, il a profité au max de nos queues, en main ou en bouche, il était excité comme une puce, en final nous lui avons éjaculé presque en même temps sur le visage, il ne voyait plus rien et il riait tellement qu’il largua sa purée en se branlant comme un malade ! S’il n’avait jamais sucé de mec auparavant, là il s’était bien rattrapé le salaud, il nous a pompé à fond et goulument.
Quant à Carla elle en profita pour faire une cinquantaine de clichés, de près, de loin, entre nos jambes, dessus, dessous et entre temps elle nous doigtait, elle nous enfilait l’un de ses plus petits godes de 14 x 3 pour des culs de débutant, Jérémy ne sembla pas rechigner de se faire pénétrer par ce membre de silicone tartiné de gel.
Si nous avions pu avoir une troisième rencontre, son cul aurait dégusté avec nos deux queues bien raides et faites de vraie chair bien veinée à ce petit jeune !
A 16h45, Jérémy après être passé sous la douche avec Carla comme savonneuse, a pris le chemin du retour afin de préparer sa soirée de livraison.
Notre départ était programmé pour le dimanche après-midi… et c’était bien dommage, notre trio avait fonctionné à merveille… nous l’avions même transformé sans le provoquer par un quatuor avec notre petit livreur de pizzas, il faisait toujours très chaud et sincèrement nous n’avions pas envie de partir d’ici.
Carla nous demande si nous étions OK pour terminer cette semaine par un dîner-pique-nique sur la pelouse ce samedi soir, elle avait trouvé dans la remise une dizaine de lanternes de jardin équipées de grosses bougies, on pourrait se faire un dîner champêtre au Champagne pour fêter ces vacances (trop courtes) aveyronnaises.
Proposition retenue à l’unanimité, nous avions même décidé que le thème serait soirée « Chic et chair », qu’elle débuterait à la lueur des étoiles pour le charme… à nous de trouver nos tenues adéquates.
Après la séance de piscine chacun s’affaira à préparer réception d’adieu aux vacances .
Tout était prêt… toutes les lanternes allumées par les bougies à deux pas de la piscine elle aussi allumée de ses spots immergés, la table basse confectionnée à partir d’un gros tronc d’arbre, les petits fours et toasts au saumon et autres gourmandises, les flûtes et deux bouteilles de Champagne dressées sur la nappe rouge, un vrai décor champêtre de luxe ! D’autres bouteilles de Champagne étaient prévues au cas où… elles étaient stockées à 2,50m de profondeur dans la piscine !
22h30 le trio avait revêtu (si l’on peut dire) sa tenue de soirée, Carla avait mis un string ficelle de bain noir, attaché de deux petits nœuds latéraux, ses talons aiguilles, les seins à l’air et une cravate noire en satin, elle était hyper sexy avec ses cheveux abondants bruns et brillants !
Julien portait avec beaucoup de charme un jock-strap noir, des manchettes blanches et un nœud papillon noir et moi j’avais emprunté des basses résilles noires à Carla, je portais un string-filet noir à grosses mailles qui laissait apparaître clairement mon services trois pièces, la ficelle dans les fesses et un foulard de soie noire autour du cou… je faisais très pute… j’adore ça !
Une ambiance sonore diffusait des morceaux « Piano-bar » nous étions au top pour cette dernière réception.
Puis Carla, après avoir trinqués ensemble, nous annonce une surprise qui devrait être livrée vers 23h00/23h15.
Surprise, quelle surprise ? Nous avions tout prévu pour le pique-nique au Champagne ???
Effectivement vers 23h05, nous entendons le portillon s’ouvrir et voyons apparaître notre Jérémy, qui avait terminé ses livraisons, ce coquin est arrivé tout de blanc vêtu, string en lycra moulant parfaitement son anatomie masculine et enveloppant à merveille son petit cul bien dessiné et laissant apparaître la naissance de ses fesses, bas résilles jusqu’aux cuisses, cravate et manchettes blanches… Carla avait tout manigancé avec lui dans le plus grand secret, elle lui avait fourni toute cette tenue aguicheuse et plutôt féminine, Il était superbe et trop tentant avec ces cheveux blonds qui lui tombaient sur les épaules.
Julien et moi étions totalement surpris et subjugués par ce jeune minet vêtu comme une pute de luxe… Carla se délectait de l’effet que ce jeunot déclenchait chez nous, Julien dit en le découvrant :
- Putain, ce petit con, il me fout la trique !
Moi renchérissant :
- Oui, j’en connais un qui va se faire enculer avant demain matin… c’est sûr !
Après cet effet de surprise totale, nous trinquons en délirant sur nos tenues, Jérémy nous explique qu’il avait fait part de sa déprime de nous voir partir et qu’il aurait aimé poursuivre ses délires sexuels avec nous trois, il avait découvert des trucs de ouf, les relations entre mecs lui ont permis de s’éclater sans tabou, la fougue de Carla l’a totalement débloqué et il nous avoua que la bisexualité allait certainement devenir son orientation, il nous confia qu’il allait larguer Léa qui était trop sur la réserve lors de leurs relations : « Elle baise mal et j’en suis frustré à chaque fois, maintenant je veux m’éclater comme vous, mecs et nanas je kiffe un max » nous dit-il.
Le repas se continua dans nos délires, la position de Carla, jambes bien écartées, permettait de voir la ficelle de son string rentrer dans le clito dont les lèvres humides se trouvaient séparées, Jérémy n’arrêtait pas de la caresser et l’embrasser, moi et Julien nous nous palpions le paquet mutuellement en nous roulant des pelles, les flûtes se vidaient et se remplissaient sans arrêt, moi je changeais de partenaire en palpant l’anatomie bien excitée de Jérémy, son gland décalotté sortait de son string blanc. Carla vira le sien et vint sucer Julien qui vira son jock par la même occasion.
Une demi-heure après je pénétrais vigoureusement mon petit livreur de pizzas après lui avoir tartiné l’anus de gel, il n’avait conservé que ces bas en résille blancs pour m’exciter un peu plus, lui en levrette sur la pelouse et moi lui enfilant mes 18 cm dans le fion, il avait pris goût à la bite le coquin, il mouillait du cul comme une chienne, il couinait et râlait de plaisir en m’encourageant à le défoncer, il écartait ses cuisses de façon à me faciliter l’introduction, Clara avait ressorti son appareil photo, elles se délectait de voir les couilles de Jérémy pendantes et absorbant mes coups de reins dans la lumière jaune-orangée des lanternes qui entourait notre terrain de jeu. Les clichés étaient superbes !
Moi continuant de pénétrer ma petite pute, Julien se mit en devoir de l’obliger à le sucer, ainsi Jérémy voyait son fantasme se réaliser… se faire enculer tout en suçant les 19 cm de Julien ! N’ayant pas utilisé de capote, je ressors rapidement afin de larguer ma purée dans la raie de ses fesses et sur ses reins, Carla la gourmande vint lécher mon sperme et ensuite roula une pelle bien baveuse à Jérémy en lui transmettant mon nectar en bouche, quel beau spectacle !
