Service à domicile II
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Service à domicile II
Cela fait maintenant plusieurs mois que je fréquente un amant et ses amis. Ce soir c’est un ami seul que je rencontre. Mon amant m’a appelé, me disant qu’il allait m’envoyer un ami plutôt frustré. Il me donne son numéro et j’initie le contacte. Nous échangeons quelques messages, photos et infos. Il a la cinquantaine, assez grand mais un gros bide. Au départ ce détail me repousse mais tout doute sur notre possible rencontre s’efface quand je vois la taille de son membre. Rien à dire, il est magnifiquement bien outillé. Nous convenons d’un rendez vous rapidement.
Nous nous rencontrons donc ce vendredi soir dans un petit restaurant dans le 11ème. L’établissement est peu peuplé et nous prenons une table relativement bien dissimulée. Il est courtois, mais visiblement excité. La conversation reste pudique cependant jusqu’au café. C’est alors qu’il parle « business »,
« Merci d’avoir accepter mon offre. »
« Mais de rien, le plaisir est pour moi également. »
« Si tout se passe bien j’aimerais devenir un de tes réguliers, si ça te dis bien sûr. »
« Mais pourquoi pas ? Il faut que je vous dise par contre que je fais ça uniquement de manière dérivée. Mes études prennent la priorité. »
« Naturellement, naturellement. » Il semble un peu gêné, « Bon alors comment ça se passe ? Je dois avouer n’avoir jamais engagé dans ce genre d’activité avant… »
« Et bien quand vous le voulez on quitte le restaurant et je suis à vous. Vous avez le test sanguin ? »
« Ah oui, bien sûr. » Il s’empresse alors de sortir de la poche intérieure de sa veste un document plié qu’il me tend. Entre le premier contacte et notre rencontre en réelle j’ai demandé à ce qu’il me fournisse un test MST.
« Je l’ai effectué de suite. Et je n’ai pas eu d’activité sexuelle récente… »
Après vérification que tout est négatif je lui réponds, « Super, alors on commence quand vous le voulez. » J’ai pris de l’assurance depuis ma première rencontre, mais je ne peux empêcher une touche de nervosité se faufiler en moi. Ma voix est peut-être plus aigue qu’à la normale.
« Donc je peux te demander ce que je veux ? »
« Dans la limite du respect oui bien sûr. Je vous appartiens pour ce soir. C’est ça qui m’excite. Ah et j’ai mis le string comme demandé. »
Il inspire profondément, visiblement laissant l’excitation monter. Je vois cependant qu’il ne souhaite pas initier. Je me lève, et vais m’asseoir à côté de lui, sur la banquette. Une fois assis, je glisse ma main droite le long de sa cuisse vers son entre jambe. Mon dieu mais il bande déjà à fond. Je puis à présent vérifier par moi même l’envergure sublime de son engin que je serre à travers le tissu. Je le caresse et le titille ainsi quelques instants. Il respire de plus en plus rapidement. Au bout de quelques instants et des caresses insistantes, il ne peut plus attendre,
« Ok, on va chez moi. » Sa voix est haletante. Je lui souris.
Nous quittons le restaurant précipitamment. L’homme a payé avec un billet de cent, n’attendant pas sa monnaie. Il habite à deux pas, dans un immeuble du début XXème. Nous prenons l’ascenseur. J’en profite pour me coller à lui, mes fesses pressées contre son entre jambe. Je sens la barre raide et chaude de son sexe à travers nos pantalons. Je remue du bassin, l’excitant d’avantage. Il commence à m’explorer de ses mains, les faisant courir le long de mon torse, mon bas ventre, et s’aventurant entre mes jambes. L’ascenseur s’arrête et nous sortons pour nous engager dans un long couloir.
La porte d’un appartement somptueux se referme derrière nous. Je n’ai à peine le temps de contempler ce bel espace, que mon amant me guide d’un pas rapide vers une chambre. L’homme s’installe sur le lit. Toute son anxiété est à présent oubliée, place au désire.
« Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? »
« Déshabilles toi. »
J’exécute, allant lentement. Je me dévêtis du haut vers le bas. Une fois arrivé au jean, je me retourne et le fait tomber lentement, cambrant mes fesses. Il a une vue imprenable. Je sens sa main se balader contre ma peau.
« Oh comment je vais prendre mon pied avec toi. Allez retourne toi. »
J’obéis et il se met à examiner mon sexe raidissant sous mon string en dentelle noir.
« Petite et mignonne. Tu es imberbe, parfait. »
Je lui souris, puis me laisse tomber à genoux, entre ses cuisses.
« Je peux voir la votre ? »
« Oh mais avec plaisir. » Sur ce il se lève,
Je m’empresse de lui défaire le pantalon, laissant ma main s’attarder sur sa bosse énorme. Le tissu tombe et je me retrouve face à cette suggestion déconcertante. Je continue de la frotter tendrement, ma main malaxant puis caressant du bulbe clairement dessiné de son gland aux boules lourdes dessous. L’homme soupir et inspire. Il me reluque tout du long de mes attentions, bénéficiant d’une vue sur mes fesses cambrées. Après quelques instants je me lance, prenant entre mes doigts l’élastique de son caleçon. Je commence à le baisser lentement. Un court instant son sexe résiste avant d’être libéré entièrement, immense et majestueux symbole de virilité. Il se tend devant mon visage et je reste immobile à le contempler un moment, comme hypnotisé par son envergure.
« Elle ne te plait pas ? »
« Oh si. Elle est énorme. » Je la prend délicatement entre les doigts de ma main droite, l’examinant. Je finis de décalotter le gland. Une fine trainée de liquide argenté s’échappe de l’orifice.
« Tu trouves ? Ca ne t’intimide pas trop ?»
Je regarde vers le haut, sourire en coin « C’est justement ça qui m’excite. Ce que j’aime chez un homme c’est qu’il soit clairement viril. Entre toi et moi, il n’y a pas photo.»
Sur ce je m’avance, écarte les lèvres, et prend en bouche le bout de ce beau phallus. L’homme ne répond pas mais expire longuement, comme soulagé. Encouragé, j’entame un rythme lent mais ferme de vas et viens. Mes lèvres se faufilent le long de son membre, s’arrêtant aux trois quarts pour repartir jouer du gland.
« Oh oui c’est parfait ça. Si tu savais comme ça faisait longtemps. Je crois que je vais t’inonder la gorge une première fois. Continue. »
J’accélère progressivement. Ma langue se tortille et frétille contre sa peau. Parfois je laisse échapper la verge de ma bouche pour en titiller le gland enflé duquel s’échappe déjà profusément un liquide de plus en plus épais au goût fort. Mes deux mains sont à présent autour de sa hampe, venant soutenir la pipe que j’accentue. A présent je donne de petits coups rapides autour du gland. Je sens peu à peu mon amant se raidir. Je m’apprête à recevoir son jus. Puis, après un dernier coup de langue c’est l’explosion. Un jet puissant m’emplit la bouche avant de s’initier à ma gorge. Je m’efforce de tout avaler.
L’homme est traversé de secousses, tandis que je donne quelques derniers coups de langue. Puis il s’assoit lourdement sur le lit derrière lui.
« T’es une vraie petite salope, tu le sais ça ? »
Je lui souris, essuyant la trainée de sperme s’étant échappée malgré mes efforts.
« Allez continue de me branler un peu. »
J’exécute, reprenant en main son engin à demi dûr.
« Tu es bi donc ? »
« Oui. Et vous ? »
« Aussi, mais je pense préférer le sexe avec les jeunes hommes dans ton genre. »
Je continue la caresse, tendrement presque. La scène est comique presque, une discussion presque banale mais son sexe entre mes doigts et moi en string à genoux, une trainée de sperme le long de ma nuque.
« Dis moi, tu dis aimer les gros sexes. Le tien pourtant n’est pas énorme. »
« Justement, aucune ambiguïté sur qui domine. »
Il sourit, et sur ce je sens son sexe se raidir à nouveau.