L’appareil de Carla passa de main en main, chacun y allant de ses prises de vues les plus osées dans cette pénombre colorée des lueurs de bougies, gros plan sur un cul grand ouvert, une bite tendue et dégoulinante de foutre, une queue bien raide entre les seins de Clara, une paire de couilles pendouillantes, un gland décalotté, un clito ouvert et trempé… Elle va pouvoir en faire un superbe album l’andalouse !
Après ce tableau de baise débridée, le Champagne manquait, c’est alors que Julien plongea dans le fond de la piscine pour remonter une bouteille :
- Allez, on arrose le départ et encore merci à Clara de nous avoir fait cette surprise, à chaque fois que je mangerai une part de pizza… je penserai à notre petite pute aveyronnaise !
Je renchéri aussitôt :
- Oui, notre trio devenu quatuor restera gravé dans mes meilleurs souvenirs de vacances, il va falloir recharger les batteries en rentrant, je n’ai jamais baisé avec un rythme pareil !
Et Clara répondant :
- Ah vous vouliez vous faire une nana facilement les mecs, mais sachez que je n’étais pas décidée à jouer la pauvre soumise en me faisant baiser sans retour… Et je suis hyper contente d’avoir ouvert les yeux à Jérémy sur les joies de la baise entre bisexuels… Et quand je dis « Ouvert les yeux »… on lui a aussi ouvert le cul au petit jeune ! Sans compter qu'il baise très bien.
Et Jérémy, la queue bien raide de conclure :
- Vous êtes trop top tous les trois, j’espère que vous reviendrez l’année prochaine, je serai sûrement accompagné d’une nouvelle nana… ou d’un mec sait-on jamais ! dit-il en s’esclaffant. Tout ce qu’il y a de sûr, je vous confirme… Maintenant je me taperai mec ou nana sans restriction en pensant à vous… Merci pour tout !!!
C’est ainsi que se termina notre séjour, les valises furent bouclées le dimanche matin, nous reprîmes le chemin du retour en début d’après-midi et pour la route Clara aux places arrière avait conservé précieusement son gode noir en silicone de 25 x 5,5 auprès d’elle, elle n’avait pas jugé bon non plus de mettre une petite culotte sous sa jupe de toile blanche histoire de se remémorer cette semaine folle et nous faire profiter une dernière fois de son clito aux lèvres bien béantes.
Julien et moi avons fait la route en maillot de bain, histoire de pouvoir, durant le trajet se palper aisément le relief de nos entrejambes sans restriction.
Quant à Jérémy, nous l’avons retrouvé le temps d’un dernier baiser à l’entrée de l’autoroute, nous promettant mutuellement de nous revoir… et plus encore.
Avec ce programme bien chargé… (et surtout déchargé) … Nous n’avons pas eu le temps de bien visiter l’Aveyron en détails c’est certain, mais je peux confirmer que son climat estival nous a vidé au plus profond de nous-même.
Aujourd’hui être bio c’est bien… mais être bi… c’est mieux !
Nous sommes en Juillet 2022, en Aveyron, mon pote de 31 ans qui se prénomme Julien a loué un gîte dans un petit bled perdu du département, il est ingénieur dans l’aéronautique et n’est pas trop gêné financièrement, il a donc assuré pour se louer une superbe petite maison fraîchement restaurée dans le plus pur style aveyronnais, un séjour et un salon modernes qui tranchent avec le style rustique de l’extérieur, cuisine américaine, deux belles chambres avec des lits XXL très cocooning avec chacune salle d’eau intégrée, et cerise sur le gâteau dans un petit terrain de 500m2 super bien entretenu et fleuri, une piscine bien exposée au pied de la terrasse ombragée.
Le terrain est clos et ceinturé d’une haie de thuyas de 1,50m, ce qui protège correctement d’éventuels regards indiscrets.
Julien est un beau mâle d’un mètre quatre-vingt, 69 Kg, le teint halé, brun bouclé aux cheveux mi-longs, super bien gaulé, de beaux pectoraux que je lui envie, lui aussi est bi et très porter sur le sexe.
Pour tout dire nous nous sommes rencontrés dans un club libertin au Cap d’Agde à l’été 2019, tous deux accompagnés à cette époque de belles créatures, moi une asiatique en vacances et lui une parisienne bien allumée. La soirée avait été chaude dans tous les sens du terme, et nous avions finis tous les quatre dans un salon en partouze totalement débridée, où j’avais pu découvrir ses dons d’amant bisexuel, ce dont je suis adepte depuis mon adolescence.
Cette soirée avait réellement été sous le signe du « No limit », les nanas s’étaient gouinées devant nous sans aucun tabou, nous n’en étions pas restés pour autant uniquement spectateurs, bien que j’adore me branler en matant deux nanas se faire l’amour, j’avais rapidement goûté à la queue de Julien, une manière plutôt sympa de faire connaissance, et rapidement les nanas nous sont tombées dessus pour déguster les plaisirs de l’hétérosexualité et des membres bien raides que nous leur proposions.
Depuis on se revoit assez souvent avec Julien, c’est ainsi qu’il m’a invité à passer une semaine dans sa location estivale.
Il m’avait appelé trois semaines auparavant en me demandant si une semaine ensemble avec une nana de 26 ans, chaude et sans tabou, à se partager tous les deux, m’intéressait.
Comment résister à une telle invitation ?
Elle se prénomme Carla, elle est espagnole, d’origine de Séville et travaille depuis 5 ans, à Toulouse dans la même boite que lui.
Le programme me convenait d’autant qu’elle lui avait donné son accord pour ce trio estival après m’avoir vu en photo en string de bain sur l’i-phone de Julien, une photo très suggestive je l’avoue, qu’il avait faite sur la plage de Biarritz lors d’une de nos escapades en célibataires en rut.
Elle lui a même répondu qu’elle avait hâte de découvrir plus en détail mon anatomie qui lui semblait prometteuse, petite cochonne !...
Julien m’a confirmé que c’était une vraie chienne au lit, infatigable et hyper gourmande, elle fait preuve de beaucoup d’imagination côté sexe m’a-t-il dit, elle est adepte des tenues hyper sexy et elle lui a confessé qu’elle s’éclatait un max dès lors qu’elle avait deux bites dans son lit… ou ailleurs… puisque les lieux insolites semblent fortement l’exciter.
Tous ces détails m’émoustillent et je n’avais qu’une hâte… Arriver rapidement au gîte… et surtout être en forme face à ce phénomène !
Mon récit ne mentionnera que quelques épisodes épiques de cette semaine d’escapade aveyronnaise, car je peux vous assurer qu’il m’a fallu, au retour, quelques jours pour me remettre de ces vacances érotico-gourmandes et mon récit serait trop long pour vous narrer tous les délires sexuels de notre trio !
Effectivement j’ai plus baisé en une semaine qu’en deux mois dits « normaux ».
Après avoir un peu galéré malgré l’aide de mon GPS, j’arrive donc au gîte perdu dans un lieu-dit éloigné de deux kilomètres du centre du village, le samedi vers 16h30 sous un soleil de plomb.
Julien est arrivé le matin même avec Carla, ils étaient partis ensemble de Toulouse.
Il m’accueille torse nu et en short court blanc et bien moulant, le contraste de son bronzage ressortait bien avec ce short immaculé, nous nous embrassons et je le félicite quant à sa tenue sexy et son corps bien foutu.
Il me répond aussitôt en riant :
- Ne te fous pas de moi… mon corps tu le connais dans tous les détails, mais attends tu n’as pas tout vu, coquin, je vais te présenter la belle andalouse…
Il s’éclipse dans la maison et revient une minute plus tard, accompagné de Carla, elle est en paréo rouge et ocre avec des fleurs exotiques, un haut de tee-shirt très court blanc qui lui moulait tout juste et parfaitement ses seins de taille honorable, pieds nus, un fessier généreusement rebondi, bien bronzée, elle s’approche et m’embrasse sans détour.
Avec un léger accent hispanique :
- Bonjour Sylvain, tu es aussi beau que sur la photo du portable de Julien, simplement un peu plus habillé ! Je suis contente de faire ta connaissance et à priori on ne devrait pas trop s’ennuyer tous les trois, me fit-elle avec un clin d’œil coquin.
Moi agréablement surpris par son commentaire enjoué :
- Bonjour Carla, merci, tu es très belle aussi, Julien ne s’est pas trompé, son choix me convient parfaitement !
Julien me répond :
- Ne me dis pas que tu doutais de mes choix féminins ? Mais n’oublies pas que Carla est pour nous deux, nous devons nous la partager pour la semaine, ne sois pas trop possessif Sylvain !
Carla répond sans attendre :
- Attention les mecs, je suis peut-être la seule nana ici mais je vous préviens, je ne suis pas venue ici uniquement pour la bronzette… Vous allez devoir assurer !
Sa réponse spontanée résumait bien l’attente qu’elle pouvait attendre de nous, elle m’avait l’air effectivement bien chaude la nénette et ça n’était pas pour me déplaire.
Carla s’approche à nouveau de moi, me déboutonne ma chemisette hawaïenne et me caresse le torse avec le dos de sa main, me passe la main dans les cheveux et termine sa course en me palpant les fesses au travers de mon bermuda :
- Pas mal, j’adore les mecs au petit cul.
Julien me donne un clin d’œil et m’invite à décharger mes bagages et prendre possession de ma chambre.
- Il n’y a que deux chambres, mais c’est suffisant pour nous trois !
- Je n’imaginais pas Carla dormir seule, lui dis-je en me marrant.
J’avais roulé depuis Paris et n’attendais qu’à prendre une bonne douche sous cette chaleur torride. Julien m’invita à passer dans la salle d’eau le temps de sortir une bonne bière fraîche que nous consommerons sur la terrasse.
Il n’y avait pas cinq minutes que j’étais sous la douche à l’italienne sous les jets tièdes de la pomme de douche que Carla fit irruption dans la salle d’eau et se mis à me mater sous tous les angles… Un peu surpris mais sans plus, je continuais à me savonner le corps en insistant sur mon cul qui semblait la ravir et bien sûr me savonnais l’entrejambes avec délicatesse et me décalottais le gland sans complexe afin d’assurer une hygiène parfaite.
Carla me tendit une grande serviette de bain en me disant :
- Je voulais voir la marchandise en détail… Et elle me convient parfaitement ! Ton bronzage intégral me ravit et aussi j’adore les sexes rasés de près… ton anatomie me plait beaucoup… Tout est parfait Sylvain.
Puis elle quitta la salle d’eau en chantonnant, satisfaite de ce qu’elle avait découvert.
J’enfilais un de mes mini-maillots de bain en lycra jaune, il faut dire que mes tenues estivales sont souvent minimalistes, c’est où à poil où avec des maillots ne cachant que le strict minimum, c’est mon côté « exhib » qui m’excite beaucoup. Je n’ai recours à un boxer ou short de bain que lorsque je suis en compagnie de gens très conventionnels et peu portés sur le quasi naturisme, autrement dit… pratiquement jamais !
Carla me découvrant avec ce bout de textile aux couleurs du soleil :
- Ouahhhh tu es choux, j’adore ton maillot, il te moule à la perfection… et ton petit cul est trop tentant… Mais là attention tu as interdiction de bander mon petit, sans ça la bébête va sortir !
Décidemment on ne se connaissait que depuis quelques heures seulement, mais elle était bien chaude la gamine, ses remarques coquines faisaient marrer Julien qui nous invitait à nous rapprocher de la table pour consommer une bonne bière et Coca pour notre espagnole avide de jouer avec nos castagnettes !
Le short blanc de Julien avait lui aussi attiré le regard de Carla, elle l’avait bien chauffé en lui disant qu’il était hyper sexy mais que ça faisait gay, effectivement ce short très court moulant son anatomie avec brio, le tissus légèrement transparent laissait deviner aisément un jock-strap noir dessous.
Pour sa part, Carla laissait son paréo s’ouvrir sur le côté sans trop de retenue, ce qui avait attiré nos regards de mec et constaté qu’elle ne portait rien dessous.
Tout en sirotant nos consommations, les discussions arrivent rapidement sur nos désirs mutuels, nos fantasmes, nos aventures coquines et nos envies de baise en trio bi.
Carla nous avoue qu’elle adore faire l’amour avec plusieurs nanas plutôt plus âgées qu’elle… mais pas que, elle est sex-addict avec les mecs, elle nous avoue être accro à la bite et aime la consommer sous toutes ses formes sans aucune restriction, avec un, deux partenaires ou en partouze, elle adore pratiquer le dogging en pleine nature dans des lieux de drague, sur la plage ou en club…. Bref une nympho totale et débridée.
Julien, lui, nous confirme qu’il adore baiser des nanas de tout âge, mais aussi baiser des mecs et se faire prendre le cul par une bonne queue, il est comme moi adepte des clubs libertins, il pratique des partouzes entre amis chez lui plusieurs fois l’année, son fantasme est de se faire goder par une nana en suçant des mecs.
Et moi… je confessais à mes deux partenaires que j’avais passé toute mon adolescence et jusqu’à 25 ans à me taper uniquement des mecs, que je ne fréquentais à l’époque que des saunas ou clubs gay, que j’étais plutôt passif mais pas que, puis à 26 ans au cours d’une soirée bien arrosée entre amis, j’ai tenté de me faire une belle asiatique qui m’a apporté un plaisir extraordinaire, nous sommes restés ensemble plusieurs mois, elle m’a finalement converti à l’hétérosexualité ou plus exactement à la bisexualité car j’ai conservé sans complexe le désir de me faire des mecs, et aujourd’hui je pratique les deux sexes sans aucun tabou.