« Hmm, et maintenant, je vais te montrer à quel point il n’y en a pas ici. Allez petite, mets toi sur le dos. »
J’exécute. Il sort d’un tiroir d’un petit meuble un tube de ce qui ne peut être que du lubrifiant. Il s’en applique une lampée sur son gland, se place devant moi et m’écarte fermement les cuisses. Puis il se positionne, poussant d’un côté le tissu de mon string. Le contact froid du lubri sur ma peau me fait frissonner. Je sens son gland contre mon trou. Cet attouchement provoque une excitation en moi et je me mets à bander.
« Hmm petite cochonne va. Allez, assez joué. »
Il fait pression. Son gland peine à entrer au début et je dois avouer que la douleur est difficile à supporter mais d’un coup le moment est passé et il est en moi, s’enfonçant sans peine. Il ne s’arrête qu’à la garde. Mes yeux s’écartent de surprise. Je n’ose bouger. Lui non plus, restant immobile en moi quelques instants. Puis il donne un premier coup de bassin et un je laisse échapper un gémissement aigu.
« Ah oui c’est parfait. »
C’est alors qu’il enclenche à son tour un vas et viens rythmé, venant butiner contre mes fesses qu’il soulève aisément d’une main. Son ventre frotte contre le mien. J’ai l’impression de faire tout petit sous cette créature énorme. Peu à peu la douleur s’efface cependant et mon érection reprend, inutile.
Il me baise longuement, m’écrasant à moitié de son poids. Puis il me soulève d’un coup, et je me retrouve le chevauchant. Je viens rebondir sur la masse de son corps. D’une main il se saisit de mon sexe minuscule contre ce ventre. Il le branle fermement.
« Je veux te faire jouir ma petite. »
Je ne tarde pas à accéder à sa demande, une fine trainée de sperme éclaboussant mon string et la peau de mon ventre. Puis c’est je suis soulevé à nouveau. Cette fois il me prend en levrette. J’ai du mal à rester en place, tellement la force de son ventre tapant contre mes fesses me fais basculer. Il me lime longuement. Ses mains m’encerclent le bassin d’une poigne d’acier. Celle-ci se fait plus forte encore lorsque je le sens se raidir une deuxième fois. Je me sens emplir d’un jet chaud. Je frissonne au contact de ce liquide épais en moi. Lui se déverse en quatre à-coups. Il s’immobilise enfin et je me demande si il y aura une troisième fois ce soir.
Nous nous rencontrons donc ce vendredi soir dans un petit restaurant dans le 11ème. L’établissement est peu peuplé et nous prenons une table relativement bien dissimulée. Il est courtois, mais visiblement excité. La conversation reste pudique cependant jusqu’au café. C’est alors qu’il parle « business »,
« Merci d’avoir accepter mon offre. »
« Mais de rien, le plaisir est pour moi également. »
« Si tout se passe bien j’aimerais devenir un de tes réguliers, si ça te dis bien sûr. »
« Mais pourquoi pas ? Il faut que je vous dise par contre que je fais ça uniquement de manière dérivée. Mes études prennent la priorité. »
« Naturellement, naturellement. » Il semble un peu gêné, « Bon alors comment ça se passe ? Je dois avouer n’avoir jamais engagé dans ce genre d’activité avant… »
« Et bien quand vous le voulez on quitte le restaurant et je suis à vous. Vous avez le test sanguin ? »
« Ah oui, bien sûr. » Il s’empresse alors de sortir de la poche intérieure de sa veste un document plié qu’il me tend. Entre le premier contacte et notre rencontre en réelle j’ai demandé à ce qu’il me fournisse un test MST.
« Je l’ai effectué de suite. Et je n’ai pas eu d’activité sexuelle récente… »
Après vérification que tout est négatif je lui réponds, « Super, alors on commence quand vous le voulez. » J’ai pris de l’assurance depuis ma première rencontre, mais je ne peux empêcher une touche de nervosité se faufiler en moi. Ma voix est peut-être plus aigue qu’à la normale.