Après toutes ses révélations intimes, nous n’avions plus de complexes et de cachotteries à nous faire, la semaine allait être chaude et prometteuse.
Carla après avoir bu son Coca vint s’asseoir entre nous deux et commença à nous caresser avec ses deux mains, puis nous embrassant à tour de rôle, elle dirigea chacune de ses mains sur nos cuisses, puis rapidement commença une palpation détaillée de nos entrejambes.
- Hummmm mes cochons vous semblez aimer ça !
Julien et moi tentons de lui faciliter le travail en écartant nos cuisses, le short serré de Julien commençait à le serrer, quant à moi, le lycra se tendait à vue d’œil, Carla tira sur le cordon pour libérer ma queue en me disant :
- Je te l’avais bien dit qu’il ne fallait pas que tu bandes petit salaud !
Carla se mis à rire et conseilla à Julien de virer son short trop déformé :
- Laisse-lui de la place à ta queue, elle ne demande qu'à prendre un peu de liberté !
Julien suivi rapidement ses conseils, il vira son short et l'on put voir son jock noir bien tendu, ses fesses bronzées très légèrement poilues sont superbes et un peu galbées comme je les aime, d’ailleurs je les ai caressées plus d’une fois.
Carla défit son paréo et se retrouva le minou à l'air, rasé de près et ses fesses couleur miel lisses et bien rebondies, avec son haut de tee-shirt couvrant tout juste sa poitrine et laissant apparaitre ses tétons pointus, c'était d'une beauté excitante, l'excitation pouvait se constater en matant nos entrejambes bien tendus.
Carla d'un air coquin et aguicheur nous lance :
- Ça vous excite bande de queutards, ça vous dit un abricot à sucer après votre petite mousse ?
Effectivement son abricot était superbement excitant, un "Mont de Vénus" parfait, lisse et bien bombé.... Carla s'approcha de Julien qui était assis, elle approcha sa chatte à hauteur de la bouche de mon pote qui ne résista pas longtemps à lui lécher le sexe lisse comme une peu de bébé, trop beau, trop bon, sa langue chercheuse s'enfonçait dans la fente qui s'ouvrait comme une invitation à la pénétration humide de cette langue masculine, la séance de suce et de léchouilles dura au moins vingt-cinq minutes, Carla gémissait par petits cris étouffés, les lèvres de son clitoris excité ressortaient bien maintenant, humides elles trahissaient son excitation, la langue de Julien était maintenant accompagnée de son index qui lui titillait la chatte par des va et viens et des mouvements circulaires...
Moi j'avais fait tomber le maillot de bain, mon gland était bien humide, cette vision de la langue de mon pote dans ce clito en feu me faisait bien mouiller, je les regardais tout en me branlant lentement, ma queue droite comme un « i » quel beau spectacle érotique sous la tonnelle de cette terrasse, la forte chaleur ambiante excitant tous nos sens...
Cette séance se termina par des roulages de pelles entre nous trois, nos langues s'entremêlaient, la saveur de la chatte mouillée et excitée de Carla étant toujours présente sur celle de Julien qui nous la transmettait par sa salive... Hummm !
Nous décidâmes de terminer nos étreintes en plongeant dans la piscine qui annonçait entre 28°C et 30°C. Cette première journée me plaisait beaucoup !
C’est donc tous les trois à poil que nous décidions de nous faire un barbecue pour finir cette première soirée de trio désinhibé.
Inutile de dire combien ce dîner fut accompagné d’attouchements coquins voire limite incorrects, chacun se doigtant outrageusement entre deux grignotages.
Ce trio me plaisait décidemment bien, il y a longtemps que je ne m’étais senti aussi libre, aussi relax, aussi naturel, nous plaisantons sur nos corps respectifs, sur nos culs, sur nos membres virils, sur nos couilles, sur la chatte de Carla, tout était prétexte à la discussion débridée, à l’humour parfois sarcastique, pervers et aux gestes de tendresse érotico-coquins… Bref plus de tabous entre nous.
A minuit, nous décidons de prendre la direction de la chambre, Carla la première couchée sur le grand lit nous dit :
- Allez les mecs, montrez-moi de quoi vous êtes capables, ce soir je suis votre jouet, amusez-vous !
Nous n’avons pas attendons pour entreprendre nos ébats, Julien s’est calé entre ses cuisses pour lui lécher à nouveau la chatte et moi j’entreprends de lui lécher et titiller les seins bien gonflés et bien pointus, puis nos queues bien bandées de chaque côté de sa bouche elle se mit à nous sucer à tour de rôle en gorges profondes, c’est une vraie goulue la salope, elle engouffre nos bites à la limite de se faire vomir, elle est vraiment addict du zob, j’en ai rarement vues d’aussi accro, ses assauts buccaux nous allument un max mais nous maîtrisons nos pulsions afin de ne pas lui juter en bouche.
Puis elle nous dit :
- Maintenant je veux vous voir vous sucer mutuellement les mecs, je veux découvrir vos dons de pédés bande de pervers et si je suis satisfaite vous pourrez ensuite me baiser à votre aise !
Aussitôt je me mis en devoir de sucer les 19 cm de Julien qui ne débandait plus, comme moi, depuis près d’une heure, ce salaud s’est laissé sucer en râlant assez fort, j’engloutissais sa queue tout en lui palpant les couilles légèrement poilues, elles étaient pleines et compactes :
- Je vais te les vider mon pote, lui-dis-je entre deux fellations.
Carla se masturbait en se délectant de nos ébats entre mecs, elle prit quelques photos pour son album personnel :
- Vas-y Sylvain, dit-elle, vide-lui les couilles, il est chargé à mort, fais-lui cracher sa semence et toi Julien largue-lui ta purée sur le visage, j’adore voir et même recevoir des faciales, je me délecte de sperme chaud et dégoulinant sur mes joues, arrose-le, il n’attend que ça ce petit pédé.
Il était évident qu’elle prenait son pied à assister à cette fellation entre mecs, en tant que suceuse experte elle aurait aimé prendre ma place, mais moi je n’avais pas l’intention de lui laisser la queue de Julien, je suis un très bon suceur et me délecte d’avoir un membre viril en bouche, Julien gémissait de plaisir et moi je lui faisait des gorges profondes, je le sentais venir, j’avais envie qu’il m’éjacule en pleine figure… c’est mon kiffe, je n’ai pas eu à attendre très longtemps, dès que je me mis à lui doigter la rosette en profondeur, je senti son jet de foutre m’inonder la gorge, je me suis retiré et ce cochon continuait de me cracher son sperme chaud dans les yeux, sur le nez, sur les joues… c’est alors que Clara vint prendre sa tige en furie et l’engouffra en bouche pour avaler les derniers jets et lui nettoyer le gland à grands coups de langue et en continuant de la branler jusqu’à la dernière goutte.
Une fois essuyée elle nous dit :
- Vous vous comportez vraiment comme deux belles salopes et j’adore ça ! C’est beau deux mecs qui se pompent, prochaine fois j’aimerai que ce soient vos deux lances qui me crachent leurs jus sur mon corps et je vous obligerai à me lécher jusqu’à la dernière larme de sperme petits vicelards !
Après lui avoir promis qu’elle aurait sa récompense, nous prenons une bonne douche ensemble. Ensuite nous nous sommes endormis enlacés tous les trois nus comme des vers dans ce lit immense, bien adapté aux ébats à plusieurs, la baie vitrée ouverte car la température restait élevée. Vers quatre heures du matin, je fus réveillé par des petits gémissements… en ouvrant l’œil je vis Carla se faire prendre en levrette par Julien sur le tapis de la chambre, il la limait à grands coups de reins et ses testicules venaient claquer sur les fesses de la belle hispanique :
- Ça va les jeunes… Je ne vous dérange pas ? leur dis-je.
Carla en pleins cris de plaisirs et Julien en plein vas et viens me répondent :
- Non, non, tu peux dormir tranquille, dans cinq minutes on te rejoint.
Inutile de dire que le réveil fut tardif et ce régime de baise nocturne fut par alternance le quotidien de nos nuits durant toute la semaine ! Parfois en duo, parfois le trio.
Les petits-déjeuners se prenaient sur la terrasse où à poil ou en string, Carla adorait sucer le miel lorsqu’on enduisait nos queues de ce nectar… Une vraie butineuse la nénette !
Nous adorions prendre nos bains de soleil sur les transats entre deux plongeons. Un après-midi Carla décida de faire un jeu sur la pelouse :
- Je vais enduire vos queues de crème de masturbation et je vais vous branler en même temps tous les deux et le premier qui largue la purée paiera le resto ce soir !
La règle était simple et nous acceptâmes sans sourciller, c’est un exercice un peu périlleux pour moi car j’ai parfois tendance à manquer de résistance à l’éjaculation lorsque je suis bien excité… On verra bien !
Nous nous installâmes de chaque côté de notre bourreau des cœurs, elle nous tartine sa crème épaisse histoire d’exciter nos tiges et nos glands, top c’est parti !
Au départ elle y va doucement, tout va bien, la crème devient plus fluide par le mouvement, elle nous chauffe la queue… Une petite musique jazzy se diffusait de son enceinte nomade… le bonheur, nous, impassibles les bras le long de nos corps allongés avec interdiction de bouger, dix minutes de branle extra, puis le rythme augmente un peu, nos regards amusés se croisent et Carla continue de nous astiquer en nous traitant de tous les noms d’oiseaux histoire de nous exciter et nous humilier un peu plus : Mauviettes, pédés, salopes, putes, branleurs de mes deux, enculés, bons à rien, tapette… nos glands étaient violacés et totalement décalottés… à peine vingt minutes s’étaient passées que Julien commençait sérieusement à se tortiller dans tous les sens, puis trente seconde plus tard dans un gémissement de mâle en rut, une succession de jets de sperme jaillissent de son gland pour s’écraser sur sa cuisse… et moi curieusement j’avais tenu… mais à peine une minute après mon pote je larguais la sauce en émettant un rugissement bien masculin, mon sperme s’était étalé sur mon ventre jusqu’au thorax après plusieurs jets puissants.
Le soir, Julien, le perdant de l’épreuve, nous a emmené dans un restaurant vraiment super sympa au centre du village, avec ambiance musicale, la terrasse était pleine, nous avons passé une excellente soirée, à boire, à rire, Carla qui aime s’exhiber n’avait pas mis de culotte sous sa mini-jupe de jean’s… quand je dis mini, c’était clairement ras la moule, inutile de dire combien les regards des estivants ou des serveurs étaient orientés, aussi bien les mecs que les nanas ce sont égarés sur son entrejambe de chienne en chaleur. Certains n’hésitant pas à faire une photo avec leur smartphone et dans ce cas-là, Carla facilitait la prise de vue en écartant avantageusement les cuisses. Il est clair que son clito est aujourd’hui dans plusieurs portables ! Nous avons pu confirmer son côté exhibitionniste débridée. Son attitude de pute en chaleur a plutôt contribué à partager cette soirée dans une ambiance super conviviale… Un client, la quarantaine passée, un peu allumé, lui a même glissé un doigt dans la chatte lorsqu’elle l’a frôlé avec insistance, elle s’en est amusée et lui a léché le doigt !
Tous les deux, en rentrant à pied au gîte, l’alcool aidant, nous l’avons doigtée profondément chacun notre tour et cette chienne, trop excitée par nos attouchements intimes, profonds et répétés, s’est laissée baiser par Julien dans une ruelle sur le muret d’une maison secondaire, lui le bermuda à ses pieds et elle la chatte à l’air et la jupe remontée jusqu’à la poitrine… moi imperturbable je regardais si personne ne pointait son nez.
En ce qui me concerne ce soir-là, excité de les avoir vu baiser comme des bêtes dans la rue, j’ai attendu d’être sous la douche avec elle, pour la prendre de derrière, elle m’avait en effet supplié de lui prendre le trou en me disant que je baisais bien le cul des mecs et que par conséquent je devais l’enculer elle aussi !
Cette logique étant imparable… je me suis exécuté sans sourciller, j’ai pu constater que par ce trou là aussi c’était une vraie salope, ses cris ont alerté Julien, ce paparazzi de mes deux, qui s’est précipité avec l’appareil photo de Carla pour nous prendre sous tous les angles ! Ma sodomie terminée, c’est lui qui m’a nettoyé à genoux le gland avec sa langue, alors que le cul de Carla continuait de dégouliner de mon sperme blanc et épais.
Le mercredi midi nous avions commandé des pizzas, nous nous étions levés très tardivement car après un bain de minuit dans la piscine la veille, bain qui s’était terminé par une orgie sur la pelouse vers 03h00 du matin ! A cette occasion Carla avait bénéficié d’une double pénétration après nous avoir godé l’un après l’autre avec un engin de sa collection de 25x5,5 cm ! Sa valise n’était pas très grande mais elle avait pris soin de laisser de la place pour ses godes et ses accessoires favoris cette petite cochonne.