« Donc je peux te demander ce que je veux ? »
« Dans la limite du respect oui bien sûr. Je vous appartiens pour ce soir. C’est ça qui m’excite. Ah et j’ai mis le string comme demandé. »
Il inspire profondément, visiblement laissant l’excitation monter. Je vois cependant qu’il ne souhaite pas initier. Je me lève, et vais m’asseoir à côté de lui, sur la banquette. Une fois assis, je glisse ma main droite le long de sa cuisse vers son entre jambe. Mon dieu mais il bande déjà à fond. Je puis à présent vérifier par moi même l’envergure sublime de son engin que je serre à travers le tissu. Je le caresse et le titille ainsi quelques instants. Il respire de plus en plus rapidement. Au bout de quelques instants et des caresses insistantes, il ne peut plus attendre,
« Ok, on va chez moi. » Sa voix est haletante. Je lui souris.
Nous quittons le restaurant précipitamment. L’homme a payé avec un billet de cent, n’attendant pas sa monnaie. Il habite à deux pas, dans un immeuble du début XXème. Nous prenons l’ascenseur. J’en profite pour me coller à lui, mes fesses pressées contre son entre jambe. Je sens la barre raide et chaude de son sexe à travers nos pantalons. Je remue du bassin, l’excitant d’avantage. Il commence à m’explorer de ses mains, les faisant courir le long de mon torse, mon bas ventre, et s’aventurant entre mes jambes. L’ascenseur s’arrête et nous sortons pour nous engager dans un long couloir.
La porte d’un appartement somptueux se referme derrière nous. Je n’ai à peine le temps de contempler ce bel espace, que mon amant me guide d’un pas rapide vers une chambre. L’homme s’installe sur le lit. Toute son anxiété est à présent oubliée, place au désire.
« Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? »
« Déshabilles toi. »
J’exécute, allant lentement. Je me dévêtis du haut vers le bas. Une fois arrivé au jean, je me retourne et le fait tomber lentement, cambrant mes fesses. Il a une vue imprenable. Je sens sa main se balader contre ma peau.
« Oh comment je vais prendre mon pied avec toi. Allez retourne toi. »
J’obéis et il se met à examiner mon sexe raidissant sous mon string en dentelle noir.
« Petite et mignonne. Tu es imberbe, parfait. »
Je lui souris, puis me laisse tomber à genoux, entre ses cuisses.
« Je peux voir la votre ? »
« Oh mais avec plaisir. » Sur ce il se lève,
Je m’empresse de lui défaire le pantalon, laissant ma main s’attarder sur sa bosse énorme. Le tissu tombe et je me retrouve face à cette suggestion déconcertante. Je continue de la frotter tendrement, ma main malaxant puis caressant du bulbe clairement dessiné de son gland aux boules lourdes dessous. L’homme soupir et inspire. Il me reluque tout du long de mes attentions, bénéficiant d’une vue sur mes fesses cambrées. Après quelques instants je me lance, prenant entre mes doigts l’élastique de son caleçon. Je commence à le baisser lentement. Un court instant son sexe résiste avant d’être libéré entièrement, immense et majestueux symbole de virilité. Il se tend devant mon visage et je reste immobile à le contempler un moment, comme hypnotisé par son envergure.
« Elle ne te plait pas ? »
« Oh si. Elle est énorme. » Je la prend délicatement entre les doigts de ma main droite, l’examinant. Je finis de décalotter le gland. Une fine trainée de liquide argenté s’échappe de l’orifice.
« Tu trouves ? Ca ne t’intimide pas trop ?»
Je regarde vers le haut, sourire en coin « C’est justement ça qui m’excite. Ce que j’aime chez un homme c’est qu’il soit clairement viril. Entre toi et moi, il n’y a pas photo.»
Sur ce je m’avance, écarte les lèvres, et prend en bouche le bout de ce beau phallus. L’homme ne répond pas mais expire longuement, comme soulagé. Encouragé, j’entame un rythme lent mais ferme de vas et viens. Mes lèvres se faufilent le long de son membre, s’arrêtant aux trois quarts pour repartir jouer du gland.