Je disais donc que nous avions fait une grâce matinée ce mercredi et nous sommes levés vers 10h avec nos culs encore endoloris par le gros gabarit qu’elle nous avait enfoncé jusqu’aux entrailles durant de longues minutes, j’aime qu’on honore mon cul… mais là, la grosseur et la longueur du gode malgré le gel largement étalé m’a dézingué le trou. Julien était comme moi et en se levant il m’a dit :
- On a beau être gourmand et vicelard, mais là c’était trop !... Et de plus manipulé par une nana aussi perverse que Carla, c’était de la furie !
Carla rigolait d’entendre nos commentaires et nos plaintes et nous balança :
- Je vous avais prévenus les mecs, je ne suis pas venue ici uniquement pour me faire sauter, et ce que je vous ai enfilé cette nuit, je me l’enfile aussi de temps en temps, c’est autre chose que vos quéquettes de pédés ! (Nouvelle humiliation).
Donc… Je vais y arriver, nous étions tous les trois le cul à l’air et portions uniquement nos tee-shirts, j’adore être dans cette tenue, la bite à l’air. J’avais entrepris de passer un coup de jet d’eau sur les pavés bordant la piscine, Julien après avoir essuyé la vaisselle, nettoyait la table de la terrasse et Carla s’affairait dans la salle d’eau.
Nous avions commandé des pizzas pour 13h30, il était treize heure vingt passé… Nous ne l’avions pas vu arriver, voici notre livreur de pizza chargé de ses trois boites, un minet blond d’environ vingt ans, cheveux assez longs, en débardeur orange, bermuda rouge… Il nous découvre, Julien et moi la queue à l’air en train de bosser, on le vit surpris et surtout gêné :
- Oh pardon messieurs, j’aurai dû sonner, je suis désolé, je viens livrer votre commande.
Moi, aussitôt et sans faire la moindre remarque sur notre tenue estivale et minimaliste d’exhibitionniste :
- Pas de soucis, on vous attendait, donnez-les-moi et dites-moi combien je vous dois ?
Notre blondinet qui ne quittait pas ma queue des yeux, et très gêné me dit en balbutiant tout bas :
- Euh… 45,80 € s’il vous plait.
Je prends les boites et file dans la cuisine, pendant ce temps Julien vient discuter avec lui, il lui pose quelques questions, sur son âge, son prénom, s’il s’agit d’un emploi d’été, s’il y avait beaucoup de boulot cet été…. Et notre livreur répondait tout en matant le service trois pièces de Julien, il semblait très perturbé, il le fut encore plus lorsque Carla est arrivée dans la même tenue, l’abricot à l’air, les cheveux tous trempés et son plug anal « diamant » bien enfoncé dans le cul (moi aussi il m’arrive d’en porter un, c’est excitant) :
- Oh mon Dieu, quel beau garçon vous êtes, je ne savais pas que les aveyronnais étaient aussi sexy, et elle lui caresse ses épaules bronzées.
- Merci mademoiselle, dit-il, c’est trop gentil, mais je suis désolé, je vois que je dérange, j’aurai dû sonner, je regrette, la prochaine fois je vous promet je respecterai votre intimité !
Carla en rigolant :
- S’excuser de quoi beau gosse, au contraire, ça fait plaisir de voir de beaux minets comme toi nous rendre visite, on vit à poil ici, et tu n’as pas du tout violé notre intimité je t’assure… Tu as d’autres clients à livrer ?
Lui ne sachant trop quoi dire autour de ces sexes à l’air libre :
- Non, vous êtes les derniers, ensuite je rentre et ne reprendrai mon service qu’à 18h30.
L’andalouse toujours aussi aguicheuse, avec une idée coquine :
- Super, alors tu peux bien rester quelques instants avec nous, tu veux piquer une tête dans la piscine ? Il fait si chaud, tu es en sueur, ça nous ferait plaisir…
Notre blondinet un peu perdu et surpris par la proposition de Carla, bafouille et dit :
- Oui, je veux bien mais je n’ai pas de maillot de bain, je suis désolé.
Carla le prend par le cou et lui dit :
- Pas de soucis, comme je te l’ai dit : ici on vit à poil, tu vois on a juste le tee-shirt à virer et on est prêt, comment te prénommes-tu ?
- Jérémy mademoiselle, non mais je peux nager en slip, j’ai un boxer.
- Et puis quoi encore, non, non pas de boxer ici, et elle joint le geste à la parole, elle lui enlève le débardeur, lui dégrafe le bermuda, et lui tire vers le bas son boxer Calvin Klein gris souris…
- Whouahhhh, quel beau minet, et bien monté jeune homme ! Lui-lança-elle.
Jérémy, tout penaud, décontenancé de se retrouver à poil au milieu de ces étrangers, sa bite recourbée de 14cm et sa paire de couilles peu poilues et bien pendantes qu’il essaie maladroitement de dissimuler avec ses mains…
- Allez, viens Jérémy, ne soit pas complexé, on va se baquer tous les quatre , tu es superbe à poil et tu vas pouvoir te rafraichir, un peu de jeunesse avec nous ça ne va pas faire de mal !
Après dix minutes de nage hésitante, nu comme un ver, notre blondinet s’amusa comme un fou avec nous, nous nous sommes baignés jusqu’à 16h oubliant de grignoter nos pizzas… Elles attendront le soir.
A un moment, Jérémy fut surpris de me voir assis sur le bord de la piscine et découvrir Carla venir me sucer longuement, puis ce fut le tour de Julien de s’asseoir sur le bord du bassin et là, la surprise de notre livreur fut totale en me découvrant venir tailler une pipe dans l’entrejambes de mon pote…
Carla interpelle notre voyeur Jérémy :
- Ne t’inquiète pas, c’est la coutume entre nous, nous sommes libertins et bisexuels, ça te dit de te faire sucer par l’un d’entre nous ?
Jérémy totalement affolé par cette proposition inattendue et grotesque :
- Qui moi ? Euhhh, non, non pas du tout, je vais partir maintenant…
Clara se rapproche de lui, lui caresse ses longs cheveux blonds trempés, réfléchit c’est une proposition sympa, personne ne le saura et tu te seras fait plaisir, tu es quoi hétéro, bi, gay ?
- Moi euhhh hétéro, j’ai une copine, répond Jérémy… Euh… si vous me promettez que personne ne le saura, alors oui je veux bien essayer avec vous… je n’ai pas l’habitude de ça…
- Ah ben voilà, c’est super, je te promets que ce qui se passe ici restera ici, sors du bain et vas t’asseoir sur le transat, je vais te combler beau blond, lui dit-elle enchantée.
Jérémy va s’asseoir sur le transat, sa queue à demi-molle le trahissait un peu quant à son désir de se faire pomper, Carla arrive, la chatte dégoulinante, elle se positionne à genoux et commence son opération de fellation coquine, nous, nous mattons l’action du bord du bassin et très amusés par la situation.
Rapidement Jérémy se mit à se dandiner sur le transat, Carla lui pompait le dard goulument en lui massant les couilles et en le doigtant, notre livreur bandait comme un taureau, il gémissait de plaisir, Carla lui roulait des pelles en lui caressant ses cheveux trempés, le blondinet lança un dernier cri avant d’éjaculer par grands jets sur les épaules de Carla, et notre andalouse s’empresse de lui lécher le corps et d’avaler le sperme du jeunot… Quel spectacle, un vrai régal !
Nous n’avons pu nous retenir de les applaudir !
Il était l’heure pour le jeune livreur de prendre congés, il remercia chaleureusement Carla :
- Merci Carla, c’était trop bon, tu es une sacrée suceuse autrement plus experte que ma copine, elle n’aime pas sucer et par conséquent elle ne sait pas me donner le plaisir et la jouissance que tu m’as offerte, j’aimerais tellement recommencer mais tu m’as dit que vous partiez dimanche après-midi… C’est trop con !
- Merci à toi Jérémy, il y a longtemps que je n’avais pas avalé du sperme de jeunot, le tien est sucré et abondant, moi aussi j’aurai aimé t’offrir encore du plaisir, reviens nous voir vendredi si tu peux te libérer à la même heure, ça nous laisse du temps pour nous amuser ensemble.
- Ouahhh super, c’est promis, je prends tout de suite votre commande pour ce vendredi pour ma dernière livraison vers 13h30 et c’est promis aussi… Je viens sans maillot de bain ! Dit-il en rigolant.
C’est ainsi qu’après s’être séché notre jeune livreur est reparti tout guilleret et les couilles totalement vidées !
Deux jours plus tard, le vendredi, on entend la sonnette du portillon, cette fois il avait sonné… on se retrouve Julien à poil, moi en string ficelle rose bonbon qui n’enveloppait que mon anatomie et pas plus, et Clara les seins à l’air et son string filet noir transparent, Jérémy se dessapa sans tarder après avoir posé les pizzas sur la table de la terrasse, cette fois-ci le coquin il n’avait rien sous son short noir large qui devait permettre de voir sa queue s’il s’accroupissait les jambes écartées.
Cette fois-ci nous grignotons quelques parts de pizzas avant de se baigner, et nos discussions toujours orientées nous apprennent que le peu d’expérience que Jérémy a connu avec des mecs, c’est sous la douche en colo où il a branlé quelques potes lors d’un pari : A qui larguerai sa purée le premier ! Et il rajouta :
- Mais j’ai un peu honte de l’avouer, mais j’aimerai bien recommencer avec Sylvain et Julien et surtout j’aimerai bien vous sucer car je n’ai jamais sucé un mec et c’est l’un de mes fantasmes, j’y pense même en suçant le clitoris de Léa ma copine…
Je prends la parole aussitôt,
- Écoute Jérémy ton fantasme va être exaucé dans quelques instants, moi tu me fais kiffer, j’adore les relations avec des jeunes mecs, tu vas pouvoir me foutre la gaule, me branler, me sucer et me faire cracher mon nectar.
- Et moi donc, tu n’en auras pas un, mais deux mâles sous la main et dans la bouche mon pote, réponds Julien.
Clara réagissant violement :
- Oh les mecs, c’est quoi cette proposition de pédés ? Et moi vous imaginez peut-être que je vais aller faire la sieste ? Sûrement pas, je m’occuperai de vos petits culs à tous les trois et je ferai des photos en gros plan de vos ébats, je te promets Jérémy, jamais on ne verra ton visage, nous trierons les photos ensemble après vos ébats entre mecs.
Je passe sur les détails de ce deuxième après-midi avec notre jeunot, il a profité au max de nos queues, en main ou en bouche, il était excité comme une puce, en final nous lui avons éjaculé presque en même temps sur le visage, il ne voyait plus rien et il riait tellement qu’il largua sa purée en se branlant comme un malade ! S’il n’avait jamais sucé de mec auparavant, là il s’était bien rattrapé le salaud, il nous a pompé à fond et goulument.
Quant à Carla elle en profita pour faire une cinquantaine de clichés, de près, de loin, entre nos jambes, dessus, dessous et entre temps elle nous doigtait, elle nous enfilait l’un de ses plus petits godes de 14 x 3 pour des culs de débutant, Jérémy ne sembla pas rechigner de se faire pénétrer par ce membre de silicone tartiné de gel.
Si nous avions pu avoir une troisième rencontre, son cul aurait dégusté avec nos deux queues bien raides et faites de vraie chair bien veinée à ce petit jeune !
A 16h45, Jérémy après être passé sous la douche avec Carla comme savonneuse, a pris le chemin du retour afin de préparer sa soirée de livraison.
Notre départ était programmé pour le dimanche après-midi… et c’était bien dommage, notre trio avait fonctionné à merveille… nous l’avions même transformé sans le provoquer par un quatuor avec notre petit livreur de pizzas, il faisait toujours très chaud et sincèrement nous n’avions pas envie de partir d’ici.
Carla nous demande si nous étions OK pour terminer cette semaine par un dîner-pique-nique sur la pelouse ce samedi soir, elle avait trouvé dans la remise une dizaine de lanternes de jardin équipées de grosses bougies, on pourrait se faire un dîner champêtre au Champagne pour fêter ces vacances (trop courtes) aveyronnaises.
Proposition retenue à l’unanimité, nous avions même décidé que le thème serait soirée « Chic et chair », qu’elle débuterait à la lueur des étoiles pour le charme… à nous de trouver nos tenues adéquates.
Après la séance de piscine chacun s’affaira à préparer réception d’adieu aux vacances .
Tout était prêt… toutes les lanternes allumées par les bougies à deux pas de la piscine elle aussi allumée de ses spots immergés, la table basse confectionnée à partir d’un gros tronc d’arbre, les petits fours et toasts au saumon et autres gourmandises, les flûtes et deux bouteilles de Champagne dressées sur la nappe rouge, un vrai décor champêtre de luxe ! D’autres bouteilles de Champagne étaient prévues au cas où… elles étaient stockées à 2,50m de profondeur dans la piscine !
22h30 le trio avait revêtu (si l’on peut dire) sa tenue de soirée, Carla avait mis un string ficelle de bain noir, attaché de deux petits nœuds latéraux, ses talons aiguilles, les seins à l’air et une cravate noire en satin, elle était hyper sexy avec ses cheveux abondants bruns et brillants !
Julien portait avec beaucoup de charme un jock-strap noir, des manchettes blanches et un nœud papillon noir et moi j’avais emprunté des basses résilles noires à Carla, je portais un string-filet noir à grosses mailles qui laissait apparaître clairement mon services trois pièces, la ficelle dans les fesses et un foulard de soie noire autour du cou… je faisais très pute… j’adore ça !
Une ambiance sonore diffusait des morceaux « Piano-bar » nous étions au top pour cette dernière réception.
Puis Carla, après avoir trinqués ensemble, nous annonce une surprise qui devrait être livrée vers 23h00/23h15.