« Oh oui c’est parfait ça. Si tu savais comme ça faisait longtemps. Je crois que je vais t’inonder la gorge une première fois. Continue. »
J’accélère progressivement. Ma langue se tortille et frétille contre sa peau. Parfois je laisse échapper la verge de ma bouche pour en titiller le gland enflé duquel s’échappe déjà profusément un liquide de plus en plus épais au goût fort. Mes deux mains sont à présent autour de sa hampe, venant soutenir la pipe que j’accentue. A présent je donne de petits coups rapides autour du gland. Je sens peu à peu mon amant se raidir. Je m’apprête à recevoir son jus. Puis, après un dernier coup de langue c’est l’explosion. Un jet puissant m’emplit la bouche avant de s’initier à ma gorge. Je m’efforce de tout avaler.
L’homme est traversé de secousses, tandis que je donne quelques derniers coups de langue. Puis il s’assoit lourdement sur le lit derrière lui.
« T’es une vraie petite salope, tu le sais ça ? »
Je lui souris, essuyant la trainée de sperme s’étant échappée malgré mes efforts.
« Allez continue de me branler un peu. »
J’exécute, reprenant en main son engin à demi dûr.
« Tu es bi donc ? »
« Oui. Et vous ? »
« Aussi, mais je pense préférer le sexe avec les jeunes hommes dans ton genre. »
Je continue la caresse, tendrement presque. La scène est comique presque, une discussion presque banale mais son sexe entre mes doigts et moi en string à genoux, une trainée de sperme le long de ma nuque.
« Dis moi, tu dis aimer les gros sexes. Le tien pourtant n’est pas énorme. »
« Justement, aucune ambiguïté sur qui domine. »
Il sourit, et sur ce je sens son sexe se raidir à nouveau.
« Hmm, et maintenant, je vais te montrer à quel point il n’y en a pas ici. Allez petite, mets toi sur le dos. »
J’exécute. Il sort d’un tiroir d’un petit meuble un tube de ce qui ne peut être que du lubrifiant. Il s’en applique une lampée sur son gland, se place devant moi et m’écarte fermement les cuisses. Puis il se positionne, poussant d’un côté le tissu de mon string. Le contact froid du lubri sur ma peau me fait frissonner. Je sens son gland contre mon trou. Cet attouchement provoque une excitation en moi et je me mets à bander.
« Hmm petite cochonne va. Allez, assez joué. »
Il fait pression. Son gland peine à entrer au début et je dois avouer que la douleur est difficile à supporter mais d’un coup le moment est passé et il est en moi, s’enfonçant sans peine. Il ne s’arrête qu’à la garde. Mes yeux s’écartent de surprise. Je n’ose bouger. Lui non plus, restant immobile en moi quelques instants. Puis il donne un premier coup de bassin et un je laisse échapper un gémissement aigu.
« Ah oui c’est parfait. »
C’est alors qu’il enclenche à son tour un vas et viens rythmé, venant butiner contre mes fesses qu’il soulève aisément d’une main. Son ventre frotte contre le mien. J’ai l’impression de faire tout petit sous cette créature énorme. Peu à peu la douleur s’efface cependant et mon érection reprend, inutile.
Il me baise longuement, m’écrasant à moitié de son poids. Puis il me soulève d’un coup, et je me retrouve le chevauchant. Je viens rebondir sur la masse de son corps. D’une main il se saisit de mon sexe minuscule contre ce ventre. Il le branle fermement.
« Je veux te faire jouir ma petite. »
Je ne tarde pas à accéder à sa demande, une fine trainée de sperme éclaboussant mon string et la peau de mon ventre. Puis c’est je suis soulevé à nouveau. Cette fois il me prend en levrette. J’ai du mal à rester en place, tellement la force de son ventre tapant contre mes fesses me fais basculer. Il me lime longuement. Ses mains m’encerclent le bassin d’une poigne d’acier. Celle-ci se fait plus forte encore lorsque je le sens se raidir une deuxième fois. Je me sens emplir d’un jet chaud. Je frissonne au contact de ce liquide épais en moi. Lui se déverse en quatre à-coups. Il s’immobilise enfin et je me demande si il y aura une troisième fois ce soir.
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