Surprise, quelle surprise ? Nous avions tout prévu pour le pique-nique au Champagne ???
Effectivement vers 23h05, nous entendons le portillon s’ouvrir et voyons apparaître notre Jérémy, qui avait terminé ses livraisons, ce coquin est arrivé tout de blanc vêtu, string en lycra moulant parfaitement son anatomie masculine et enveloppant à merveille son petit cul bien dessiné et laissant apparaître la naissance de ses fesses, bas résilles jusqu’aux cuisses, cravate et manchettes blanches… Carla avait tout manigancé avec lui dans le plus grand secret, elle lui avait fourni toute cette tenue aguicheuse et plutôt féminine, Il était superbe et trop tentant avec ces cheveux blonds qui lui tombaient sur les épaules.
Julien et moi étions totalement surpris et subjugués par ce jeune minet vêtu comme une pute de luxe… Carla se délectait de l’effet que ce jeunot déclenchait chez nous, Julien dit en le découvrant :
- Putain, ce petit con, il me fout la trique !
Moi renchérissant :
- Oui, j’en connais un qui va se faire enculer avant demain matin… c’est sûr !
Après cet effet de surprise totale, nous trinquons en délirant sur nos tenues, Jérémy nous explique qu’il avait fait part de sa déprime de nous voir partir et qu’il aurait aimé poursuivre ses délires sexuels avec nous trois, il avait découvert des trucs de ouf, les relations entre mecs lui ont permis de s’éclater sans tabou, la fougue de Carla l’a totalement débloqué et il nous avoua que la bisexualité allait certainement devenir son orientation, il nous confia qu’il allait larguer Léa qui était trop sur la réserve lors de leurs relations : « Elle baise mal et j’en suis frustré à chaque fois, maintenant je veux m’éclater comme vous, mecs et nanas je kiffe un max » nous dit-il.
Le repas se continua dans nos délires, la position de Carla, jambes bien écartées, permettait de voir la ficelle de son string rentrer dans le clito dont les lèvres humides se trouvaient séparées, Jérémy n’arrêtait pas de la caresser et l’embrasser, moi et Julien nous nous palpions le paquet mutuellement en nous roulant des pelles, les flûtes se vidaient et se remplissaient sans arrêt, moi je changeais de partenaire en palpant l’anatomie bien excitée de Jérémy, son gland décalotté sortait de son string blanc. Carla vira le sien et vint sucer Julien qui vira son jock par la même occasion.
Une demi-heure après je pénétrais vigoureusement mon petit livreur de pizzas après lui avoir tartiné l’anus de gel, il n’avait conservé que ces bas en résille blancs pour m’exciter un peu plus, lui en levrette sur la pelouse et moi lui enfilant mes 18 cm dans le fion, il avait pris goût à la bite le coquin, il mouillait du cul comme une chienne, il couinait et râlait de plaisir en m’encourageant à le défoncer, il écartait ses cuisses de façon à me faciliter l’introduction, Clara avait ressorti son appareil photo, elles se délectait de voir les couilles de Jérémy pendantes et absorbant mes coups de reins dans la lumière jaune-orangée des lanternes qui entourait notre terrain de jeu. Les clichés étaient superbes !
Moi continuant de pénétrer ma petite pute, Julien se mit en devoir de l’obliger à le sucer, ainsi Jérémy voyait son fantasme se réaliser… se faire enculer tout en suçant les 19 cm de Julien ! N’ayant pas utilisé de capote, je ressors rapidement afin de larguer ma purée dans la raie de ses fesses et sur ses reins, Carla la gourmande vint lécher mon sperme et ensuite roula une pelle bien baveuse à Jérémy en lui transmettant mon nectar en bouche, quel beau spectacle !
L’appareil de Carla passa de main en main, chacun y allant de ses prises de vues les plus osées dans cette pénombre colorée des lueurs de bougies, gros plan sur un cul grand ouvert, une bite tendue et dégoulinante de foutre, une queue bien raide entre les seins de Clara, une paire de couilles pendouillantes, un gland décalotté, un clito ouvert et trempé… Elle va pouvoir en faire un superbe album l’andalouse !
Après ce tableau de baise débridée, le Champagne manquait, c’est alors que Julien plongea dans le fond de la piscine pour remonter une bouteille :
- Allez, on arrose le départ et encore merci à Clara de nous avoir fait cette surprise, à chaque fois que je mangerai une part de pizza… je penserai à notre petite pute aveyronnaise !
Je renchéri aussitôt :
- Oui, notre trio devenu quatuor restera gravé dans mes meilleurs souvenirs de vacances, il va falloir recharger les batteries en rentrant, je n’ai jamais baisé avec un rythme pareil !
Et Clara répondant :
- Ah vous vouliez vous faire une nana facilement les mecs, mais sachez que je n’étais pas décidée à jouer la pauvre soumise en me faisant baiser sans retour… Et je suis hyper contente d’avoir ouvert les yeux à Jérémy sur les joies de la baise entre bisexuels… Et quand je dis « Ouvert les yeux »… on lui a aussi ouvert le cul au petit jeune ! Sans compter qu'il baise très bien.
Et Jérémy, la queue bien raide de conclure :
- Vous êtes trop top tous les trois, j’espère que vous reviendrez l’année prochaine, je serai sûrement accompagné d’une nouvelle nana… ou d’un mec sait-on jamais ! dit-il en s’esclaffant. Tout ce qu’il y a de sûr, je vous confirme… Maintenant je me taperai mec ou nana sans restriction en pensant à vous… Merci pour tout !!!
C’est ainsi que se termina notre séjour, les valises furent bouclées le dimanche matin, nous reprîmes le chemin du retour en début d’après-midi et pour la route Clara aux places arrière avait conservé précieusement son gode noir en silicone de 25 x 5,5 auprès d’elle, elle n’avait pas jugé bon non plus de mettre une petite culotte sous sa jupe de toile blanche histoire de se remémorer cette semaine folle et nous faire profiter une dernière fois de son clito aux lèvres bien béantes.
Julien et moi avons fait la route en maillot de bain, histoire de pouvoir, durant le trajet se palper aisément le relief de nos entrejambes sans restriction.
Quant à Jérémy, nous l’avons retrouvé le temps d’un dernier baiser à l’entrée de l’autoroute, nous promettant mutuellement de nous revoir… et plus encore.
Avec ce programme bien chargé… (et surtout déchargé) … Nous n’avons pas eu le temps de bien visiter l’Aveyron en détails c’est certain, mais je peux confirmer que son climat estival nous a vidé au plus profond de nous-même.
Aujourd’hui être bio c’est bien… mais être bi… c’est mieux !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe !
Très bien écrit, les 4 protagonistes sont hyper sexy et particulièrement inventifs, bravo !!!
Très bien écrit, les 4 protagonistes sont hyper sexy et particulièrement inventifs, bravo !!!